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François BABEN

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  1. Ton club a la possibilité d'ouvrir l'organisation de sa course 2/3/PCO ou 3/PCO aux PC de son club, ça doit être déclaré lors du dépôt de la course.
  2. Salut Thibaut, Longs cols comme dans la Montagne Noire, mais de presque 20 bornes, avec en haut pas de répit (souvent vent et pas de descente). Les paysages sont absolument sublimes. très bonne organisation, ça vaut le coup/coût du déplacement pour un week-end, à agrémenter de balades culturelles, voire d'une petite sortie la veille. Au plaisir de se croiser sur les cyclos du coin ;-) FB.
  3. On lit des trucs parfois... Donc un sportif n'aurait pas le droit de concourir à ses championnats nationaux sans autre raison que le fait d'appartenir à une certaine équipe?? Les CdF sont des épreuves avec des critères de qualification sportif basés sur l'équité. Encore heureux !!!
  4. J'ai également fait une dizaine d'Ariégeoises et je nai jamais eu les conditions météos que tu décris... Des conditions très chaudes, presque caniculaires en revanche, pas mal... Rien que l'année dernière, sur la XXL, sur 700 inscrits, seuls 300 sont montés à Beille. Donc cette partie de ton propos décrédibilise ton message. Pour l'eau, je n'en ai jamais manqué au ravito mais je suis toujours passé dans la première partie des concurrents et je ne peux témoigner pour ceux de derrière. Je partage néanmoins l'avis sur la responsabilité des organisateurs car c'est un principe de la loi française, qui correspond tout simplement à du bon sens. Apres, ils ne sont en rien responsables du choix matériel des concurrents et, pour le décès, s'il le faut celui-ci n'est pas lié à la chaleur.
  5. Salut, Je n'exprime là qu'un ressenti très personnel et ce n'est en rien une critique du boulot des organisateurs, mais cette année les parcours ne m'emballent pas terriblement... Les goûts et les couleurs, quoi... Déjà, il n'y a plus d'arrivée en altitude, ce que je regrette. Même si je descends correctement, je n'ai jamais été trop fan de cette arrivée en descente par Lhers, qui pousse un peu à prendre des risques inconsidérés. Et la descente par le mur de Péguère n'est pas vraiment faite pour me rassurer... Ensuite, on retrouve vraiment un parcours souvent fait et refait. Mais bon, c'est ambivalent car cela peut permettre de mesurer les progrès -ou non...- effectués. Je vois mal la différence également entre Ariégeoise et Mountagnole XXL, et avec un écart trop important entre les deux Ariégeoises en terme de distance. Donc, pour ma part, si la Pyrénéenne tombe sur le même we, je privilégierai cette dernière, que je n'ai jamais eu l'occasion de faire. Si les deux cyclos repassent à une semaine d'écart, ça sera certainement la Mountagnole XXL et non plus l'Ariégeoise XXL. Sportivement, François.
  6. Salut, Il y a beaucoup de paramètres en jeu... J'ai fait 4 ou 5 BB lorsqu'elle était en août. J'ai arrêté pour deux raisons : parce que son parcours ne me plaisait plus -y avait une course sur le plat de 60 bornes avant de faire une cyclo montagneuse de 70 bornes (je précise qu'étant coursier, frotter ne me dérange pas) et je n'avais pas trouvé l'inversion du parcours judicieuse- et également parce qu'en fait, mentalement, après juin, je n'avais plus envie de m'infliger des charges d'entraînement en rapport avec un parcours montagnard. Mais la date était idéale pour les vacanciers extérieurs à la région. A l'inverse, 15 jours avant l'Ariégeoise et 2 ou 3 semaines la Pyrénéenne, me paraitrait une date, comme je l'ai déjà dit et pour rejoindre Cédric, idéale. Pour beaucoup de monde, ces deux dernières sont les objectifs de l'année en montagne et après ça coupe (plus ou moins). Mais dans ce cas-là, le recrutement des cyclos sera exclusivement local. J'ai quelques copains qui sont amoureux fous de la Pyrénéenne et qui les autres années faisaient toujours la Mountagnole à fond une semaine avant en prépa (et ça marche assez bien !!). J'ai tendance à penser que le gain en participants sera plus important par une approche "locale" que "vacancière". En revanche, les cyclos de septembre s'en sortent mieux que celles d'août. Les gens ont repris lors de leurs vacances en août, la forme revient et ils ont envie de faire un dernier joli mois avant de couper. D'où une Casartelli qui marche assez bien et une Lapébie qui le devrait si ses différents soucis d'organisation n'avaient pas peu à peu rendu les inscrits probables de plus en plus frileux... Il est à noter que les cyclos vallonnées de septembre se portent de plus en plus mal (Tarbaise et G. Gay) car leur profil en fait des vraies courses "fédé". Enfin, je ne crois pas du tout à l'argument des disparitions liées aux comportements des cyclos, que ce soit les ratons ou les inconscients. Ces deux espèces sont endémiques sur les cyclos de printemps et pourtant elles ne souffrent pas de désaffection... La multiplication de sports d'endurance à la mode, qui éparpille la population sur plusieurs supports au détriment des cyclosportives, me paraît au contraire une piste intéressante.
  7. C'est bien dommage... Mais je n'ai qu'à m'en prendre à moi meme : comme beaucoup, je ne m'inscris souvent que le jour même... Je m'interroge moi aussi sur les raisons de la désaffection pour cette belle cyclosportive. J'aurais plutôt pensé que son déplacement plus proche en juillet allait lui etre favorable. Avant lAriegeoise, deux we avant, ça serait peut-être idéal. En septembre c'est déjà trop encombré. Début août, son ancienne date était très bien, mais je comprends que vous vous soyez interrogés sur les raisons de la baisse de participants.
