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Bodo VOSSHENRICH

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  1. Ah, ex directeur général chez Cofidis. Avec une si haute opinion du sport cycliste. Voyons un peu ce que dit Stéphane Poulhiès, ex coureur chez Cofidis, sur cette formation et son éthique (interview avec direct-vélo du 07.05.15): ...> Le problème, c'est donc Cofidis ?Malheureusement, oui. J'ai découvert une mentalité du vélo que je ne connaissais pas. C'était « marche ou crève ! ». Nous, les équipiers, étions comme des pions. Nous faisions notre travail pour certains leaders et nous n'avions jamais un mot de remerciement de la part des dirigeants. A la fin de l'année, comme on a tout donné pour le collectif, on manque de résultat personnel. Alors, notre contrat n'est pas renouvelé. J'ai été surpris et très déçu en août 2014 lorsque j'ai appris que je n'étais pas conservé dans l'effectif. Juste un « Au revoir ! ». Je ne crois pas avoir entendu « Merci ! ». On pourrait se dire que c'est notre métier, que nous sommes payés pour ça. Mais je pense qu'il faut prendre en compte l'approche mentale de l'individu. Chaque année, il y a la moitié du groupe qui est remanié. Du coup, peut-être que le problème de cette équipe ne vient pas des coureurs... Ah ! Voilà ce que font les donneurs de leçons "à la maison" ! Le "sport noble". Et puis quoi encore ? Hop. Au suivant.
  2. Oui, je viens d'en lire trois, et je n'ai rien lu de positif. Son article sur les cyclosportives, c'est carrément du vomissement haineux.
  3. Ok, avec plaisir, mais ce n'est certainement pas pour tout de suite.
  4. Effectivement, hier, après 2 jours de repos complet, je suis arrivé à 175 (en en chiant grave, sprint en monté au bout de 13 km de CLM). Or, la fréquence moyenne pendant ces 13 km était de 169, donc nettement en dessus de ce qui est sensé être ma fréquence de PMA... Il faudra donc à priori effectivement qu'à un moment, je refasse un teste d'effort en étant bien reposé...
  5. Clinique Larré à Toulouse, avec le Docteur Pillard (un nom pareil, ça ne s'invente pas :-) )
  6. J'ai fait le test d'effort en vélo - mieux même, sur mon propre vélo sur home-trainer spécial, en clinique. Oui effectivement, avec 179, je suis pile "dans les clous". Puis à propos de ce que dit Frédéric, je me suis effectivment fait la même réflexion. Là, j'en suis à 2 jours de repos complet. Je voulais faire le test selon la méthode décrite plus haute aujourd'hui (accélérer en cote, puis sprint en haut), mais peut-être que je vais effectivement me contenter d'une sortie légère et remettre ce test de FC max "maison" à plus tard dans la semaine.
  7. Donc c'est normal que la FC max peut baisser avec une meilleure forme ? Je pensais que la FC max était à peu près immuable, hormis une baisse liée à l'age ?
  8. Je suis perdu ! Pour établir un bon plan d'entrainement, on se base sur les zones de FC, qui découlent de la FC max. Or, je n'arrive pas à connaître la mienne ! J'ai fait un test d'effort en fin d'été dernier, et la valeur trouvée a été de 179. Mais ça pose problème: 1. Le test a été arrêté avant épuisement, et 2. Les VO2max et 2ème seuil ventilatoire trouvés ont été mis à mal par des observations de terrain depuis. Donc je me pose des question quant au bien-fondé de ce test, effectué pourtant par un médecin de sport assez réputé. En fait, si j'ai bien compris, on tient un effort en PMA pendant 5 minutes maxi, non ? Bon, ma PMA, selon ce test, se situe à 165 pulsations environ. Or, en hiver (stage d'entrainement sur Lanzarote), j'ai tenu 170 en moyenne sur une montée de col de 30 minutes, montant jusqu'à 173 (dépassant par là même de 10% (selon estimation Strava) la PMA mesurée en laboratoire). Curieusement, depuis, je n'ai jamais dépassé ces 173 obtenus en effort prolongé, ni en fractionné 60/60, ni en sprint en fin de cote, enfin, jamais. J'en suis même assez loin. Lorsqu je suis en forme, sur la deuxième répétition d'un fractionné 60/60, j'arrive à 171, avec grande peine, et en donnant vraiment tout ce que j'ai. Depuis Lanzarote, sur des cotes à fond la caisse, je plafonne à 167, donc 6 pulsation en dessous de ce que j'avais en décembre. Pour moi, ça n'a aucun sens que je reste systématiquement 10 pulsation en dessous de ma soi-disante FC max mesurée en laboratoire, n'importe l'intensité de l'effort, et que j'arrive pourtant à garder cette fréquence-là, sensée être au dessus de mon deuxième seuil ventilatoire, pendant toute une ascension. Pour précision, toutes les mesures (sauf au laboratoire, évidemment) ont été faites avec la même ceinture cardio. Autre précision, j'ai 40 balais. Est-ce que la température extérieure peut avoir une (telle) incidence sur la FC ? Est-ce possible que je dois forcer davantage, même si j'ai déjà l'impression de vraiment tout donner ? Est-ce que la FC max peut être sujette à de grandes variations - qui seraient dues à quoi ? Toute aide serait la bienvenue, merci !
