Les dossards de l’Etape du Tour étaient à retirer à l’altiport de Megève, au centre du village-partenaires. Ici Fabienne et son équipe : une (toute) petite partie des 350 bénévoles mobilisés par Megève.

Le pointage des enveloppes coureurs pour le cadeau-coureur est toujours assuré par les Megévans et toutes les associations Megévanes sollicitées.

Le retrait des sacs cadeaux est organisé dans la foulée, toujours par les Megévans.

La salle de presse est installée à Megève, dans le village, puis réinstallée à Morzine. Elle est pilotée par les équipes ASO et son partenaire Mille et une Vagues. Trente-trois journalistes et photographes représentant vingt-trois médias de sept nationalités différentes étaient accrédités. Cinq motos presse étaient également à disposition

Collector : la voiture d’assistance Mavic des années 70, une Peugeot 504, avec les vélos, les roues, les composants Mavic. 45 ans, c’est au milieu des années 70 que Mavic a mis en place l’assistance neutre. 35 c’est le nombre de collaborateurs Mavic qui étaient sur le vélo pour l’Etape du Tour.

Le stand options d’assurances complémentaires est utile pour ceux qui en ont souscrit. Il est installé près des inscriptions. Le poste est assuré par ASO.

Le poste d’assistance Shimano est situé au coeur du village. Cinq techniciens ont été mobilisés pour une centaine d’interventions. Beaucoup d’étrangers s’y présentent en raison des pépins liés au transport. Les mécaniciens sont mis à rude épreuve pour changer les cassettes peu adaptées à la montagne ou les pièces d’usure… très usées.

Une partie des véhicules du dispositif médical, piloté par Dok’ever. Au total, quatre postes de secours et deux hélicoptères assurent le service.

Dès 5 heures, le contrôle est mis en place. Les bénévoles sont parmi les 350 personnes que Megève a mobilisées. Certains pour un jour d’autres pour deux et plus encore. SAS 0 : n’entre pas qui veut. Seuls les dossards entre 1 et 999, ou munis d’une pastille spéciale.

Il est 5h30. Les motards se mettent en place. Ils sont 75 au total qui peuvent véhiculer photographes, journalistes, voire moyens de secours. Les motards sont toujours passionnés et la plupart sont issus d’associations fédératives.

Il est 6 heures. Le départ est donné dans une heure. Les fils pour le chrono sont bien protégés. Ici vont passer plus de 11 000 coureurs et la puce au dos de leur plaque de guidon va déclencher le chrono.

Kilomètre 18, La Giettaz. On est à peine à mi-col des Aravis, et voilà le premier ravitaillement liquide. Au total 52 400 litres de Vittel, 11 700 litres de Perrier et 13 000 litres de boisson Isostar seront distribués.

Le chronométrage du final du col des Aravis. Chacune des trois difficultés (Aravis, Colombière et Joux-Plane) était chronométrée et un KOM déterminé.

Kilomètre 30. Premier ravitaillement solide à La Clusaz, au bas des Aravis. Il est 10 heures pour les derniers partis. L’heure d’attaquer le consistant. Au choix: 11 tonnes de bananes de Guadeloupe et de Martinique, 19 000 barres Isostar, 32 800 (excellentes) pâtes de fruits, 27 000 gels Isostar, 3,4 tonnes d’oranges, 1,7 tonne de pommes, 750 kilos de fruits secs, 500 kilos de biscuits salés, 160 kilos d’amandes, 66 500 tranches de pain d’épice, 54 000 morceaux de sucre, 27 000 tranches de pain, 27 000 barres de céréales, 22 000 madeleines Saint-Michel, 15 000 compotes en gourde, 12500 paquets de chips et 12 500 petits pains. On garde le meilleur pour la fin (ou la faim, c’est selon) : 1 tonne de fromage, dont 250 kilos de reblochon. Les coureurs étrangers ont de la chance. Ils peuvent découvrir les fromages locaux, après avoir croisé les vaches dont le lait est utilisé pour ces fromages. Tout ça au grand air des montagnes et de la Savoie. Elle est pas belle la vie ?