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Qui à l'Ariègeoise 2016


Gino BOISSINOT
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Messages recommandés

Bonjour à tous,
J'ai participé à ma 1ère Ariégeoise l'an dernier et j'avais adoré. Un coup de foudre, parcours formidable, un bon chrono, des rencontres et des souvenirs plein la tête. Il ne me tardait qu'une chose, revenir en 2016 et encore plus lorsque j'ai vu ce parcours XXL, un rêve....Et puis patatras, en janvier, alors en pleine forme, une douleur violente au genou et le verdict d'un début d'usure de cartilage anéantit tous mes rêves: 3 mois sans vélo, une reprise progressive après visco supplémentation et rééducation. Mon rêve à présent est d'imaginer retrouver un niveau suffisant et de pouvoir participer à l'édition 2017...Aussi je suis de tout cœur avec vous tous qui allez participer, je penserais bien à vous tout le long de ce samedi. Je vous encourage bien fort et vous félicite à l'avance quelque soit votre performance. A bientôt  de lire vos comptes rendus.

 

 

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Salut,

cela risque de passer sans pluie

http://www.meteociel.fr/previsions/2600/mijanes.htm

On n'aura pas la canicule dans le pailheres c'est pas plus mal.

Bon courage à tous car elle va piquer cette année, après attention des travaux sur la route direction lavelanet, la descente après le col de chioula surtout si la météo se dégrade elle est à l'ombre étroite et route macadam très irrégulier avec des déchets végétaux et autres s'il a plu. Bien sur toujours la descente vers Verdun la dernière ou pour 30 secondes vaut mieux freiner.

Bonne balade à vous samedi.

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Personne pour raconter "son" ariégoise ?
L'année de la XXL ?

Notre modeste peloton FFCT a fait la Moutagnole XXS aujourd'hui. D'ordinaire, nous allons rouler plus tôt sur les parcours de l'Ariégoise, lorsque les gens sérieux font leurs repérages ou répétitions mais cette année la météo et le programme du club ne nous l'ont pas permis. Ca faisait donc un peu "attardé" d'y rouler le lendemain, mais tant pis.

Notre "Mountagnole XXS" consistait à partir de (et revenir à) Saint Paul de Jarrat, suivre le parcours mais snober la descente sur Verdun et la montée à Beille. Peloton FFCT, j'ai déjà écrit 😉

Bilan personnel : très beau parcours, de très beaux paysages (dommage que la météo...), j'ai (comme toujours) découvert de nouveaux paysages en faisant des routes connues dans le sens contraire. Verre à moitié plein ou à moitié vide : la route était moins polluée de papiers de barres énergétiques, tubes de gel... que ce que je craignais. J'ai quand même cru voir une chambre à air ! Mais elle était (très) loin d'être propre, et je ne parle pas des bas-côtés.  J'ai été très impressionné par le début de la descente de Marmare, entre les trous, la mousse et le brouillard, je n'aurai pas aimé avoir à y garder le rythme en roulant en paquet. J'ai beaucoup aimé la descente vers la vallée du Riberny que je ne connaissais pas. 

Encore une fois un grand bravo aux organisateurs pour les parcours qu'ils tracent.

 

 

 

 

 

 

 

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Puisque tu le demandes, je me lance,

