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J'aime le vélo parce que ...


Emmanuel PREFOL
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J'ai 48 ans et pédale seulement depuis 4 ans 2 ans 1/2 avec des vélo Fitness Btwin, et depuis 1 an 1/2 un Lapierre Sunsium 300 et maintenant un Synapse carbone disc 105.

Du coup je n'ai pas un niveau bien haut (seulement 1 à 2 sorties par semaine) mais heureusement que j'arrive à faire du bike en salle.

 

Bref quand je roule seul c'est un moyen de me vider la tête, de me ressourcer et de me mettre le compte, et quand je suis avec mes 2 amis, histoire de papoter tout en les poussant hors de leurs limites.

 

Quand je roule seul, je roule contre mon chrono, faire mieux que la fois d'avant.

 

Quand je roule avec les amis, les, me pousser au-delà des limites tout en conservant à l'esprit qu'il ne faut pas se cramer non plus.

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J’aime le vélo, mais pourquoi ?

 

o   Le vélo en tant que simple engin de transport a un charme certain et séduit même les collectionneurs. Il peut être esthétiquement et mécaniquement très réussi, mais pas plus que d’autres qu’ils se nomment moto, voiture, voilier ou locomotive. 

 

o   Le cyclisme, sous toutes ses formes, est un sport complet, grisant, éprouvant, tant physiquement que moralement, mais il en est beaucoup d’autres que ce soient l’aviron, le ski, la boxe ou l’athlétisme.

 

o   La tenue vestimentaire du cycliste peut être originale mais aussi terriblement commune. Rien de bien prestigieux, en tout cas rien de comparable à celle de l’escrimeur, du joueur de hockey ou du motard.

 

o   Le décor dans lequel il évolue est souvent la pleine nature, parfois même un cadre grandiose, mais là aussi il y a de la concurrence sérieuse avec les randonnées en montagne, le ski de fond, le vol à voile, le rafting.

 

o   Quant à l’esprit d’équipe qui séduit tant les footballeurs, les rugbymen ou les joueurs de boules, ce n’est vraiment pas le point fort. Sport individuel avant tout, le peloton cycliste n’est qu’un abri de passage qui ne garantit nullement quiétude et convivialité.

 

 

Alors, où est la clé du mystère ?

 

Si elle n’est dans aucun des éléments précédents, chacun pris séparément, c’est donc – bon sang, mais c’est bien sûr ! – qu’elle est dans l’ensemble. Mais attention, pas la simple addition d’une machine, d’un sport, d’une tenue, d’un décor et d’un groupe, mais leur communion, leur liaison, leurs interactions ; ce que Pascal – qui était aussi un fameux inventeur - résumait d’une phrase percutante : le tout est plus que la somme des parties. C’est, à mon avis, l’harmonie qu’arrive à créer entre ces éléments le cycliste, qui confère à notre activité toute son originalité et son pouvoir de fascination.

 

N’est-il pas extraordinaire de parvenir à associer le corps humain si complexe avec ses propres systèmes, avec sa biochimie, avec son conscient et son inconscient, à une machine totalement mécanique, faite de tubes et de roulements liés en une masse inerte qui ne tient même pas debout toute seule ?

 

À mon sens la magie est dans le mouvement que l’un confère à l’autre. Personnellement j’avoue que mon plus grand plaisir à bicyclette est de sentir, lorsque tout fonctionne bien, que mes gestes de pédalage et leur transformation en vitesse de déplacement se font en totale symbiose.

Au-delà de l’effort lui-même, c’est sa traduction, via le vélo, en un déplacement souple, aérien et silencieux qui me séduit. Si en plus l’équipement vestimentaire permet de l’exécuter sans gêne, que la trajectoire s’inscrit dans un environnement naturellement splendide et que tout se déroule au sein d’un peloton sympathique, c’est un système autonome, optimisé et cohérent qui évolue ; un système dans lequel le cycliste est en même temps acteur et spectateur, à la fois émetteur d’énergie motrice et récepteur du plaisir de se mouvoir.

 

 

Je crois sincèrement que l’explication de la joie profonde que reçoit en récompense de son effort le cycliste tient dans cette harmonie. Et là il me semble qu’il y a soudain beaucoup moins de concurrence. Peut-être la voile, l’équitation, la plongée ou la marche, mais l’effort est-il aussi intense et l’autonomie aussi complète ? Et à part la marche, leur pratique ne s’avère généralement pas aussi aisée que celle d’enfourcher une bicyclette pour une petite balade, une randonnée, une cyclo-sportive, une course ou une cyclo-découverte. Le qualificatif n’a strictement aucune importance par rapport au plaisir ressenti ; ce qui les rapproche - ce qui me séduit dans le vélo - étant, à mon sens, beaucoup plus fort que ce qui les sépare.

 

 

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J'aime me "mettre le compte" aussi.

J'aime quand je n'ai pas envie de sortir et qu'en revenant je me sens mieux.

