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Votre sortie du jour 2017


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Messages recommandés

Si çà peut te donner bonne conscience pendant 2 décennies je suis descendu dans les Pyrénées venant de Belgique (1050 km) tous les 2 ans:  pour ma passion du vélo et... des Pyrénées. Ayant de la famille à Tarbes je me suis toujours senti du coin. J'ai découvert le Tourmalet à 7 ans, ma passion pour la montagne était née.

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C'est quoi le sissel pack, de la drogue ?

Strasbourg n'est pas plus polluée que d'autres villes, si tu la compares à Grenoble, le bon air est en Alsace. Il est vrai que climatiquement nous sommes dans un style de nasse qui fait que la pollution a du mal à partir. Mais il s'agit de la pollution que d'autres régions, les méchantes, nous envoient.

Comme dit Jo, pas le taxi, l'autre, on a quand même besoin d'une voiture.

Fait chaud chez nous. Demain cela ira mieux.

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Le sissel pack n'est pas de la drogue mais une poche de glace pour soulager mes tendons douloureux :).

 

Et je n'ai aucune honte à faire 3h30 de voiture chaque semaine pour aller grimper une fois en montagne. Ceux qui travaillent dans les grandes agglomérations et n'ont pas les moyens de vivre en ville et qui n'ont pas de transport en commun disponibles n'ont pas le choix pour aller bosser que prendre la voiture. Bien sûr ceux qui restent tranquille chez eux pendant que les autres bossent et se tapent les bouchons ne peuvent pas comprendre ;)

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C'est mon premier poste sur ce forum donc je vais me présenter un peu.

J'ai 16 ans et j'ai commencé à faire des sorties vélo presque quotidiennes il y a 1 mois autour de chez moi (en Normandie) avec pour seul matériel un short, des baskets, un bidon à 1€, une application pour téléphone et mon vieux Rockrider de 15kg.

Maintenant que les présentations sont faites je vais pouvoir vous parler de ma sortie d'aujourd'hui.

43 kms à une vitesse moyenne de 17 km/h pour 390m de déniveler positif et 32°C.

Je sais c'est pas terrible mais je ferai mieux la prochaine fois...

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En plus d'être réac tu m'as l'air un poil hypocondriaque 📢

Si tu en as marre des voitures, déménage dans le Cantal. Franchement je vais pas m'étendre mais tes fringues elles viennent d'où? Ton vélo? Comment t'alimentes tu? Et puis, ta connexion internet et ton accès internet tu l'obtiens comment?

Je connais des gens qui tenaient le même discours que toi, ils sont partis élever des chèvres dans la Creuse, eux au moins ils vont au bout de leurs idées. C'est facile de crier sur un forum, plus dur de mettre ses beaux principes en application.

Un pollueur qui t'emmerde et qui prend un plaisir incroyable à monter dans son Audi tous les jours.

 

 

Revenons au sujet. Deuxième sortie aux Gets avec :

- Joux Plane côté Morzine : le plus facile mais pas simple pour autant. Le pied dans Morzine est assez pentu et sans réel échauffement, ça pique. Descente sur Samoëns (histoire de voir ce qui m'attend demain dans l'autre sens.

- Montée de Samoens 1600 : alors ça pour un morceau c'est un sacré chantier. 10 kms à 9,9 de moyenne. Je vais le monter tout à gauche pour ne pas m'épuiser. Le 36/32 n'aura jamais autant servi :D

- Col de la Ramaz : la bonne surprise de la journée. Superbe paysage tout au long du col. Un début très abordable et un passage aux Kms 8-9-10 avec les paravalanches qui sont assez terrible. Le soleil s'est enfin pointé et la température monte en flèche. Comme d'habitude, je réagi pas très bien. Par contre le sommet contraste avec tout le col, c'est moche ^^

- Col de l'Encrenaz : descente des Gets fermée donc passage par ce col. Pas de difficulté majeur. 

une fois arrivé à Morzine, il fait un temps superbe et je décide d'allez faire un tour au Lac de la mine d'or, une belle connerie. 9 kms dont les 4 derniers entre 9 et 15%, un calvaire, mais le lac vaut me détour.