Les prévisions météos n'étaient pas très optimistes pour la journée du samedi. Arrivée le vendredi soir de Perpignan, nous logions à Ax les Thermes. Un gros orage avec du tonnerre  éclate en soirée. Là en se dit qu’il vaut mieux que ce soit maintenant que dans la descente du Pailhères… Samedi levée à 5h00 pour un départ à 6h. On laissera les voitures aux Cabannes près du village VVF et à deux pas de l’arrivée. L’échauffement se fera en se rendant sur Tarascon. J’ai le dossard 88, donc prioritaire et mes amis qui m’accompagnent et qui sont inscrit sur la petite Ariégeoise vont se placer dans leur sas. Etends un peu en avance, je vais rouler un peu avant de prendre position sur la ligne de départ. Il est 8h, le départ est donné. Je reste positionné toujours dans les cinquante premier, la route est large et sans difficulté pendant les 20 premiers kilomètres. Juste avant le village de Nalzen, il y a une petite bosse de un kilomètre, mais pas de soucis, elle passe sans problème sur la plaque. Prochaine difficulté, le col de la croix des morts au kilomètre 38. Pas de doute, il va y avoir un premier essorage. Comme prévu, le peloton s’étire est forme des petits groupes. Après le sommet, la tête de course temporise, ce qui permet un regroupement des petits groupes éparpillés dans la montée. Ce scénario se reproduira dans la prochaine côte qui n’est que de deux kilomètres mais avec du 13% sur le bas. On arrivera au bas du Pailhères avec un groupe relativement nombreux. Voilà Usson et le début des difficultés, on emprunte la déviation que je ne connaissais pas, je suis toujours passé tout droit (comme pour le tour de France). Ce détour rallonge un peu mais les pourcentages s’en trouvent moins élevés. Le peloton s’étire rapidement et définitivement. Maintenant, c’est chacun pour soi jusqu’au sommet. Je bascule avec un groupe d’une dizaine, certains s’arrêtent au ravito, moi je fais la descente que je connais un peu. Au bas du Chioula, on se retrouve à cinq dont l’espagnol Victor Del Corral vainqueur de l’Ironman de Nice. Au début de la descente du col de la Marmare, on rejoint  le parcours de la Mountagnole. Ce qui va rendre cette descente assez périlleuse, elle est déjà étroite, avec du gravier et de la mousse sur le bitume. Il faut se faufiler entre ceux qui ne descendent pas très vite et essayer de ne pas se faire lâcher par les concurrents de l’Ariégeoise. Après la descente, il y a une partie vallonnée assez casse pattes avant la dernière descente et l’arrivée aux Cabannes. Nous sommes plus que trois, Victor prend à droite et ne fera pas Beille (il se classera 8e au scratch). Voilà la dernière ascension, que je redoute car je l’ai toujours trouvé plus dure que la Pailhères. Un copain de mon club doit me passer un bidon au début de la montée. Je suis à sec, et je ne le vois pas, je commence à douter. Heureusement, il est un peu plus haut. Les forces sont déjà pas mal entamées, les jambes ne sont pas les mêmes qu’au mois de mai lors de la reconnaissance. Au milieu de l’ascension, le quadriceps gauche commence à être douloureux lorsque je me mets en danseuse, les crampes ne sont pas loin. Je mets tout à gauche est je sers les dents. Dans ces moment-là, il faut déconnecter le cerveau et penser au moment où on aura franchi la ligne. Sur le haut de Beille, la route est mouillée, il y a du brouillard. Heureusement le dernier kilomètre est plus facile, le chrono s’arrêtera sur 6:34 :36 à la 41e place au scratch et 7e de la catégorie.

Place maintenant à la récup, pour la Marmotte samedi prochain…

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Puisque tu le demandes, je me lance,

Les prévisions météos n'étaient pas très optimistes pour la journée du samedi. Arrivée le vendredi soir de Perpignan, nous logions à Ax les Thermes. Un gros orage avec du tonnerre  éclate en soirée. Là en se dit qu’il vaut mieux que ce soit maintenant que dans la descente du Pailhères… Samedi levée à 5h00 pour un départ à 6h, le ciel est très nuageux mais il ne pleut pas, ouf (ça sera le cas toute la course). On laissera les voitures aux Cabannes près du village VVF et à deux pas de l’arrivée. L’échauffement se fera en se rendant sur Tarascon. J’ai le dossard 88, donc prioritaire et mes amis qui m’accompagnent et qui sont inscrit sur la petite Ariégeoise vont se placer dans leur sas. Etends un peu en avance, je vais rouler un peu avant de prendre position sur la ligne de départ. Il est 8h, le départ est donné. Je reste positionné toujours dans les cinquante premier, la route est large et sans difficulté pendant les 20 premiers kilomètres. Juste avant le village de Nalzen, il y a une petite bosse de un kilomètre, mais pas de soucis, elle passe sans problème sur la plaque. Prochaine difficulté, le col de la croix des morts au kilomètre 38. Pas de doute, il va y avoir un premier essorage. Comme prévu, le peloton s’étire est forme des petits groupes. Après le sommet, la tête de course temporise, ce qui permet un regroupement des petits groupes éparpillés dans la montée. Ce scénario se reproduira dans la prochaine côte qui n’est que de deux kilomètres mais avec du 13% sur le bas. On arrivera au bas du Pailhères avec un groupe relativement nombreux. Voilà Usson et le début des difficultés, on emprunte la déviation que je ne connaissais pas, je suis toujours passé tout droit (comme pour le tour de France). Ce détour rallonge un peu mais les pourcentages s’en trouvent moins élevés. Le peloton s’étire rapidement et définitivement. Maintenant, c’est chacun pour soi jusqu’au sommet. Je bascule avec un groupe d’une dizaine, certains s’arrêtent au ravito, moi je fais la descente que je connais un peu. Au bas du Chioula, on se retrouve à cinq dont l’espagnol Victor Del Corral vainqueur de l’Ironman de Nice. Au début de la descente du col de la Marmare, on rejoint  le parcours de la Mountagnole. Ce qui va rendre cette descente assez périlleuse, elle est déjà étroite, avec du gravier et de la mousse sur le bitume. Il faut se faufiler entre ceux qui ne descendent pas très vite et essayer de ne pas se faire lâcher par les concurrents de l’Ariégeoise. Après la descente, il y a une partie vallonnée assez casse pattes avant la dernière descente et l’arrivée aux Cabannes. Nous sommes plus que trois, Victor prend à droite et ne fera pas Beille (il se classera 8e au scratch). Voilà la dernière ascension, que je redoute car je l’ai toujours trouvé plus dure que la Pailhères. Un copain de mon club doit me passer un bidon au début de la montée. Je suis à sec, et je ne le vois pas, je commence à douter. Heureusement, il est un peu plus haut. Les forces sont déjà pas mal entamées, les jambes ne sont pas les mêmes qu’au mois de mai lors de la reconnaissance. Au milieu de l’ascension, le quadriceps gauche commence à être douloureux lorsque je me mets en danseuse, les crampes ne sont pas loin. Je mets tout à gauche est je sers les dents. Dans ces moment-là, il faut déconnecter le cerveau et penser au moment où on aura franchi la ligne. Sur le haut de Beille, la route est mouillée, il y a du brouillard. Heureusement le dernier kilomètre est plus facile, le chrono s’arrêtera sur 6:34 :36 à la 41e place au scratch et 7e de la catégorie.