J'aime être face à moi même pour le paysage et pour les obstacles à franchir.

J'aime savoir que j'ai ça dans ma vie.

J'aime la sensation d'euphorie après une sortie où je me suis déchiré.

J'aime rouler en groupe pour la dynamique qui m'emporte.

Et j'aime surtout être en forme, avoir la patate et faire dix ans de moins 😃

 

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J'aime le vélo parce que c'est un formidable moyen de combiner exercice physique et exploration de la région voire plus, parce que je me sens bien et vivante sur mon vélo, parce que c'est autant d'occasion de partage avec d'autres personnes avant pendant ou après, parce qu'il m'a donné l'occasion de vivre des moments inoubliables.

En cas de souci de santé, la reprise du vélo est un truc complètement salvateur, à un point que les médecins ne peuvent même pas imaginer. C'est comme quitter un costume de malade pour ré-enfiler sa propre identité.

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la pratique du vélo,c'est tout d'abord "l'évasion".. et quand on pratique seul,cela peut devenir également des moments de grande sérénité,voire même de méditation,certains la pratique assise,d'autres en marchant,mais on peut méditer en pédalant ..

et puis la pratique du vélo,c'est prendre soin de son corps,puisqu'il est reconnu que c'est un anti diabète,hypertension artérielle et mauvais cholestérol ..

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Beaucoup de masos ici.

Je fais du vélo pour faire de l'exercice. Je fais du vélo pour me promener également. Je n'en fais pas pour souffrir mais je suis quand même hs après certaines sorties.

Vu mes genoux, il me reste 2 possibilités pour faire de l'exercice, la natation et le vélo.

J'en abuse pas car il y a pas que cela dans la vie, mais faut que j'arrive quand même à en faire un peu plus.

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En vrac, ma réponse:

Le vélo ne paye pas de taxe ni de vignette ni d'assurance.

Il ne fait pas de bruit ni de CO/CO2 ni de NOX.

Il ne faut pas de permis.

A 50 ans passés j'ai toujours le même plaisir à rouler que quand j'avais 15 ans.

C'est tellement beau de rouler sur une petite route de campagne au coucher de soleil en été, de monter ou descendre un col, de se faire une balade en montagne en VTT.

C'est super cool de faire une balade entre amis ou en famille et de découvrir de nouveaux paysages, de nouveaux endroits. Le vélo c'est un sport de découverte.

C'est aussi un sport mécanique avec le plaisir du pilotage, de la gestion des trajectoires en descente, des freinages, du passage d'obstacles en VTT.

C'est la plaisir de se faire une descente casse gueule et boueuse en VTT et de ne pas tomber.

Les vélos et VTT sont de très belles machines, avec des caractères très différents, conçus pour des utlisations très différentes.

Rouler, c'est bouger, c'est vivre!

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J’aime le vélo car je suis l’homme le plus heureux dessus, je le relance sur les route comme il me relance dans la vie, c est une culture pour moi , une façon de vivre , une philosophie face aux emmerdes, quand je reviens d’une sortie même le mauvais temps ne peux m’enlever ce bonheur car pour moi toutes les sorties sont de bon souvenirs mêmes les plus mauvais. Bonne route à tous.

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je roule et je courre ,pour tous les bienfait que ca appporte................physiques et mentaux......meilleure qualité de sommeil egalement........mais aussi pour le plaisir que j'ai a me retrouver avec des potes pour rigoler , autre part que derriere un pilier de bar a siffler des bieres..........

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Le vélo, c'est la liberté. Un des premiers moments de liberté lors de l'enfance est lorsqu'on prend son vélo pour quitter son domicile et ses parents.

Le vélo, c'est la santé. On travaille son système vasculaire, respiratoire

Le vélo, c'est un super moyen de locomotion écologique.

Le vélo, c'est la découverte de nouveaux lieux et évoluer dans de merveilleux paysages.

Le vélo, c'est se faire du bien à la tête, lorsqu'on pédale on oublie tout

Le vélo en compétition, c'est un bonheur absolu de se mesurer à d'autres et à soi même, d'éprouver des sensations uniques.

Bref, le vélo devrait être remboursé par la sécurité sociale.

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Après trois mois à rouler tout seul je vais retrouver, cette semaine, les potes du club, c'est aussi ça le vélo, la convivialité, rouler, discuter, s'arrêter pour se restaurer ou satisfaire un besoin naturel, prendre une pause après s'être tiré la bourre.

C'est aussi contempler des paysages sublimes dans nos belles régions de France.

Rouler, lors des Semaines Fédérales, avec plusieurs milliers de personnes qui pratiquent la même passion de la bicyclette, ou faire des cyclosportives avec un autre état d'esprit mais avec autant de plaisir qu'en étant contemplatif...

Le vélo est un excellent producteur de dopamine, il permet de muscler son cœur, évitant ainsi quelques problèmes de santé, il devrait être reconnu d'utilité publique.

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