Emmanuel LIEUTIER1639476531

Non aucune inscription pour l’instant. Je verrai le niveau de forme aux beaux jours.

Salut Cédric, Cette année pas de cyclo prévue. Par manque de temps j'ai pas mal levé le pied. Je roule uniquement pour le plaisir avec les copains.

Tu peux enchaîner sans problème, il faut juste ne pas en faire trop dans la semaine. J’ai enchaîné 2 ans de suite l’Ardechoise, l’Ariegeoise XXL, la marmotte et l’EDT. En 2016, c’était les 4 week-end d’affilés.

Cette année, les inscriptions seront ouvertes d'abord pour les licenciés FFC du 17/10 au 22/10 puis à partir du 23/10 pour le grand publique. Les 1000 premiers inscrits pourront bénéficier d'un tarif privilégié à 99€ au lieu de 109€.

Pour le moyen de paiement, je ne me rappelle pas s’il y avait un autre choix que la CB. Par contre ton certificat médical ou licence pour être envoyé plus tard.

A aucun moment, je dis que le départ a été retardé, le nom de l'épreuve est dans le titre. Tu en déduiras le nom de l'organisateur... C'était 5 minutes avant le départ de la catégorie 45-49, le speaker nous a tous fait ôter le casque. Sur le moment, j'ai pensé à un cas similaire à Scarponi et me suis dit qu'on en saurait plus. La question n'est pas de savoir si cette minute de silence était justifiée, je me demande juste si j'ai mal entendu ou pourquoi cette info n'apparait pas dans le médias. Alors la question s'adresse surtout à ceux qui étaient présents ou qui ont cette info. Ceux qui savent rien mais qui veulent juste débattre sur l'utilité des minutes de silence, ils peuvent le faire c'est leur droit, mais pas sur qu'un forum sur le cyclisme soit le lieu le plus approprié.

Donc toi, si je comprends bien; lorsqu'on te demande de respecter une minute de silence lors d'un rassemblement sportif ou autres pour quelqu'un que tu ne connais pas ou que tu n'as pas très bien entendu son nom, et bien tu ne fait pas comme la grande majorité. Et bien moi désolé, je n'ai pas eu la même éducation et je respecte. Et je peux, à posteriori, me renseigner...

Donc toi, si je comprends bien; lorsqu'on te demande de respecter une minute de silence lors d'un rassemblement sportif ou autres pour quelqu'un que tu ne connais pas ou que tu n'as pas très bien entendu son nom, et bien tu ne fait pas comme la grande majorité. Et bien moi je n'ai pas eu la même éducation et je respecte. Et je peux, à posteriori, me renseigner...

Juste avant le départ, nous avons effectué une minute de silence pour un coureur pro (Norvégien il me semble) qui est décédé suite à un accident lors d'un entraînement. Je n'ai pas retenu son nom bien qu'il m'est paru familier et je ne vois pas d'infos faisant référence à cet accident. Quelqu'un sait de qui il s'agit ?

Jeune c'est vite dit : 45-49 ans :-)

C'était ma 4e Etape d'affilée : 5h53, 120e scratch et 6e de la catégorie

Si tu as déjà pris le pack photo, il faut que tu te connectes sur le site sporgraf avec ton adresse mail et ton numéro de commande. Si tu ne l'a pas, réclame le à ASO. Tu pourras télécharger toutes tes photos (en basse définition dans un premier temps puis en haute résolution dans quelques jours)

Merci :-)

Je confirme, 39 km/h de moyenne après 100 km et 35 km/h au pied de l'Izoard. Je termine à un peu moins de 31 ce qui sera de loin mon Etape du tour la plus rapide. Jeudi, les premiers vont finir à plus de 40 km/h.

Sans le vouloir j'ai eu la bonne idée d'intégrer le sas dans le sens inverse des autres. Je me suis garé en centre ville juste à côté du passage à niveau à l'entrée du village. Du coup j'ai du remonter tous les sas jusqu'au 0 en roulant sur le trottoir. Sur le coup je me suis dit que j'avais loupé la bonne route...

Et bien non justement, en faisant au temps réel, l'effet pervers c'est que certains partent volontairement de derrière et rejoignent la tête sur la partie plate. Après tu peux finir en dernière position de ton groupe et c'est toi qui est le mieux classé. Inutile de faire le sprint. Cette année, sur un des parcours de l'ardéchoise, c'est ce qu'il s'est passé. Au final le vainqueur à plus d'une minutes d'avance alors qu'il arrive dans un petit groupe.

Si les temps du sas 0 sont tous calculés sur 7h, c'est pour que celui qui franchit la ligne le premier et celui qui gagne la course. Pour la lisibilité, c'est beaucoup mieux. A l'ardéchoise qui fonctionne avec le temps de franchissement de la ligne, c'est moins clair. Tu passe la ligne avec un autre et il y a 1mn d'écart au final. Quand tu le sais, si te veux faire un bon classement, tu te lèves un peu plus tôt et tu n'arrives pas derniers dans ton sas. En plus en arrivant plus tôt, tu finis toujours par te taper une petite discussion avec d'autres concurrents et c'est plutôt sympa.

Je viens d'appeler l'office du tourisme de la Meije et ils m'ont confirmé l'ouverture du tunnel le 13 juillet...

Et les cimetières

Tu t'arrêtes à tous les ravitos ? Perso, je m'arrête le moins possible, ça me casse le rythme surtout au bas d'une montée. Pour la Marmotte, je me suis arrêté en haut du Galibier pour faire le plein d'eau et sur l'Ariegeoise XXL, je ne me suis pas arrêté du tout, j'ai tout fait avec 2 bidons. L'idéal serait d'avoir une assistance qui passe les bidons en roulant, car pour manger mes poches sont suffisantes en dessous de 200 km.

