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olivier VINCENT

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Tout ce qui a été posté par olivier VINCENT

  1. Non mais faut pas comparer avec le giro de cette année. Sur les 11 premières étapes, on a eu: 1 prologue où tous les favoris partent au début et où on se retrouve avec 2h dernières heures de course sans intérêt. 5 étapes aux sprint avec une échappée reprise par le peloton dans les derniers km. 1 étape qui aurait du arriver au sprint mais une chute coupe le peloton. 1 étape qui aurait dû arriver au sprint mais un coureur échappé conserve 5m d'avance (ce qui peut arriver aussi sur le Tour). 1 CLM 2 étapes où l'échappée va au bout et où on a un peloton de plus de 50 coureurs. C'était une horreur cette année. Sur le tour, on va avoir : 4 étapes plates vraiment faites pour les sprinteurs (Bruxelles, Chalons sur saone, Albi,Toulouse), et encore je pense qu'à Albi, il y a moyen d'avoir autre chose qu'un sprint). 1 CLM par équipe 1 étape avec final très accidenté (Epernay) 1 étape pour sprinteurs mais avec une petite bosse dans le final qui peut faire mal (Nancy) 1 étape Vosgienne pour les échappées (Colmar) 1 grosse étape de montagne dans les Vosges (La planche des Belles filles), certes tout le monde attendra les derniers km, surtout avec le prolongement stupide de la montée finale, mais ce serait pareil au Giro. 2 étapes vallonnées dans le massif central pour les échappées (avec petite possibilité d'attaques des leaders dans les tous derniers km).
  2. Ce sera bien Albertville - Val Thorens. Le Championnat de France de quadrette qui devait se tenir à Albertville du 19 au 21 Juillet 2019 va être avancé d'une semaine pour ne pas entrer en concurrence avec l'Etape du Tour. Reste à connaitre la parcours (Beaufortain ou Madeleine?)
  3. Je suis partagé sur ce nouveau parcours. J'ai trouvé les premiers secteurs très mal préparés avec énormément de cailloux, je pensais qu'ASO aurait un peu plus balayé la zone. Leur influence sur la course est difficile à estimer. Avant le 1er secteur, il y a une chute, un peloton qui roule vite, des bordures en cours de réalisation, le 1er secteur a été abordé par un peloton déjà bien étiré. Concernant les crevaisons, je ne vois pas pourquoi il y aurait plus de crevaisons sur ce type de parcours que sur Roubaix. Je pense que le problème vient surtout d'équipes qui ont mal préparé la course, ou ont voulu prendre des risques avec des boyaux d'un meilleur rendement mais peu résistants. Il faudrait voir dans les futures éditions (si ce type de parcours est reconduit) si les équipes d'adaptent. Je pense qu'en supprimant / nettoyant les 2/3 premiers secteurs (ou en prendre d'autres dans un meilleur état), on écarterai les risques de crevaisons en série et le sportif reprendrait le dessus (même si je pense que ce sont déjà les plus forts du jour qui se sont retrouvé devant). Quand à la réaction de Lefévère, que dire... il est vraiment affligeant ce mec.
  4. Le vrai problème de l'équipe de France, c'est qu'on a des coureurs qui ont peu de victoires fasse au gratin mondial. Bardet a ses 2 victoires sur le Tour, en 2016 en profitant de la pluie dans la descente, en 2017 au sprint au sommet d'un col se terminant à 15%, là le sprint sera sur du plat. Pinot a plusieurs belles victoires, mais souvent avec une arrivée au sommet et dans une course par étape, où il y a un marquage dû au classement général. Il a tout de même certaines belles références sur des arrivées en petit groupe. Alaphilippe possède sa victoire à la Flèche Walonne, mais là on est dans un style de course complètement différent. Il a également sa victoire à la Classica San Sebastien, mais cela reste une course particulière, située en sortie du Tour. En montagne, il n'a aucune référence face aux meilleurs (là meilleure reste le Dauphiné 2016). Tout ça pour dire de rester humble. On a une équipe pour jouer le podium (les 3 cités ont pas mal de podiums sur Liège et la Lombardie) voire la gagne, mais il ne faut pas croire que les autres nations nous sont inférieures. On fait partie des 5 grosses équipes. Pour se faire une idée, c'est toujours intéressant de voir les favoris cités à l'étranger. Cela permet d'avoir une vision un peu moins Franco-Français.
