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Mathieu PEYRAMARD

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  1. J'en reviens au poste initial. De mon côté je mettrai plutôt 2000€ dans le canondale en ultegra a priori. Tu as un vélo tout aussi performant que le BMC et çà te laisse 1000€ à mettre dans une enveloppe à craquer dans 6 mois quand tu te diras ...."cherche roues budget 800€" ! Etant ton premier vélo tu ne t'en rendras pas compte, mais il est en plus vraiment confortable. (Bon, étant une première, tu vas tester et te dire: çà, confortable ! 'tain, les mecs, qu'est-ce que c'est tape-cul ! Mais crois-moi, par rapport à des entrées de gamme, t'es sur des coussins avec). Passant par des vélocistes, vraiment, va essayer les 2, parce qu'au final, le plus important sera la position, la taille bien adapté de ta future monture. Surtout que je note que tu as des soucis de genoux. Alors oui, le vélo peut être top par rapport à la CAP, mais tu peux aussi allègrement te flinguer les articulations. Prends un tout petit peu plus d etemps que ton envie ne te le suggère, vas les essayer, puis suis ton feeling :)
  2. C'est un joli défi que tu te prépares. Tu as l'envie et la motivation, plus de 50% du boulot est déjà fait ! Te faut un minimum de préparation aussi quand même, sans avoir à rouler 10.000 bornes avant non-plus. On a la chance d'avoir souvent accès à des vélos à 90 vitesses et qui pèsent 3-4 kg, çà aide un chouïa je pense par rapport à y'a longtemps. Préparation --> check --> 30% de plus dans la poche. Après te faut une bonne météo. SI y'a du vent (du vrai), tes chances de succès peuvent retomber très facilement à 0 (prévois un itinéraire de secours du coup). Si la météo est correcte, te faut plus que de l'eau (beaucoup), du susucre (pas mal aussi) et surtout de la lucidité dans les descentes ! Après, c'est comme d'hab', y'a qu'à tourner les jambes jusqu'à avoir tout monter 😃. Tout au mental, lâches-rien. Quel bonheur d'arriver à accomplir ses petits exploits perso. Fonces !
  3. CR de cette cyclo: Me suis inscrit pour la deuxième année d'affilée sur la moyenne, 88km donc ici. Pas loin de 2000m de D+. Cà devrait être un peu plus dur que l'an passé. Le temps est beau et y'a du vent. Classique dans la région, mais çà rajoute toujours son petit grain de sel. Un peu plus de 500 inscrits sur ce parcours. Direct, m'installant dans le parking, enfilage de maillot, qui qui sort de la voiture en face ? Jeannie Longo ! Non !!! C'est un signe, la matinée va être chouette. Je vous le dis tout de suite, je ne l'ai jamais revue, ni sur la course, ni dans les classements, ni même en rentrant en fin de cyclo sur le parking ... déjà partie la championne. Niveau course, l'an passé me suis fait avoir en partant beaucoup trop lentement. 319ème sur 447, moyen moyen quoi. A 25km/h de moyenne. Cette année l'objectif est de monter en pression, j'aimerai finir dans la première partie des concurrents et surtout ne pas casser le vélo :). Le départ est toujours lent, suis tout en queue du sas de départ, va falloir appuyer un peu dès les premiers km pour chopper un groupe qui roule dans les gorges de l'hérault. C'est chose faites ! Remontée des gorges, un gars s'est mis au tas, j'espère que çà va pour lui, et çà ne fait que renforcer mon second objectif ... ne pas se casser la gueule. Sur plus de 500, on doit être au moins les 2/3 à être des bras cassés en peloton, moi