Non, maxi 10 personnes arrêtés au ravito. C'est l'avantage de partir dans les premiers. Au sommet du Galibier on été 2 et c'est une gentille dame qui m'a rempli les bidons pendant que je fouillais dans mes poches pour trouver mes pastilles.

Moi j'avais des gants été et je n'ai pas souffert des mains... Je ne suis pas Danois et j'habite à Perpignan :-)

Allez je m’y colle, Réveil 4h50, je loge à Clavans le bas, je remonte le col de Sarenne pour laisser la voiture à l’Alpe. Tout en conduisant je mange un demi gâteau sport (façon cookies). J’arrive à 5h45, le temps de me préparer et de finir d’équiper le vélo, je dois attaquer la descente vers 6h. A cette heure matinale, il ne fait pas très chaud donc la descente ne se fait pas trop vite. Arrivée à Bourg d’Oisans, il n’y a pas encore grand monde dans le sas prioritaire. Je pose le vélo contre une barrière et j’attends tranquillement en buvant à intervalles réguliers mon ½ litre d’eau. A 7h, le départ est donné, il faut rester concentré car il serait dommage de s’accrocher dans les 15 premiers kilomètres. Enfin les premières rampes du Glandon, au bas l’allure reste contenue, ce qui fera que je ferai les premiers kilomètres avec le groupe de tête, puis ne voulant pas me flinguer de suite, je gère ma montée sans me soucier des premiers. Arrivée au sommet, il y a du brouillard et la chaussé est mouillée. Contrairement aux autres années, j’avais décidé de ne pas m’arrêter au ravito bien que le chronomètre est arrêté. Je voulais essayer d’accrocher le bon wagon pour la vallée, mais vu la température je m’arrête juste pour enfiler le coupe-vent. J’ai des gants court, mais je n’ai pas spécialement froid aux mains, la descente se déroule sans encombre sur un bon rythme malgré la neutralisation. Dans la vallée, on finit par être un groupe d’une vingtaine, dont 3 français. L’allure est soutenue, ce qui fait qu’on y laisse quand même de l’énergie en espérant que cela ne soit pas préjudiciable pour la suite. Au pied du Télégraphe le groupe explose, après 1 ou 2 kilomètres je ne vois plus le membre de la Team Scott vélo 101, je suis avec le seul autre français du groupe qui porte le magnifique maillot du GFNY Ventoux. Mais il finira par décrocher, je fini seul la montée en commençant à rattraper pas mal de monde. Les sensations sont pas mauvaise est à 5 km du sommet, je décide de forcer un peu l’allure. Le temps de la montée sera d’un peu plus de 44’ soit 1’30 minute de moins qu’en 2016. Dans la descente sur Valloire, j’en profite pour me restaurer et boire. Il me reste encore un bidon, je m’arrêterai en haut du Galibier. Passé Valloire, les sensations semblent moins bonnes, j’ai attrapé un point de côté (j’ai dû trop m’enflammer en traversant Valloire avec tous ce monde qui nous acclamé :-) Après Plan Lachat, bizarrement, ça va mieux et je peux aborder la partie la plus belle et la plus difficile dans de meilleures conditions. Passée la stèle de Marco Pantani, je sais que c’est moins difficile, d’autant que cette année le vent est favorable. Je continue à doubler des concurrents, certains sont plantés. Le derniers kilomètres sera plus difficile, je sens les crampes faire leurs apparitions, heureusement ce n’est qu’une alerte et j’arrive au sommet en 1h16, direction le ravito comme prévu. L’arrêt est un peu laborieux, avec le froid renforcé par le vent, j’ai du mal à attraper mes pastilles d’électrolytes dans mes poches, ma lumière arrière ne s’allume pas, on me la remplace, j’enfile le coupe-vent…. L’arrêt aura duré 4’, dans la descente jusqu’au Lautaret, je double 3 ou 4 concurrents et je fais la descente jusqu’au Chambon seul. Pas terrible avec le vent qu’il y a, j’en profite pour boire régulièrement et me restaurer pour que les crampes disparaissent avant l’Alpe. Avant de prendre la route de secours qui surplombe le lac du Chambon, il y a un groupe d’une dizaine qui est revenu, ce n’est pas plus mal pour s’économiser un peu avant le bouquet final. Les premières rampes sont les plus difficiles avec les plus gros pourcentages, comme souvent je mets un peu de temps avant de trouver mon rythme. Je me fais doubler par quelques-uns, puis passé la Garde, il y a un petit répit et je relance un peu l’allure, j’aperçois un concurrent avec le maillot de la Garmin que j’avais récupéré en haut du Galibier, il est à environ 200 m devant et je me donne le chalenge de revenir avant le sommet. J’y arriverai au village d’Huez, je sais qu’il ne reste plus que 5 km et je mets tout ce qu’il me reste. Je parviendrai a en doubler encore quelques-uns qui ont du mal à finir. Passé le dernier virage, je sais qu’il me reste plus qu’une ligne droite de souffrance, sous le tunnel, je remets la plaque, passe les deux derniers concurrents avant de franchir la ligne en 7h07 (temps total) et 6h39 (temps officiel). Ce qui fera un classement de 153e scratch et 37e de la catégorie. Place maintenant à l’étape du tour…

L'année dernière, on est passé par le tunnel du galibier car il y avait eu une coulée de neige dans la nuit. Mais le parcours normal passe bien par le col.

C'est vrai, dans les derniers kilomètres de Goulier c'était plutôt la grimace :-(