Aller au contenu

Tour des Flandres challenge


Patrick GOUSSAULT
 Share

Messages recommandés

Lors de mes sept participations, j'ai toujours utilisé 34x28 pour grimper les monts pavés les plus raides (Mur de Grammont, Molenberg, Taienberg, Patersberg), cela permet de garder une certaine réactivité notamment lorsque les cyclistes devant toi t'obligent à ralentir. En ce qui concerne le Koppenberg, il est également utile d'avoir de bonnes chaussures surtout si les pavés sont mouillés et boueux car il y a de grandes chances que tu sois obligé de grimper à pied et ça glisse ...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ça varie tellement selon les niveaux (et les habitudes…) qu'il est difficile de conseiller quoi que ce soit. 

La prudence conseille de se munir des braquets les plus petits que permette ton groupe, quitte à changer de cassette et de plateaux. C'est qu'il y a de sacrés raidards, et le fait que certains soient pavés ne fait qu'accentuer la sensation de pente.

Pour ma part, je suis un habitué des braquets de type VTT, et mon braquet minimal sur mon vélo de route est 26/34. Je n'ai jamais fait le Tour des Flandres cyclo (trop de monde à mon goût sur ces petites routes) mais je connais fort bien l'endroit et je fais bien usage de ce 26/34 dans le Paterberg, le Koppenberg et le mur de Grammont, qui fera peut-être aussi partie de ton parcours.

Avec un 34/28, moi je ferais marche arrière dans le Koppenberg… 😃

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

"Avec un 34/28, moi je ferais marche arrière dans le Koppenberg…"

Pas dit, avec un gros braquet tu rebondis moins, je mets 39/25 et çà passe plutôt si on ne se laisse pas impressionner par les mouvements latéraux de la roue avant. Le Koppenberg c'est avant tout une partie de poker psychologique entre lui et toi et il ne faut pas se laisser impressionner.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pour toi oui, ça passe, pour moi vraiment pas sûr, et si oui je serais bon à ramasser à la cuillère au sommet. Pour donner une idée de ma «force»: bien plus jeune et avec un bien meilleur niveau, j'ai grimpé la Bastille de Grenoble avec 30/26 (34/29 grosso modo) et j'ai mis deux fois pied à terre.

D'autre part, je ne suis pas convaincu du tout qu'il faille mettre plus gros que d'habitude sur les secteurs pavés, en pente ou non, quand je vois les cadences des pros dans les secteurs pavés actuellement.

Et puis, doubler sur mon tout petit braquet des cyclistes en travers dans le Paterberg et le Koppenberg, et d'autres devenus des piétons poussant leurs vélos, ça fait partie de mes petits plaisirs cyclistes. 🆒

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Tu oublies le Muur qui est revenu au programme de la course pro l'année dernière et qui est peut-être sur le parcours médian des cyclotouristes cette année (à vérifier). Ne me dis pas que tu restes sur le grand plateau là aussi ? 😲

Ce qui est amusant c'est que là où tu passes généralement avec le 39, moi c'est avec le 26, et là où tu mets le 53, moi c'est le 38.

Sauf dans le Vieux Kwaremont, moi c'est le 26/26, 26/30 dans la première partie, puis je passe (sans problème) sur le plateau médian de 38 sur la partie intermédiaire et selon la forme j'y reste ou je repasse sur le 26 en partie finale.

Bref, ne jamais dire que tel ou tel braquet est suffisant sans savoir quel est le niveau de force du cycliste à qui on s'adresse. La force, c'est largement inné. S'agissant de moi, n'avoir qu'un 39 à l'avant aurait été le meilleur moyen de me dégoûter à vie des Ardennes flamandes. Sans parler de la montagne. 😬

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

La force, c'est largement inné

Comme la PMA, l'explosivité, etc.

L'entraînement permet d'exploiter au mieux ses potentialités, mais il ne peut révéler des qualités inexistantes au départ.