le premier, faut faire gaffe. Première petite montée pour remonter sur le causse, on sort du groupe avec un gars qui a un bon coup de pédale. On finit en haut à 4. On restera dans cette config un bon bout de temps, on s'organise bien et en l'espace d'une vingtaine de bornes on aura peut-être bouffé une 50aine de personnes sans brûler trop d'énergie. Descente et arrivée au pied des lavagnes, on rebouffe 2-3 groupes et c'est partie pour ce qui s'est révélé être le plus gros morceau de la journée. Magnifique vallée de la Buèges et belle montée. Cà grimpe bien en haut, je reverrai longtemps la détresse dans les yeux d'un gars qui devait être un poil au-dessus de son poids de forme quoi ! Moi, j'suis un poids léger et quand j'ai acheté mon vélo, les roues montées dessus étaient des Mavic SL. Autant vous dire que j'étais à mon avantage ici. Petit ravito en eau puis traversée des Lavagnes. La route est pas en bon état, çà descend, tout ce que je déteste. Me suis fait déposer par un tiers de ceux que j'avais bouffée en montée en exagérant un peu. Y'a vraiment des falourds ! Surtout vu l'état de la route et le vent de travers qu'on a pris dans cette descente. Moi j'avais l'impression que je pouvais m'envoler à tout moment ! Faut vraiment que je travaille les descentes. Puis c'est au tour d'un demi-col du vent. Tout pareil, à mon aise ici. Les jambes sont pas fraîches fraîches, mais plus que la plupart des autres apparemment :) Petite accélération en haut même pour la forme. Cà enquille sur la descente. Pareil me fait déposer par 1 gars et 1 fille sur lesquels il me faudra attendre les prochaines petites bosses pour recoller. Après çà, çà roule sur du plat venté pendant les 30 derniers km. Et pour la deuxième année consécutive, c'est vraiment la partie la plus reloud ! Au prix d'un bel effort je me rapproche d'un gars qui roule bien. Allez, suis à 20m, envoies mon coco ! ... Bon çà : Il arrête de pédaler ! Bourres ! Bourres ! .... 10m ! Cardio qui commence à en avoir marre Allez, un dernier effort et après je fais le vieux suceur pendant 2', t'inquiètes petit cœur tu vas te reposer sous peu. 2m, c'est gagné 1m Et vlam, vlam, vlam, vlam, vlam , un groupe de 5 balles qui nous passe. A un poil de bi** de lui, il met une accélération pour les accrocher... suis dégoûté 😢, je les reverrai jamais. Je vais finir les 25 derniers km quasi tout seul, à prendre des vents par des petits groupes organisés passant beaucoup trop vite pour moi. Quand bien même au gré d'une mini-côte j'arrive à en chopper un, dans le bout de ligne droite d'après, je fais un écart à un moment, perds l'aspi' deux secondes et c'est plié ! On finis à deux avec un jeune où on se met une belle branlée jusqu'au final. Bilan: à 5 secondes près, même temps que l'an passé, sauf que là y'avait 4 km et 300m de D+ en plus. 26 km/h de moyenne, c'est toujours pas bien glorieux, mais je finis là où je visai : 269ème sur 515. Un km/h de mieux que l'an passé, suis content. Orga nickel, des bénévoles à tous les carrefours qui font un bon boulot, y'a des motos, tout çà tout çà. A aucun moment les bagnoles nous ont embêtés. Le parcours était top aussi, je connais bien la région, j'y vis. Et la vallée empruntée est pour moi tout simplement le plus bel endroit de l'Hérault, çà fait toujours plaisir d'y passer. Objectif de l'an prochain: faire le nécessaire pour ces 30 derniers km si çà reste du plat et monter la moyenne à 27.
