Marmotte Alpes 2017: questions pratiques

[Thibaud CHERBONNEL]

On est tous pareil Emilie, chacun raconte son aventure, son bonheur de l'avoir fait bien avant de parler du temps. Signe que sur cette Marmotte, on s'en fiche du temps, nous, simples amateurs. Il faut juste profiter de ces moments et depuis dimanche, j'ai un petit bonhomme qui saute dans ma tête en me disant "Tu l'as fait" et ça c'est le top.

Bon repos :)

[Bruno NGUYEN]

c'est vraiment  sympa de lire vos CR , cela me rappelle   ma "Performance" en 2009   avec une préparation de 2000 Km  .     Plus de 12h   , mon compteur de l'époque  avait dépassé   sa capacité de stockage.    😆

[Bruno NGUYEN]

Bravo pour la perf avec juste un mois de préparation spécifique    et bravo aussi  pour les 2h59   sur marathon   .    Ce ne doit pas être évident de passer  de la CAP   au vélo de route . 

[Bernard MOREAU]

Plus de 12h

Comment est-ce possible?

Si je me souviens bien tu montais autour de 1100 m/h sur des ascensions sèches*, guère moins que moi lors de ma 1ère Marmotte (en 1983, parcours "historique").

Avec moins de 3000 km au compteur, je n'avais coincé que ds l'Alpe et fini en 8h13, j'étais en travers sur mon 42:25.

 * Je m'en souviens car nous avions eu une discussion sur le clm du Mont du Chat.

 

[Bernard MOREAU]

Ce sont mes proches, à distance, qui m'ont remonté le moral. 3200ème au scratch. Honorable pour un quinqua cycliste depuis aout 2013... Oui ? Non ?...

Après la réponse de CANNON DALE j'espère que tu te rends compte que ton tort a été de poser la question.

Pourquoi l'opinion des forumeurs et autres cyclistes t'importe-t-elle? Qu'est-ce que ça peut bien te faire cette opinion? Il me semble qu'il n'y a que la satisfaction personnelle qui compte dans ce genre de situation. Tu feras forcément mieux l'année prochaine si tu continues et puis c'est tout.

2 mn sur la Marmotte c'est rien, donc t'as le niveau "OR" selon les organisateurs, point-barre. Tu peux considérer cela comme une évaluation objective mais qui ne tient aucun compte de tes circonstances personnelles.

 

[Bruno NGUYEN]

 En fait c'était   en 2008 , première année  de vélo route  et j'étais parti  en mode randonneur-"finisher" .     J'ai pris tellement de temps aux ravitaillements  que j'ai dépassé la barrière horaire   à Bourg d'Oisans  ou j'ai été obligé de rendre ma puce pour continuer .   Du coup   classement  seulement sur le Marmotton 

Le Marmotton 2008 NGUYEN BRUNO 245ème sur le parcours MEDIOFONDO Avec un temps de 10:21:15:000 83ème dans la categorie M 40 - 49

en 2009    j'ai mis  7h55 sur la Time   et en 2010     j'ai réussi à faire du 1070 m/h sur le Mont du Chat et du 1150 m/h sur le col du Coq   . Dernier grand parcours en 2013 sur la Vaujany  en  08 h 17 mn  .  

Je n'ai plus le temps  (ou la motivation) pour préparer les grands parcours , mais en lisant tous ces CRs,   je tenterais bien  un brevet or  sur  une nouvelle Marmotte 

J'ai jeté un œil sur le classement de 1983 . 627 classés et très peu  d'étrangers  . Ça fait bizarre 😄

[Bernard PIGUET]

Hervé, c'est toujours BIEN de boucler une marmotte.

Mais ne t'aurais t-il pas manqué ton escapade au Susten. Tu ne nous a plus parlé de ce projet, et en matière d'entraînement, il n'y avait pas mieux. Surtout que certains avaient peur que tu aie chaud sur ces 3 cols, et effectivement je ne me souviens plus de la date.

[Karl COUDRE]

Bonjour Hervé,

Un lâche qui ne donne pas son nom, je l'ai fait un peu causer, il a pris plaisir à en faire des caisses, puis je l'ai bloqué...

C'est vrai que ta question ça ne regarde que toi. Toi seul doit apprécier ta "perf", les autres tu t'en fous. Ca n'a de valeur que pour soi...

Par contre tu sais que tu as encore une jolie marge de progression, plein de choses à apprendre sur toi et la préparation d'un objectif...

 

[Cédric SAGANSAN]

