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Patrice DUCOURTIOUX

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Tout ce qui a été posté par Patrice DUCOURTIOUX

  1. Pour ma part je n'ai jamais bu d'alcool par contre je suis bien copain avec le chocolat 😄
  2. J'ai été sujet à ce genre de migraines quand j'étais ados, cela commençait avec un point noir qui obscurcissait le centre de ma vision, je savais je le mal de crâne suivrait inévitablement, un mal tel que je n'arrivais même plus à penser de façon cohérente, je n'était plus en mesure de constituer des mots car je ne savais plus comment assembler les phonèmes, je m'enfermais alors dans le noir en attendant que ça passe. Les crises se sont arrêtées quand j'ai changé de région et d'environnement familiale (je ne sais pas si il y a une cause à effet). J'ai également suivit un traitement avec un médicament qui s'appelait "séglor retard", je n'ai plus jamais eu de migraine, et j'en suis très heureux d'autant plus que même un simple mal de tête est très rare chez moi.
  3. Comme d'autres je ne peux que comprendre la décision de retirer la ramaz du parcourt, ce que je comprends moins c'est l'arrêt du chrono en haut de joue plane, là c'est de l'amateurisme de 1er niveau, il ne fallait pas être bien futé pour voir que la descente à l'arrivée de l'EDT était risquée , c'est la première remarque que j'ai faite quand j'ai vu le tracé alors que je ne suis pas organisateur. J'ai une pensée pour tous ceux qui ont fait des stages, payé des locations hors de prix et posé des congés pour faire une boucle que nombreux sont ceux qui font la même chose quasiment tous les week-end. Ce sera ma dernière EDT, je continuerai à faire des cyclo de la région, elles sont nombreuses PACA
  4. Je ne voudrais pas jouer les rabat-joie mais le sujet initiale c'est la cyclosportive de 170km des boucles du verdon, pas les circuits potentiels faisables dans le verdon si jamais je viens en vacances avec des potes et que l'on se donne RDV au café du commerce pour discuter de nos expériences respectives dans la culture de la patate en milieux hostile :-)
  5. Je reviens sur cette cyclo après être tombé sur le résumé qui en est fait sur velo101 ici http://www.velo101.com/cyclosport/article/compterendu-des-boucles-du-verdon--12503 En effet, je suis étonné de voir que personne n'ai relevé (sans jeu de mot) les écart entre de dénivelé annoncé (2400m de D+) et le dénivelé réel (3100m de D+) soit 30% d'erreur volontaire qu'un des organisateur m'a résumé ainsi, je cite : "si nous annoncions le vrai dénivelé, nous aurions beaucoup moins d'inscrit"! Quant à l'article qui indique avoir relever un dénivelé de 3400m alors que, d'après le rédacteur, le dénivelé annoncé était de soit disant de 2800m, je me permettrais de faire remarqué que nous n'avons pas dû lire le même papier ni le même site internet car c'est bien 2400m qui est annoncés sur le site de l'épreuve et sur le bulletin d'inscription (vérifiable ici http://www.bouclesduverdon.fr/wp-content/uploads/2015/03/BOUCLES-VERDON-A4-br-25_02_15-en.pdf) Pour ma part ça, bien qu'en petite forme ce jour là,ça ne m'a pas beaucoup gêné, j'ai fait mon petit 27 de moyenne mais pour nombres de personnes, 700m de plus peut transformer une épreuve en calvaire. Par ailleurs, concernant les ravitaillements : - le premier est placé à 35Km du départ, personne ne s'arrête - Le second (à 88km du départ) ou, alors que nous sommes dans le 1er tier du peloton, ils se rendent compte qu'il n'y aura jamais assez d'eau pour tout le monde! - le troisième à 15km de l'arrivée (plus très utile) qui a été laissé à cet endroit car, bien que le tracé de la course ai changé, il n'ont pas pensé à changer l'emplacement du ravitaillement. Bon heureusement, le verdon ça reste le verdon et encore merci à la ville de Gréoux les bains ou je reviendrai certainement à d'autres moment (il parait qu'un des restaurants vaut le détour et c'est un bon point de départ pour le vélo). Un grand merci également aux bénévoles, toujours aussi gentils et serviables.
