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Gaëtan NIZAN

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  1. Je confirme que sans tu ne peux pas serrer. Donc ce serait bien une entretoise pour permettre d'adapter les 10v sur le 11v. Merci!
  2. La cale qu'on retrouve sur les moyeux Mavic plus récents, ça sert donc d'adaptation? PS: si ça a déjà été dit, pas taper hein! ^^ Je ne suis pas passé ici depuis un bout de temps, et je me demandais à quoi pouvait bien servir cette cale alors qu'il aurait été plus simple de faire un moyeu plus court!
  3. C'est juste une grosse plaque en espèce de tissu autocollant et plastifié. Pour ma part ça m'a permis de réparer des pneus classiques quand ils étaient trop endommagés, un peu durs à coller du fait de la dimension de la pièce, mais très pratiques! Tu as ceux là par exemple: http://www.rueduvelo.com/park-tool-kit-reparation-pneu-kits-reparation-roues-33860-673-8-40.z.fr.htm Par contre du coup je sais pas si ça le fait en tubeless...
  4. Les kits de réparations pour pneus ne sont pas étanches pour le tubeless? Au pire il suffit de mettre ça!
  5. Bonjour. Pour ma part presque une dizaine, et déjà 5 pneus changés depuis le début de l'année, en... 4000 km! Eh oui je fais fort cette année! Bon au début c'était des crevaisons par pincement (routes de Vendée un peu pourries + RS80 qui tapent dur, donc baisse de pression pour améliorer le confort, pas la bonne idée), j'en ai fait une durant l'hiver puis deux en course, les deux fois en course le pneu (Schwalbe Ultremo) il a pas aimé, fibres endommagées là où ça tapait, pneu HS! A ça s'ajoutent quelques gravillons qui ont eu la merveilleuse idée de se loger dans le pneu! Bon faut dire que dans le sud Vendée, les routes gravillonnées, il n'y a quasiment que ça, donc ça facilite les choses, surtout si en plus tu rajoutes un pneu un peu sensible! Résultat, au bout d'un moment, à force de crever mon pneu ressemblait à une passoire, donc obligé là encore de changer. J'ai enchainé avec plusieurs crevaisons avec les Cosmic cette fois, et pour ne pas changer c'était des silex qui traversaient les Pro 4... Fin mai/début juin, j'enchaine sur une crevaison à cause d'un bout de verre lors d'une sortie en vallée du Lay (crever dans une descente étroite avec des virages à la %@!?, grosse frayeur!) Résultat pneu Pro4 HS (entaille de deux centimètres), j'ai pu tester le kit de réparation de pneus Park Tool et ma bombe à CO2! J'ai continué avec une autre crevaison en descente, de nouveau sur les Schwalbe lors du Défi des Pyrénées. Tentative de réparation avec des conditions climatiques dantesques, j'ai même pas réussi à réparer, l'hypothermie avait été plus rapide! Là encore pneu HS, une belle entaille d'un centimètre dans le pneu qui avait... 111 km! Eh oui, je n'avais pas encore réutilisé la RS80 depuis ma crevaison précédente, le pneu a eu une durée de vie incroyable, c'est le cas de le dire! Et enfin, dernière crevaison cet été, encore un silex, encore choppé en Vendée! Donc morale de l'histoire, je suis maudit cette année, les routes gravillonnées font bien chier, et les Schwalbe Ultremo faut toujours bien les gonfler! Je précise au passage que je gonfle en temps normal à 7,8bars pour un poids de 75kg, et sous la pluie et sur route pourrie je descend jamais en dessous de 7...
  6. Par quel côté le Pailhères? En tout cas il a beau être terrible, ça reste mon préféré! Et si tu veux le passer en cyclo, il y a le défi des Pyrénées pour ça, avec 171km au programme s'ils ne changent pas le parcours. Pour ma part ça a été dur, mauvais temps, mais je finis, loin mais je finis! Et le retour à fond à Niaux où on logeait avec les copains a fini de bien me crever, je dormais bien le soir au moins!