  5. C'est un prodige, ça personne ne peut dire le contraire. Reste à présent 2 questions : - Quelle est sa marge de progression? C'est la question majeure avec les jeunes. Beaucoup de juniors ou espoirs ne confirment pas chez les pros car ils plafonnent, ayant atteint leur meilleur niveau à 20 ans.D'autres moins forts dans les catégories jeunes continuent leur progression jusqu'à 27-28 ans et doublent rapidement ceux qui écrasaient la concurrence chez les jeunes. - La question se posant encore plus concernant Evenepoel puisqu'il semble (merci de me confirmer ce point) que s'il ne s'est mis sérieusement au vélo que depuis 18 mois, cela fait des années qu'il vit en semi professionnel, couvé par les centres de formations des clubs de foot. Actuellement, il courre avec d'autres jeunes qui jonglent entre leurs études et le sport, ils ont certainement mois de temps pour s’entraîner, dans de moins bonnes conditions. Evenepoel serait un très bon coureur, mais dire aujourd'hui que ce sera celui qui écrasera tout le monde dans quelques temps, c'est un peu trop tôt.
  6. C'est vraiment réducteur. Regarde la composition des Pays-Bas, c'est plus fort que la France. La Grande Bretagne a de belles cartes, l'Espagne sera là, la Colombie est au moins aussi forte que la France.
  7. Si Virenque avait en travers de la gorge la victoire de Leblanc c'est qu'il raconte avoir parlé avec Leblanc, pour lui dire qu'il allait attaquer dans quelques centaines de mètre et que et que Leblanc l'a trahis en attaquant avant. Concernant notre équipe de France, je pense que Barguil sait très bien qu'il est là dans un rôle d'équipier. Son objectif sera de suivre les groupes entre le km 150 et le km 200. il sera également important dans le cas où la France se fait piéger à un moment clé. Je ne vois pas l'intérêt d'aller dans l’échappée matinale, à moins que les grosses nations ne mettent des pions à l'avant. Ce serait griller une cartouche inutilement. Pour moi, la question, c'est quel style de course doit imposer la France ? Une course d'attente, sur un rythme régulier pour qu'Alaphillippe passe les difficultés le mieux possible (j'ai toujours un très gros doute sue ses capacités à ne pas être trope entamé dans le final, s'il est dans le final). Ou lancer une course de mouvement pour profiter de la force de notre équipe en montagne (avec un Barguil en bonne condition et des Bardet, Pinot très bons ces dernières semaines)?