  8. Sur l'Ariégeoise. - Pour la XXL, j'avais compté 670 inscrits, on est 232 à arriver en haut. - Sur l'Ariégeoise, ATS donne 970 inscrits, 875 classés, 95 abandons. Y a donc environ 400 gars qui ont basculé de la XXL à l'Ariégeoise classique. Très certainement que quelques inscrits de la classique sont passés sur la version longue, mais c'est impossible à quantifier, même si on peut penser qu'ils ont été très minoritaires.
  9. Salut Didier, Bravo à toi pour ta première cyclo, qui a toujours une saveur particulière... Pour moi, c'est une course. Y a un classement, tu luttes contre toi et contre les autres, ça ratonne, ça frotte (un peu...) et tout le monde essaie de faire du mieux possible. Alors certes, côté tactique et effort c'est autre chose qu'un crit' de 2h, mais au final, le but est de faire le temps le plus faible et mieux que tes compères. Et oui, on arrive dans ces conditions à faire une perf' par rapport à ses capacités habituelles. Après, concernant la bouffe, s'ils ne proposent pas autre chose, c'est que pour l'instant il ne doit pas y avoir trop de pression de la part des participants. A part le chou en dessert, j'étais très heureux de trouver tout le reste.
  10. Encore bravo Rodolphe pour ta perf ;-) Journée très dure, mais je préfère ça quand même à la pluie : si on souffre peut-être davantage, y a quand même bien moins de dangers !! Et en plus, grâce à ça, je gagne plus de 200 places au classement ;-) Perso, c'est très bien passé jusqu'au pied de Montségur où il a fallu commencer à composer avec la très grosse chaleur : sensation de ne pas respirer, feu au pied, etc... A partir de là, ce fut une cuisson à gros feu de plus en plus pénible à supporter. On a commencé à ramasser les cadavres dans le 2è passage du pas de Souloumbrié, et dans Beille c'était l'hécatombe, y avait autant de gars sur le vélo qu'à pied (mais respect à eux quand même !!). Arrêt obligé sous la fontaine Henri IV car sinon je n'allais pas arriver en haut sans eau et ça commençait à être critique côté hydratation (les crampes faisaient leur apparition), donc pas réussi à faire le plateau d'une seule traite. La douleur du feu au pied m'a fait oublier que je n'avais plus de jambes, mais alors plus du tout... Toutes les crampes (ischio, quadri, vasques internes) arrivent après la ligne, une fois descendu du vélo. Ouf... Il m'a fallu 1/2 heure en haut, de petites marches et d'étirements, pour avoir le sentiment de pouvoir redescendre... Une grande et belle journée de vélo quand même, dans de super conditions de sécurité et dans une ambiance vraiment géniale !!
  11. Ca sera sans moi, je ne veux pas mourir de froid à Lacaune. Et quand la météo annonce de la ***, c'est encore pire le jour J, foi de Murphy... Fais chier quand même...
  12. Bonjour Arnaud, Ça passera très bien avec ton développement et la cyclo étant assez fréquentée, tu n'auras pas de mal à trouver un groupe à ton niveau. Pour le circuit, ce sont des montées assez roulantes souvent autour de 5/6%, qui s'avèrent usantes pour des gabarits comme le tien, à moins que tu sois à l'aise en puissance dans ces pourcentages (pour ma part, je déteste...). La Ronde étant longue, ça peut valoir le coup d'accepter de monter un peu en dedans la première montée (je parle de la Quille du Roy, 5 km à 5%) pour ne pas être dans un groupe sur les crêtes qui roulera trop vite pour toi et qui te fera vider trop rapidement tout ton glycogène... Garde bien en tête, qu'une fois cette première montée de faite, tu continues à monter, par plusieurs faux-plats ou côtes, sur encore 20 bornes. Tu peux donc être mort dès le 40è km... Et après une redescente, tu as à nouveau 25 kms de faux-plats montants très usants... A mes yeux,il faudra être en gestion jusqu'au 80è km environ. Bonne cyclo ;-)
  13. J'insiste pour Montmaurin, si tu aimes les vieilles pierres évidemment. Je suis heureux de voir que tu as rajouté Toulouse, qui mérite assurément une visite, pour tous ses trésors.
  14. Je suis quand même étonné que personne n'ait parlé culture... Il faut visiter l'une des plus belles collégiales de France, à Saint Bertrand de comminges, avec son cœur Renaissance absolument extraordinaire. En poussant à peine plus loin, la visite de la villa de Montmaurin, l'une des domus romaine la plus complète en dehors de l'Italie. Côté sport, il est possible de faire une journée d'initiation à l'escalade avec le bureau des guides, généralement à St Mamet. Une montée en rando à l'auberge d'ôo est un classique très facile et si vous poussez jusquà Espingo, vous serez dans un très beau paysage "haute montagne pyrénéenne", bien plus beau qu'àu Lys ou à l'hospice. Il y a des très belles courses d'arête à faire dans le coin, notamment Crabioules-Lezat (la course est sur camptocamp), mais ça s'adresse plutôt à des gens qui sont également alpinistes (il est tout à fait possible de prendre un guide). Le coin n'étant pas dans le parc national, tout ceci peut se faire en avion de tourisme. Il y a également un club de planeur très dynamique. Luchon est une ville passionnante l'été... J'y ai passé des vacances pleines de souvenirs enfant, ados et adulte... Elle m'a donné le goût de la montagne sous toutes ses formes. Pour peu qu'on n'y tombe pas une semaine pourrie par le temps.
  15. Très sympa tout ça, ça laissera vraiment le choix en fonction de la forme !
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