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Eric CHEFDEVILLE

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  1. je n'ai pas pu faire les corrections, désolé, quand je fais des corrections, le texte s'efface au fur et à mesure, bizarre non ?? je laisse comme ça, désolé !!
  2. salut à tous, il y a des ans que je ne suis pas venu mettre un commentaire, j'avais juste envie de partager avec vous ma sortie de dimanche, je vous raconte vite fait: En 2018 nous avions décidé de faire un challenge faire + de 300 bornes en 1 sortie, 6 potes étaient partant pour ce défi, nous l'avions réussi haut la main car nous totalisions environ 310 kms pour 2400 m de déniv, avant de se séparer nous nous sommes dit en 2019 nous ferons 400 bornes. En 2019 pas de 400 bornes en prévision, personnes n'est vraiment intéréssé pour partir 14à 15 heures sur sa machine, pas grave disons qu'on essayera de le faire en 2020. Nous avons donc décidé de faire ça ce samedi, malheureusement la météo sur le nord est un peu catastrophique, mais si on ne le fait pas, certains ne pourront plus déplacer le challenge à une autre date, entre les congés pour certains, le boulot pour d'autres ou encore des études pour les 2 gamins qui nous accompagner...pas simple de déplacer la date..ou on annule ??non on le fait !!! Réveiller à 2 h du mat j'ai rv à 4h avec Patrice (l'apiculteur) Benjamin (étudiant) et Cedric (étude d'ingénieur) et moi (dans un futur proche retraité), nous nous lançons pour notre challenge + de 400 bornes direction Rouen en partant d'Arras soit 195 kms. Les premiers 100 kms, pas trop compliqué, nous avons choisi de faire des relais de 1 km de manière à bien récupéré, le vent de face est très modéré, la cohésion est bonne et nous maintenons les 28 kms/h. Les 100 kms suivant changement total, la dépression annoncée est bien là, gros orage et vent violent avec rafales à plus de 50kms/h, nous maintenons notre rotation de relais tout les kilomètre on tourne, la moyenne décline, je gueule 1 coup après Cédric car nous allons trop vite (moi je pense au retour et au 2000 ml de dénivlé au menu) mon capteur de puissance est régulièrement au dessus de 270 voir 300 watts, il faut accepter de perdre quelques kilomètres/heure sinon on va exploser. Cedric baisse la cadence nous naviguons entre 24 et 25 kms/h jusqu'à Rouen....ouffff, on à faim on trouve une pizzéria..on respire 1/2 heure. Vers 13h on attaque le retour, au menu je l'ai dit : 210 kms et 2000 ml de déniv, nous surfons avec le vent de dos....quel bonheur, mais Benjamin qui nous avait concocté ce circuit à eu un malin plaisir à couper au travers des vallées jonchant notre périple pour récupérer les bosses qui se trouver sur le retour, donc les long bout droit à 40 km/h de moyenne fut très rare...rrrhhhh !! Nous essuyons au retour de nombreuses averses, le froid commence à nous miner un peu le moral, mais la fin est proche, à Doullens il reste 60 kms à faire, il est 19h30 , le ventre se manifeste, on a faim !! on achète quelque bananes, buvons un coup puis finissons notre challenge, ça tiraille un peu, moi le vieux, les cervicales crient au secours, pour d'autres ce sont des crampes qui surviennent de plus en plus...bref il est temps que ça se termine. A 21h 30 on termine notre défi avec 410 kms au compteur et plus de 3400 de dénivelé et 27.50km/h de moyenne, au vu des conditions climatiques, nous sommes fiers de nous. Patrice me dit en arrivant exténuer, qu'est ce qu'on fait l'année prochaine ??? infatigable !!
  3. Il y a un critère important à prendre en compte, c'est celui de l'intensité, je roule avec un capteur cardio à chaque sortie, si je décide de faire une sortie en i1 et i2 il est évident que ma moyenne kilo sera différente que si j'ambitionne de rouler en i3 ou en i4, en fonction des conditions climatiques la moyenne variera entre 4 et 6 km/h entre ces 2 critères, en roulant seul bien sur. Vous parlez de quelle intensité ??
  4. Bonjour Daniel, je possède les 2 vélos,le SWorks pour l'été et le second pour l'hiver, l'équipement : Tiges de selle et selles : Sur le Sworks j'ai laissé la fameuse (mais moche) tube de selle cobl gobl , sur le Pro j'ai une tige de selle Swoks classique. Pour les roues : des Mavics SLR sur le vélo d'hiver et des Roval s40 carbone sur le Sworks , les 2 équipés de pneus conti gp 5000 Résultat: Il n'y a pas photo le SWorks est vraiment plus nerveux et bien entendu plus léger, en revanche des la première sortie cette hiver avec le Pro, je sens immédiatement la différence au niveau du confort, j'ai moi aussi des problèmes de dos qui m'ont amené à changer mon Venge Works pour ces 2 vélos, pas de regret , bien au contraire en 2018 ma plus grosse sortie avec le Roubaix SWorks était de 320 kms, je suis rentré nicket, avec mon Venge au dessus de 130 bornes je commençais à accuser le coup, donc je reste sur ces 2 vélos. Donc oui tu constateras une différences entre les 2 vélos, surtout sur les premières prisent en main de l'un ou de l'autre.
