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Bruno BLEUSE

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  1. Bonjour, 3e en 2015, 7e en 2017 et 10e en 2018 sur ce parcours, mon cher Hervé, je peux peut-être tenter de te conseiller, mais surtout te rassurer ! Sache que de mon côté, j'ai commencé à pédaler à 40 ans, et à participer assidument à des cyclos à partir de 50 ans. Aujourd'hui, à 56, j'ai préféré ne plus participer à quelque course que ce soit, sauf l'AVM, dont je suis devenu toxico. Je te confirme que le départ de l'AVM se réalise seulement 10 minutes avant la meute, et effectivement, 30 serait préférable puisque, parmi les nombreuses justifications de l'augmentation de ce délai, figure le fait que le vainqueur de cette épreuve n'est jamais présent au départ anticipé, mais se trouve "au chaud" avec les cadors qui partiront à 7h30. Voilà pour l'intro. Pour ce qui te concerne, au vu de ton "pédigrée", je pense que tu finiras sans souci et que tu prendras énormément de plaisir sur ce parcours, magnifiquement dur, mais aussi et tout simplement, magnifiquement magnifique. Et pour ta préparation, j'irai dans la même direction que Jo GARO, c'est ce que je fais moi-même. Crescendo chaque mois. Des sorties courtes de fractionné en côte régulières, si possible une longue sortie chaque semaine, ou chaque quinzaine, selon tes disponibilités, en augmentant sa distance et son dénivelé. Pour moi, c'était 100 kms en janvier et 50 de plus les mois suivants, donc 300 en mai, et avec la chance d'être à proximité de belles montées (arrière pays varois). Bref, ne sois pas inquiet, ça passera sans problème, et tu trouveras toujours de sympathiques compagnies bienveillantes sur le trajet pour te permettre d'atteindre cet objectif. Très bonnes routes à toi.
  2. Bonjour Eric, et merci pour cette info, car de mon côté, après avoir annoncé par mail au même organisateur, mon forfait au tour du Mont Blanc (inscription de 130 euros si je me souviens bien !!), une quinzaine de jours avant le départ, et pour des raisons professionnelles, en proposant, non pas un remboursement, mais, un transfert pour la même épreuve en 2017, et après une relance toujours par mail, je n'ai, à ce jour, obtenu aucune réponse de cet organisateur, ni obtenu le remboursement des 10 euros de caution pour la puce !! Bref, je vais donc t'imiter, et tenter le coup par téléphone.
  3. Le vieux Lille passe très bien, un peu plus soutenu que le maroille, je te l'accorde, par contre, la boulette d'Avesnes, tu connais ? Là, franchement, moi même qui suis friand de fromage "fort", j'ai du mal !! Allez bon appétit à tous !!
  4. Attention, le fromage est un art, respectez le en tant que tel, et n'affirmez pas que le Munster et l'Epoisse sont des fromages du grand nord, seul le maroille est effectivement un merveilleux fromage de Thiérache, entre Nord et Aisne, à déguster à température ambiante, et non froid, ou gratiné sur de grandes tartines de pain de campagne, ou en tarte avec une bonne salade verte. Le munster est un fromage d'Alsace, affiné au gewurztraminer, c'est un délice, il faut qu'il soit le plus affiné possible et enfin l'époisse est un fromage à l'aspect peu engageant, très odorant, mais quelle douceur en bouche, un régal, bien sûr il est affiné au marc de Bourgogne, sa région de production. Voilà 3 authentiques fromages qui ont du caractère, et dans ce genre, le vieux Lille, un vrai camembert au lait cru très affiné, et quelques fromages de Corse, pourront satisfaire au plus haut point vos papilles cyclosportives hydratées parallèlement avec un bon jus de raisin rouge ou blanc, ou même du jus de houblon pour le maroille !!
  5. Je constate à la lecture de la dernière une de la rubrique cyclosport de ce ce site, que l'UCI, qui a interdit les freins à disque sur les compétitions professionnelles sur route, pour des raisons de sécurité, les autorise sur les épreuves de masse donc sur les cyclos. Les justifications de ce choix n'étant pas décrites dans cet article, je cherche donc à comprendre comment ces freins à disque jugés dangereux pour les pelotons professionnels, ne le seraient plus pour des pelotons d'amateurs qui au départ de certaines cyclos comptent plusieurs centaines voire milliers de vélos !! Suis-je sot ! En fait, ne faudrait-il-pas voir dans cette décision, un lobbying des constructeurs de nos beaux et chers vélos, qui entrevoyaient certainement dans la première interdiction, une conséquente baisse de chiffre d'affaire, et des difficultés à écouler un stock déjà prêt à la commercialisation. En résumé, d'où mon titre, pour l'UCI, le business passe avant l'intégrité de nos fesses ?? Votre avis ....