  6. Bonjour, je suppose que j'arrive un peu tard, toutefois il faudrait savoir quel est le modèle dont vous disposez car pour certains vélo c'est un problème de patin à changer et pour d'autres c'est le câble qui règle la distance de l'aimant qui est déréglé. Cordialement Patrice
  7. J'utilise également plusieurs marques de cuissards 2 Specialized (moyen), 2 Adlo (Très bien) 2 Asos (Très bien) plus deux cuissard de club. Seul les plus ancien de mes deux cuissards rouges F1 mille Assos devient grisâtre, le second suivra probablement. Je suis complètement d'accord avec Stéphane, si un produit ou service n'est pas bon autant le faire savoir aux autres acheteurs. Ici, je mets un bémol car le produit reste excellent seul l'aspect est discutable mais étant donné le prix, c'est inexcusable.
  8. Pour info, la semelle specialized n'a rien apportée, par contre j'ai consulté un podologue qui a essayé de me placer une petit cale en mousse derrière l'articulation des orteils sous la voûte plantaire car il semblerait que j'ai un affaissement de la voûte trop important sur les appuis de mon pied droit (celui qui pose problème), ça a arranger pas mal les choses. J'ai eu l'occasion de teste les semelles thermoformables de shimano, ça avait l'air pas mal, je vais en acquérir une paire pour voir. Il est vrai que s'arrêter quelques minutes fonctionne aussi mais en pleine cyclosportive ça met les boules 🙄
  9. J'ai repris le vélo en 2008, j'ai franchi pas mal de cols autour de chez moi, pour les autres je suis bien en peine de m'en rappeler les noms sauf les deux derniers puisque c'étaient ceux de l'étape du tour dimanche dernier 😄 Une brève liste des principaux : Agniel La bonnette La Cayolle Allos Deschamps Colombis (ce n'est pas vraiment un col mais ça monte raide) Bayard Le noyer Manse Perty Macuene St Jean Garcinets Molière Izoard Festre Sentinelle Montgenèvre L'échelle Sestrière Lebraut Moissière ....
  10. Mon compte rendu également : Voilà !, c'est terminé, l'étape du tour 2014 est derrière nous et son cortège de souvenir aussi. C'était un moment fort dans lequel la météo, très capricieuse, a joué un rôle important et aura marqué autant les corps que les esprits. Nous sommes 7 venus de Gap, Bruno, Bernard, Thierry, Christian, Luigi, Elisabeth et moi, le trajet a été un peu long (725Km) mais nous arrivons à bon port le Vendredi soir et prenons nos quartiers à Pau dans l'Hôtel "Le postillon" dont la propriétaire est très sympathique et est aux petits soins pour nous. L’avantage numéro un de cet hôtel est qu’il est situé sur la place ou aura lieu le départ de la course dimanche matin, c’est un plus indéniable dans notre organisation. Après une nuit passée dans la moiteur Paloise, nous chargeons les vélos sur la remorque afin d'aller déposer le fourgon et la remorque à Argelès-Gazost qui sera le point de ralliement des participants à l'étape du tour. Une fois le véhicule déposé, nous enfourchons nos vélos pour un petit décrassage de 56Km relativement plats afin de retourner à l’hôtel. Une partie de notre samedi après-midi se passe au "village du tour", ou exposent les différents sponsors et dans laquelle nous croisons quelques merveilles comme ce vélo de marque trek d'un poids de 4.8Kg ! Depuis plusieurs jours notre attention est très orientée vers les prévisions météo, elles ne sont pas bonnes et je dois avouer que prendre le départ d'une telle course sous la pluie et les orages ne motive personne aussi sommes-nous plutôt heureux de voir les prévisions annoncer une probabilité de pluie très faible pour le lendemain matin. Jour J, debout à 5H15 afin de prendre le petit déjeuner suffisamment avant le départ de la course qui aura lieu pour certains d'entre nous à 7H08 minutes et pour d'autres à 8h12mn, la raison en incombe à un départ organisé en 13 sas de 1000 coureurs lâchés 1000 par 1000 toutes les 8 minutes. Je pars avec Luigi et Elisabeth dans le sas 6 à 7h48, Bruno et Bernard, qui étaient dans le sas 1, sont déjà loin, Thierry et Christian devront attendre 8h12 pour partir. Dans une telle masse, il est presque impossible de ne pas perdre de vue ses amis aussi je me fais une raison et me concentre sur ma conduite et mon cardio-fréquencemètre afin de me conformer à ma feuille de route, en effet ne connaissant pas du tout les cols qui nous attendent j'avais décidé