  5. Pardon je voulais dire plus haute...c'est bien il y en a au moins 1 qui suit !!!😉
  6. J'avais eu ce problème là en descendant Super Besse en Auvergne et je pensais réellement que j'allais gouter au goudron, à l'époque on m'avait dit à juste titre de vérifier ma hauteur d'entretoise (60 mm) j'ai donc changé de vélo par la suite avec une douille de direction moins haute, qui a eu pour effet d' utiliser moins de cale entre la potence et la douille; résultat aujourd'hui 25 mm maxi et le problème ne sait jamais plus produits...oui alors je sais certains me diront que cela provient certainement du changement de vélo...??!!! Moins de souplesse au niveau du poste de pilotage améliore à mon avis la tenue de cap ET les entretoises, n'aident pas à rigidifier l'ensemble fourche/douille/cintre.
  7. Hier 147 kms et 6OO ml de déniv. Samedi prochain on va commencer à taper dans le dur au vu de l'EDT qui s'approche à grand pas. Pour les mecs du Nord ET Pas de Calais, il ne faut pas louper le brevet Verquin Hardelot Verquin, jolie parcours de 214 kms et de 2000 ml de dénivelé, une bonne rampe de lancement pour la préparation d'une grosse cyclosportive, avis aux amateurs et pour ceux qui continu à penser que cette région n'est pas digne d'intérêt.
  8. Pauvre femme...elle n'a pas souffert j'espère ??
  9. Pas facile de mesurer !!! Quant tu es dans le dur, cela te permet de le justifier par la lourdeur des roues ou la taille des pneus😄...non réellement la différence n'est pas perceptible au niveau des sensations, mais la puissance dégagée par l'homme est si modeste à près tout que le moindre changement à des répercutions sur nos performances c'est sur, mais pour moi petit amateur, gagné 1 minute sur l'EDT ...la belle aubaine !!!😉 Je crois qu'on est plus dans le domaine du plaisir.
  10. Idem revendu les miennes il y a 1 an, par crainte de la crevaison , j'ai racheté des Mavics SLR même poids mais à pneus plus serein en cas de problème et surtout montage d'un pneu de 28 mm.
  11. Joachim, tu n'avais pas "investi" dans des c35 boyaux il y a 2 ans ??? Les roues apportent un plus c clair mais sur un chrono ok il y a une amélioration, sur une épreuve comme l'EDT ok elles te permettront de gagner quelques places, mais sur des courses en lignes pas vraiment d'intérêt !!
  12. Le gain de poids est bien sur l'une des raisons mais pas la seule, il est vrai que sans cardio ni capteur de puissance il est pas facile de comparer, il faudrait étaler les tests sur quelques semaines pour arriver à tirer quelques conclusions car d'une journée à l'autre la forme n'est pas la même et je ne parle même pas des conditions météos.
  13. Hier super temps dans le ch'nord est une belle sortie de 161 kms pour 950 ml de dénivelé, brevet de Beaurains à coté d'Arras de 75 kms à plus de 32.2 de moyenne ensuite de la rallonge avant et après le brevet pour un total de 161 kms et un petit 31 de moyenne/ puls 141 mon max étant de 184, donc du foncier et dans les bosses je tente de ne pas dépassé les 160 puls, je me limite à cela en prépa de l'étape du tour pour habituer l'organisme à son futur rythme de croisière en espérant que ça tienne.
  14. D'accord avec toi sauf que quand tu pars du SAS numéro 12, tu dois te frayer un chemin bien des fois pour pouvoir doubler, je ne te parle même pas des descente ou les écarts de vitesse sont tout simplement incroyables et là c vraiment dangereux et aussi pénalisant pour celui qui vise un temps de référence, mais le pompons c les ravitos...là tu as des mecs partout sur la route, qui traversent pour aller se ravitailler (normal après tout) mais toi si tu n'as pas l'intention de t'y arrêter, t'es obligé par endroit de poser pied à terre pour pouvoir slalomer entre tous de cycliste affamés et assoiffés. Donc au final ce sont des minutes que tu additionnes, il est difficile d'évalué les minutes perdues biens sur mais elles sont là c certains !!
  15. Une anecdote d'un professionnel , l'an dernier Adrien Petit et John Gadrey ont fait un brevet (90 Kms environ)dans le ch'nord avec nous petits amateurs et en discutant avec eux (très abordable d'ailleurs pas la grosse tête) j'avais dit à Adrien Petit qu'il devait bien s'ennuyer avec nous à cette allure et ce que pouvez bien lui apporter ce type de sortie et il m'a répondu que pour perdre la graisse il n'y avait rien de mieux que des sorties à faible intensité... alors je me suis dis que ce qui était bon pour les pro devait être bon pour nous aussi...non ???
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