Place maintenant à la récup, pour la Marmotte samedi prochain…

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Ca y est c'est fait 😆. J'ai bouclé la XXL

Tout c'est bien passé pour moi malgré. Une méteo moyenne mais qui me convient parfaitement malgré quand meme les deux descentes des HC un peu fraiche quand meme. En mode gestion tout pendant la cyclo ne sachant pas vraiment ou j'avais mis les pieds. Départ rapide avec le vent favorable et ensuite, ben chacun monte comme il peut. Pas de baisse de régime meme à la fin en montant le plateau de Beille. A la rigueur, le col qui a fait le plus mal est peut-etre le Chiuola juste après la descente de Pailhères. Les jambes étaient un peu dures après la longues descente dans le froid. Concernant les developpements, il fallait au moins le 34/28. J'ai pu finir en ayant seulement un petit debut de crampes à 8km du sommet de Beille mais c'est passé rapidement. Terminé dans le brouillard en 8h19 . Très bonne journée mais c'est dommage que l'on est pas pu voir le paysage au sommet des cols

 

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Bonjour Bertrand,

Voici mon "petit" CR.

Comme prévu de longue date, puisque j'avais dit "oui" à la collègue en début d'année, je savais que le séjour de 7j en Allemagne, placé du 8 au 15 allait rendre cette Ariégeoise compliquée. Je n'avais pas anticipé en revanche dans quelle proportion... Par ailleurs, les 2 semaines qui l'encadraient se sont également révélées extrêmement chargées en terme de travail, d'où une pratique du vélo en chute libre complète sur les 3 semaines antérieures à cette belle épreuve. Une nocturne faite mercredi soir avait confirmé combien j'étais à court de forme, avec des chiffres inquiétants cardiaquement et en terme de puissance. Bref, hier matin, je savais intérieurement que je partais très certainement pour le format Ariégeoise simple et non XXL. Néanmoins, je ne me doutais pas de ce qui allait suivre...