  8. Quel scénario auront nous sur le championnat du monde le plus attendu depuis plusieurs décennies? - Le scénario le plus probable : Une échappée composée de 2nd couteaux prend les devants. Les équipes favorites roulent au train derrière afin de limiter l'écart. A mi course un contre sort avec plusieurs grosses nations représentées. Derrière un des pays absent ou n'ayant pas mis sa meilleure carte devant roule. On arrive dans les 2 derniers tours avec un peloton fort de 75 coureurs. Dans le col, le manque de pourcentage et le vent de face rend difficile toute offensive. Le dernier tour est entamé avec un peloton principal de 50 coureurs et une dizaine d'échappés 1mn devant. Les équipiers montent la côte d'Igls à fond, ils ne sont plus que 15 au sommet. Les attaques fusent dans le mur final. 3 coureurs se disputent le titre au sprint. - le scénario "Rio 2016" : Une course promise aux grimpeurs, 5000m de dénivelé, tout le monde n'attend qu'une chose, voir un grimpeur s'imposer. Oui, mais c'est oublié certains "précédents". A Mendrisio en 2009, 4700m sont proposés, on annonce ici également un circuit pour grimpeurs. Et si c'est bien l'un d'entre eux qui s'imposera (et encore ce n'est pas un pur grimpeur), les puncheurs ont bien tenu avec la présence de Kolobnev, Gilbert ou Cancellara dans le top 10. Le GP de Montréal disputé chaque année propose lui 4500m de dénivelé, ce qui n'empêche par les puncheurs sprinteurs de se disputer la gagne. Et que dire de Rio en 2016 et de son circuit final? La aussi les grimpeurs devaient s'envoler. Mais c'était sans compter le scénario de course, qui voit plusieurs coureurs anticiper la lutte finale. Et c'est l'un d'eux, un puncheur, qui profitera des chutes multiples dans la descente pour s'imposer. Ne mettons donc pas de coté un scénario où les spécialistes de classiques suivent dans la difficulté principale (qui reste roulante, sur une route large et en ligne droite, peu favorable aux offensives) et anticipent la bataille finale pour régler tout le monde au sprint. - Le scénario fou : Dès le km 0 , les attaques fusent. L'échappée n'arrive pas à partir. Après 60km de lutte acharnée, le peloton arrive groupé dans le col de Gnadenwald. Les grimpeurs se mettent en action et le peloton explose littéralement. On retrouve une échappée avec Mollard, Sagan, Uran, Preidler, Mollema, Adam Yates, De Marchi, Jon Izaguirre, Carapaz et Zakarin. Derrière on commence à prendre peur. les Italiens et Néerlandais ne font pas confiance à leurs hommes échappés et se mettent à l'avant du peloton. Ils maintiennent un rythme élevé pour ne pas laisser l'échappée s'envoler. A l'entrée sur le circuit les 10 hommes de tête ont 3mn20 d'avance sur un groupe de 40 coureurs. Derrière, c'est rideau. Plus de 150 coureurs abandonnent à mi course. Chaque montée voit le petit peloton perdre 4-5 coureurs. Les attaques fusent de toute part, le réalisateur a perdu le fil, impossible de savoir quels sont les différents échelons de la course. A 80km de l'arrivée, la pluie fait son apparition. Il n'y a plus que 30 hommes sur le circuit, dispersés dans 5 groupes différents. On assiste à une course folle, c'est du chacun pour soi. 8 coureurs finiront la course. Ce championnat rentre dans le Panthéon du cyclisme. - Le scénario pourri : Un gros groupe de 20 coureurs part dès le départ. On retrouve un grand nombre de nations représentées. Derrière les grosses nations se marquent, personne ne veut prendre la course à son compte. L'échappée gère parfaitement son rythme en escaladant la difficulté du circuit sur un tempo modéré avant de faire une descente et la transition à bloc. Le peloton peine à revenir, reprenant un peu de temps dans l’ascension avant de tout reperdre dans la descente et le plat. C'est donc l'échappée matinale qui va se disputer le titre.
  9. On ne dit pas que la Vuelta n'est pas ennuyeuse, mais qu'elle ne l'est pas plus que le Tour. Nous avons effectivement eu un train Astana hier, qui a volé en éclat rapidement dans la dernière difficulté. Avec la Sky, le train reste en place la moitié de l’ascension finale (voir même les 2/3) . C'est une grosse différence. Le gros problème de la Vuelta reste la difficulté d'avoir de beaux enchaînements de cols (hormis l'étape Andorrane de Samedi, il n'y en a pas). Hier il était impossible d'attaquer avant la montée finale. Il faut alors faire comme Pinot, en tentant le coup sur une étape de transition, et espérer que derrière, on se regarde, mais dans le cyclisme "moderne" (même si je n'aime pas ce mot), les enjeux sont tellement importants qu'il y a toujours une équipe pour venir rouler.
