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Christophe LE PHAR

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Tout ce qui a été posté par Christophe LE PHAR

  1. Les FAP, tu changes les patins en deux minutes, même pas tous les ans quand tu ne fais pas beaucoup de montagne, les câbles ( de bonne qualité dans de bonnes gaines) ne bougent jamais, tout au plus un peu de tension occasionnellement , quant au nettoyage de la bande de freinage, un coup de chiffon après le coup de jet sur le vélo. Bon , ils y arriveront à faire passer au FAD, soit en faisant croire qu'on ne peut plus s'en passer, soit en rendant tout incompatible. La société de consommation - croissance va dans ce sens. Bref pour revenir dans la question posée par Gaston , des roues légère et réactives, des bons pneus (pas seulement le poids) , il n va pas reconnaître son vélo. J'avais jadis aussi un vélo alu, un Bianchi avec fourche et haubans carbone . Vélo un peu "sec", mais très bon. J'ai changé les roues d'origine pour des Campa Proton ( n' 'existent plus, mais très bonnes roues à l'époque) avec des nouveaux pneus Michelin pro je crois, et je n'ai pas reconnu le vélo.
  2. Sur mes vélos de route, j'enlève les roues à chaque sortie ( et bien entendu je les remets 😁). Mon gravel est dans un cellier en province, je le laisse monté, mais j'ai remarqué que malgré l'indéniable qualité de freinage quand ça flotte, ce n'st pas mieux que les anciens freins cantilever pour le cyclo-cross. J'ai deux vélos de route à patin et j ne vois vraiment pas ce que je pourrais avoir de mieux, surtout avec mon titane. Je suis très bien dessus depuis des années, changer de vélo est quasiment l'assurance d'être moins bien. Des cols, je n'en fais plus depuis quelques années, et avec des patins j'arrivais tout à fait à descendre , mieux que les montées d'ailleurs...
  3. Quand même pas... il y a encore pas mal de "résistants", qui ne roulent pas avec des jantes carbone, pas convaincus de l'utilité du disque, et rebutés par le démontage de la roue, l'entretien .. sans compter tous ceux qui ont de très bon vélos et qui ne veulent pas en changer.
  4. Des roues changent un vélo, plus que tout le reste, avec de bons pneus. Je conseille aussi les Zonda (coup de pot, j'en ai trouvé à presque moitié prix cet hiver). Les Campa, ou leurs soeurs les Fulcrum, sont increvables. Des roues excellentes, qui ne perdent rien de leur qualité mais qu'on ne trouve plus que d'occasion, les Neutron, vraiment tout terrain même si certains les donnent pour la montagne parce qu'elles sont à jantes basses, mais c'est faux.
  5. Je crois en effet que je suis plus dans la réalité, avec 50*18 autour de 30 km/h avec une fourchette d' environ 5 km/h avec les cadences de pédalage entre 80 et 90 . Admettons qu'on soit contraint de choisir un vélo avec un seul braquet sur un terrain plat ou avec léger faux-plats, ce serait celui que je prendrais.
  6. Il se trouve que j'ai un 50, et que le 11 dents ne me sert que dans les descentes, à la limite faux plats descendants. Pas très utile en effet, mais l'avantage est qu'on a facilement 34 *13 sans croisement hérétique, ce qui est pas mal en terrain un tout petit peu vallonné en gravel. Sinon, sur route, je pense à cette histoire de 18 dents, et je crois que tout simplement, beaucoup de cyclistes pas super champions, comme moi, trouvent ce braquet tolérant à + ou - 30 km/h, en tournant raisonnablement les jambes, vitesse rarement dépassée en moyenne. Sur mes cassettes Campa, j'en ai une qui saute du 17 au 19, et je me rend compte qu'il manque parfois, sauf quand je suis en groupe.
  7. Christophe LE PHAR

    velo gt grade

    Tu me donnes de mauvaises idées, j'ai regardé le Bianchi, ce sont quasiment mes cotes de vélo de route, il n'est pas 2 cms trop long comme beaucoup ( et comme je l'ai dit, je fais du gravel comme de la route, sauf que je passe partout). Et il y en a un avec une promo monstre dans ma taille...
  8. Christophe LE PHAR

    velo gt grade

    Je ne sais pas ce qu'il en sera de quête d'un GT, mais pour voir de plus en plus de gens sur des beaux gravels, en carbone, et qui font de la route en changeant les roues avec des 25 ou 28 mm, je suis persuadé que plein de vélos se valent en qualité. Pour une forme atypique, j'ai vu récemment un 3 T avec tube de selle courbe ou plutôt comme évidée au niveau de la roue, qui raccourcit l'arrière, ce qui doit donner un vélo nerveux. Pour ma part j'ai pris un GT pour les cotes proposées alors, mais n'importe lequel aurait fait l'affaire. J'avais aussi pensé aux Roondo (concept intéressant de double position, même si je ne sais pas ce que ça vaut concrètement) mais ils étaient plus longs que d'autres autres, donc potence trop courte.
  9. Christophe LE PHAR