Rétrospectivement, le seul moment où cette cyclo a connu un déroulement normal, c'était au départ, sur les 60 premiers km. Ça ressemblait à une course, j'étais bien placé dans les 300 premiers grâce à mon art du remontage de peloton sans effort, j'ai géré assez calmement la petite côte de Nalzen en laissant les excités accélérer, sachant que d'autres excités allaient me ramener sur la tête ensuite. Bref, nous voilà à Bélesta, où je monte la Croix de morts bien tranquille, même si j'y fais un petit PR (mais les autres fois on avait posé la voiture à Bélesta et c'était le col d'échauffement). Le nombre de cyclistes qui me dépassent ne m'inquiète pas encore mais déjà je ressens des débuts de crampes (!?!?) à peine arrivé sur le plateau de Sault. La première idée qui me vient à l'esprit, c'est que la très forte hygrométrie m'a (déjà ??) fait perdre toute mon eau. Puis une pensée fugace me dit que peut-être bien je suis vraiment complètement hors de forme... J'opte pour la première solution en me disant que je vais vite le savoir. Je monte très en dedans la côte super raide qui donne accès à la partie orientale du plateau, mais ça me rassure, d'autres font comme moi. En attendant, je vide presto mes deux bidons, connaissant bien les fontaines dans le col qui suit. L'illusion se dissipe dès la vallée de l'Aude où j'ai le plus grand mal à suivre mon groupe, souffrant comme jamais pour sortir 200w à 160 bpm, soit 20 puls de plus que d'habitude. Surtout, les crampes confirment qu'elles seront bien mes compagnes de voyage dans très peu de temps... L'attaque du Pailhères me voit immédiatement à l'arrêt complet. Des hordes incessantes de cyclistes me doublent (comme à chaque fois dans cette cyclo où j'ai l'impression que tout le monde à des capacités de grimpeur dont je suis totalement privé...). Je m'arrête à la première fontaine à Rouze, je bois abondamment, marche un peu puis repars prestement... Euh, non, pas prestement... A partir de là, ça va être un long, long calvaire, avec une première station au ravito où il me faut user de tous les stratagèmes pour ne pas être crucifié par les crampes... Dans la suite du col, je m'arrêterai au moins 3 fois (de mémoire...), sous l'effet de crampes à des endroits totalement inusités : la fesse droite, les vasques externes des quadris, le bas du mollet gauche entre autre, mais jamais les quadris et les ischios... Les nuages, puis la bruine, et enfin une franche pluie fine nous accueillent à 2000m où en plus il manque de l'eau au ravito. Ne parlons même pas de Coca... Avec divers stratagèmes (changement de côté de la tente, bidon tendu entre deux concurrents qui me cachent, asséchage de tous les gobelets de mon secteur), je refais néanmoins le plein. Je marche encore 5 minutes pour tenter de relâcher un peu les muscles, puis je mets les manchettes et le coupe-vent. Et en avant pour la partie la plus délicate.

La descente qui suit est tellement délicate -on n'y voit rien à 5m au départ et la route est d'une humidité assez inquiétante...- que je n'ai même pas le temps d'avoir froid... Alors qu'on commence à voir à 50m et que je reprends un peu confiance, je loupe un freinage en glissant de l'arrière sur une bouse de vache et je pars percuter le cycliste que je suivais en bout de freinage en catastrophe. On reste un peu miraculeusement tous les deux sur nos deux roues.  Encore toutes mes excuses !! Cette descente ne me guérit pas de mes crampes et il me faut m'arrêter dès le début du Chioula, mais au moins je peux faire semblant qu'il s'agit d'enlever manchettes et coupe-vent...

La pente plus douce de ce col va favoriser une montée moins chaotique, j'arrive à ne devoir poser pied à terre que 2 fois ! Mais pour ce qui est de la vitesse, ça ne s'améliore pas : je plafonne à 200w, soit 30 de moins que 3 semaines avant au même endroit... Quelle misère... Je bois tous mes bidons et continue à prier le ciel pour que ça finisse par aller un peu mieux. En attendant, je vois des choses que je n'avais jamais eu l'occasion de voir en cyclo : un autre cycliste me double, en VTT équipé de pneus route, puis un pépé qui doit très certainement avoir besoin d'un déambulateur lorsqu'il descend de son Colnago de 1960 et, enfin, un jeune qui ne doit pratiquer le cyclisme que très occasionnellement puisqu'il est en baskets, que son vélo à des pédales à réfléchisseurs et qu'il n'a même pas de cuissard... Pour tout avouer, ma fierté en prend un coup. La fin du col finit par arriver, tout comme un début de meilleure forme générale. Faut dire que redoubler quelques concurrents, totalement crispés sur leurs freins, ça fait un peu de bien... Je saute le ravito du col de Marmare car je sais qu'on est arrivé en fait et parce que bizarrement  je sens que mes réserves sont suffisantes pour la fin.

