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Bagues pivot de fourche


Anthony QUINTIN
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Nous ne devrions tout de même pas trop nous vanter en Wallonie, la connaissance des langues étrangères n'y étant pas exemplaire. Les Flamands sont beaucoup dynamiques sur ce plan. Les mauvaises langues diront qu'ils n'ont pas beaucoup le choix, le néerlandais est loin d'être une langue universelle.

Un membre du forum pourrait donner son point de vue sur la question : originaire de Grenoble, il vit à Bruxelles et d'après ce que je peux en deviner, il maîtrise très bien le flamand  😉 Un petit coucou, Franck !

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le plus simple pour expliquer à un Français serait de lui dire de remplacer le "g" par un "r"

j'ai eu de la chance j'ai fais mes premières années d'études supérieurs assis à coté d'un binational franco-néerlandais, il saignait des oreilles assez souvent le pauvre 😃

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Ca les langues étrangères en France c'est pas trop ca même si parmi les jeunes qui font un peu d'études ca va beaucoup mieux grâce au contact plus facile avec du contenu anglophone.

Je me demande comme un Néerlandais prononcerait "de Broglie" (il se planterait surement, la majorité des francophones ne sont pas au courant de la subtilité)

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Ajoute à cela que le français est obligatoirement la première langue «étrangère» enseignée en Flandre, tandis que le néerlandais ne l'est pas en Wallonie : on a libre choix entre anglais et néerlandais.

(À Bruxelles, officiellement bilingue, c'est autre chose : néerlandais obligatoire dans les écoles francophones et vice versa.)

Résultat : l'anglais est bien mieux maîtrisé en Flandre qu'en Wallonie ! 😃

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Les Flamands mettent généralement un point d'honneur à prononcer les noms d'origine étrangère comme le ferait un locuteur autochtone, autant que possible.

Dans le cas de de Broglie, je suppose que comme en Francophonie, il n'y a que les scientifiques à être initiés à sa prononciation correcte ! 😃

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Je ne peux que m'incliner devant ton appréciation et je n'en suis pas fier.

Je me débrouillais bien en néerlandais à l'école, mais par la suite... je n'ai plus jamais pratiqué, sauf lors de mon tout premier boulot à Bruxelles. 40 ans plus tard, il me reste encore un peu de vocabulaire, mais aucune aisance dans l'expression, surtout orale.

L'anglais, c'est un peu au boulot, surtout limité au vocabulaire technique écrit, ou en vacances, quand il n'y a pas moyen de faire autrement...

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J'ai fait mes études secondaires en Wallonie (la même école qu' Adamo😉). Comme la majorité des étudiants j'avais choisi le néerlandais en deuxième langue, au début nos avions 7h de néerlandais par semaine, ce qui n'est pas rien! Donc faut pas généraliser le manque de formation du néerlandais en Wallonie.

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Actuellement la répartition du choix entre le néerlandais et l'anglais, sur l'ensemble de la Wallonie, serait de 50-50.

D'après une étude récente que je cite de mémoire, plus de 80 % des élèves du Brabant Wallon choisiraient le néerlandais en première langue «étrangère». Ce pourcentage serait d'environ 60 % dans la province de Namur et d'un peu plus de 50 % dans le Hainaut.

Mais dans les provinces du Luxembourg et de Liège, ce pourcentage tomberait à moins de 20 %, ce qui fait chuter drastiquement la moyenne régionale.

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J'avoue qu'on est très fort pour massacrer les patronymes néerlandais. 

Pas que ceux là. Les nom allemands sont souvent prononcés à l'anglaise. En patinage Katarina Witt était systématique appelée "ouite". or en allemand le W se prononce "vé" Donc il faut dire Katarina "Vite"

C'est pareil avec M. Schumacher. Ses nom et prénom systématiquement massacrés

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Bonjour Imanol,

 

Oui je comprends, mais dans ce cas précis avec Hennie KUIPER c'est sans doute un cas à part bien particulier... Car c'est un peu extrême non ?

 

Pour revenir à ma question initiale, car à lire la suite des posts on s'éloigne...(Merci amis BELGES), mon interrogation n'est pas de changer de vélo (l'ayant fait novembre 2016) mais juste savoir comment déterminer et connaître s'il y avait une formule particulière et un palier à ne pas dépasser.

Donc je reste sur ce que je pensais, à savoir bien choisir son type de cadre adapté, selon ses mesures personnelles, l'aspect du cadre, la géométrie du cadre, son type de pratique et ses capacités physiques (souplesse, etc...) et ensuite s'adapter sur le terrain par tatonnement...

Mais je reste intimement convaincu que plus de 80% de vélo vendu ne sont pas adaptés au cycliste lorsqu'il l'achète... Car si on regarde bien dans les boutiques cycles, les hauteurs sont quasi toutes pareilles (à qqch près), j'ai ce que j'ai pu constater chez divers velocistes qui ont des vélo en vitrine et qui bien souvent vendent le vélo tel que...

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En fait, le problème des vélos présentés en boutique est simple : c'est comme pour les jeans, on les vend presque toujours avec trop de longueur et à toi ensuite de les couper à ta mesure. Parce que si on les vend trop courts... c'est beaucoup plus difficile de les rallonger . Les bonnes boutique les vendent en différentes longueurs pour une largeur donnée de même que certaines marques de cadres déclinent parfois leurs modèles en "standard" et "high" (Colnago) ou H1, H2, (Trek), par exemple.

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Christian,

Où as tu lu que j'avais dit que toutes les géométries de cadres se ressembles ?

Je n'ai jamais dit cela... On s'est mal compris... J'ai dit qu'on choisi un cadre selon sa géométrie (s'ils étaient tous pareils on ne s'en soucierait pas non ?), selon son besoin, selon ses parcours, selon son budget, selon ses goûts (marque, couleur, design), selon sa capacité physique (souplesse, etc...) et ensuite on ajuste les périphérique au cycliste... C'est ce que je dis et ai toujours dit.

 

Justement c'est pourquoi j'ai choisi mon cadre fin 2016 en fonction de tout cela et en vérifiant la douille de direction pas trop basse ou typé racing....

Mais cette histoire de bagues (qui est mon POST initial) c'est quand même de l'ajustement sur le terrain qui est sans doute le plus vrai... Et non pas un standard ou autre (comme tout le monde fait) qui doit être pris en compte...

J'ai 2,5 cm d'entretoise... donc je suis dans le bon à postériori.... Mais hélas à mon grand regret.... aucune formule claire sur le réglage de cela (avoir une base et après ajuster).

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Bonjour Thierry,

J'ai bien compris ce que tu veux me dire... Mais honnêtement (sans critiquer) combien de velocistes ajustent cela en fonction du coureur ? La plupart le laisse tel que (sauf à la demande du client qui connait ou que le vélociste ai fait une étude posturale au client)... Je pense est pas loin de la vérité...

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Mais hélas à mon grand regret.... aucune formule claire sur le réglage de cela (avoir une base et après ajuster).

Si, cela s'appelle une "étude posturale" et un bon vendeur s'en préoccupera. Va faire un tour sur le site mecacote et tu comprendras mieux.

Mais il est plus simple de vendre le stock plutôt que d'orienter le client vers ce qui est le mieux pour lui. Mais c'est aussi une conséquence du lobbying du client qui veut le même vélo que le champion qu'il voit à la TV ou sur les routes.

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