    velo gt grade

    J'ai retrouvé, c'est Wiggle : le temps que j'hésite le modèle avait disparu sur les sites français, mais finalement je l'ai eu un peu moins cher, autour de 1100 €. Les tailles sont en effet proches d'autres marques mais, ce sont les correspondances S,M, L etc. qui sont différentes à taille égale. il faut bien regarder le tableau. D'autre part, il me semble qu'en général, les gravel de maintenant ont tendance à être plus longs avec potence plus courte. Les roues sont presque toutes à axe traversant, le mien est encore à blocages rapides. Il y a eu un changement rapide, et les prix aussi dirait-on.
  10. Christophe LE PHAR

    velo gt grade

    Je l'ai acheté neuf sur un site anglais (2018 avant le Brexit) dont j'ai le nom sur le bout de la langue, car comme dans ton cas il n'y avait plus toutes les tailles sur le site français. Je voulais ce vélo comme dit plus haut pour ses cotes, très proches de mon vélo de route, et surtout pas trop long comme cela arrive (ma philosophie, c'est de garder à peu près ma position pour faire comme sur route mais en passant partout, pas du "vrai" gravel, avec bagages et tout... ). C'est d'ailleurs pour ça que je te dis que ça "taille grand", mes vélos vélo de route sont des S, la même taille à peu de choses près chez GT c'est XS https://photos.app.goo.gl/4bAQgFX6TH893TwUA Selle et pneus ont été changés
  11. Pour peut-être clore le débat, il faut signaler à l'attention ceux qui aiment l'étagement sans trop de trous, et peuvent passer cinq minutes à changer de cassette, qu' il est toujours possible de trouver des cassettes pas cher compatibles Shimano sur un certain site chinois, de 11-25 à 11-36 en 11v. Elles fonctionnent très bien, j'en ai mis une sur mon gravel. A voir dans la durée, mais je fais 2500 bornes sur ce vélo, et à ce prix...
  12. D'un autre côté, moins d'apéro, plus de progrès sur le vélo....
  13. Voilà, le problème, tu le pointes : il faut vraiment s'investir dans la mécanique dès qu'on passe dans du "moderne" et parfois tout changer. 1000 kms tranquille après une révision de freins, ce n'est pas assez pour moi, je ne touche quasiment jamais à mes vélos, hormis changer les patins, parfois les câbles, et évidemment pneus et chaîne. Tous les deux ans au mieux vu que j'alterne les vélos (11000 cette année, cru exceptionnel, avec deux vélos de route et un gravel)... On ne m'enlèvera quand même pas de l'idée que l'on cherche à nous (=les cyclos de base) faire acheter encore et encore, et si possible tout changer. Que perd-on avec un câble apparent ? Que gagne-t-on avec un cadre profilé ? Les pros, qui jouent une course pour une seconde au km, peut-être, mais les cyclos à 30 km/ h les jours de forme, c'est l"apéro 5 minutes plus tard sur une sortie. Aucun complot d'ailleurs, tout simplement la consommation, le marché et son rejeton, le "marketing" . Je suis absolument persuadé qu'il aurait été possible techniquement d'adapter des vitesses supplémentaires avec des leviers évolutifs, de ne pas changer les cadres pour mettre des disques pour ceux qui en veulent vraiment... J'avais oublié les pneus, que tu cites à propos, et c'est vrai que j'ai trouvé un petit plus au passage au 25 mm. Mais cet été j'ai ressorti des 23 sur des campa neutron, confortables, et j'étais tout aussi bien . L'argument le plus sérieux pour les braquets, c'est en effet la polyvalence. Je ne vais plus en montagne depuis quelques années, et je serais sans doute limite avec mon 34 *29 (quasi maxi chez campa en 10 v) . Pourquoi pas passer un jour en Chorus 12 v en changeant le dérailleur arrière et les leviers ? à suivre.. mais je suis sûr comme tu dis que j'aurais plus de réglages à faire qu'avec le 10v , ou un quart de tour au dérailleur ou sur la molette de cadre suffit à régler parfaitement une indexation. Pour l'instant, dans les endroits où je roule ( RP, Vendée, Gironde, Ille et Vilaine) , même le 34* 25 ou 26 dents est vraiment un pignon de secours pas usé 😁 malgré mon niveau de daube.
  14. Christophe LE PHAR