  4. Première Marmotte ici aussi. Un de ces moment de vie, comment dire .... intense ! Départ dans le dernier sas, mais fruit du hasard dans les premières positions, du coup un départ où çà envoie quand même pas mal. Moi, le but c'était de ne pas y plier le vélo, et ce n'est pas toujours facile. Cà dépassait à gauche à droite, dans tous les sens. Un peu perdu au milieu de cette marée de cyclistes. J'ai fini par trouver mon groupe jusqu'au pied du Glandon. Glandon: là, surprise. Je l'avais un peu négligé mentalement celui-là. Du coup, un peu surpris par les pourcentages d'entrée et par les deux trois jolis coup de cul qu'il propose, mais une montée avec plein d'énergie dans les jambes, très sympa. Joyeuse je dirais. L'arrivée là-haut était quand même un peu rugueuse, çà peulait et y'avait en effet beaucoup de monde. Descente du Glandon: Un calvaire ! J'étais frigorifié, des descendeurs de partout, une route humide au sommet. Juste vraiment pas agréable. Je déteste çà ! Vallée de la Maurienne au taquet à sauter de groupes en groupes comme un gamin. J'y ai laissé de l'énergie pour sûr, mais je me suis régalé. Crevaison au pied du télégraphe, pile-poil au moment d'y mettre le premier coup de pédale. J'ai jamais réussi à me mettre dans un bon rythme ici. C'est une montée vraiment régulière .. mais çà monte quoi ! Dur le télégraphe, dur ! En fait, j'avais les crocs. Un brin d'eau au sommet puis je file vers Valloire où je me fait un bon gros gueleton puis çà repart. On m'avait prévenu, le Galibier, attention, çà grimpe un peu, puis à Plan Lachat çà cause. Du coup, montée au train le temps de commencer ma digestion, je profite des paysages. C'est magnifique ! Et là, je vois cette ribambelle de cyclistes en train d'en découdre dans les virages au-dessus de Plan Lachat. "Puti !" me dis-je, çà va chier ! Et çà a pas loupé. Mon moment d'euphorie de cette Marmotte. J'annonce de suite, j'ai fini dans les profondeurs du classement... ... mais y'a personne qui m'a croqué de Plan Lachat au sommet du Galibier Vrai ! Du grand art ! Pantani, Merckx, Indurain en personnes ne s'en sont toujours pas remis d'ailleurs. Rhoooo, et cette fin du Galibier, terrifique. C'est salaud quand même ceux qui ont fait des pentes comme çà à cet endroit. Sont à moitié tocards. La descente du Galibier, pour ceux qui ne connaissent pas, est juste un de ces endroits magiques, où t'as beau être dans un semblant de course, tu t'arrêtes illico et tu pleures le sourire au lèvre. Inoubliable. Descente plein fer direction la vallée. Choppé un bon petit groupe dans la vallée où j'ai joué le jeu, pas fait que sucer de la roue, histoire de remettre en route les ligaments du genou. Ils me criaient "Famiiine", j'ai mis les boules quiès et attaqué l'Alpe d'Huez. Là, c'était in-ter-mi-na-ble. Long, mais long, mais lonnnnnnnnnng. Les seuls ici que j'ai réussi à bouffer étaient ceux devenus piétons ! Pas beau à voir tout çà. Non, sérieux. Première fois que je ressens çà à un tel point. J'étais juste incapable d'appuyer sur les pédales, j'ai pas l'endurance pour ces conneries au final. Préparation pas assez sérieuse pour sûr. Mon cardio plafonnait à 130. J'aurai voulu refaire monter les tours, mais j'ai été boycotté par mes cuisses et mes genoux. Dernier virage .... "didiou, je la tiens" .... une dernière danse pour faire illusion devant les spectateurs de l'arrivée, qui ceci-dit ne sont pas dupes quand ils voient arriver le 5058ème de la journée, ils se doutent bien qu'ils ont pas devant eux la future génération ... mais bon, le dernier souffle quoi. Un peu plus de 10h pour cette première Marmotte et ce Galibier qui restera gravé, des deux côtés, pour longtemps.
  5. Bonjour à tous, suite au vol de mon vélo hier, mon organisation pour la Marmotte a quelque peu changée. Je suis à la recherche d'un véhicule pour redescendre le lundi de Bourg-d'Oisans vers Montpellier. Je n'aurai pas de vélo avec moi. Je laisse un mail pour rentrer dans les détails de l'opération pour ceux qui veulent bien : mathieu.peyramard@gmail.com Merci d'avance, Cordialement.
