Serge GUILLOBEZ

Le Ventoux depuis Bédoin, pas terrible du point de vue paysage, je préfère depuis Malaucène. Mon parcours préféré la X de Fer en commençant par le Glandon une vallée sauvage surtout la fin à faible influence humaine (pâturage) et une pente bien soutenue ! Et par beau temps une magnifique vue sur les Aiguilles dans le dernier km avant d’arriver au col. Si l’on descend sur St Sorlins , après le premier lacet petite mare dans laquelle se reflètent les ... Après le troisième lacet ne pas aller trop vite car route étroite et vue sur l’Etendard et ce qui reste de son glacier !.

Pour moi , vélo Roubaix : manque de graisse dans le boîtier de direction.

Je suis resté modeste : un Marmotton (Arrêt à la chapelle) parti dans les derniers et une crevaison puis une Marmotte départ en tete bien arrivé mais fourbu.

Bernard Moreau combien ?

Bien volontiers je n’avais pas encore démarré mes reportages en 2001.

La Lusette en 2007, victoire de Michel Roux. Ma dernière participation en 2015; un sacré cagnard ce jour avec une côte sévère via une route étroite (elle ne figure même pas sur les cartes routières) pour rejoindre le Minier. Plus de place pour moi dans la voiture balai, j’ai été un des derniers à parvenir au but. Pour 2001 Bernard il va falloir que je fasse des recherches sur mes vieilles données !

La Lusette fût empruntée une première fois par la Cycl’Aigoual au départ du Vigan, donc en première difficulté, j’étais tellement prudent que je n’ai pas trouvé cette ascension difficile (ce n’est pas Pourguère !). Par contre je crois que cette même cyclo l’a empruntée plus récemment en fin de parcours et là ce doit être plus dur. Autour de l’Aigoual il y a beaucoup d’autres ascensions très difficiles que cette belle Cyclo nous a fait connaître.

Salut Bernard tu roules toujours ? C’est possible en CH ? Au fait combien de Marmottes pour toi ?

Avec les deux ascensions du Pré de la Dame. Le plus dur c'était le collet de Villefort on passait en juste en dessous de l'arrivée , démoralisant !

Effectivement Pierre une belle cyclo, oú l'on s'est côtoyé notamment dans l'ascension de se foutu Pourtalet, on passait son temps à se doubler, toi à la pédale, moi quand tu t'arrêtais pour photographier le Pic ! Pour Bernard dans les belles CycloS de montagne que j'aimais bien : la Granite Mont Lozère première mouture, la Megève Mt Blanc (Aravis et Beaufortin) sans oublier pour Pierre : la Pierre-Jacques en Barétoux (orthographe ?) version Soudet. Des CycloS avec 4000 m de dénivellation.

Vilaret est entre la Daille , sortie de Val et le Chevril , proximité du barrage. Entre ces deux points c'est plat avec de nombreux paravalanches.

Localisation de la coulée de boue ? La route semble en descente ! Comment les voitures ont-elles pu se rendre à Super Tignes ? Par contre la grèle était bien présente du côté du Villaret. Pourquoi ne pas avoir jugé l'arrivée à Val ?

Mon épouse et moi même restant toujours respectueux du code de la route tenant toujours bien la droite. Sur la Mountagnole que nous avons terminé; il n'y avait plus d'eau qu'au sommet de Péguère. Un ravito avait été rajouté à mi Port de Lhers. On s'est pas mal arrêté mais jamais à l'ombre ! Après Massat un bidon pour l'eau de boisson et le second pour s'arroser le casque. Descente tranquille sur Vicdessos.On a toujours vu sur le parcours des véhicules de l'organisation, motard voiture de médecins, ambulances. Au Port il y avait même un hélico de la gendarmerie. Nous sommes dans les catégories les plus élevées. Un seul regret l'accueil inexistant à Auzat et la suppression du classements. On nous avait parlé d'arrivée au Port.

Quand on mouille que le casque, comme celui-ci ne transpire pas ...

Vous connaissez le principe de la Gargoulette ou du Canari (poterie africaine poreuse) ?

N'ayant pas de capteur d'humidité en déplacement je ne peux certifié que le temps était sec/humide. Au niveau sensation on a gravi Pailhere le mercredi : dur mais sans plus, le lendemain Pradel plus court aussi dur mais pénible. Sur le site de météo France St Girons t max le jour de la course : 36,6 malheureusement pas d'humidité ?

Complément c'est bien humidex lien Wikipedia : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Indice_humidex

Effectivement Bernard, j'ai roulé un peu à Mayotte t° voisine de 30, taux d'humidité proche de 100% . En dessous de 20 km/h c'était très pénible. Il existe un indice : humidex (nom à vérifier) qui prend en compte température et humidité.

Il ne me semble qu'en ce qui concerne la Mountagnole ce soit un fiasco. La plupart des concurrents étaient passés à Massat avant la décision de l'organisation d'arrêter l'épreuve. On était avec mon épouse munis chacun de deux gourdes pleines de 3/4 de litres. On a bu normalement dans la longue montée de Péguère effectuée le plus souvent à l'ombre. Première gourde finie au col; effectivement plus d'eau. Un signaleur nous a parlé du cimetière de Massat. On a été très prudent dans la descente ; il y avait beaucoup d'accidents ! Dans Lhers on est monté tranquillement évitant la surchauffe, nombreux arrêts pour s'arroser le crâne. Le coeur n'est jamais monté très haut. Il y avait même parfois un peu d'air. On a très apprécié le ravito à mi col qui n'était pas initialement prévu; il était très bien placé à proximité du petit torrent. Jamais on ne nous demandé de faire demi tour. Personnellement j'avais plus souffert l'année précédente dans la Pas de Soulombrie.

Cimetière à droite à l'entrée de Massat. Borne verte dans Massat à gauche après un petit talus. On longe un ruisseau à la sortie de Massat pendant plusieurs km.

Merci pour cette info car nous on avait le véhicule à Auzat et le plus simple était de continuer. A part le manque d'eau à Péguère l'organisation a su s'adapter. Personnellement j'avais plus coincé l'an dernier dans le Pas de Soulombrie pourtant bien plus court que le Port de l'Hers. Merci aux signaleurs de nous avoir signalé les points d'eau de Massât.

On fait partie des " inconscients" des "vieux" jusqu'au boutistes. On a profité des points d'eau de Massât, il y a toujours de l'eau quand on cherche bien. On a battu notre record des arrêts én Cyclo : presqu'une heure.! Le lieu du décès était au début de l'ascension du Port de Lhers, là où la conjugaison pente et chaleur commençait à se faire sentir. On a multiplié les arrêts de récupération et arrosage du casque, le ravito non prévu initialement à mi col ( non prévu initialement) merci les organisateurs fut le bienvenue pou le moral. Merci aussi pour les occupants d'une voiture qui nous arrosaient avec des jouets, toujours bon pour le moral.. Petit arrêt "géologique" près de l'Etang". Au sommet passage au contrôle pour "comptabilité" il y avait du monde au ravito et un "mariage" . La descente tranquille sur Vic fut rafraîchissante mais au virage à droite, j'ai eu l'impression de sortir d'un avion venant d'atterrir en mai à Niamey ! Pourtant le thermomètre n'indiquait que 32,5° à Auzat .

Il suffit en mode cyclotouriste de regarder à droite dans les fossés ...

Et l'exemple ?

200 m environ.