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Patrick RICARD

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  1. Rien de plus normal qu'il soit un "rouble" .../... Moi, avant j'étais très franc, et depuis quelques année je suis devenu exclusivement euro. Par contre s'il est un peu "trouble", fautr creuser.
  2. Mais comment parviens tu à avoir toutes ces infos ? Je suis surpris que personne d'autre ne t pose cette question. 😇
  3. Je n'ai aucune idée de ce qu'il a fait ou pas fait, pour être à ce niveau. Je constate simplement qu'il est à un âge avancé en TRES bon état de santé et même sportif (43 ans). Si d'aventure, il vit vieux, il y aura encore plus matière à s'interroger. Et pour ma part, dépendamment de toute activité sportive, s'il y avait un prodit qui me permet de vivre en bonne santé jusqu'à 120 ans, je suis preneur. Après tout, n'en déplaise aux grincheux et aux esprits chagrins,demeure que c'est grâce aux conditions de vie écoulées jusqu'à ce jour, à l'hygiène et à la pharmacopée que la durée de vie (et la qualité de vie) a progressé.
  4. Les moralistes et les biens pensants de tous poils vont peut être me tomber dessus. Considérant que la préservation de la santé doit être la considération majeure, je m'interroge, et vous apprécierez : Tous les êtres humains ne sont pas égaux. Sauf à considérer qu'il n'a grillé qu'un feu rouge et a eu la malchance de se faire prendre la main dans le sac pour c seul incident, .../... à croire que ça conserve !!!.
  5. + 1 Et j'ajoute : que l'on soit blanc, noir, jaune, chrétien, juif, musulman, bouddhisme .../... ou que sais-je encore. Quand tu te prends une averse et que tu est loin de la maison, d'ou quelles que puisse être tes origines, tu te fais rincer comme les autres. Le sport est sans doute l'un dernier havre (de paix, sauf peut être dans le foot) qui rassemble (ou qui devrait). Préservons-le.
  6. Au tac au tac, je réponds : l'un n'empêche pas l'autre. Sur le fond, la réussite, ce n'est certainement pas d'avoir une Rolex avant ou après 50 ans. Mes deux montres ne valent pas plus de 100 euros. L'image n'impressionne qu les simples d'esprit. La réussite, c'est d'aimer la vie par dessus tout, et d'être suffisamment bien dans sa peau pour souriure à celui qui tente de traîner dans la boue, ou qui te vilipende. Personnellement, j'estime que le vélo a tout à gagner en notoriété à se défaire de son image d'antan, un peu "bidochone", tout en conservant son caractère populaire. Ce n'est pas incompatible. Mais, il t'appartient d'être d'un avis différent.
  7. Encore une fois, combien sont-ils à parler sans savoir, au lieu d'apprendre à réfléchir. Aux enrhumés du cerveau, je suggère de méditer cette maxime : "L'idiot ne sait pas ce qu'il dit et le Sage ne dit pas ce qu'il" C'est normal : il instruirait les idiots. Et comme, je ne suis pas idiot, et pas vraiment sage, je veux bien apporter mon écho à cette réflexion. Pourquoi croyez vous que les pyramides sont larges en bas et étroites en haut ? Le golf tend à devenir un sport de plus en plus populaire, de ceux qui crèvent de jalousie parce qu'ils n'en sont pas, et tiennent à faire croire qu'ils en sont. Le vélo est en passe de devenir un sport de petit bourgeois, voire de nantis, en raison du coût de la pratique et parce qu'il nécessite beaucoup de loisir. Le financier est un terme générique qui recoupe une multitude de job et de situation, entre "ceux qui travaille pour" et se mettent au service de "ceux qui détiennent le pactole". Une piste si vous voulez réussir : réfléchir par soi même, ne pas croire, être réactif mais patient, garder son sang froid, avoir du courage, savoir en garder sous la pédale, se garder des clichés et des raisonnements simplistes, et surtout fuir l'instinct grégaire. Dans tous les cas, je préfère le commerce de ceux qui en ont (de l'humour aussi), de ceux qui se circonscrivent à tremper leur plume (et le reste), pour mettre en lumière leur esprit chagrin, et pour tout dire impuissance à réussir. Quelle fâcheuse manie que de penser que parce le voisin me précède, c'est qu'il est forcément dopé ou qu'il a triché ! Avez vous imaginé qu'il était peut être plus fort ou plus malin ? C'est à vous
  8. A tous, J'ai toujours su qu'il fallait mesurer et calculer (ses efforts) dans le vélo, mais de là à imaginer qu'il fallait faire en plus avoir la bosse des math !🤑
  9. Salut François, A tous vous lire, je note qu'il est dépassé l'époque ou l'on considérait que les cyclistes et sportifs en général, avaient un esprit étriqué. J'ai lu certains post en matière d'hydratation et de diététique en général qui démontrent tout le contraire. Mais un amoureux des belles lettres, pas encore ... Pour être sérieux, je ne connaissais pas la suite de quatrain, mais j'ai eu la curiosité de chercher. Il semble que ce soit d'Edmond Rostand.