  6. Suite à un post ici, j'ai choppé du pétrole désaromatisé. Après avoir testé un produit spécial dégraissant chaîne de Décath je crois qui n'a jamais réussi à faire le taf .... c'est la révolution ! C'est génial, çà dégraisse du feu de Dieu, çà coûte 2€50 n'importe où, et j'en ai pour 1 an ou 2, si pas plus avec tout le bidon ! Merci les gars pour le tuyau.
  7. Allez, j'y vais de mon petit essai avec ces roues. C'est je pense le fil le plus approprié. Cyclotouriste qui aimerait bien être sportif, j'y travaille depuis 3 ans on va dire. J'ai toujours eu des roues de base sur mes vélos, dont des vraiment très très de base, pour ne pas dire mauvaise. Ceci dit elles étaient rondes donc elles faisaient leur taf, elles tournaient ! Bon, les dernières en date provenaient du vélo d'occas' que j'avais acheté précédemment avant de le plier quelques mois plus tard. Les roues ont résisté à la collision et je m'en servais sur mon nouveau vélo. Ce sont des Shimano en jantes de 30 ou 35 mm avant et arrière. Du genre Wh-500, mais j'ai jamais réussi à savoir ce que c'était précisément. En tout cas elles ont des rayons plats et une inertie sur le plat que je trouve convenable. Bon, suis pas expert en la matière et on va dire que c'est une jolie expression pour dire qu'elles sont un poil lourdes. Bien que pas catastrophique non plus. Depuis un bail, il y a du jeu dans la roue arrière et un serrage d'un des trucs pour enlever ce jeu a fait que depuis quelques sorties il était devenu clair que çà commencer à être difficile à emmener. Comme avec un patin qui touchotte la bande de freinage en gros. M'en fallait pas moins pour changer de roues. Cà faisait un moment que çà flottait dans l'air de toute manière. Donc, pour en revenir à nos moutons, j'ai reçu les fulcrum R3 aujourd'hui, juste après une belle petite sortie en fractionnés ce matin :) Un montage plus tard et hop ... sur la route direction un parcours que je connais bien, dont la côte fétiche que je connais par coeur. Allez, on y viens. La première impression. Parce qu'il me tardait de savoir ce que çà faisait d'avoir de vraies roues, depuis le temps que je lorgne dessus, sans en avoir jamais essayées ! En 5 mots: "C'est du tout bon." J'avais les cuisses un peu atteintes donc difficile de pousser trop l'essai, mais ce qui en ressort immédiatement et qui m'enthousiasme vraiment, c'est le gain dans les relances. Ou plutôt comment quand on appui un peu, çà suit ! C'est vrai, par rapport aux anciennes, la rapidité à laquelle on monte en vitesse quand on décide de mettre des watts sur les pédales. C'est immédiat et limpide. J'adore ! Sur le plat, en ce qui concerne tenir une vitesse un peu haute, je n'ai pas constaté de changement par rapport aux précédentes. En côte, j'ai battu mon record sur ma fétiche :) Faut dire que j'ai bien donné, donc bon, tout est relatif. Mais vu l'état des cuisses en bas de la montée, je suis confiant sur le fait que çà devrait descendre encore. Sur du petit et moyen pourcentage, pas senti de différence hallucinante, hormis la sensation de facilité et de fluidité/accélération dans les relances comme évoqué plus haut. Sur le seul pourcentage autour de 10%, çà m'a semblé mieux. Mais passage de seulement 150 m, donc trop court pour en juger encore. En descente, alors là, c'est l'autre point que j'ai adoré. Ma direction a vraiment changé. C'est vachement plus précis et confortable à placer. Pas de révolution totale, mais vraiment un réel confort de conduite. J'ai beaucoup aimé. Tant qu'on y est, niveau confort global. Pouf pouf, rien noté de particulier. J'ai lu de ci de là que ce sont des roues un brin