  9. De retour après des vacances (vélo)... Dites-donc, ça a fusé sur ce forum !! C'est rigolo quand même qu'il y ait toujours de gens pour mettre en doute la véracité et le bien-fondé de ce que je raconte. Vous avez certainement des choses plus intéressantes à foutre que d'analyser tous mes entrainements (que de toute façon j e n'archive que depuis septembre de cette année), mais si vous le feriez, vous vous rendriez compte qu'il n'y a là rien d'incohérent ni d'édulcoré. Si je tiens des moyennes de 38 sur 100 km de vallonné tout en finissant 3ème avec une moyenne de 30 en montagne, c'est certainement en grande partie due au fait que je n'ai quasiment pas d'expérience en course. Je gère mal mon effort, je roule beaucoup devant. Pourquoi pas ? Ca me plaît. Quant à traiter Vincent Cantoni de coureur médiocre (même si ce n'est pas exactement le terme employé), vous me faites bien rire. Bien sûr qu'il n'est pas pro, mais si vous vous renseignez un peu, vous vous rendrez vite compte qu'en 2015, c'était la terreur des cyclosportives moyenne distance du sud de la France, tout en gagnant plusieurs chronos, comme ça a été dit. Faut voir aussi qu'on a affaire à des gars de 40 balais qui ont un métier. Donc, la jalousie, ça craint, on est d'accord, mais dénigrer, c'est pas terrible non plus. Si un gars comme Vincent peut se tirer la bourre avec des élite de 22 ans qui ne font pas grand chose à part du vélo, c'est qu'il est fort. Pas un peu fort, pas plutôt fort, mais FORT. Et puis qu'est-ce qu'on en a à cirer ? Il y en a qui se font plaisir à 30 à l'heure, il y en a qui se font plaisir à 40 à l'heure, il y a des compétiteurs, et des non-compétiteurs. Pourquoi ne pas laisser tout le monde vivre sa vie ? Pourquoi juger ceux qui roulent vite, sous prétexte qu'on ne roule pas vite soi-même ? Et si ceux qui roulent vite commenceraient à vous juger pour ne pas rouler vite ? Quel intérêt ? Pour finir, le printemps prochain, je compte bien refaire un test d'effort, j'en aurai peut-être le coeur plus***. Et effectivement, selon une longue montée sur Strava (donc réputée relativement fiable au niveau estimation de puissance), j'aurais tenu 345W sur 45 minutes en fin de pacours (3ème col), avec une légère sous-estimation du poids de mon matos. Donc la PMA est peut-être en effet plus haute. On verra.
  10. Puissance maximale aérobie 360W à 165 bpm, VO2 dans les 65. Depuis, des gens avec qui j'ai roulé ont mis en doute le protocole car selon eux mes perfs ne colleraient pas aux données... C'est vrai que c'est grisant, toutes ces chiffres et données, mais à la sortie, ce qui compte vraiment, c'est de se faire plaisir et d'avoir de bonnes sensations.
  11. Bonjour tout le monde ! Comme tant d'autres, après avoir amplement profité en tant que visiteur de la mine de savoir et d'astuces que constitue ce forum, je me suis lancé pour créer un profil. Ca tombe bien, depuis quelques mois, je suis de plus en plus "happé" par le vélo, et vu que côté boulot c'est calme, j'en profite pour me cultiver et pour échanger. Ici donc mon CV de cycliste: Tout a commencé quand j'avais environ 7 ans. Mon père avait la merveilleuse idée de transformer avec 3 coups de soudure et 2 m de gaine d'isolation thermique, mon vélo pliable d'enfant, en BMX. J'allais m'éclater (dans le sens figuré comme littéralement) sur un parcours de fortune en forêt qu'on était nombreux à emprunter. Devenu trop grand pour mon mini-BMX (et mes parents ne voulant pas m'acheter un vrai), je poursuivis ma "carrière" à partir de 11 ans environ sur le chemin de l'école, 4km aller simple. J'avais une bicyclette horriblement lourde, avec 3 vitesses qui fonctionnaient quand elles en avaient bien envie, les gardes-boues, et tout le tremblement. Enfant pas vraiment calme, mon défis était de doubler tout ceux qui partageaient mon chemin d'école. J'ai dû arriver bien trempé et odorant parfois, mais personne ne m'a jamais rien dit :-) Après mon premier été travaillé en usine, à l'âge de 15 ans, je pouvais enfin m'acheter mon premier "vrai" vélo - contre la volonté de mes parents, qui argumentaient que ce n'était pas bien raisonnable, un vélo sans lumières et sans garde-boues. Mais je suis têtu, et j'ai fait fi des recommandations et mises en garde. Je roulais seul, rarement, de façon très irrégulière et sans aucun suivi, loin des clubs et des compétitions, avec tout juste un pote avec qui sortir de temps à autres. Entre 16 et 19 ans, chaque été j'ai installé les sacoches, la tente et le porte-cartes sur mon vélo (Columbus 7 vitesses, acier, vitesses au cadre), et je suis parti en solo pour des périples jusqu'à 3000 km pour le dernier (qui s'est terminé