  10. 2/ Salut Cédric, Des observations et des questions me viennent à l'esprit à la suite de la lecture de ton post. 1/ Sur tes braquets sur cette Lapébie 2013 A mon sens, en raison des temps que tu accompli, tu disposes des braquets adaptés à tes moyens. Même si à une vitesse donnée, il est souvent préférable de réduire un peu les démultiplications, je pense qu'il y a un effet de "mode" aux excès inspirés par les têtes d'affiche actuelles avec lesquels la comparaison n'est pas possible. A partir d'un 50 x 34, j'ai une cassette 13 x 30 sur mes roues de montagne, conforme à ce ma force et mon âge. cela dit, le 13, dans les premiers km en légère déclivité, lors d'un cour instant, je l'avais un peu autour du cou. 2/ sur vos outils embarqués Tous les commentaires que je lis les concernant, me laisse à penser qu'ils sont mieux que des gadgets. J'ai le souvenir des premiers cardio mis sur le marché qui n'étaient pas particulièrement agréable à porter, et pour ma part, je fais tout aux sensations. 3/ Sur la prise de poids hivernale Qu'est ce tu changes dans ta vie pour prendre 5 kg l'hiver ? Personnellement, durant tout l'hiver, et même presque tout ce printemps ou je n'ai pas du accomplir plus de 500 km, je n'ai pris que 2 kg en me laissant un peu aller côté diététique.
  11. Salut François, Curieux parcours ressemblants ; ma première vrai balade à vélo en solitaire remonte à mes 14 ans, quelques jours après le décès de mon père le lendemain du décès, ou j'ai emprunté le vélo de mon oncle pour effectuer environ 60 km à partir d'Aspet, ou j'ai grimpé le col de Ares aussi vite que j'ai pu pour évacuer toute la rage et le désespoir qui m'habitait. Je suis rentré complètement cuit, je me suis vidé la tête, mais je suis rentré apaisé. C'est ce jour là que j'ai compris que le sport et le vélo en particulier pourrait m'être bénéfique. Et Luchon, c'est mes sorties de ski en CM1 avec un instituteur très sportif, les classes de neige, mon enfance .../....
  12. Jammes, Je n'ai pas relevé ton patronyme "dans les "+ de 5 h". Jammes, c'est un pseudo ? Par contre, dans les 10 premiers km de l'ascension du Balès, j'ai calqué mes efforts sur ceux d'un coursier qui connaissait parfaitement cette ascension. Il s'était fixé 8 km/h dans les passages les plus durs. Il a appliqué son plan, et moi, je suis resté en plan pour un malheureux km/h qui en ces lieux a un sens.
  13. Pour respecter la traddition, j'y vais de mon petit CR 117 kilomètres auxquels s’ajoutent l’échauffement et la distance à parcourir entre le départ fictif et le départ réel, et avant que ça ne chauffe, ça refroidit. D’ailleurs, il ne fait pas très chaud : 12°C. Une fois n’est pas coutume, je suis bien placé sur la ligne de départ. C’est peut-être pour cela que je trouve que nous parcourons les premiers kilomètres à une vitesse somme toute modérée en considération des nombreux faux plats descendant qui nous conduisent à Ciep-Gaud : 60 km enregistrés au max. Revers de la médaille, serrés comme des sardines, je reste très vigilant. Le goudron, c’est un peu rugueux. Après avoir franchi la commune de St Béat pour tourner à gauche sur les premières pentes du Col de Menté, côté trouillomètre, ça va mieux, mais côté efforts, ça va moins bien. Je crois avoir mal vu en jetant un œil sur mon compteur. Atteint par la cataracte si jeune, ça m’ennuierait ! Non, non, j’ai bien vu. Manifestement étrangers au phénomène de l’apesanteur dans les premières pentes à 9-10 % du Col de Menté, certains s’éloignent de moi à une vitesse estimée de l’ordre de 18-20 km/h. Pour les autres dont je fais partie, chacun à son échelon, c’est coup de frein à mains et tout à l’heure pour le déjeuner. Ce qu’il y a de déprimant dans le cyclisme, et en particulier dans les ascensions de cols, c’est le regard qui se porte systématiquement vers ceux qui sont plus haut et rarement vers ceux qui sont plus bas. Maintenant, c’est chacun pour soi et dieu pour tous. Enfin, pour ceux qui croient. Comme je n’y crois pas, il ne me pousse pas. Sans lui, je fais quand même mon petit bout de chemin dans les limites que la nature m’assigne, se montrant de plus en plus en plus pingre au fur et à mesure que les années passent. C’est sûr que si je m’étais mis au golf comme nombreuses de mes connaissances, je pourrais avoir un gros ventre et me targuer d’un bon put. Je ne sais pas si c’est comme cela qu’on dit ! Comme je fais du vélo depuis l’âge de 15 ans …/… De toute façon, je n’aurais pas supporté d’avoir un gros ventre. Je préfère avoir des abdos apparents et des muscles saillants, et tant pis si ça ne suffit plus pour tutoyer les sommets en bonne compagnie. A défaut d’être fort, on essaye d’être beau et digne. Surpris