rigide. Bon, s'ils le disent. Perso çà ne change à peu près rien par rapport aux précédentes. Précédentes, qui, ceci-dit, n'ont strictement pas bronché lors d'un shoot bien lancé dans une voiture. Elles devraient se classer parmi les rigides aussi je suppose. Bon, je pèse 62 kg, donc je ne me fais pas trop de soucis quant à leur résistance sur les routes dégueulasses que j'emprunte trop souvent. Donc, en résumé, j'en ai pour mes watts lorsque j'appuie, çà se ressent et c'est enthousiasmant. La direction est bien plus fine. Et comme lu souvent, ce ne sont pas ces roues qui vont me transformer en meilleur coureur. Quand j'ai appuyé comme un boeuf, j'ai choppé mon record sur une côte. Quand j'étais cramé de ma sortie/journée/nuits précédentes, elles ne m'ont pas sauvées pour autant. Bon voilà, çà donnera du grain à moudre à ceux qui, comme moi, passent des heures à éplucher le net en quête d'infos sur des achats potentiels, et j'en remmettrai une couche en fin d'été quand je serai aller arpenter les Alpes :)
  8. Cà fait beaucoup moins longtemps que je pratique que la plupart d'entre vous ici, mais que de bons souvenirs déjà ! En 1 je mettrais ma première vrai ascension d'un truc qui ressemble à une montagne: le plateau de Beille. Week-end chez des potes ariégeois, arrivés le vendredi soir avec femme et enfants et montée prévue le samedi matin. SAuf que trop grosse soirée directe, impossible de se lever le samedi matin pour honorer la montagne autre ment qu'en étant ébloui par la beauté du paysage devant un ou deux café à 11h du matin. Pas grave, rattrapage dimanche matin .... sauf que samedi soir très arrosé et très grassouillet encore une fois (mais qu'est-ce que c'éatit bon !) Du coup, nous y voilà, Dimanche matin, à peu près pas dormi (enfant en bas-âge et ressemblant à un Gremlins n'aidant pas non plus) je m'embarque dans la descente direction Tarascon me disant dès les premiers tours de pédales que çà va être un peu plus que très compliqué. Puis sont venues les gouttes de rosées accrochées aux toiles d'araignées et aux prêles dans les fossés .... puis pouf, c'était parti pour que du bonheur. Pour remettre dans le contexte, je n'avais encore jamais fait de 100km, c'était un double objectif ici, 100 bornes dont le plateau de beille. Cà claquait pour une première ! J'ai découvert une superbe "vallée" pour arriver jusqu'au pied de la montée du plateau .... puis montée en elle-même où je me suis surpris à être bien dedans. Faufilage entre un troupeau de vaches à mi parcours et montée en 1h30. C'était pas un gros score, mais qu'est-ce que j'étais content. Redescente et direction chez les potos, sauf que je me suis trompé de vallée ! Remontée sur 20 bornes avant de me rendre compte de mon erreur. Une faim de loup me tenaillait, y'avait des odeurs de barbecue qui m'ont données le coup de grâce. J'ai cru que j'allais m'inviter de force chez des gens tellement çà me donnait envie. Appelé ma femme pour lui dire que j'étais plus nul qu'elle finalement en terme d'orientation et qu'il était probable que je meurs d'épuisement en rebroussant chemin, me refaire la vallée, puis rechopper la bonne, puis remonter le mur direction la maison des amis. Que je l'aimais et qu'on avait passé des supers moments ensemble.... Elle a pas cillé ! J'aime autant vous dire que j'ai explosé les 100 bornes. Je l'ai quand même rappelé 20 bornes plus tard pour lui souhaiter bon courage avec mini-Gremlins quand son père ne sera plus de ce monde, mort de faim au fond de l'ariège. A peine un quart d'heure après mon vélo était dans la voiture :) C'était super, et qu'est-ce que j'ai bien bouffé après ! Désormais un peu plus rôdé avec mon corps, quoi que, y'a un moment que j'adore par dessus tous. C'est pendant certaines sorties venteuses (beurkkkkkkkkkkkkkk). En soi, c'est pénible au possible. Mais encore une fois ce matin, avec un bon vent du nord à bien trop de km/h, vient un moment où les astres s'alignent. Le relief, l'axe de la route et ce magnifique vent dans le dos qui en plus de me faire avoir ma vitesse maxi de la sortie sur une partie en côte fait que d'un seul coup, y'a plus de bruits ! Plus de bruits !!!! Cà fait deux heures et demies que çà bradasse dans les oreilles et là, y'a plus que mon souffle et le clic-clic qui vient de quelque part vers mon pédalier je suppose. Cà dure jamais longtemps, mais ce moment là est juste magique ! Banzaï et bonne route :)
  9. Un petit excel pour tout rentrer à la mano. Puis si l'envie de basculer dans le 21ème siècle se fait sentir, ne serait-ce que parce que tu possèdes un smartphone ... et qu'il faut bien s'en servir quand même le pauvre ... un petit tour sur un playstore ou store apple, un petit téléchargement de Strava, et tu seras comblé ;)
  10. Allez, comme promis, petit retour d'expérience sur cette belle matinée :) Comme dit plus haut, c'est la première fois que je participe à une cyclo, et j'en suis pas déçu. Déjà, niveau organisation, rien à dire, ravitaillement en course plus à l'arrivée, mais surtout à aucuns moments je n'ai été embêté par la circulation. Des bénévoles à tous les carrefours et endroits stratégiques, çà met en confiance, et c'est chouette. Merci à eux. Niveau météo. Nickel, pas de pluie, il fait plutôt bon. En tout cas pour pédaler. Le vent s'est installé, certes, mais je m'attendais à plus violent. Rien de très méchant pour la région. J'ai notamment un souvenir d'une rando famille de Gignac direction le Caylar ... donc col du vent + Larzac ... c'était affreux ! Cà soufflait plein fer, impossible d'avancer. Juste une galère monumentale avec les enfants dans la carriole et tout et tout. Là, vu le vent en-bas et dans la montée du col du vent, je me suis dit qu'on allait en chier là-haut. Ben que nenni ! C'était correct. Au niveau sportif, suis content de moi. Non pas que j'ai fait un joli score, du tout, un 25km/h de moyenne, qui doit me placer à l'entrée du dernier tiers je pense. A voir. Mais surtout, tout s'est déroulé comme prévu. Bon, comme à mon habitude, suis à la bourre, résultat, 10 minutes avant le départ, je suis à peine changé, pas d'échauffements ... çà craint ... surtout que genoux fragiles obliges, faut que je sois prudent. Résultat, je pars de tout au fond, et c'est pas bien grave. Je n'ai aucunes prétentions ici. Donc, comme prévu, je pars à la cool. Peut-être un peu trop cool d'ailleurs. Les gars, vous êtes chaud-patate !!! Je pense que j'avais à peine passer la ligne de départ que je devais avoir un bon km de retard sur les premiers ! Cà envoie dans tous les sens. Moi, objectif, arrivé au pied du col chaud comme il faut, cardio se réveillant, faire une montée sans jamais dépasser les 160 bpm (je crois que c'est mon seuil, plus ou moins), puis après je me transforme en Ghislain Lambert :) Du coup, je me retrouve en bas d'Arboras au milieu de nos chers têtes grises. Respect d'ailleurs messieurs-dames. Montée ... ah la montée. Franchement ! Certes, je partais de loin, mais franchement, de toute la course, y'a personne qui m'a dépassé lorsque çà montait . Et çà, pour quelqu'un qui veut faire la Marmotte dans quelques mois, çà fait plaisir. Par contre, qu'est-ce que je prends cher dans les descentes et dans une moindre mesure sur le plat. C'est assez incroyable. J'ai pris