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Michael Goolaerts.


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D'ailleurs on peut préciser que John Young, astronaute de la NASA avait une fréquence cardiaque de 70 bpm lors du lancement de la mission Apollo 16 contre 140 pour son voisin novice Charles Duke, alors assis sur 2 500 tonnes de carburants inflammables. C'était déjà son deuxième vol vers la Lune. L'un des seuls à y être allé deux fois avec Gene Cernan (10,17) et Jim Lovell (8,13)

Vingts ans plus tard lors du premier lancement de la Navette Spatiale, le vol d'essais le plus risqué et complexe de l'histoire il aura le même écart avec son co-pilote Bob Crippen. 

Young déclarera modestement qu'étant vieux son coeur n'arrivait plus à monter plus de toute façon. 

Il ne prendra sa retraite qu'en 2004 après la plus importante contribution aux vols habités et nous quitta récemment, début Janvier. 

Si Armstrong était un exemple il en était un aussi comme tant d'autres. Par exemple Ed White, premier Américain à réaliser une sortie spatiale. Il a été sélectionné pour cette tâche grâce à son niveau athlétique supérieur à ses confrères, comme quoi le sport à du bon aussi. Il perdra la vie lors de l'incendie d'Apollo 1, qui tuera aussi Gus Grissom qui aurait marché sur la Lune à la place d'Armstrong d'ailleurs...

Voila un point commun entre Imanol et Jean Dupont : une connaissance respectable de la conquête spatiale 😃

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Oui, Neil Armstrong au raisonnement de crétin, il devait l'être, son cursus universitaire, de pilote etc. etc. le démontre. On dira que lui, connu du monde entier et au delà raisonne comme un crétin alors que Bernard Moreau connu de sa famille raisonne comme un chef. Tu avais le même patron que Neil? tu nettoyais les WC d'un triste sous traitant de la NACA?
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Imanol ne sait pas pour ce qui est des autres mais il n'est pas scientifique. Il dit ça car lors de son premier cours universitaire un professeur lui dit ainsi qu'aux autres étudiants présents: "ne soyez pas comme les scientifiques qui ne s'intéressent qu'à leur domaine, intéressez-vous à tout". Ce fut pour Imanol une sorte d'apophtegme qu'il ne cesse de suivre depuis ce jour. Rien d'étonnant à ce qu'il connaisse l'histoire spatiale et d'autres choses.
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Et le choc contre le sol ne semble pas violent au point de provoquer l'arrêt du coeur par commotion cardiaque.

Evidemment cela ne peut que renforcer l'hypothèse la moins agréable pour les amateurs de cyclisme.

Ceci dit, les accidents cardiaques mortels en course sont extrêmement rares dans le cyclisme, pros ou amateurs. Ils sont beaucoup plus fréquents dans d'autres sports (même sans choc) comme la course à pied ou le foot.

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 Bernard MOREAUa écrit :  les accidents cardiaques mortels en course sont extrêmement rares dans le cyclisme, pros ou amateurs. Ils sont beaucoup plus fréquents dans d'autres sports (même sans choc) comme la course à pied ou le foot.

 

 

effectivement mais les médias "oublient" souvent d'en parler ce qui fait que le communs des mortels imaginent que ce genre d'accident concernent essentiellement des cyclistes 

 

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Un aspect des choses qui me pose question dans ce triste événement est le suivant: admettons qu'il soit décédé sur place, dûment constaté par le service médical de l'organisation, qu'en aurait-il été de la suite de la course?

Aurait-on, au nom du respect à la vie humaine perdue, arrêté la course, ou aurait- elle continué au nom du show must go on?

J'ignore la réponse, mais si j'étais à la place d'un coureur à ce moment là, je me sentirais très mal, et pour longtemps, si on continuait.

Voir un homme si jeune et si plein de vie nous quitter comme ça, c'est terrifiant et tellement triste.

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Ce qui m'intéresserait c'est d'avoir une chronologie minute par minute de cet accident et l'analyse de ce qui a été fait, sur la course, dans l'hélicoptère, à l'hôpital.

Et l'analyse d'un spécialiste du sujet tant au niveau du timing que des soins prodigués.

En d'autres termes : aurait-on pu faire mieux ?

Si oui quelles sont les actions envisageables tant sur le plan de la justice -pour obtenir éventuelle réparation- que médical -pour améliorer les choses dans le futur-.

Bref : un débriefing. 

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