Aller au contenu

Marinfury

Membre
  • Compteur de contenus

    9
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Marinfury

  1. Salut à tous, Un peu plus de deux ans que je me suis lancé dans la pratique régulière du vélo à base de sorties en solitaire principalement, et me voici désormais inscrit pour ma première cyclosportive. Il s'agit de la Marmotte 2023. A bientôt 38 ans, j'ai un niveau que je qualifierai d'amateur moyen correct, mais ma morphologie ( 63 kg pour 1 m 73) me permet d'être à l'aise en montagne ( j'ai déjà fait tous les cols du Briançonnais et il y a quelques mois croix de fer et Alpes d'huez) en me sentant plutôt à l'aise et avec des perfs que je juge honorables à mon niveau. Voici pour le contexte. Mais voila, 170 km et 5000 m de D plus c'est quand même un gros morceau et, manquant d'expérience, je me pose la question du destrier à emporter, car à chaque fois que j'ai fait des cols, j'ai toujours loué des vélos dans la vallée, mais cette année j'aimerais bien y aller avec ma propre machine, réglé aux petits oignons. J'ai deux vélos, un gravel alu, trés confort (normal c'est celui que j'utilise depuis le début alors j'imagine que mon corps s'y est habitué), et un vélo plus agressif et récent et surtout plus léger que je réserve pour des sorties un peu plus punchy, un aeroad de chez Canyon, avec ses jantes hautes.. Ma question est simple, pour une gran fondo montagneuse, que me conseilleriez-vous ? Est-ce trop présomptueux de partir avec l'Aeroad ? J'ai souvent entendu dire que ce vélo, avec lequel je m'éclate en terrain plat ou légèrement vallonné ( je réside dans le Cher) était difficile à emmener en montagne ? Dois-je au contraire sacrifier le poids pour plus de confort, ce qui sera peut-être payant sur une sortie de 9 h ? Au plaisir de lire vos avis et retours d'expérience 😃 Merci
  2. Zwift reconnait effectivement le HT si je ferme Tacx. Bon en revanche même problème .... il y a toujours facilement 50 watts d'écarts...
  3. Bonjour Gérôme, Merci pour ta réponse. Apparemment je ne suis pas le seul à ressentir de grosses différences, c'est déjà plutôt rassurant. Pour l'instant j'utilise mon smartphone... et l'application Zwift. Je ne savais pas qu'il y avait également une appli Zwift companion. Quelle est la différence ?
  4. Bonjour à tous, Je me suis lancé un peu sérieusement dans le vélo depuis environ un an. J'ai rapidement investi, pour structurer et mesurer mes progrès, dans des capteurs assioma duo au niveau de mes pédales, au sujet desquels j'avais pu lire d'excellent retours, notamment en terme de fiabilité et de rapport qualité/prix. J'en suis, jusqu'ici, très satisfait. Souhaitant encore gagner en qualité d'entraînement, j'ai acquis il y a quelques jours un home trainer, histoire de pouvoir caser pendant l'hiver quelques séances qualitatives les jours de grand froid, de pluie, ou après le travail. J'ai investi dans un HT Tacx Neo2T avec lequel je rencontre quelques petits désagréments. Premièrement, Zwift ne reconnaît pas le HT. Dès que je commence à rentrer dans l'univers : "connexion perdue". Le HT est en revanche parfaitement reconnu sur l'appli TACX. Soit, je ferai donc mon premier entrainement sur l'appli du constructeur. Je choisis un entraînement un peu bateau " Power workout 30 minutes", juste pour avoir un premier ressenti. L'appli TACX de Garmin reconnaît toutes mes statistiques d'entraînement. Ma ftp est par exemple correctement paramétrée. Cet entrainement m'annonce visiblement un objectif de puissance normalisée de 150 watts sur 30 minutes. Je me dis que ça sera une simple petite mise en jambe. Les différents tests FTP que j'ai pu effectué sur route me placent en zone de récupération active dans de telles zones. Sur route, je suis rarement en endurance fondamentale à de telles puissances. Je me dis donc que ce sera une simple formalité. La session commence, nom de dieu.... que c'est DUR. Les sensations ne correspondent en RIEN à de la récupération active. J'atteins les 150 watts mais mon corps entier me crie que je suis certainement en aérobie. Durant tout l'entraînement, mon cardio effectivement oscillera en 2.8 et 3.2. Il y un gap ahurissant, en terme de ressenti, de 50 à 60 watts !!! entre mes chiffres sur route via assioma duo, et les chiffres de ce HT. Est-ce normal ? Qu'en pensez-vous ? Merci de m'avoir lu !