de ces vents ! Parfois justifié parce que les gars était 3 ou 4, bien organisés, et que j'étais en mode bisounours. Mais j'en ai pris aussi juste avec 2 gars et moi qui était presque à fond ! Et là .... ah pas compris. Je dois manquer de puissance on dirait. Je retiendrai une superbe coin, là où çà remontait dans les pins à un moment, juste magique. Je retiendrait aussi que roulait en groupe de plus de 4 ou 5, çà me convient moyen. Suis pas à l'aise. Trop de monde, çà bouge, tu fais pas ce que tu veux: tu veux bourrer, t'es bloqué. Tu veux calmer, çà bourre. A 4 ou 5, c'est clair et net. Tu sens si quelqu'un est plus fort ou pas. Tu sais ce que t'as à faire. Cà, cà me va. Juste pour finir, spécial dédicace à Serge, club de Lamouroux ??? sais plus, maillot à dominante jaune. Je sais pas si tu passes sur ce forum, je sais pas si tu te reconnaitras, la 60aine, peut-être bien passé mêm, mais tu m'as fait rêver. Si j'ai les mêmes cannes que toi à ton âge, je serai content. On a fini par passer la ligne ensemble .... il assure le bonhomme. Bref, c'était super chouette, et me tarde de recommencer.
  11. Je confirme, au pied du col du vent aujourd'hui j'ai vu le panneau route "fermée le 2 avril" sur cette partie des lavagnes
  12. Inscrit sur la 90km. Toute première cyclo pour moi, à 35ans. Me tarde !
  13. Bonjour Eric. Désolé, je n'en ai absolument aucune idée. J'ai une pompe sans manomètre. Tout au feeling et au doigté de pneu :) Me semble gonfler tout pareil.
  14. Allez hop, comme promis, petit retour sur le passage au 25mm après une premiè-re sortie sur mes routes habituelles. Niveau rendement, je vais ni plus vite, ni moins vite :) C'est à mon niveau même combat. Par contre, niveau confort, y'a une sacrée différence ! Réellement. Mes fefesses ont passées 70 bornes sur du coton. Alors est-ce que c'est l'effet nouveau pneu ? Est-ce qu'un nouveau pneu en 23mm m'aurait tout autant surpris de smoothieness ? C'est bien possible, je n'en ai aucunes idées. Par contre, réellement, ce changement a été une très bonne surprise, moi qui ai un vélo tape-cul et qui emprunte des routes parfois moyennes. Mon changement de pneu avant se fera sur un 25mm aussi, c'est sûr.
  15. Petit retour d'expérience après plusieurs années d'utilisation de ce pneu. Je l'ai en section 23mm et viens juste d'effectuer le changement pour du 25mm à l'arrière. En effet, je commençais à voir la carcasse sur un petit endroit ... changement immédiat. Du coup, bilan: - quelquechose comme 7.000 km fait avec. Le penu avant est encore en bon état, là où l'arrière s'était bien aplati, il devenait un peu carré quoi. - Utilisé pas forcément dans les conditions pour lesquelles il est optimal. A savoir que j'habite dans l'Hérault, donc bien chaud quand même. - J'ai emprunté sur 500km des routes plus que dégueulasses. Des chemins plutôt. De la caillasse et de la terre. Oui oui, avec un vélo de course, et les cailloux volaient dans tous les sens. -J'ai dû faire quelquechose comme 1.500 km de vélotaf, empruntant des routes urbaines claffies de morceaux de verre et autres pièces de voitures ayant subies un petit accident de la circulation. Voilà pour le contexte. Je voulais des pneus increvables. Ben c'est le cas. J'ai crevé une seule fois. Une épine de plante méditerranéenne sacrément coriace, rentrée pile poil avec l'angle parfait, dans un pneu arrière probablement pas assez gonflé. Niveau rendement, aucune idée, pas assez d'expertise d'autres montures. Niveau grip, ras. Du coup, j'ai mis du 25mm derrière et ferai un petit retour d'expériences dans quelques temps.
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