par la griserie de la descente et des virages successifs, j’apprécie modérément la vacherie de coup de cul qui précède la bifurcation vers le col des Ares. Dans le Col des Ares, accroché aux basques d’un petit groupe d’une dizaine de coureurs, ça avance doucement, mais ça avance quand même. Petit regroupement dans la descente. Le vent de dos qui souffle dans la courte vallée de Luchon en direction de Montréjeau n’incite pourtant aucun de mes compagnons à faire du zèle. Moi non plus. Le Port de Balès commence à hanter les esprits. La côte de Sidaran se monte assez tranquillement jusqu’au ravitaillement de Mauléon auxquels il est préférable de faire honneur. Personnellement, j’ai à l’esprit les crampes qui m’ont contraint à stoppé net lors de la Barousse Balès il y a 3 semaines. S’il m’est déjà arrivé quelquefois de négliger les signaux de mon corps, cette fois je guette. Durant la dizaine de km qui suivent Mauléon Barousse, accompagné de deux autres compagnon de route, nous progressons prudemment mais régulièrement. Nous ne rattrapons pas ceux qui nous précèdent d’une petite centaine de mètres, tandis qu’à l’inverse, ceux qui nous suivent à la même distance ne semblent pas enclins à vouloir se joindre à nous. Mais les 10 derniers km sur les portions qui vont de 8 à 14 %, c’est à nouveau chacun pour soi, et Dieu qui ne fait rien pour moi. Comme je ne fais rien pour lui, on est quitte. Pour moi c’est 7 km/h sur 34 x 30 lors des portions les plus dures, et de temps en temps 34 x 27, voire 34 x 24 en danseuse pour 9 km/h, quand c’est un peu moins raide. Même si ce n’est pas très glorieux, il y a beaucoup de 7 et très peu de 9 ! Je saisis le prétexte d’un ravitaillement liquide installé par les très prévoyants organisateurs à mi col, pour faire le plein et faire une pause d’une ou deux minutes, arrêt pipi inclus. C’est toujours ça de moins à monter. L’un de ceux qui me dépasse me souffle : allez, tu peux m’accompagner, c’est dans la tête. Facile à dire. C’est vrai que certains hennissent tandis que je regarde le paysage. Que puis-je faire d’autre ? Si je me fais violence comme eux, c’est des crampes assurées. D’autre part, lorsque la fatigue s’installe, la volonté s’érode et l’esprit est réticent à martyriser le corps, ou reporte sine die l’échéance d’un effort superflu. Je passe un pacte avec moi-même : si les crampes me laissent cette fois en paix, j’accélèrerai dans les 2 – 3 derniers km, lorsque la pente se fait un peu moins raide. Nous y sommes : après avoir respiré un bon coup, j’accélère sur 34 x 24. Pas très longtemps quand même. Quand je repense qu’Andy a « perdu » le Tour pour avoir eu l’idée saugrenue de vouloir passer la plaque à cet endroit, ça me fait sourire. Pour moi, ce sera 34 x 27 à 8 – 9 km pour ces deux derniers km. Finalement, je supporte cette contrainte avec davantage de facilité que je ne l’avais imaginé, mais comme d’autres ont eu l’idée d’accélérer comme moi sur les 2 derniers km, je n’en rattrape que 2 ou 3. Ouf, c’est le sommet. Je m’arrête quelques secondes pour remonter la fermeture éclair de mon maillot et je plonge dans la descente. Quelque chose s’est cassée dans ma tête. Je ne suis pas aussi à l’aise que d’habitude. Alors qu’habituellement je rattrape aisément de nombreux concurrents, moins en confiance, je suis rattrapé par un des participants. Dans son sillage, nous finissons par en revoir quelques-uns avant le bas de la descente. C’est l’arrivée. Verdict du scratch : 248ième en 5 h 25 minutes pour effacer les 117 km officiels. Je rentre à l’appart pour une petite douche, puis, munit de mon ticket, direction la collation. Le consensus du déjeuner porte sur une distance de l’ordre de 120 km, et un dénivelé positif de l’ordre qui atteint presque les 2.700 mètres. A l’inverse de ce j’ai constaté habituellement, j’ai une faim de loup et je suis bien moins fatigué. Y a-t-il un rapport entre les deux ? Je n’en sais rien, mais cette fois, je n’ai bu qu’un seul bidon agrémenté de poudre énergétique et je n’ai mangé que des pates d’amende. C’est une super épreuve, très bien organisé, mais ce parcours est nettement plus dur, car il n’y a aucune comparaison entre le Col du Portillon, côté Bosost, et le Port de Balès par ce versant. Comme François, j’estime qu’elle est nettement plus exigeante que la Moutagnole 2013 de cette année à laquelle j’ai participé, avec un niveau global des participants supérieur. J’ignore si j’aurais la force de participer l’année prochaine, mais si c’est le cas …/….
  14. Bien vu. Entre 35 et 51° et à faible dose comme désaltérant, c'est excellent en effet. Au dessus de 51°, je sais pas si c'est suffisant !
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