Ce qui pose la question des compétitions. Je pense que la course, quel qu'en soit le niveau, crée un climat favorable au dépassement de soi, mais le seul mérite ne fait pas le champion...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonsoir tout le monde, (et meilleurs voeux pour la Nouvelle Année);

J'ai hâte de découvrir les routes,les pavés et les Monts de ce Tour des Flandres Challenge, je suis inscrit sur le 135 km.

Je ne m'interroge pas sur les braquets (étant des Alpes je n'ai que des cassettes de montagne), mais sur les roues à utiliser : roues carbone 35 mm ou roues alu 21mm ?  Normalement, vu le profil je prendrais plutôt les premières, mais j'ai souvent lu sur ce forum que l'état des routes en Belgique n'était pas top. Alors j'hésite... Que feriez vous ? Merci pour vos conseils et avis...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je n'oserais jamais me risquer sur les pavés avec des roues carbone, mais j'en vois régulièrement qui le font, alors… Peut-être sont-ils inconscients, ou connaissent-ils bien leur matos et ses limites.

Je suppose que cela dépend de la conception de tes roues carbone. Sont-elles conçues pour être robustes, ou seulement légères et aérodynamiques ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Merci pour la réponse... En fait elles sont assez costaudes, elles n’ont de limitations quant au poids du cycliste qu’elles doivent porter...

Pour les sections pavées, je n’arrive pas à m’imaginer à quoi elles ressemblent : chemin de charettes à l’ancienne type Paris Roubaix ou pavés plus civilisés, avec de bonnes jointures..

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les vibrations des pavés accentuent le poids du cycliste sur les roues, donc ce que tu dis ne plaide pas en faveur de tes roues en carbone…

Pour ce qui est de l'état des pavés sur les secteurs que tu vas emprunter, c'est variable, et quelque part entre les deux extrêmes que tu cites : ce n'est jamais aussi catastrophique que dans la tranchée d'Aremberg de Paris-Roubaix par exemple, mais la plupart ne sont pas agréables à passer pour autant.

Ainsi les pavés du Koppenberg ou du Vieux Kwaremont sont assez rudes, tandis que les pavés du Paterberg sont «potables».

Le pire que je connaisse dans le coin est un secteur relativement plat appelé «Holleweg» (gros pavés irréguliers) du côté de Volkegem (Audenarde) mais je ne sais pas s'il fait partie du parcours cette année.

Veille aussi à la section de tes pneumatiques : du 28 ne serait probablement pas du luxe, surtout que tu débutes sur ce genre de revêtement. Certains passent ces pavés sur du 23 (moi sur du 25), mais ils sont aguerris pour la plupart.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Sage décision Olivier. Le problème avec les roues carbones ce n'est pas tant leur fragilité supposée aux vibrations mais plutôt aux chocs directs avec les matériaux des chemins. Je m'explique : dans le Vieux Kwaremont par exemple il y a des pavés assez disjoints. il est fréquent que malgré la largeur du pneu, la roue tombe dans le fond du joint.

Les jante carbones modernes sont très larges (parfois 28mm et +), parfois plus que le pneu! Dans ce cas un contact latéral de la jante avec le pavé est possible. Et si tu as des roues carbones un éclat peut arriver facilement! En fait il faut des pneus/boyaux sensiblement plus larges que leurs jantes.

Je m'étais fait la réflexion il y a quelques années, ma roue tombait régulièrement dans ces joints malgré mon pneu qui approchait les 25mm de large.

Les pros utilisent des jantes carbones mais avec des boyaux très larges pour ces courses.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je m'étais fait la réflexion il y a quelques années, ma roue tombait régulièrement dans ces joints malgré mon pneu qui approchait les 25mm de large.

Il y a une dizaine d'années j'ai fait un joli soleil avec mon vélo alors que je passais un secteur pavé du côté de Grimbergen, au nord de Bruxelles : mon pneu avant s'était coincé entre deux pavés disjoints… J'avais des pneus de 23 à l'époque. D'où l'utilité des pneus de forte section sur ce type de revêtement !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 Share





×
×
  • Créer...