  7. Tiens je me reconnais! Bon faut pas que je me plaigne, depuis 2008 je ne m'entraine plus assez, je me fais sortir des D1 D2 quand je courre en FFC, et ils m'ont descendu (en D2, faut pas exagérer non plus!) cette année. Du coup j'ai réglé le problème, je ne courre plus en FFC! Heureusement qu'il y a l'UFOLEP! Bon ma licence FFC ne sert pas à rien non plus, elle me permet de conserver mon BF1 et de m'engager pour moins cher sur les cyclosportives FFC qu'avec la licence UFOLEP...
  8. Tiens je ne me rappelle plus de ce virage dans le village. Pour la montée, comparée à la Crouzette qu'on avait juste avant sur le 110 km, j'avais été facile dans le Lhers. Cette année ça risque de changer, je ferais plus attention, merci pour le moyen mnémotechnique! A propos de Crouzette, c'est pas par cette descente qu'on arrive à Massat justement? De mémoire elle était assez casse cou celle là, d'ailleurs un mec avait fini en contrebas en voulant aller un peu vite!
  9. Bon bah si c'est le modèle de roues de base, tu peux changer ça pour l'améliorer!
  10. Bonjour. Au pire utilises un prolongateur Topeak, il permet de refermer ta valve après gonflage et donc d'éviter les fuites par là! 😉
  11. Bonjour. Pas sur pour les classements fonction de l'age et/ou catégorie des nouveaux licenciés. En Vendée des gars de 20/30 ans en première en UFOLEP courent en D3... Cherchez l'erreur!
  12. Bonjour, Pour ma part cette journée en enfer aura malgré tout été un plaisir! Départ à 7h15 d'Ax les Thermes avec le copain avec qui on s'est engagé pour rejoindre le départ sous le beau temps, on s'est dit tiens, on va avoir de la chance. Passage du col de Puymorens sous la pluie et dans le brouillard, départ dans des conditions glaciales, emmitouflés dans nos tenues d'hiver. Traversée du Capcir dans des conditions s'améliorant, puis on enchaine dans la descente des gorges de l'Aude, rapide, sinueuse, bref un plaisir au niveau des sensations, puis le panneau d'Escouloubre annonce le début proche de la souffrance. Virage à gauche (au passage, un coureur semblait avoir chuté à cet endroit, il était arrêté près des commissaires et se tenait bizarrement. Quelqu'un l'a vu faire?), puis on attaque le Pailhères, première grosse difficulté du jour, sous les ruines du chateau d'Usson et le soleil. Le temps de s'arrêter pour enlever le bonnet et rerégler le casque, ranger les gants et les manchettes, ouvrir en grand le maillot et le coupe vent, et c'est parti pour 1h et quelques de plaisir et souffrance sur les pentes du Pailhères, avec des paysages magnifiques, un final au milieu de la neige extraordinaire, et enfin l'arrivée, glaciale à cause du vent au sommet. Ravitaillement, on se recouvre, coup d'oeil derrière le temps d'apercevoir la voiture balai quelques kilomètres plus loin en bas, coup d'oeil devant, les nuages n'annonçaient rien de bon. Descente ensuite du Pailhères que j'aime tant. Doucement au début, à cause des torrents qui traversaient la route à cause de la fonte des neiges, puis descente à fond à partir des lacets, histoire de se faire plaisir, jusqu'à Goulours, où on bifurquait vers la droite et le Pradel... et la pluie, un kilomètre après le début de l'ascension! Je connaissais ce col sous une chaleur écrasante, j'ai pu le découvrir dans le froid, la pluie et un brouillard incroyable qui gâchait tout en haut (moi qui voulait pouvoir voir la face nord de la dent d'Orlu sous la neige, c'était raté!). Col une fois de plus très difficile, mais quel plaisir là encore à gravir ces routes! Ensuite la descente. Je savais qu'elle était technique pour l'avoir déjà empruntée en voiture, mais c'était sous le sec. Sous la pluie ça a été l'horreur pour moi, et pas que moi apparemment! Très vite je rattrape un autre concurrent qui descendait sur les freins, le froid, la pluie, les torrents d'eau, de boue et autres saletés ramenées par la neige rendent la descente hasardeuse, pas de prise de risque donc, descente sur les freins. Malgré la faible vitesse, je me retrouve rapidement avec les doigts gelés et en plus le