de partir sur un rythme prudent durant les deux premières heures jusqu'au pied du col du Tourmalet pour ne pas me « griller » avant les vraies difficultés. Au grès des kilomètres qui s'écoulent et des centaines de cyclistes que je dépasse, je réalise que je vis quelque chose de particulier, pour concevoir ce que représente une file ininterrompue de cyclistes qui s’étale sur près de 55km il faut avoir vécu une étape du tour. Ce sera une des images forte de cette journée, les autres restent à venir. Ca y est, la pluie c'est invitée à Sainte Marie de Campan, au pied du col du Tourmalet, je ne mets pas ma veste anti pluie car j'aurais dès lors trop chaud, je supporte donc stoïquement la pluie et monte au rythme que j'avais décidé avant la course. C'est en passant sous un pare avalanche qu'il me semble reconnaitre la respiration si caractéristique de Luigi quelque part derrière moi, quelques minutes plus tard j'entends quelqu'un m'interpeller "Alors, pas de jambe pas de chocolat?", c'était bien Luigi qui m'avait retrouvé, ne faisons le reste de du col ensemble, je suis heureux d’avoir retrouvé un compagnon. Plus nous montons, plus la température descend, il pleut toujours, c'est dans les deux derniers kilomètre que je prends vraiment conscience de la vapeur d'eau qui s'échappe de ma bouche et qui annonce une descente que je pense alors revigorante. Arrivé au col du Tourmalet, je m'arrête afin de remplir ma gourde, me restaurer rapidement et mettre ma veste, on m'annonce qu'il fait 4 degrés, Luigi décide de ne pas m’attendre, il pense que je vais le reprendre dans la descente. Dès les premiers mètres je sais qu’il ne sera pas question d'attaquer dans la descente, au-delà de la pluie, c’est le froid qui réduit mes ardeurs, je suis transi et mes membres très contractés, au point de ne plus savoir si je serre bien mes freins, il me faut faire attention car mon guidon se met à louvoyer à cause de mes bras, raides comme des bouts de bois. Je force ma respiration pour essayer de mes détendre mais rien n’y fait. Parfois, je croise un camion de sécurité qui vient au secours d’un concurrent qui a chuté mais aussi certains concurrents qui préfèrent remonter le Col pour abandonner plutôt que d’affronter ces conditions Dantesques. Pour ma part je ne sens plus mes pieds et la base de mon cou me fait un mal de chien mais pas question de rendre les armes pour autant. La température remonte peu à peu mais la route est toujours mouillée et mes membres tétanisés, je décide de faire un arrêt rapide au ravitaillement de Esquièze-Sère pour me décontracter les épaules, à peine me suis-je arrêter qu’un concurrent probablement un peu trop fatigué ou optimiste tombe à grande vitesse et glisse sur plusieurs mètres au milieu de la chaussée, je crois que j’ai bien fait de m’arrêter quelques minutes. Enfin une partie roulante ou l’on peut pédaler, le sang circule à nouveau, les muscles tentent de se remettre en action, j’essaie de me réchauffer en dépensant de l’énergie et en produisant de la chaleur par la même occasion. Ça marche, je pars en chasse d’un groupe que j’ai aperçu au loin, je ne tarde pas à les reprendre et me fait moi-même reprendre par trois coureurs dont je regarde rapidement le numéro de dossard, le dossard du meneur est dans le sas 10, ils sont censés être partis 24 minutes après moi, ils roulent bien, je me mets avec eux, les relais s’organisent, nous menons bon train jusqu’au pied de la montée de Hautacam, à partir de maintenant, c’est chacun pour soi et dieu pour tous. Au premier virage qui annonce pour de bon la montée vers la station de Hautacam, un début de crampe se fait sentir à l’intérieur de ma cuisse gauche, je prie pour que ça ne se développe pas car il me reste 14km et surtout près de 1100m de dénivelé positif à effectuer, je bois donc un maximum, m’étire debout sur mon vélo et mange à nouveau une barre. Les conditions météo du Tourmalet ont entamé le physique, il me faudra monter à l’économie, impossible de faire le malin face à la pente qui ne se repose quasiment jamais, au mieux elle sera de 6% au pire de plus de 14%. Comme beaucoup, je suis dans le dur, ma fréquence de pédalage est déplorable mais j’avance toujours en surveillant mon cardio-fréquencemètre, c’est ma ligne de vie et ma meilleur information concernant mon état. Au 7ème kilomètre je