La descente de ce col me procure le deuxième moment de plaisir de la cyclo depuis le départ. Y a pas trop de monde, je peux doubler à peu près comme je veux, la visibilité est bonne et la route en bon état. Je dois dépasser une trentaine de personnes au total jusqu'à l'intersection avec la route des crêtes. Les crampes reviennent dès le premier raidar, où je réutilise ma tactique "une nécessité m'oblige à m'arrêter". Je croise un copain de course et on discute un peu avant qu'il ne faille le laisser partir sous peine de devoir à nouveau stopper en bord de route... Les villages défilent néanmoins et je me surprends à reprendre du monde... Un petit groupe s'est constitué dans ma roue que je lâche dans la courte montée d'Appy... Décidément, je ne comprends rien de ce qu'il m'arrive sur cette cyclo... Il ne reste plus que la descente de Verdun, où je fais la course avec un gars de Carcassonne qui m'a rattrapé. On redouble tous ceux que j'avais déjà doublés dans la descente du Marmare (eux m'avaient repris et lâché au début de la route des crêtes), y compris le copain de tout à l'heure. On fait attention à ne pas se désintégrer sur le mur de la mairie, puis nous voilà aux Cabannes. La séparation entre les deux parcours est un peu chaotique et il nous faut slalomer entre les cyclistes qui ne savent pas où aller. C'est sans crampe que je termine cette Ariégeoise 2016, la pire des 3 auxquelles j'ai participé, à la 380è place, en 6h35.

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On s'est probablement aperçu car je termine en 8h24.

J'ai utilisé mon développement de 34x32 et je remarque à chaque fois sur ce genre de parcours que de nombreux cyclistes sont pénalisés par des braquets trop gros pour leur niveau...

Je n'aime pas la grosse chaleur et la montée de Beille en plein cagnard est terrible donc j'ai également apprécié cette météo un peu humide ... malgré le manque de vue aux sommets un peu frustrant pour ceux qui n'ont pas souvent l'occasion de rouler en montagne

Bravo aux organisateurs pour avoir proposé ce nouveau parcours magnifique et très exigeant

Comme d'habitude sur l'Ariégeoise, organisation au top et sécurité exemplaire.

Merci aux 700 bénévoles dévoués qui nous ont permis de passer une excellente journée.

Une seule ombre au tableau: les trop nombreux tubes en plastique sur la route et les bas-côtés après le passage de l'épreuve

 

 

 

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Et oui Pierre, comme bien souvent, certain cyclistes pourrissent les routes qu'ils adorent. Je te confirme que le Ventoux n'échappe pas à la règle avec de nombreux déchets tout le long des montées....


Quand on pense qu'il suffit de les mettre dans sa poche arrière, cela montre la bêtise humaine....

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Concernant les gros cochons😠 qui jettent leurs detritus sur la route, je trouve qu'ils y en avaient beaucoup plus que sur l'Ardechoise que j'ai fait 3 fois. Pas beaucoup de papier des barres energetiques mais beaucoup de tubes "coup de fouet". Certainement des gugus qui se prennent pour des pros

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Salut, 1ere participation à l'Ariégeoise après pas mal de cyclos dans les Pyrénées, Alpes etc... Certainement, pour moi, un des plus beaux parcours réalisé !

Arrivé fatigué en Ariège ( de Bretagne ), surpris par le cagnard du milieu de semaine ( + de 30 ° ), suis parti sur la XXL en mode gestion pour la boucler. Un peu déçu de mon manque de force et fraicheur à l'approche de Pailhère, qui s'est confirmé par la suite mais peu importe !

Superbe organisation, des routes merveilleuses et propres, sécurisées à mort ( des panneaux annonçant quasiment chaque virage...!! ), des ravitos biens placés ( par contre un peu plus de salé c possible ? ). 

Surtout j'ai trouvé que la majorité des gars ( et des filles ) savait rouler ici, pas d'a-coups, pas d'énervés, de gars dangereux, de coups de patins. Des gars qui savent descendre, toujours eu le sentiment de rouler en sécurité. Top.

Quel parcours !  Bien dur, le raidard après la Croix des morts a fait mal, le Chioula douloureux comme prévu, la route des crêtes superbe et...longue. J'ai retrouvé Pailhère avec plaisir, ce col est majestueux et sauvage.... 

Beille à la fin s'imposait mais franchement ce n'est pas une montée très intéressante, sauf la fin quand on débouche  sur des paysages superbes qu'on... aura pas vu. Peux importe !  ( et je les avais vu sous le soleil jeudi soir... )

Arrivé 400 ieme en 8H pile, après 1h43 pour monter Beille.... Vite fatigué, j'en aurais bien bavé.. Alors qu'il faisait bon, appréciant la fraicheur de samedi, je rentre frigorifié sous la pluie de Beille après avoir crevé au début de la redescente... Peu importe ! 

Superbe journée de vélo... La tête encore là-bas. A refaire...

 

 

 

 

 

 

 

 

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  • 4 weeks later...
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