dans la vitre arrière d'un minibus à la hauteur de Munich - il vaut mieux consulter les cartes routières à l'arrêt). Les choses ont commencé à devenir plus "sérieuses" par la suite. Mon lieu d'apprentissage se trouvant dans les Alpes Bavaroises, je partageais ma résidence avec plusieurs adeptes du VTT, et je m'équipai afin de pouvoir les suivre, tout en poursuivant mes sorties (on ne pouvait pas vraiment parler "d'entrainement") solo en vélo de route et VTT. Pour la première fois (à tout de même déjà 20 ans, et en dehors de mes précédents "voyages"), je m'attaquai à des distances au delà des 75 km - de la même façon que lorsque j'avais 11 ans - toujours à fond :-) A force, je me rendais compte que je doublais souvent du monde sur route et en VTT, mais que le contraire n'arrivait pour ainsi dire, jamais. Pour en avoir le coeur net, je m'inscrivis donc dans une course VTT de cross-country, que je terminais 4ème, en ayant eu de mauvaises sensations, en appréhendant mal les passages techniques, en gérant très mal mon efforts, cuit et mécontent à l'arrivée. Puisqu'il ne faut jamais rester sur de mauvaises impressions, j'ai remis ça lors de la petite distance d'un "marathon VTT", environ 45 bornes avec 1500 de dénivelé +, sur des chemins que je connaissais bien. On est en 1997 (ou 98 ?), VTT acier sans suspensions, pas de pédales automatiques - j'ai gagné devant un triathlete Munichois. Bon, je ne vais pas faire le résumé de toutes mes courses VTT et sur route, bien qu'il y en ai eu ridiculement peu. J’avais trop d’intérêts épars et divers pour m’investir à fond dans le vélo. Disons juste que le rapport « km parcourus + (manque de) qualité de l’entrainement : résultats obtenus » était… surprenant. En 2000, je suis arrivé en France, à Grenoble, et pour la première fois j’ai pu rouler de façon plus régulière, grâce notamment à un chemin de travail de 8 km aller simple (que, à 24 ans, j’appréhendais toujours à la même manière que lorsque j’en avais 11 - à fond. Mais je prenais de quoi me changer et laver sur mon lieu de travail :-) ) Je roulais plus aussi grâce au fait que je n’avais pas pu déménager mon piano… C’était mon année la plus forte, sur 4 courses (toutes des montées chronométrées), 2 premières et 2 deuxièmes places. Puis vint une graaaaande parenthèse. 3 ans à Paris avec tout juste quelques tours de piste au bois de Boulogne de temps à autres et quelques, trop rares sorties VTT et route du côté de la forêt de Montmorency. Me sentant étouffer à Paris, je pris la fuite vers la région Toulousaine, ou je vis depuis. Mais les km annuelles ne décollaient pas pour autant, entre la fondation d’une famille, plusieurs rénovations de maisons successives, la création d’une, puis d’une autre entreprise,… Ce n’est en fait que depuis l’été 2014 que je suis suffisamment posé pour à nouveau pouvoir envisager de consacrer du temps à cette passion qu’est le vélo. Après un long arrêt de compétition, l’été 2015, j’ai participé à 3 cyclosportives moyenne distance et un CLM en montée (les vieilles amours) avec des résultats encourageants. Cela a considérablement booste mon envie de faire du vélo. En automne, j’ai acheté un petit GPS Garmin, je me suis inscrit sur STRAVA, et un test d’effort et quelques discussions avec des entraîneurs et coureurs plus tard, je semble, à bientôt 40 ans, enfin assez posé pour envisager un entraînement structuré. En tout cas, je n’ai jamais autant roulé qu’en 2015, et je n’ai jamais eu d’aussi bonnes sensations, à l’exception peut-être de 2000, l’année de mes exploits en Isère. J’espère que ce long récit ne vous a pas ennuyé, et j’espère croiser certains de vous sur ce forum ou sur les routes du sud-ouest.
  12. Oui, je comprends mieux. La phrase que tu cites gagnerait peut-être en clarté en la formulant ainsi: "...en dessous de 33, c'était la honte POUR MOI -..." Bien sûr que je ne considère pas que ce soit une honte de rouler à moins de 33 de moyenne de façon générale. Mais si comme pour moi à l'époque (ça a changé depuis cet automne), la moyenne est le seul point de repère, cela me semble évident qu'on soit déçu de ne pas atteindre son objectif. Récemment, j'ai fait un long parcours avec quelqu'un qui a 52 ans, la plupart du temps on a roulé ensemble, sur la fin, je l'ai "tiré" un peu. De retour à la maison, hop, les données sur Strava, j'ai vu qu'il avait fait les 130 km avec une moyenne de 30 km/h et une moyenne cardio au delà de 150 !!! C'était un effort absolument remarquable de sa part, j'étais admiratif. Loin de moi l'idée de vouloir le dénigrer pour sa moyenne. Ou qui que ce soit d'autre, d'ailleurs.
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