frein arrière morfle très vite. Premier arrêt au premier village, le temps d'éponger comme je pouvais mes gants, de resserrer le frein arrière et de réchauffer les mains, on repart, on se réarrête pour les mêmes raisons, on repart à nouveau... et surprise! Ammoncellement de personnes sous un rocher, plein de monde en train soit d'essayer de se réchauffer, soit d'essayer de grimper dans des véhicules de l'organisation, gelés! De quoi vous motiver à finir! On repart aussitôt, réarrêt plus loin pour encore resserrer les freins, éponger les gants, et se réchauffer les doigts (ça devenait une habitude!), puis une remontée pour enfin se réchauffer! Je crois au passage que c'est bien la première fois que je suis aussi heureux d'en finir avec les descentes et de repartir à monter! La suite en solitaire, seul au monde, à se demander par moment ce que je faisais sur le vélo! Arrêts ravitos, on continue. Au 100e kilomètre environ, petite discussion avec le bénévole qui s'y trouvait et qui me rassure, ça va enfin remonter au Capcir, ça sent bientôt la fin! Hélas pour moi, dans l'un des derniers virages dans le descente vers Querigut, crevaison lente au 111e kilomètre. Frigorifié, j'essaye de réparer, tache rendue difficile par les doigts engourdis par le froid, pour que finalement un signaleur et un autre bénévole, voyant que je ne parvenait pas à réparer et voyant apparemment que j'étais pas bien (je m'en rendais pas compte mais apparemment j'avais une sale tête, en tout cas vu leurs réactions ça devait être marrant à voir!), m'ont envoyé dans une auberge où ils m'ont gentillement payé un café en attendant que la voiture balai revienne. Une fin pas vraiment voulue, avec un goût d'inachevé, mais bon. En bref, malgré tout, du plaisir malgré les conditions dantesques, et je ferais tout pour revenir l'an prochain! Le parcours est magnifique, l'organisation a assuré malgré les conditions exécrables, les gens étaient sympa, l'ambiance était pas mal, les paysages, pour ce qu'on en a vu en tout cas, étaient magnifiques, bref de quoi donner envie de revenir! Enfin, pour finir ce message, trois choses: tout d'abord bravo à tous ceux qui y étaient et notamment à ceux qui ont fini. Ensuite, petite question, c'était quoi la boisson énergétique qui était proposée aux ravitaillements? Je l'ai trouvée pas mal (goût, conditionnement, effets...) et j'envisage du coup de m'en procurer, si je sais ce que c'est! Et enfin, petite suggestion, ce serait de prévoir soit une salle, soit un chauffage d'appoint (pas très écolo mais bon 🙁) pour le repas des prochaines éditions: pour ma part, la douche m'avait à peine assez réchauffé, idem pour le copain avec qui j'étais, qui a fini lui aussi frigorifié, du coup on a avalé notre repas en express sans vraiment en profiter, afin de retourner au plus vite à la voiture pour mettre le chauffage à fond!
  13. Bonjour. Pour ma part c'était le Peyresourde par Loudenvielle en 2004, en VTT. Un lundi, jour de repos pour le Tour de France, on y avait croisé l'US Postal qui redescendait le Peyresourde, toujours sympa!
  14. "Faudra juste faire attention de ne pas rouler comme un abruti, en montée... Mais aussi en descente " Bonjour. Toi qui ne connais pas le Port de Lhers, méfiance justement dans cette descente, j'avais failli me faire piéger dans deux virages, un premier dans les premiers kilomètres, ou Maindru s'était posté pour les photos, et le tout dernier à l'entrée de Vicdessos, tous deux traitres, donc à se méfier! Sinon pour ma part, je serais sur le grand parcours, pour ma troisième cyclo de l'année et du mois de juin. J'y serais avec deux copains qui courent avec moi en Vendée. le 85 est de plus en plus représenté! ^^
  15. Le jour où les pros passeront au triple? Il est passé, maintenant ils montent du compact! Pour améliorer ton vélo, en effet changer de groupe, peut être aussi les roues. C'est quel modèle d'aero? Parce que ça va des roues entrée de gamme au haut de gamme, il faudrait savoir quel modèle c'est! 😉
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