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Votre sortie du jour 2016.


Invité
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Messages recommandés

Rien prévu pour l'instant , mais oui ce serai cool: Menté, Balès   ou   Portillon Bonaigua Portillon ou tout autre proposition de votre part (si tu vois mieux à faire coté Espagne ==> suis partant)

Par contre ce serai quand le mieux pour toi? (à priori  plutôt le 11, 12, 13 ou 14 en fonction de vos dispos, car je vais "promener" mon père pendant le WE du Tour: ce sera son cadeau pour ce voyage en famille à 91ans pour lui...😉)


A+


Mich

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Sortie touristique à 9, départ de Wavre un peu avant 9h.

Météo maussade mais sèche à l'aller, vers les ruines de l'Abbaye d'Aulne près de Thuin (Sud-Ouest de Charleroi).

Après la pause déjeuner, retour sous une fine pluie la moitié du trajet.

Pas de crevaisons, pas de pépins mécaniques, mais un passage très boueux sur une route dédiée aux véhicules lents (Ravel). Nous voilà couverts de boue, on ne voyait plus les patins de freins. Bloqués, demi-tour !

Sinon, coulées de cailloux et boue, arbres arrachés par le vent des derniers jours, voilà le résultat des orages. Quelle cata par endroits !

Bref, 156 km à du 24 de moyenne.

Le vélo a eu droit a sa douche au tuyau d'arrosage.

Un cycliste du club CyclOttignies nous a accompagné, un pote de Michel Dury sans doute.

Finalement, à part la petite fatigue qui s'installe après ces bornes, c'est surtout le mal au *** qui est frappant

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Hier sortie de 119 km, compteur faisant foi, en Ardenne en compagnie de Jérémie Laplac, par un temps sec au début, et pluvieux ensuite.

Dans les hauteurs ardennaises, en plus de la pluie il faisait carrément froid. Vive l'été à 14° ! 📢

Sur le parcours que Jérémie avait concocté, dans l'ordre :

  • la très pentue côte de Chambralles, 
  • la côte de Niaster qui faisait reposante en comparaison ;
  • la côte du Rosier versant sud, une des plus longues de Belgique — et une des plus belles ; 
  • le Thier de Coo, une des plus difficiles du pays — pour certains, la plus difficle ;
  • le très (très!) long faux plat montant de Stavelot vers Hockai le long d'un RAVeL en très mauvais état par endroit, et par vent défavorable en plus ; qu'on ne vienne plus me dire que les RAVeL sont faciles, c'est là que j'en ai le plus bavé ! plus de détails sur cette piste — avec photos — ici : http://www.velo-ravel.be/ravel_Spa_2015.pdf
  • la côte du Nouveau Monde (ou Rondehaye) à Theux ;
  • et la fameuse côte des Forges pour finir, un classique de Liège-Bastogne-Liège, avec la stèle en l'honneur de Stan Ockers au sommet. http://bit.ly/28W9184

5 h 40 de vélo bien éprouvantes — pas arrangées par la pluie — à 20,5 km/h de moyenne donc. Franchement, vu le terrain et mon niveau, je n'ai pas à en rougir. Pour Jérémie, le local, ça n'a été qu'une simple balade. Et il n'avait pas d'imper, en plus ! Ils sont en béton ces Belges, je vous dis ! 😲

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Il avait un vélo randonneur Lindskey avec triple (TA Carmina) 48-36-26 associé à une cassette 10 pignons 12-23. Un étagement parfait, m'a-t-il dit. C'est un des nombreux avantages du triple, permettre un tel étagement. Bien sûr, il faut avoir les jambes pour se permettre un 26/23 dans le Thier de Coo, et c'est son cas. Il nous en dira plus s'il passe par ici. Moi je n'ai pas craché sur mon 26/34 dans ce long raidard !

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Merci.

Le plus petit développement 26/23 calculé avec des pneus 25/622 (?) avec

http://sheldonbrown.com/gear-calc.html

correspond à 2,4 m par tour de manivelle.

Le double n'est pas mort :), un 34/32 donne un développement de 2,2 m.

Le 1,6 m du 26/34 est inaccessible avec le 34 devant, il faudrait une autre combinaison de plateaux en double. 26 et 39 devant avec 11-32 derrière ? Cela donnerait une amplitude de 7,5 m à 1,7 m.

Deux plateaux seulement avec lesquels jongler (facilement si le groupe est de bonne qualité) a aussi ses avantages. On va y arriver. 🆒

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Pour Jérémie, son triple lui permet d'avoir des braquets plus resserrés, c'es-à-dire très peu d'écart entre les développements. Ce qu'on appelle une gamme de braquets bien étagée. S'il avait voulu avoir plus petit que 34/32, il aurait pris une cassette 12-25 je suppose (soit 26/25 comme braquet minimal).