    velo gt grade

    J'en ai un, de 2018, mais en alu (et avec des blocages rapides). Il va très bien pour ce que j'en fais, autour de 2500 bornes par an et surtout, les cotes me vont parfaitement, ce qui a été un des critères de choix. Attention il me semble que ça taille grand, S correspond à M, XS à S...
  15. Il se trouve que je ne suis ni passéiste, ni acharné du "progrès" , mais pragmatique. Il faut s'adapter à ses besoins, évaluer sa pratique. Comme je le dis quelque part plus haut, je ne serais pas contre le 11 ou 12 vitesses si je devais à nouveau passer du temps en montagne. Le matériel évolue pendant que je régresse, et le 32 voire 34 pourraient m'être bien utiles. Après, les performances, les maniaques du tour de pédalage, ça me fait sourire, je ne connais aucun champion dans mon entourage... Il y a du pour et du contre dans les évolutions : en discutant récemment avec des gens un peu faisandés comme moi, sexagénaires, nous tombions d'accord sur les avancées réelles du vélo pour les clampins que nous sommes : en tête viennent les pneus à la place des boyaux, les pédales automatiques, bien plus confortables que les fameuses courroies Binda, Ensuite , pas le vélo, mais les textiles bien plus confortables. Bien après vient le changement de vitesses aux cocottes, encore devant la multiplication des rapports qui donnent plus de choix (oui, on pouvait sauter des dents), et les cintres "compacts" qui n'imposent plus de faire de la gymnastique. En dernier lieule disque, valable pour les situations difficiles, la montagne, les roues carbone, mais qui n'apporte ni confort ni performance quand on roule. Mais pénible à entretenir et pour enlever/changer les roues comme je le vois sur mon gravel. Après il y a les inconvénients tout aussi objectifs : pour changer une pièce, il faut changer plein de choses, tout est vite dépassé. Il devient difficile d'entretenir son vélo. Il est indénaible que le marketing est passé par- làJe discute avec es gars qui passent leur temps chez le mécano : dérailleur électrique qui déconne, changement de câbles intégrés difficiles, disques à régler, indexation bruyante... . tandis que nous en 10 vitesses mécanique, câbles apparents et patins posons nos fesses et roulons, en bricolant au plus quelques minutes tous les ans, sans que ça change quoi que ce soit à nos sorties. Bref, je suis plus pour le vélo loisir, sans chercher à gagner 3 secondes sur une bosse, ni passer du temps et du fric à m'occuper du matériel ( je veux de l'increvable sans souci) , sachant que de toute manière ça ne change strictement rien à mes sorties de cycliste qui prend surtout l'air. Après, aussi loin de moi que les histoires de watts, l'idée d'empêcher les amoureux du matos de sacrifier à leur passion.
  16. Je suis assez de cet avis, et pas le seul apparemment si j'en crois des discussions avec des cyclistes plus tout jeunes qui ont vu les évolutions pas toujours pertinentes, mais qui imposent peu à peu de changer tout le matos. Certains petits éléments de confort, comme le nombre de vitesses permettant un étagement régulier, semblent désormais indispensables. En réalité, pour le cyclo moyen (ou moins que moyen comme moi) ,ça ne fait pas aller plus vite. Moi aussi j'aime bien le 18 dents, mais si je dois sauter de 17 à 19 sur certaines cassettes (je suis toujours en 10 v) ce n'est pas dramatique. Une chose sans doute objective réside dans le nombre croissant de "vieux" pratiquants, qui amène à équiper les vélos de braquets plus petits, de cintres "compacts" demandant moins d'efforts de changement.
  17. Oui, je ne me vois pas passer souvent, sans sujet de conversation. J'ai vite épuisé le matériel et l'entraînement, et je m'intéresse quand-même à autre chose. Ceci dit, je roule parfois avec des septuagénaires, et il y en a qui ont une sacrée pêche, je ne tiendrais pas longtemps la roue de certains. Maintenant que je suis retraité (tout neuf) comme eux, je vais peut-être progresser... En fait je crois que je ferai 10 000 et guère plus qu'avant, mais plus facilement et sans me donner un coup de pied au derrière ou rattraper du boulot le WE. Je rate une sortie, pas grave, j'ai le lendemain, le surlendemain . En attendant, bonne année à tout le monde !
  18. Ca m'est venu aussi à l'esprit. Il y a de ça : quand on prend un costume par exemple, on choisit au plus près de ses mensurations, mais il faut quand même reprendre souvent les manches, le cintrage, le pantalon. Le vélo a un peu de ça : on change souvent la cassette, le cintre, la selle...
