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Les larmes de Mathieu Van der Poel


Michel ROTH
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A partir du moment où un moyen de dopage est utilisé par tous peu importe qu'il soit efficace, très efficace ou très très efficace, l'égalité dans l'usage est établie. Fignon et ses amphétamines face à Armstrong et son EPO n'aurait pas tenu le coup, mais face à Fignon ils étaient aussi aux amphets et face à Armstrong ils étaient aussi à l'EPO. On est propre ou chaudière dans son époque non dans le futur ou le passé, Fignon était une chaudière à son époque, c'est tout ce qui importe.
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Et avoir la grippe, c'est aussi grave que d'avoir la peste ? J'avais oublié l'espace d'un instant que la nuance et toi, ça fait deux… la preuve avec tes analogies boiteuses.

Si pour toi «dopé» égale «chaudière», tu as raison c'était une chaudière. Seulement voilà, le milieu cycliste donne une autre définition au terme de chaudière que la tienne. Il fait la différence entre quelqu'un qui se dope pour des objectifs ciblés et un autre qui ne peut même pas supporter de faire une sortie sans prendre quelque chose. La différence entre Laurent Fignon, semble-t-il, et Philippe Gaumont qui reconnaissait faire partie de la deuxième catégorie dans son autobiographie.

Willy Voet, dans son livre «Massacre à la chaîne» faisait la distinction aussi, entre Lars Michaelsen par exemple («un des moins gourmands que j'ai connus») et un Virenque à qui Madiot avait prédit, en connaisseur : « Toi, mon gars, tu finiras chaudière ! »…

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