décide d’enlever ma veste de pluie et de recharger ma gourde au ravitaillement, on m’annonce qu’il reste environ 50 minutes avant d’arriver au bout, j’espère faire mieux car ce serait au-delà des estimations que j’avais pu envisager. Certaines portions sont vraiment difficiles, j’y double les premières personnes qui préfèrent continuer momentanément à pied, il est vrai que les muscles ont été mis à rude épreuve avec le froid et la pluie, j’espère ne pas en arriver là. Les kilomètres s’égrènent au grès des panneaux qui annoncent le pourcentage du prochain kilomètre, parfois j’ai des doutes sur la véracité de ce qui est affiché mais ça ne changera rien alors j’attends avec impatience le panneau suivant. Je passe enfin sous l’arche annonçant le dernier kilomètre, il est temps d’essayer de gagner quelques place, mais en suis-capable ? J’accélère peu à peu le rythme, je fais 2 ou 3 cents mètres quand un nouveau panneau annonce le dernier kilomètre, j’ai la sensation d’avoir été grugé mais ce n’est pas grave, 1 kilomètre c’est vite abattu surtout que le pourcentage s’adouci, je continu donc mon accélération et termine quasiment au sprint les 300 derniers mètres au grand dam de certains concurrents qui tentent de se mettre dans ma roue pour me reprendre, que m’importe je passe sous l’arche d’arrivée après 6h et 39mn d’effort pour affronter ces 148Km et 3600m de dénivelé positif, c’était dur mais c’était beau et quelle aventure ! Je tiens à remercier mes deux clubs, le CSLG (centre de loisir et sportif de la gendarmerie) pour la logistique mis à notre disposition et la sympathie de ses membres, le PJPC (Pas de jambes pas de chocolat) pour l’énergie déployée par Rémi Fabrègue à fédérer et organiser les activités cyclistes des jeunes et des moins jeunes à Gap.
  11. Bonjour, je possède les neutron et les shamals, j'ai acheté ces dernières pour le rendement et le côté tubuless que j'apprécie particulièrement en VTT. Pour répondre à votre question, oui, les pneus sont casse pieds à monter, plus encore que les gp 4000S que je montais sur les neutrons. Dans un premier temps j'ai monté les shamals avec des pneus fusion 3 puis depuis peu avec des schwalbes one tubeless car mon fusion n'a tenu que 2000km bien que gonflé à 7.5Kg pour un poids me concernant de 78Kg, jamais les gp4000S n'ont duré aussi peu. Autre paramètre à prendre en considération, le changement de comportement du vélo en descente, je vélo devient beaucoup plus vif, trop vif même pour moi qui suis plutôt un bon descendeur, j'attends de changer le pneu avant pour vérifier si le pneu y est pour beaucoup ou si c'est seulement la jante. Bonne soirée
  12. Le choix de la période est clairement préjudiciable à cette cyclo, toutefois nous sommes loin du niveau d'organisation d'une course telle que la Drômoise par ex. mais finalement ne sommes nous pas là essentiellement pour l'extraordinaire parcours ?
  13. Bonjour à tous, je me permets d'ouvrir cette discussion car, après avoir lu celui disponible en page d'accueil de vélo101(http://www.velo101.com/cyclosport/article/compterendu-de-lalpigap--8477), je suis resté sur les fesses tellement celui-ci est faux. AU départ le temps est incertain voir menaçant, mais la chance étant de notre côté, nous n'avons droit qu'à quelques goûtes 10 Km après le départ, certainement pas les trombes d'eau décrites par le pseudo compte rendu. tout le parcourt s'est déroulé avec une météo très agréable pour ce genre d'épreuve, pas trop chaud, pas trop froide et pas de vent. Il semblerait que le parcourt long au eu de la pluie sur la montée du col de manse, vers la fin de l'épreuve, pour ma part j'étais sur le 116km et ma femme sur le 80km. Je m'étonne encore que le rédacteur face référence à, je cite, "c'est la troisième année consécutive que la météo nous joue ce tour", l'année dernière le temps était magnifique avec des températures oscillant entre 17 et 28 degrés, je présume que le rédacteur doit faire ces comptes rendus d'après une webcam située sous une cascade😄 Une dernière chose, la remise des prix a eu lieux aux alentours de 16H et non à 13H00 comme le dit l'article, encore une preuve que le rédacteur ne devait surement pas être là ce jour là. à sa décharge, il a bel et bien plu à la fin de la remise des prix, vers 17H00.
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