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Casques mips ou pas


Gérard LACOMBE
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Mouai, je préférerais des crash test du type de l'Euroncap ou du tcs pour les sièges bebe. Ils montrent que parfois les ISOFIX ne sont pas meilleur que des non ISOFix.

Sur les casques les constructeurs nous font beaucoup de promesses sur le poids, l'aéro, mais rien sur la protection.

Lorsque le casque est devenu obligatoire pour les enfants j'ai vu à la tv un reportage ou était comparé deux casques avec une simulation d'un choc vertical a 20km/h. Le moins cher a explosé, le second était "juste" cassé.

Il me semble que la protection doit être le critère numéro un pour un casque.

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les casques MIPS ne sont pas fait en un seul morceau mais plutôt ils découplent la coque externe de l'attache à la tête au cas où le choc voudrait faire tourner la coque et entrainer la tête dans le même mouvement.

il y en a des très cher et léger et certains pas dispendieux.  il y a des casques avec un modèle MIPS et le même en régulier.

pas sur que ce ne soit pas un argument de marketing.

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J'ai déjà entendu vaguement parler d'une date limite d'utilisation des casques (hors choc évidemment). Ce serait pour çà que la date de fabrication est mentionnée. Maintenant combien d'années le garder? Çà dépend du nombre d'heures d'utilisation; le rayonnement solaire(UV)  doit y être pour quelque chose dans la fragilisation du polystyrène...J'ai entendu parler de 5 ans, mais pas combien d'heures par jour😕

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Tiens, petite question qui s'adresse aux spécialistes 😉 On trouve dans le commerce des casques homologués à 30Euro et jusqu'à 300Euro ...... En y regardant de près, il s'agit de polystyrène (le même que dans les emballages) sur lequel est thermo soudé un film plastique, de la très haute technologie donc 😃 Techniquement hormis "le logo de marque", qu'est ce qui justifie cet écart de 1 à 10 dans le prix d'une boite à œufs ?

 Et que l'on porte tous en ne souhaitant jamais avoir à en tester l'efficacité....

A vos claviers 😄

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Logiquement, à partir du moment où un casque est certifié, c'est un peu comme les lunettes. Qu'il coûte 30 ou 300 €, il va protéger de la même façon en cas de choc.

La différence de prix ne se justifie donc pas à ce niveau-là. Mais plutôt en matière de poids, de confort, d'aération, et aussi d'esthétisme.

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Il y a en effet des casques de 30€ avec la même homologation que des casques de 300€, c'est à dire que le protection est la même. C'est à dire aussi que le polystyrène basique, le même en effet que dans les emballages, protège suffisamment selon les normes. Nous imaginons sans grande peine qu'une couche de polystyrène doit protéger de la même façon que son absence donc nous concluons que la protection offerte par le casque est celle de l'intérieur de la tête mais moins la matière en son intérieur que la pensée à l'intérieur de cette matière, c'est à dire que la protection est imaginative, donc illusoire. Pour qui a connu les casques à boudin dans les années 80, ils étaient aussi homologués et donc aptes à nous préserver du mal, mais qui peut croire que quelques boudins puissent protéger de quelque chose? La différence de prix entre un casque de 30€ et un de 300€ ne s'explique bien évidemment que par l'image que projettent ces différents casques. Tout objet, quel qu'il soit, est avant même son utilisation (et quelque fois même pas) un signe donné aux autres et à soi-même au travers de celui donné aux autres. On peut imaginer que celui qui achète un casque très cher doit penser: 1. comme souvent que plus c'est cher mieux c'est (persuasion marketing vieille comme lui) 2. qu'il affiche aux autres son standing et niveau de vie (il se met au dessus des autres, vanité) 3. qu'il se prend pour le champion qui porte le même casque, imitation infantile, régression au stade anal de l'accumulation. Sinon, si un casque de 30€ en polystyrène est efficace cela revient à démontrer par ce fait seul qu'il ne l'est pas.
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Il n'arrive pas à faire de saut de ligne avec son terminal internet. On lui a suggéré de trouver une solution mais il s'en moque. Il juge l'essence de son discours tellement pertinente qu'il s'affranchit de toute forme de mise en page.

Si ses interventions ne sont pas assez aérées pour qu'on les lises c'est qu'on ne mérite pas de les lire.

 

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Respecter ses lecteurs est les traiter comme des lecteurs pas comme des avaleurs de sms et de paragraphes de deux phrases. C'est penser que de la même façon que celui qui a pris la peine de répondre l'autre prendra la même peine à le lire. Lire n'est pas plus fatigant qu'écrire. Respecter le lecteur c'est ne pas tomber dans le suivi mou d'habitudes molles, paresseuses et crétines, c'est ignorer délibérément le style sms ou paragraphe chaque deux lignes propre aux analphabètes et écrire dans la langue de Molière aussi bien qu'on le peut. Cela est respecter le lecteur car c'est le considérer adulte et non enfant, instruit et non analphabète. Rien n'est plus irrespectueux pour le lecteur que de le prendre pour un crétin en écrivant aéré, c'est considérer qu'il ne peut concentrer sa lecture et son intelligence que quelques secondes. Je ne suis pas obligé de suivre ces modes crétines propres à l'idiocratie internet, j'écris, ou tente d'écrire en bonne intelligibilité, je ne suis pas responsable du fait que le lecteur face à moi ne dispose peut être pas de la même intelligibilité de lecture. Se rabaisser au niveau du sol de le fera pas s'élever. Dit ceci personne n'est obligé à lire tout le monde.
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Logiquement, à partir du moment où un casque est certifié, c'est un peu comme les lunettes. Qu'il coûte 30 ou 300 €, il va protéger de la même façon en cas de choc.