  6. Voilà le genre de remarque qui me fait bondir, donc question, cher Benoit, es-tu déjà tombé en étant sur le vélo, es-tu déjà tombé en course, as-tu déjà été renversé par un conducteur entièrement fautif au volant de sa voiture ? Pour ma part, je réponds oui à ces trois questions, et je puis t'assurer que si je n'avais pas porté le casque brisé à la suite de ces trois accidents, je ne serai peut être pas en mesure de lire, excuse moi le terme, tes conneries (et encore il s'agit d'un euphémisme !). Mais tu as raison, porter le casque n'est pas une obligation, chacun fait ce qu'il veut, dans ce cas, que des gens comme toi, blessés, remercient les valides qui continueront à payer un peu plus, sécu et mutuelles, pour soigner et réparer ce qui aurait pu être évité ou limité, avec un casque, ou une ceinture ...bref, en adoptant un comportement réfléchi, responsable au sein de la société dans laquelle ils vivent.
  7. Bravo Daniel, beau temps pour une première, l'an prochain, avec cette expérience en mémoire, tu pourras te soucier d'une meilleure performance, mais, selon moi, ton résultat, et ton aisance ne sont que les conséquences de ta préparation, capitale dans ce genre d'épreuve. Donc encore bravo pour ta préparation soignée, et pour ta superbe première participation.
  8. Bonjour Guillaume, j'y étais pour la 3e année consécutive, d'abord, 5, puis deux fois les 7 cols, je suis complètement accroc à ce rendez-vous, tu trouveras toutes les explications de ma toxicomanie en visitant le site de mon club : rouedorsanaryenne.clubeo.com/ Bonnes visite et lecture, et en espérant te voir l'an prochain sur la 14e édition (tu ne le regretteras pas !!). Cordialement.
  9. Bon, je me trompe peut-être en présumant que ce vélo, est un vélo de tricheur, après tout, on peut le voir comme un vélo à assistance électrique intégrée au cadre. Le problème, c'est que la société en question met en avant le caractère "invisible" du dispositif, comme argument de vente, donc, ça ressemble à s'y méprendre à une incitation à la tricherie ! Quoiqu'il en soit, les acheteurs et utilisateurs de tels engins sur des compétitions se mentent à eux-mêmes, personnellement, je les laisse à leur triste sort de frustré, souffrant de complexe d'infériorité, de narcissisme, de besoin de reconnaissance, bref, de personne non équilibrée et non épanouie. Autrement dit, ce ne sont que de vils et gros c... !
  10. Effectivement, 200 watts seuls ne permettent pas d'aller loin et vite, mais ils permettent peut-être d'augmenter d'autant la propre puissance du cycliste, et ainsi, d'améliorer ses performances non ??
  11. Participant de l'ardéchoise 2015, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir dans les prospectus publicitaires livrés avec la puce et le dossard, un dépliant de la société Cycles Duret Géliano, qui commercialise le vélo de route à assistance électrique dont tout le dispositif est invisible selon les propres termes de cette société, le moteur délivrant 200 watts ! Qu'en pensez-vous ? Moi ce qui me dérange le plus, c'est que ce prospectus soit distribué par l'organisateur d'une cyclo représentative de valeurs radicalement opposées à la triche !
  12. Bonjour Daniel, je te livre mon expérience, en espérant qu'elle te sera utile. J'ai fait le tour du mont blanc pour la première fois, l'an dernier, dans des conditions météo épouvantables durant toute la seconde moitié du parcours. J'y retourne cette année en espérant cette fois-ci connaître une météo inverse qui nous permettra de profiter des magnifiques paysages que je n'ai pu apprécier l'an dernier. Pour la gestion de cette épreuve, j'étais comme toi dans le flou total, j'avais parcouru un mois auparavant les 7 cols du défi des fondus de l'Ubaye en guise de test, réussi. Sur le tour du mont blanc, finalement pas de souci, seule la météo m'a contrarié, les points de ravitaillement sont idéalement placés, cette année, je me chargerai donc moins au départ, de plus, sur ces points tu trouveras tout ce dont tu as besoin en boisson, alimentation, sucré, salé, l'organisation est vraiment parfaite dans ce domaine. Je confirme les réponses précédentes, j'ai bu très régulièrement, et j'ai mangé des petites portions de tout ce qu'on me proposait, environ une fois par heure. Avec le recul, je pense que par sécurité, je me suis arrêté trop souvent et trop longtemps. Au final 14h20 pour arriver, et pas de problème particulier à signaler. Pour compléter, il y a quelques jours, je me suis testé sur les 24 h du Paul Ricard, une autre première pour moi, j'ai suivi les conseils judicieux de Joachim : pommade spéciale pour cuissard, alimentation riche en protéines, là aussi pas de problème physique, 650 kms parcourus, mais une forte lassitude mentale qui est arrivée bien vite, tourner sur ce circuit pendant 24 heures, ne m'aura finalement procuré aucun plaisir moral, mon ras le bol était tel que je ne roulais plus qu'à 20 de moyenne sur les deux dernières heures. Je ne retournerai plus jamais dans ces conditions sur un tel circuit. Par contre, j'ai vraiment hâte de me mesurer de nouveau à ces fameux 330 kms et 8 000 mètres de dénivelés. A bientôt donc !