  5. Bonjour à tous chers passionnés ! J'ai attrapé tout récemment le virus du vélo il y un peu moins d'un an. Je ne pratique pas en club, mais seul, et j'ai commencé un entrainement régulier dans le but de faire le tour de la Corse, chose que j'ai accomplie en mars dernier, 550 km et environ 8000 m de D+, sur une base d'environ 50/60 km par jour. Depuis je continue de faire 3 à 4 sorties par semaine, pour le simple plaisir de rouler, en essayant de varier mes entrainements, surtout en terme de qualité. Aucun objectif de compétitions, les seules victoires que je cherche sont contre moi même, quel plaisir de voir ses performances augmenter au fur et à mesure. J'avoue tout de même avoir un faible pour les sorties longues, voire très longues, l'idée de parcourir plusieurs centaines de kilomètres d'une seule traite et de voir défiler du paysage m'attire énormément. C'est un défi purement personnel, je sais bien que ces sorties ne sont pas les plus productives du point de vue de l'entraînement, mais c'est comme ça, ça me fait envie. Mon objectif est la barre des 300 km. Chose que j'ai tenté il y a quelques jours, et que je n'ai pas pu mener à terme, pour plusieurs raisons. Et c'est pour cela que je sollicite l'avis de cyclistes plus expérimentés sur la question. Alors en gros le retour d'expérience est le souvent : je maintiens une bonne moyenne (un peu moins de 24 km/h) sur du plat principalement, en prenant bien soin de surveiller le cardio pour rester dans du foncier pur. Tout se passe bien les 180 premiers km, et puis ensuite, tout bascule. J'ai tenté l'aventure 2 fois, et chaque fois c'est la même chose. Le cardio s'affole, et un gros coup de mou s'installe après les 180. Ce qui entraine une grosse baisse de moral. Et la nuit tombant, j'ai fini par rentrer en train sur ma dernière tentative, après 210 km parcourus. Pour autant, je n'abandonne pas ce défi, je sais qu'au fond de moi, j'en suis capable. Je pense que l'un des problèmes est notamment l'alimentation, en tout cela l'a été lors de ma dernière tentative. J'avais simplement la nausée à l'idée de consommer une barre ou un gel supplémentaire. Ces aliments devenaient simplement insupportables à la longue..Et puis je m'accorde très peu de pauses. Quelques minutes juste le temps de refaire les bidons ou de chercher quelque chose dans une sacoche. D'après-vous, quelle gestion de l'effort et de l'alimentation serait la meilleure pour réussir à atteindre mon objectif ? Faire une grosse pause avec un vrai repas à midi ? M'imposer de plus longues pause plus régulièrement ? Rouler moins vite, quitte à basculer en récupération active ? Je serais preneur de vos conseils avisés et je vous remercie pour vos futures réponses !
  6. Bonjour à tous. Mes expériences de cyclistes incluent essentiellement la région parisienne. Je me rends chaque jour à mon travail à vélo, en plein Paris. Donc mon impression ne sera pas forcément applicable aux purs routiers de club. Je rebondis néanmoins sur ce que plusieurs personnes ont dit ici, on sent souvent que l'on est tous simplement pas à notre place sur la chaussée à vélo, même si de grands progrès ont été faits (coronapistes, vélopolitain, de plus en plus de carrefour à l'hollandaise...) Paris reste néanmoins toujours le temple de la bagnole, avec ses disciples de tous âges et de toutes conditions sociales qui s'entassent chaque jour dans les embouteillages, parfois pour des trajets qui seraient plus efficaces à pied. Le plus flagrant c'est le squattage de pistes cyclables en double file. Un grand classique. Ce qui t'oblige systématiquement à te mêler à la circulation et à te mettre en danger. Il m'arrive parfois d'avoir quelques altercations verbales et de recevoir, ou de donner à d'autres de jolis noms d'oiseaux. Il m'arrive parfois aussi de donner de la semelle contre quelques carlingues quand j'estime que passer à 10 cm de mon vélo pour me doubler, ça relève clairement du foutage de gueule. Mais avec le recul, je ne pense pas nécessairement que la colère ou l'énervement soit la mesure la plus efficace et encourageante pour une meilleure cohabitation. Déjà, il y la sécurité par le nombre. Les cyclos sont de plus en plus nombreux, à terme cela va forcément obliger les politiques d'aménagement nous prendre de plus en plus en compte. Cela peut être porteur d'espoir. Ensuite, à notre charge, il y a aussi la mauvaise réputation des cyclistes. Alors évidemment, aucune généralisation, mais à Paris, c'est un enfer et elle n'est pas entièrement volée. Entre ceux qui insultent les conducteurs parce qu'une voiture ralentit pour tourner et laisser passer un piéton, ceux qui passent au rouge entre les piétons engagés ( et qui se permettent de les insulter au passage), ceux qui roulent à contre-sens, sur les trottoirs.. Franchement ça fait peine à voir, et ça donne une image détestable du cycliste citadin moyen. En parallèle, j'ai également remarqué que lorsque je me soumet à une conduite irréprochable en ville ( mettre pied à terre si je traverse un passage pieton, si je m'engage sur un trottoir, mais aussi et surtout le respect des feux et des priorité aux intersections, se met en place comme un cercle vertueux, avec des automobilistes qui font plus attention à moi, me laisse parfois passer par courtoisie, bref, me respectent d'avantage. Et c'est comme si je redorais par cette action l'ensemble de notre tribu. Je pense que c'est une somme de petites attentions qui peuvent aussi beaucoup peser, à la longue, sur un ressenti général. Alors certes, il reste également des têtes brulées chez les automobilistes, des foux furieux et criminels en puissance, contre eux on ne peut rien à part leur retirer le permis, mais je pense qu'on a aussi un rôle à jouer en tant que cycliste dans l'amélioration de cette cohabitation. En gros soyons irréprochables de notre côté, cela nous donnera d'autant plus de force, de crédibilité et de légitimé dans notre lutte pour plus de respect et de considération de la part de tous les autres usagers.