Ton interprétation de la certification me semble hasardeuse. Le but des normes n'est pas d'égaliser la qualité des différents produits disponibles sur le marché mais d'en fixer le seuil minimal. Un casque à 300 € n'est donc pas obligatoirement meilleur qu'un autre à 30, mais celui à 30 € n'est pas forcément équivalent à celui à 300...

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Les plus chers ne sont effectivement pas forcément les plus efficaces. Je m'étais intéressé au MIPS et autres machins avant l'achat de mon dernier casque : les arguments commerciaux allaient de pair avec des budgets d'américains, et petit à petit, de lecture "technique " en argument "scientifique" je m'étais résigné au fameux "you get what you pay for".

Puis en écumant le net j'étais tombé je ne sais plus sur quel lien qui donnait un pdf  de tests menés par un magazine de conso allemand, et là, surprise : ça ne marche pas comme ça. Des modèles très chers avaient des résultats vraiment pas fameux en cas de choc, pas meilleurs que des machins très basiques à 20 balles. On peut même dire qu'ils ont le look plus ou moins "aéro", le poids plume, ils passent bien les tests mais par rapport aux modèles efficaces ce ne sont apparemment et avant tout que des accessoires de mode pour barbus hipsters ou des placards publicitaires pour pros sponsorisés.

Je suis allé voir mon vélociste préféré qui lui aussi avait sélectionné comme par hasard des modèles d'après la lecture de mags étrangers (il est indépendant), et je suis reparti avec un beau casque pour une quarantaine d'euros de mémoire, qui en plus a une bonne allure et un système d'ajustement très pratique et joli, et qui surtout est très confortable (un Cratoni blanc/gris/or qui va bien avec mon cadre, je crois même que le résultat du classement aux comparatifs était rappelé sur la boîte).

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Ton raisonnement me paraît plutôt tiré par les cheveux.

Etant entendu qu'un casque de vélo ne protègera jamais contre un choc contre une voiture qui percuterait de face un cycliste, les casques du marché répondent à une norme censée protéger la tête dans le cas d'une chute à une allure de cycliste.

Ces normes comprennent l'épaisseur de la coque, le positionnement des protections (sur le front, sur les côtés, derrière les oreilles), ainsi que la non désintrégration du casque (il doit rester en un seul morceau).

Au-delà de cette norme, le reste n'est que discours marketing, qu'il m'est personnellement impossible à vérifier.

Par contre, ce dont je peux m'apercevoir rapidement, ce sont le poids, le confort, l'aération, et la tête que ça me fait dans la glace. En plus d'un côté pratique (facilité des réglages, possibilité de ranger les branches des lunettes dans les ouies latérales).

Mais pour tout t'avouer, je ne suis pas fan des casques. Je n'en porte un régulièrement que depuis deux ans. J'ai cédé sous la pression des autres cyclistes (maintenant, en groupe ou sur la route, tout le monde ou presque est casqué, celui qui ne l'est pas ça fait vraiment drôle) et surtout sous celle de ma fille de 6 ans, qui comprend difficilement que je lui demande de mettre un casque pour faire du vélo si moi je n'en mets pas. Il m'arrive encore, 4 ou 5 fois par an, en plein été et pour une sortie seul, d'avoir le plaisir de rouler tête nue. C'est quand même bien plus agréable. Néanmoins, lors d'une chute sévère en groupe il y a presque 18 mois où je me suis fracturé le coude et la clavicule, ma tête a tapé la première et malgré le casque j'ai quand même eu un traumatisme crânien. Donc à force on se fait au casque, il vaut mieux.

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C'est vrai mais les paragraphes en littérature, essais, philosophie etc. sont autrement plus longs et fournis que ceux d'internet qui se rapprochent plus du sms étendu que du paragraphe réduit. L'écran d'ordinateur n'aide pas, ni dans sa structure visuelle, lumière bleue gênante pour la vue (c'est pourquoi les liseuses ont un autre écran) ni dans les habitudes qu'il induit, lire vite, passer à autre chose, avoir plusieurs fenêtres ouvertes à la fois. Il y a même des sites, d'information par exemple où en début d'article il est indiqué en gros le temps nécessaire à leurs lecture, je les ferme aussitôt ouverts. Un paragraphe des Essais de Montaigne est bien plus long que le plus long de mes textes écrits ici, inversement un paragraphe étoffé écrit ici par tout un chacun représenterait deux lignes des Confessions de Rousseau. Regarde le message qui précède le tien, pas moins de six paragraphes, un paragraphe est censé développer une idée ou la découper (dans l'écriture moderne qui va selon moi à l'encontre de l'intelligence du texte) et pourtant et malgré cette aération plus artificielle que celle des casques dont ce message parle nous avons au final six paragraphes pour expliquer une idée qui tiendrait aisément dans six phrases c'est à dire un texte d'un trait. C'est là que je voulais en venir, internet a donné de nouvelles habitudes, pour moi de mauvaises habitudes, ne plus savoir écrire correctement dans le respect du lecteur, ne pas prendre la peine de lire son interlocuteur, bref, tirer le niveau vers le bas, installer la fainéantise à tous les niveaux. Hier il était de bon ton que l'analphabète rasasse les murs, couvert de honte par son inculture, avec internet il s'affiche haut et fort, et comme ils sont légion(s) (Umberto Eco disait d'ailleurs qu'internet avait donné le droit de parole à des légions de crétins) ils s'imposent et au final ce sont les personnes qui savent écrire assez correctement qui doivent raser les murs, montrées du doigt et moquées par les incultes. Ceci est la génération et culture internet, sorte d'acculturation du misérable porté au pinacle, mais de la même façon que je me refuse à parler à base de lieux communs comme on l'entend partout à la tv ou radio, je me refuse à écrire à base de sms étendus que sont les messages d'internet.
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