  19. Effectivement, beaucoup d'encre et de papier virtuels pour finalement s'apercevoir que telle ou telle cassette ne convient ni à tout le monde, ni à toutes les conditions. Le seul fait probablement objectif qui devrait mettre tout le monde d'accord, c'est que les constructeurs ciblent un plus grand marché potentiel et moins de coûts avec un cote mal taillée, mais utilisable. Idem pour les tailles de cintre standard, les selles, les pneus. Les mordus changent tout ça.
  20. Je roule le plus souvent seul, pas très vite, plus souvent autour de 26 -27 de moyenne, 50x12 me suffisent, et encore rarement. Mais pour en revenir à l'étagement des braquets, c'est le genre de terrain ( un espace habituel en comptant large entre la motte Achard et St Christophe du Ligneron en partant de St Hilaire de Riez limite Saint Jean) où les gros sauts de pignon sont objectivement les plus inconfortables, avec ces variations de terrain parfois minimes. En montagne, ou terrain très accidenté, paradoxalement, moins : on se cale sur le petit plateau et ensuite, des pignons de deux ou trois dents d'écart vont très bien.
  21. Effectivement, dans des descentes vraiment raides, pas besoin de pédaler, à moins d'être un pro. Je faisais de la montagne avec 13*29 ou 12.29, préférant avoir des braquets pour monter. Là où je trouve intéressant de pédaler, malgré mon petit niveau, c'est dans les faux plats descendants, ou les descentes à faible pourcentage. Justement, c'est le cas quand je vais en Vendée , en roulant plutôt dans l'intérieur (peu de vraies bosses pour ceux qui connaissent, mais énormément de faux plats parfois longs) là j'aime bien mettre le 12 dents de temps à autre , avec 50 devant ce n'est pas excessif. Pareil dans les faux plats montants, j'aime bien ne pas trop sauter de dents, passer de 17 à 19 par exemple est parfois trop brusque, j'apprécie le 18.
  22. Je suis toujours en 10 vitesses, j'ai deux vélos en campa, et ça se trouve les cassettes. Je fais partie de ceux qui aiment une cassette assez bien étagée, vu que je ne roule pas en montagne. Avec 50*34 devant et 12*25 derrière, je passe encore largement partout où je roule , mais hors région parisienne c'est en Vendée, Gironde, Ille et Vilaine... Le problème se poserait sans doute à court terme en montagne, où je ne vais plus depuis plusieurs années. Je passais bien en 34*29, mais maintenant, mystère, à moins de rajeunir. C'est là que 11 vitesse voire 12 avec un 34 derrière seraient utiles. J'ai ça sur mon gravel d'ailleurs, mais là où je l'utilise, le 34 ne sert jamais même en gravel.
  23. Non, j'interviens trop rarement, je passe juste de temps en temps.
  24. Ben je frôle les 11 000, ce qui ne m'est jamais arrivé je pense ou alors peut-être il y a très longtemps dans ma jeunesse et encore même pas sûr. 10 950 kms environ si l'on tient compte des imprécisions (changement de compteur, étalonnage), auxquels je pourrais ajouter environ 400 kms de ville. Certes je suis retraité, mais depuis novembre seulement. Sans forcer, mais sans incident ou problème perso (famille, maladie), qui ont souvent rendu difficile les 10 000 les années précédentes.
  25. Je ne connais pas beaucoup de pros actuellement mais dans ma jeunesse en province j'en connaissais, des quasi voisins, dont un qui était équipier d'Hinault. Ils faisaient le minimum quand même quand ils étaient chez eux avec leurs vélos, il fallait bien coller les boyaux etc. La technique ne les passionnait pas, et d'après ce qu'on me disait Hinault vraiment pas du tout. Il prenait ce qu'on lui donnait. Pour ma part je ne suis pas passionné par le matos, mais je sais à peu près tout faire d'utilitaire sur mon vélo : câbles chaîne, pneus, patins de freins, réglages de moyeux, de direction etc. Ca ne demande pas de sortir de polytechnique, on gagne du temps (pas de vélociste dans le coin), de l'argent et on a l'esprit tranquille quand on se déplace. La seule chose que je ne touche jamais ce sont les rayons. Je n'ai jamais eu un métier de bricoleur non plus ( je pense à Jacques) , mais je m'y suis mis dans certains domaines, notamment quand j'ai dû rénover mon appartement bien vieillot alors que j'avais cassé la tirelire pour l'achat : peintures, parquet, plinthes, petite plomberie (robinets, évier) , réparations diverses ... Là non plus pas très compliqué, ça s'apprend aussi, il faut un peu de temps. Ceci dit, ce n'est pas un loisir, je m'en passe très bien, mais s'il faut changer un robinet ou une serrure, démonter un caisson de volet roulant pour remettre une attache, pas besoin d'attendre un artisan ni de sortir un chéquier.
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