  7. Salut Christophe ! Merci pour tes conseils d'entraînement. C'est vrai que quand on débute, c'est pas toujours évident de savoir par où commencer et quels rythmes adopter, et à quel moment ! Enfin bon je me débrouille comme je peux en allant chercher les infos à droite à gauche au final avec ma base d'endurance dans un premier temps j'étais déjà pas dans le faux. Je vais donc continuer dans cette voix. Pour le parcours ce n'est pas encore très clair dans ma tête. Etant gosse j'ai passé pas mal d'étés à Briançon donc je me verrais bien partir de là bas, d'un terrain un peu connu. L'idée serait de louer les vélos directement sur place : le VAE pour la miss et un bon routier avec des braquets adaptés pour moi. Et puis ensuite faire une grande une grande boucle qui partirait vers le sud sur 5 jours, avant je ne sais pas, revenir à Briançon, boucler vers le nord sur 5 autres jours. Peut être prévoir 2 jours creux pour reposer efficacement les organismes. En tout cas tu me rassures un peu en parlant de la difficulté des cols qui restent abordable.
  8. Bonjour Erico, bonjour et merci pour ta réponse ! Alors je pense clairement y aller en mode découverte. Ce serait la première fois donc je ne vais pas dès le départ me fixer un chrono à atteindre. D'autant que je serai avec ma compagne. Sur le site routedesgrandesalpes il ont déjà balisé tout le parcours ! Mais j'ai du mal à estimer le temps des étapes avec notre niveau. Je prend l'exemple d'une étape au hasard. Le grand-Bornand / Beaufort-sur-Doron . 57 km, 2 cols. Leur estimation : 4 heure de route. Oui mais en roulant avec quel niveau et à quelle allure ?
  9. Bonjour à tous les passionnés du vélo ! Je suis nouveau ici et j'aimerais poser quelques questions à des cyclistes expérimentés par rapport à l'un de mes futurs projets. Cela fait maintenant quelques mois que j'ai attrapé le virus du vélo. Si je fais du vélotaff depuis maintenant plus de 3 ans, ce qui représente une quarantaine de km par semaine, cela fait seulement environ un mois que j'aborde le cycle avec un nouveau regard, j'aimerais tout simplement progresser dans ce sport. Donc je m'entraîne seul depuis un mois environ ( je ne suis pas en club), 2 à 3 fois par semaine, en endurance fondamentale, avec des sorties entre 1 h 30 et 2 h, pour des distances de 40 à 50 km. J'ai également deja fait queques sorties à plus de 100km en mode pépouse, mais pour l'instant la durée du jour rend la chose un peu plus difficile. Je débute et j'ai un niveau moyen, mais j'adore rouler. J'ai également quelques voyages en vélo à mon actif, essentiellement en tourraine. Depuis quelques jours, m'est venue une idée folle, à savoir tenter l'aventure dans les montagnes. Grimper un col m'a toujours fait rêver, et je me dis que cest un sacré défi que j'aimerais relever à 35 ans. J'aimerais tenter la grande route des alpes, ou au moins une partie, sur 7 à 10 jours. Mais la difficulté des tronçons (rouge à noire) me fait un peu peur. D'autant que j'aimerais y aller en couple, avec ma femme qui elle est moins affutée que moi, mais qui pourrait me suivre en VAE ? Quels seraient vos conseils pour que l'aventure, que j'aimerais tenter en septembre prochain, ne se transforme pas en cauchemard ? Est-ce que cela vous paraît un projet réalisable ou complétement irréaliste ? Comment pourrais-je me préparer au mieux sachant que j'habite dans une région dépourvue de bosses ? Ce qui me fait peur, ce n'est pas tellement de grimper un col en soi, c'est plus l'enchainement de plusieurs cols sur plusieurs jours. J'ai peur de complétement imploser. Merci pour vos éventuels retours et conseils ! Antoine
×
×
  • Créer...