Impossible pour le double, compact ou non, d'être au même niveau qu'un triple question offre de braquets. C'est mathématique : 2*11 reste plus nettement plus petit que 3*10, sans même parler de 3*11 si les fabricants de groupes daignaient élargir leur offre en triple 11v. Un double doit sacrifier quelque chose par rapport au triple : soit les grands braquets, soit les petits braquets, soit l'étagement. C'est le prix à payer pour avoir un fonctionnement un poil plus simple.

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Week-end avec le club: un petit groupe part faire le tour des Ecrins sur une semaine, on en a profité pour les accompagner sur le samedi et le début du dimanche avant de regagner la voiture et de revenir à Aix. Corps-Ancelle le premier jour; Ancelle-Corps le second.

Quatre cols inédits pour moi: col des Festraux, col de Moissière, puis avec mon copain: col de Manse par la Rochette et col du Noyer depuis Poligny.

Pas mal de fatigue cumulée au boulot de mon côté et peu d'entrainement par rapport à d'habitude: deux belles journées de vélo, mais ce n'a pas été simple...

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Ah, les Ecrins! Quelle merveille. J'ai fait deux fois le tour du massif, à pied par le GR, avec montée à la Barre. Super souvenir et magnifiques paysages.

Clémentine, tu as de la chance d'habiter par là. Selon moi, certainement une des plus belles régions de France.

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Deux très belles journées: j'adore ces paysages où le côté alpin se conjugue à quelque chose de déjà méditerranéen. Et avec le beau temps enfin de retour: mention spéciale pour le tour du lac du Sautet, et pour le col du Noyer. Le début de la descente avec l'Obiou et les sommets du Dévoluy en arrière-plan est magique. Mais la vue se mérite: le km à 11,5 de moyenne à 2 km du sommet... très dur quand on l'entame déjà fatigué, avec deux cols dans les jambes.

le reste du trajet des copains est tout aussi prometteur: col de Font-Belle, col des Sagnes, col de Pontis, deux jours à Guillestre avec la possibilité de monter l'Agnel, Lautaret, Ornon, Parquetout... il vont se régaler. Je devais les accompagner (c'est moi qui ai tracé le parcours), mais avec le nouveau boulot... plus possible. tant pis!

 

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Le plus petit développement 26/23 calculé avec des pneus 25/622 (?) avec


http://sheldonbrown.com/gear-calc.html


correspond à 2,4 m par tour de manivelle.


Le double n'est pas mort :), un 34/32 donne un développement de 2,2 m.


sauf que le double m'offre moins de possibilités entre les extrêmes ; je reviens du 2x11 💋. Ceci dit, pas grand chose à rajouter sur ce que vous a relaté Franck : le massif des Ardennes présente des similitudes à celui des Vosges en termes de climats et de paysage. Le vent souffle, les températures sont fraîches, des nuages gorgés de pluie s'y attardent et en juin, les conditions sont à peine meilleures qu'en avril. 


Une surprise, Franck : je ne pensais pas te faire "mal" en passant par ce Ravel qui permet de rejoindre Spa en évitant les grands axes ou en rallongeant via le Rosier versant sud-est 😳 Perso, j'adore cet axe qui permet de très longues sorties fort rythmées, sans jamais rencontrer personne. J'ai appris vendredi par un ami commun qu'il existe bien d'autres possibilités de se perdre entre Ardennes et Eifel sur des traces similaires. Rendez-vous pour de nouvelles aventures 😃


 

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J'ai toujours horreur des faux-plats interminables — qu'ils soient montants ou descendants — je déteste presque autant que le vent. Alors quand les deux sont cumulés… 🙁 C'est en grande partie psychologique, je crois que j'ai été marqué de façon indélébile par la géographie de ma région d'origine. À savoir une vallée (Grésivaudan, près de Grenoble) entourée de montagnes l'abritant des vents dominants, où mes parcours étaient soit complètement plats, soit plongés dans des pentes longues et raides.

Par contre je dois rectifier, au contraire de ce que tu sembles avoir compris j'ai beaucoup apprécié le Rosier versant sud-est ! Probablement parce que ça me donnait l'impression d'être à nouveau en montagne. Paysages magnifiques et longue montée pas trop fréquentée, c'était parfait. La pente était peut-être un peu trop douce à mon goût (sans être en faux-plat), mais l'Ardenne ne peut pas simultanément tout offrir des hautes montagnes ! 😃

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