  10. Si je déplore également la répétition de courses de côte sur la Vuelta, je ne trouve en revanche pas la course plus ennuyeuse que le Tour. Et il faut voir d'où vient la Vuelta, course où les espagnols étaient très souvent majoritaires : En 99: 6 Espagnoles dans les 10 premiers En 2000: 7 2001: 8 (et 13 dans les 15 premiers) 2002: 8 2003: 8 (et 12 dans les 15 premiers) 2004: 10 sur 10 (et 14 dans les 15 premiers) 2005: 7 2006: 6 2007: 6 2008: 6 2009: 5 2010: 5 2011: 3 2012: 6 2013: 4 2014: 5 2015: 4 2015 4 2017: 1 La course est à présent beaucoup plus internationale (merci le World Tour), le niveau est bien plus haut. Un choix a été fait par les organisateurs pour se démarquer du Tour et du Giro : proposer peu d'étapes pour sprinteurs et utiliser les multiples montées à très forts pourcentages de la péninsule Ibérique. On peut trouver ceci exagéré (il manque des arrivées en descente, et des étapes avec enchaînement de cols, même si les routes espagnols offrent peu de possibilités de ce côté là), mais au moins, je trouve que la course a gagné en prestige comparé au années 90 et 2000. Et puis soyons honnêtes, la course de côte, c'est également le quotidien des étapes difficiles sur le Tour et le Giro (à 1 ou 2 exceptions près).
  11. Quelques précisions : Le col du Portet a été goudronné, il n'y a pas de partie en gravel. Le départ en sas est un gadget. Entre le 1er et le dernier, il devrait y avoir 20 secondes maximum. C'est juste pour la photo. Les équipiers seront à l'avant au bout de moins de 500m. Si je ne pense que l'on va avoir une étape incroyable, c'est bien d'essayer. Je déplore simplement la disparition des étapes de montagne marathon (en gros l'inverse d’aujourd’hui). Je serais surpris que des favoris partent dès le départ. J'espère me tromper.
  12. J'ai fait 3 étapes au bord de la route cette année. Au Grand Bornand, public quasiment 100% Français, composé quasi exclusivement de cyclistes (sommet de la Colombière difficile d'accès par un autre moyen). Très bonne ambiance, aucun sifflet. A la Rosière, un peu plus d'étrangers, la plupart en vélo, des fumigènes on été allumés à coté de moi, par des slovènes. Pas de sifflets non plus. L'Alpe d'Huez, plus de 50% d'étrangers. Et si on parle des groupes complètement bourrés, on passe facilement à 75% d'étrangers. Sur la portion où j'étais, j'ai eu droit à des Italiens bourrés, se comportant comme des porcs, laissant leurs détritus tout au long de la route. Là où Nibali, chute, c'est un groupe de Luxembourgeois qui mettaient un bordel pas possible, bloquant tous les véhicules. Ce sont eux qui ont allumé les fumigènes à cet endroit. En voyant les images de la montée après coup, on voit en effet un Français avec la maillot Zidane avoir un comportement idiot, et je pense que celui qui a voulu frapper Froome était également Français. Mais on peut parler également du comportement des Colombien courant à 10cm des cyclistes (et eux, c'est également valable sur plein d'autres courses). A l'époque Armstrong, les Américains se comportaient également n'importe comment.
  13. Je me pose également beaucoup de questions. Comment Froome et Dumoulin vont gérer cette 3ème semaine avec cet enchainement Giro - Tour ? Comment Thomas va passer cette 3ème semaine ? Lui qui a toujours connu un jour sans semble tellement dominateur cette année. Va-t-on assister comme au Giro à des explosions dans les dernières étapes de montagne?