Au final, 126 kms sur presque 3600m de D+ effectués à 21,2 de moyenne. https://www.strava.com/activities/1156608300

Je rentre dans ma phase de gestion des efforts pour tenir 15 jours. 

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Merci pour ta réponse Franck.

Le problème que tu dénonces est très vaste... Nous ne naissons ni libres ni égaux, inutile d'essayer de défendre l'indéfendable.

Et la pollution, dans le sens habituel du terme, c'est-à-dire celle qui concerne l'eau, l'air, la nature en général est le reflet d'une pollution plus "globale", la marque d'une erreur, d'une errance de l'être humain victime de son orgueil à vouloir tout maîtriser... Jusqu'où ne pas aller trop loin dans ce qu'on imagine être le progrès, la créativité, trop loin dans l'espérance d'un bonheur ou de l'illusion du bonheur ?

Ton histoire de bagnole ne me laisse pas indifférent. Imagine qu'après avoir perdu mon emploi à la suite de la fermeture de l'entreprise où j'ai travaillé pendant 24 ans, je retrouve un boulot, à 51 ans, à 100 km de chez moi, dans une nouvelle usine de biocarburant... Chaque journée où je travaille, je roule 200 km pour produire... du carburant "vert". Tu crois que je ne suis pas conscient de la situation paradoxale dans laquelle je me trouve ? Tu me rétorqueras que j'avais le choix de refuser cet emploi. Je n'ai pas eu le courage de préférer le chômage, j'ai une maison à rembourser, etc, et je n'avais pas atteint la limite de que je trouve inacceptable (comme travailler dans une fabrique d'armes de guerre par exemple). Il n'empêche, mon ciel n'est pas exempt de nuages... ma (bonne) conscience n'est pas entièrement satisfaite.

La question se pose lors de chaque acte de notre vie. Lorsque je fais mes courses au supermarché, ai-je le courage d'enquêter sur la provenance de chaque article et sur les conditions dans lesquelles il a été fabriqué ? La tâche est immense ! Et est-il judicieux de boycotter purement et simplement un marché qui favorise l'exploitation humaine au nom de la justice ? Que deviennent les malheureux trop peu payés quand ils perdent leur emploi...

Même combat pour les végétariens : comment prétendre que je respecte la vie si je la tue ?

Le drame, c'est que nous sommes condamnés à manger, tuer, pour vivre. Que nous mangions un animal ou un végétal, nous devons notre subsistance à une mort, à une disparition. Ce qui, dans le meilleur des cas, pour les personnes "éveillées", conscientes, nous place dans l'obligation d'être dignes de cette mort ou de cette disparition. "Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités" disait le héro dans Spiderman... Ce n'est pas le souci de tout le monde, à l'évidence !

Dénoncer, c'est bien, mais ça ne suffit pas à faire bouger les choses. Quels sont nos moyens d'action ? Suffit-il de se retirer du monde pour ne pas être complice ? Allons-nous tous ensemble élever des moutons dans les Cévennes ?

Nous avons passé l'âge de refaire le monde. D'autre part, tout n'est pas à jeter et il serait absurde de renier l'héritage de tous les humains qui nous ont précédés. Je pense qu'il est possible, avec humilité, parce que notre ambition est disproportionnée par rapport à nos moyens, et courage, parce qu'il faut oser sortir du troupeau, de faire au jour le jour de petites choses qui nous permettent de nous rapprocher de notre nature intime et du monde qui nous entoure, les deux étant intimement liés.

Tu dis que nos parents nous ont phagocytés ? Il nous appartient de nous en libérer. Un travail qui demande de la clairvoyance et de la persévérance.

Je te souhaite d'avoir cette énergie et ce courage.

 

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Tu fais allusion dans ton message de 00:40 à la pseudo liberté du fumeur. C'est bien de raisonner à partir d'exemple simple, ça permet de recentrer la discussion ou la réflexion.