Pour ma part troisième Marmotte après 2011 et 2014,nous voilà arrivé sur l 'Alpe vers 16h30 pour retirer les dossards je n'ai pas fait la demande d'un dossard préférentiel et me voilà avec le  dossard 6420, après tout la route est longue inutile de partir comme un dératé. La journée du Samedi ne se passe pas bien des douleurs gastrique font leurs apparitions je me rends dans une pharmacie pour prendre du smecta,une prise le soir et le matin ne suffiront pas à la forme du lendemain dans le Galibier. Logeant sur l'alpe la température de la soirée nous inquiète pour le lendemain 5 petit degrés sont affichés sur mon compteur sur le balcon. Levé 6h00  inutile de se presser notre départ est estimé à 7h50 selon notre sas. Finalement pas si froid que cela mon coupe vent acheté 3 ans plus tôt sur l'alpe me protège bien, quant au gant ceux d'été  feront l'affaire. Départ 8h10 mon coupe vent enfilé dans ma poche me servira qu'après l'arrivée, beaucoup de monde dans le Glandon c'est là que je regrette de partir de si loin, enfin nous voilà arrivé en haut obligé de mettre pied à terre trop de monde, un arrêt de 4mn hors chrono et nous voilà reparti dans la descente pleine de brume la température est fraiche mais acceptable. Dans la vallée un groupe se forme et je profite de manger mon sandwich jambon pain de mie complet. Le télégraphe se monte à 13km/h de moyenne et mon compagnon de route prends quelques dizaines de mètres sur moi, sur le haut, je le rejoins toutefois à la faveur de la descente sur Valloire.4mn d'arrêt au ravito et me revoilà repartis les sensations ne sont pas bonnes j'ai l'impression de ne pas avoir de jambes mon compagnon de routes s'échappe inexorablement et je monte comme je peux le fait de doubler des concurrents m'encourage et m'amène à penser que je ne suis pas complètement cuit. Arrivé en haut je remplis mes deux bidons et prends le temps de faire un selfi face à la pancarte 2642m ce n'est pas tous les jours. La descente ensoleillé ne m'incite toujours pas à enfilé mon coupe vent mes seules manchettes suffiront à affronter le vent contraire de la vallée qui se déroule à vive allure, ou des début de crampes apparaissent, mais je ne m'affole pas je suis coutumiers du fait dans les descentes, quand j'arrête de pédaler en position de recherche de vitesses. Un arrêt de deux minutes au pied de l'Alpe et nous voilà dans la montée mythique que j'aborde avec des interrogations sur mon état, et ce n'est pas les premières rampes qui vont me rassurer.Heureusement après cela va un peu mieux et je remonte pas mal de concurrents, la chaleur commence à se faire sentir et je recherche le peu d'ombre présente sur la route.je boucle la montée en un peu moins de 1H20 à 10Km/h de moyenne conformément à mes prévisions. Mon ami étant arrivé 3mn avant moi nous pouvons à présent nous réjouir d'avoir amélioré nos temps précédent de presque 40mn et surtout de n'avoir connu ni chutes ni avaries mécanique et d'avoir bénéficié d'une météo clémente.je boucle le parcours en 7H57 à la 1460 eme place. A refaire d'ici deux ou trois ans ou peut-être avant selon le choix des cyclos(étape du tour dans les Pyrénées l'an prochain)?

 

 

 

[Kévin DEMEESTER]

bravo à toi

pareil pour moi j'attends que l'EDT 2018 soit dévoilée avant de savoir si je me (re)lance dans cette aventure alpestre.

[Emmanuel LIEUTIER1639476531]

Tu t'arrêtes à tous les ravitos ?

Perso, je m'arrête le moins possible, ça me casse le rythme surtout au bas d'une montée.

Pour la Marmotte, je me suis arrêté en haut du Galibier pour faire le plein d'eau et sur l'Ariegeoise XXL, je ne me suis pas arrêté du tout, j'ai tout fait avec 2 bidons.

L'idéal serait d'avoir une assistance qui passe les bidons en roulant, car pour manger mes poches sont suffisantes en dessous de 200 km.

[Cédric SAGANSAN]

En haut du glandon je me suis arrêté par force sinon j'aurai continuer ensuite à Valloire obligé sinon pas assez d'eau donc un bidon pour ne pas être trop lourd ensuite en haut du Galibier deux bidons car la au contraire dans la descente cela ne pose pas de problème, et au pied de l'alpe un bidon m'a suffit pour le solide suis en autonomie car je mange ce que j'expérimente a l'entrainement.je bois pas mal car je suis sujet aux crampes. Mais c'est vrai que j'ai toujours du mal pour repartir du ravito de Valloire pour l'instant en trois participations je n'ai jamais eu les bonnes jambes dans le Galibier contrairement à l'alpe ou cela va mieux. Donc prochain objectif pour moi bien passer le Galibier qui est d'ailleurs mon col préféré en terme de paysage.

[François BABEN]

Bravo à tous les finishers !

Quel que soit le résultat, c'est toujours une victoire, à son propre niveau plus ou moins modeste.

Merci pour les CR, toujours plaisants à lire.

Roulez bien, FB.

[Kévin DEMEESTER]

Ce sont des bidons de 500 ? car si je fais le compte ça fait pas tellement finalement. (5 bidons peut-être, soit bien moins d'un bidon par heure)

 Pour ma part j'essaie de boire bcp plus qu'avant mais j'ai l'impression de ne pas boire assez.. Mais lorsque je lis vos résumés je me dis qu'en fin de compte je bois pas mal!

[Thierry GUILLAUME]

Félicitations à tous pour vos performances quel que soit le niveau 😉

Pour ma seule et unique Marmotte effectuée, celle de 2015 (pas de Galibier), je me souviens avoir bu sur les 178km presque 8L... et malgré cela je n'étais pas loin de la déshydratation... mon Garmin m'indiquait 44° dans la montée de l'Alpe vers 14h30 😲

[Cédric SAGANSAN]

Non des bidons de 800ml x 6 bidons donc 4.8 L.

[Kévin DEMEESTER]

okok , pas de crampes alors ?

[Cédric SAGANSAN]

Légères dans la descente du Lautaret mais rien de méchant.

[Cédric SAGANSAN]

En parlant de sécurité sur les cyclosportives la Marmotte a fait d'énorme progrès en quelques années, en effet très peu de voitures sur l'ensemble du parcours hormis dans la vallée de la Maurienne, et plus aucune voiture dans la descente du Lautaret ce qui est bien appréciable à pleine vitesse.