  14. Je passe sur les raisons de l'abandon de Nibali, chute ressemblant à celle d'Armstrong en 2003 au pied de Luz Ardiden (une lanière qui dépasse) et qui aurait pu arriver n'importe où. Une chose m'a marqué, c'est l’absence de gros gruppetto cette année. Il y avait des petits groupes puis des coureurs isolés. Cela change des années précédentes où on avait un énorme gruppetto de souvent 100 coureurs.
  15. Si elle a arrêté, c'est purement financier. Eurosport lui proposait un poste alors qu'elle faisait du vélo chez Lotto quasiment "bénévolement". De plus après son titre de championne de France, elle a eu beaucoup de mal à avoir des résultats.
  16. Déjà un sujet d'ouvert. Le pire c'est que personne ne voit qu'il donne un coup dans une pédale avec son pied, ce qui fait tourner les manivelles.
  17. La portion Glière - Cluses est très longue et très usante. Ce n'est que la 1ère étape de montagne. Même avec une équipe au complet, Bardet n'aurait jamais attaqué dans les Glières. Et je vais même être honnête, s'ils avaient fait ça, il n'y aurait eu que Bardet et Latour dans le groupe au sommet. Après tu fais quoi? il reste 80km, dont 50 de transition. Si déjà ça attaque au sommet de Romme, ce sera bien.
  18. Demain on devrait voir un ou 2 favoris sauter. J'ai un peu peur que certains prennent cette étape pour se jauger et n'essayent rien. C'est certain qu'il ne se passera rien avant le col de Romme, on devrait avoir une sélection par l'arrière. La Rosière risque en effet de faire très peu d'écarts (on pourrait même avoir une quinzaine d'hommes ensembles, j'en ai peur). Par contre l'Alpe d'Huez va faire des écarts. En 3ème journée de montagne, avec la Madeleine et la Croix de Fer avant, même s'il n'y a pas de course avant Bourg d'Oisans, les écarts seront important. Je pense que le 10ème de l'étape sera au moins à 3mn du vainqueur.
  19. On voit surtout qu'il donne un coup sur une pédale avec son pied. On voir les manivelles qui se mettent à tourner. Encore une fois (et ce sont toujours les mêmes) des accusations avec des preuves qui montrent le contraire.
  20. Le problème n'a pas l'air d'être les boyaux, ils avaient eu 1 crevaison sur Paris Roubaix et d'après Lavenu, 4 aujourd'hui. Donc on peut penser que c'est plutôt la technique de Bardet qui a posé problème (ou la malchance).
  21. Dans mes souvenir d'enfance (Tours des années 90)., c'était déjà comme çà. Et avant également. La seule différence, c'est qu'au lieu de diffuser les 50 derniers km, on diffuse l'étape en intégralité, donc forcément, le temps où il ne passe rien est plus long.
  22. Je confirme la personne en cours de réanimation dans le col des Fleuries. Mon père l'a vu en passant, et sur un autre forum, plusieurs autres personnes en ont parlé. Pas d'infos sur 2 décès en revanche.
  23. Comme toujours c'est n'importe quoi. Toutes les équipes fonctionnaient de la même manière que Festina. Certes, les journalistes, organisateurs, institutions savaient que le dopage était omniprésent, mais dans toutes les équipes. Il n'y avait pas un plan spécial pour faire gagner Virenque.
  24. Je pense comme toi. On aura peut être un ou 2 outsiders qui perdront un peu de temps, mais c'est tout. La seule interrogation, c'est la météo. S'il pleut, cela peut être différend. Mais dans ce cas là, il faudra déjà voir quels secteurs pavés sont conservés et lesquels sont annulés.
  25. Et il n'est pas le seul. Autour de moi tout le monde ne cesse de répéter que de toute façon Froome va tomber lors de l'étape des pavés. Quand je leur rappelle qu'il a abandonné avant le 1er secteur, ils ne me croient pas. Je suis certain qu'il va faire une excellente étape roubaisienne.
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