Le fumeur, s'il est normalement intelligent et sensé, sait parfaitement les risques qu'il encourt, mais il ne parvient pas à s'arrêter de fumer. Dans le cas des drogues habituelles, l'assuétude est en partie explicable chimiquement, la sensation de manque est réellement physique en cas de privation de la substance toxique. Ce qui ne doit pas occulter la dimension psychologique de la dépendance.

Le "consommateur" de base, c'est-à-dire quiconque appartient et participe à la "société de consommation", répond psychologiquement de la même manière que le drogué : il ne peut s'empêcher d'agir comme il le fait. Non par nécessité, mais plutôt de manière pulsionnelle. Et, de la même manière que l'alcoolique minimise ou nie son addiction, à son entourage mais aussi à lui-même, la société toute entière nie le côté "aberrant" de son fonctionnement, le justifie même : "la croissance est la seule issue valable à la crise économique", affirment les politiciens et les économistes...

Selon toi, nous serions des "cons" dans le sens ou nous prenons plaisir à être dépendants, asservis... Je suis d'accord avec toi sur la notion de plaisir, mais pas sur le sens que tu sembles donner à la sexualité féminine.

Alors oui, l'être humain, toi, moi, nous, adoptons des comportements qui nous nuisent, nous font mourir à petit feu, et nous y prenons du plaisir...

Comment retrouver le chemin de la liberté ?

Finalement, toute la m***e que tu as expulsée dans ton premier message d'hier nous a fait avancer  😉

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Viens tout juste de rentrer de 3 h de sortie environ, avec quelques-unes de mes bosses habituelles de l'est de Bruxelles. Sensations moyennes, apparemment je n'ai pas encore tout-à-fait récupéré de la Vélomédiane de samedi. Temps paradisiaque pour moi, températures autour de 30°, grand soleil, pas trop de vent… 😆

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Le loupage du réveil ce matin annonçait une journée compliquée, elle le fût. 

J'ai attaqué par le col de Pierre Carrée (montée de Flaine qui est 4 kms en contrebas (très jolie station au passage surtout le premier village, ensuite on revient sur du plus classique). Il est déjà midi et je n'ai fait qu'un col. Je mange un petit flan et direction la Colombière. Il fait chaud (28° au Garmin) et même si la première partie se fait à l'ombre dans la forêt, je sais que je vais prendre sévère plus haut, une fois à découvert. Bingo, ça n'a pas loupé. Les deux derniers kms à 10 et 11% avec vent de face calme tout le monde (j'avais 4 cyclistes en point de mire). Le fait de voir le sommet de très loin (3,5 kms je crois) n'arrange rien, on a l'impression de ne pas avancer (c'est pas totalement faux non plus :P).

Je prends un petit coca au sommet et je fais le point sur les forces en présence. J'ai souffert dans les pentes à 10% de la Colombière, Joux Plane est quasi en permanence à découvert, je fais le choix de rentrer "au plus court" par le col des Gets. Je décale donc mon départ à demain après midi pour faire Joux Plane demain matin. 

Bilan de la sortie : 132 kms sur 3333 m de D+ (ok j'ai coupé le compteur juste à l'entrée des Gets pour la beauté du chiffre :D). Le tout effectué à 23 de moyenne. https://www.strava.com/activities/1158115215

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bonsoir,

ce n'est pas un post pour  "REGLER SES COMPTES" .....il y a un post qui se nomme : BILLET D'HUMEUR , alors allez -y !!! mais ne polluez pas ce post , merci !!!!

.....je reviens à l'intitulé de ce post à savoir "votre sortie du jour 2017 "

donc ce matin , comme tout les mardis sorties avec le club pour une sortie cool autour des plages Hyèroises et sa presqu'ile avant de rejoindre le port de La Londe les Maures pour notre café accompagné de bugnes ....

.....85 bornes sous la chaleur et une légère bise marine , avec l'occasion de rouler avec de nombreux touristes et donc d'échanger !!!!! 

a+

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