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Premier col de votre vie


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Invité Mickaël BOSMA

Bonjour à tous,

Mes premiers cols furent en Alsace il y a deux ans. En pariant avec mon beauf et ma soeur, qui me pensaient incapable de faire la route des crêtes et le marksthein. J'ai loué un vélo à la Bresse et je l'ai fait pendant qu'il me suivaient à distance en voiture. Quelle bonheur de l'avoir fait. Du coup je me suis remis sérieusement au vélo.

Cette année après avoir acheté mon nouveau tcr advanced1, je suis partis deux semaines, avec au programme:

 

Une semaine en Ardèche pour faire les cols de l'ardéchoise. Le Mont Gerbier et consort furent une bonne préparation à la suite des vacances.

Un week end à Roussillon pour cause de mariage. Je décidai de joindre l'utile: le mariage à l'agréable: le Ventoux.

Le dimanche matin, après un repas copieux et arrosé dans un caveau célèbre pour sa table près de Roussillon le samedi soir; je réveillai le veilleur de l'hôtel les ocres à Roussillon qui me demandait si je n'étais pas dingue. Je lui expliquai mon intention et de fait il me servit un copieux petit déj et me fit un plan de route pour voir ce qu'il y a de plus beau avant le Ventoux. Résultat 45 km de toboggan à 8% avant d'arriver à Bédouin. L'ascension s'est passé sans encombre, ce 11/07/2010. Beau soleil en haut à midi soit deux heures de montée en partant du magasin de cycles de Bédouin.

La suite, ce fut dans les Alpes. La montée de Morzine Avoriaz en 57 mn, ce qui au regard du temps de M. Bernard Hinaut (33mn) est très mauvais. Et le montée vers Vallorcines puis le col de la Forclaz pour passer en suisse.

En tout 7 jours de vélo et 450 km pour 10.000 m de dénivelés. Encore loin de Joachim mais pour un première mais avec 3000 Km dans les jambes d'entrainement, je suis satisfait de mes vacances.

 

Et cela me donne envie de tenter un excursion plus longues en montagne où je suis vraiment bien.

A vous lire

S

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marrant toutes ces confidences -donc on s'en souvient bien de ces premiers tourments et joie  -!!

pour moi c'etait dans les années 90(j'avais donc 50 ans et mon premier velo adulte !!!un peugeot aspin )je devais avoir ce velo depuis un an , et donc sur une randonnée je me suis retrouvé , a partir de lannemezan, monter aux lacs oredon -aumar et cap de long (c'est un peu le genre tourmalet)

mais , ce dont je me souviens le plus , c'est la descente en appui sur les poignées, et les bras en confiture arrivé a saint lary-

ce jour là , aussi , bapteme pour mon fils qui devait avoir 14 ans(et qui deja montait facile ) et mon epouse :c'etaient nos premiers cols

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A 15 ans, il y a donc 17 ans 😲, le Col de Bassachaux depuis la Chapelle d'Abondance, en VTT et en basket pour bien faire. Bien que roulant régulièrement à VTT le weekend à l'époque, je n'étais pas très équipé, je suis arrivé en haut sans problèmes et décidait de me payer un vélo de route.

Mon premier col sur route a été le col du Somport, départ d'Urdos avec le vélo de mon père de l'époque, un Gitane en acier avec manettes au cadre: passage du col, descente sur Jaca et ertour par le même chemin. Je me rappèle que le côté français était beaucoup plus sympa que le coté espagnol où la route était très large et très fréquentée par les camions...certainement pas le plus beau col que j'ai escaladé mais c'était le premier avec un vélo de course.

Mon père étant saisonnier à Avoriaz par la suite et résidant à la station, la montée Morzine Avoriaz est celle que j'ai faite le plus souvent, probablement une dizaine de fois...avec trois vélos différents et toujours en fin de parcours, fallait bien rentrer, pas question de prendre le télécabine, non mais.

 

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pour ma part la croix de fer parti d'oz en oisan par temps gris la pluie arrivé au barrage sur toute la derniére partie dur la sortie du trou sur 1,5 km en danseuse la roue arriére tounait seule obligé de monter assis.

arrivé en haut 2° à peine heureusement nous avions prévus de manger à l'auberge du haut elle nous avait gentiment allumé un poele à gaz pour nous réchauffer.

pour repartir elle m'avait vendue un tee shirt pour mettre dessous pour la descente .

apprés 2 km j'ai averti un collégue confirmé que je pensai avoir un probléme avec ma fourche, il m'a répondu non c'est que tu tremble de froid

arrivé au barrage une bouffé de chaleur m'avait ravivé la derniere partie fut plus agréable

salutation

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Il faut pouvoir partir dans les premiers sas dans ce genre d'épreuve sinon c'est un peu galère. J'ai passé la ligne avec 25 minutes de retard sur les premiers et puis avec mes problèmes de genoux, c'était pas terrible.

C'est sur qu'il y en a plein pour profiter de la montagne et j'en ai plutôt bien profité cette année même si je n'ai pas eu beaucoup de réussite. Là, avec Ecocyclo, c'était l'occasion d'y retourner, je n'y avais pas remis les pieds depuis 2006; je n'ai pas pu résister et je suis revenu à mes premières amours! 😆

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Invité Anne-Gaël GOURDIN

Pour ma part c'était col de Port + col d'Agnes le jour de l'étape Andorre-St Girons sur le Tour 2009. Après seulement deux mois de vélo (débuts en mai 2009) et environ 800km j'ai goûté aux joies des routes de montagnes. J'en avais bavé, et mis pied à terre dans Agnes. Un spectateur m'avait remise en selle et poussée pour repartir. Maintenant j'en suis à une trentaine, surtout dans les Pyrénées. Un séjour aussi dans les Alpes du Sud. Faudra que j'y retourne pour en ajouter à ma collection. Tour de Suisse prévu aussi, avec des cols qui ont l'air sympa. C'est super de pouvoir aller rouler en montagne régulièrement, et les progrès viennent vite : en un an, je suis passée d'1h55 à 1h20 dans le Pailhères par Usson, moins de 50' dans l'Aspin contre plus d'une heure...

Très modeste sur les braquets, l'an dernier surtout le 30x25, maintenant plutôt le 30x21. Je pourrais monter avec plus gros mais j'aime bien monter en fréquence. Et je m'en fous d'avoir des braquets de tap***, je suis une fille!

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anne gaél il n'y a pas de braquet de tap mais une envie de se faire plaisir les recorts il faut les laisser aux pro nous on compéte sur nos propres valeur et chaque fois que tu dépasse ton objectif tu gagne

1 l'envie de gravir un col

2 le plaisir de le monter sans se mettre dans des états lamentable

3 arriver en haut dans un état qui te permet d'apprécier la fin de ton challenge

salutation

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souvenirs, souvenirs !

pour moi ce fut le col du Soulor dans les Pyrénées, coté Ferrières (par ou est monté le tour cette année, avec les moutons). Normal, j'habitais au pied. J'avais 14 ou 15 ans (donc en 76 ou 77), avec mon premier vélo de course (un gitane comme Van Impe) avec un 36 x 24. Je me rappelle avoir posé pied à terre à mi-col. J'y pense encore à chaque fois que j'y passe.

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