  13. Bonjour, Patrice, je partage toutes tes remarques qui sont plus que pertinentes, je t'invite à revenir à Gréoux, superbe commune, à partir de laquelle tu pourras effectuer de magnifiques sorties cyclistes et pour ma part, je confirme le bémol relevé dans le compte rendu de ce site : les "soldes" des podiums, car, en effet, faire monter tous ensemble les 3e de chaque catégorie, les récompenser, puis passer aux 2e, avec la même procédure, et terminer par les 1ers, permet à l'organisateur de gagner du temps, mais nous donne le sentiment d'un manque de considération et d'égard, à nous qui attendons parfois bien trop longtemps pour répondre à cette invitation de l'organisation, et dans mon cas, cela m'a retiré le plaisir que j'aurais eu à grimper sur le podium des quinquas du grand parcours, en compagnie des monstres Michel ROUX et Jean Luc CHAVANON, avec qui j'ai pratiquement fait l'intégralité de la course (me permettant au passage, de faire connaissance, de converser, et d'admirer ce champion). Bonnes routes à tous.
  14. Bonjour Joachim, je me retrouve tout à fait dans ton message initial, jesuis dans le même cas que toi sur les grands parcours des cyclos. Pour ma part, j'embarque deux magnums d'un litre, donc deux litres de boisson au départ, bien entendu, je ne vais pas au bout d'une cyclo supérieure à 120-130 kms avec ces deux réservoirs, surtout s'il s'agit d'une cyclo montagnarde en période estivale, seule solution pour moi, qui ne dispose d'aucune aide,assistance, ou accompagnement sur le parcours, (à l'inverse de participants de plus en plus nombreux dans ce cas, j'en profite pour dire que la présence des véhicules 2 ou 4 roues qui les suivent, devient de plus en plus pénible !), j'ai pris soin de repérer les ravitos sur le parcours au préalable, et, le plus rapidement possible, soit je chope au vol une bouteille tendue, soit je stoppe pour remplir un bidon. Je ne vois pas d'autre solution. Se charger pour rester autonome sur la durée totale, ne me paraît pas une bonne solution, surtout si tu attaques le parcours par une longue montée, je ne supporte les charges telles un camelback dans le dos. Point de vue personnel, bien entendu, mais bon, pour moi ça marche bien comme cela. Bonne cyclo à toi.
  15. Bonjour Christophe, pour répondre à ta question, en rapide préambule, sache que j'ai commencé très tard à pédaler, vers 35 ans, juste pour aller bosser, puis avec mon installation dans le var à l'est de Marseille, j'ai découvert sur un vélo, les magnifiques paysages de l'arrière pays varois, et du Lubéron, une première cyclo en 2000, les bosses du 13, que je ne manque plus depuis, une cyclo de plus en 2009, la Ventoux Beaumes de Venise, et puis en 2013, une licence ufolep au vélo club Six Fours avec deux ou trois cyclos de plus, 2014 : véritable première année d'épreuves cyclosportives, avec une demi douzaine d'ufolep en 3e caté, et une douzaine de cyclos, enfin depuis le début de la présente année, au sein de la roue d'or sanaryenne et auprès de son fabuleux président Luc Nicolaieff, au long et riche passé cyclosportif, je me suis engagé déjà sur 14 épreuves, ufolep 2e caté et cyclos. Domicilié à Saint Zacharie, au pied du superbe massif de la Sainte Baume, bien connu des participants des bosses du 13, je me rends 5 fois par semaine à Marseille pour le travail en vélo, plus la ou les courses du week-end, j'oscille entre 400 et 600 kms par semaine. Je fais seul, deux à trois sorties longues (égales ou supérieures à 200 kms) par mois, la dernière il y a une dizaine de jours : aller retour domicile Mont Ventoux par Sault, soit 300 kms. Agé bientôt de 53 ans, je me considère comme débutant, n'ai aucune prétention, et ne vise que le plaisir, et l'exploration de mes possibilités. Les 24 h constituent pour moi l'occasion de me lancer un nouveau défi, qui sera suivi de ma découverte de l'ardéchoise marathon sur une journée, puis des 7 cols du défi des fondus de l'Ubaye, et du tour du Mont Blanc que j'ai effectués l'an dernier. Voilà, rien d'exceptionnel, pour toutes ces raisons, j'attends le maximum de conseils pour cette épreuve qui doit être vraiment particulière à gérer. Encore merci.
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