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45 ou 55 mm


Sebastien HATAT
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Bonjour,

 

J'hésite entre 45 ou 55mm, j'ai actuellement des 40mm je cours en départemental et je roule en loire-atlantique donc assez plat dans l'ensemble.

 

Vous me conseillez quoi moi j'ai toujours aimé les roues hautes mais après en relance faut les emmener

Pour info sa serai des roues carbone. 

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Bah maintenant on arrive à faire des roues aero qui ne sont plus des boulets, même à pneu et elles sont réactives et légères, en dessous de 1400 gr, 100 gr de plus que les Rsys.

Faut pas oublier non plus que la vitesse moyenne des courses est souvent aux alentour de 40 km/h et qu'à cette vitesse l'aéro est important. J'ai 2 vélos, un typé grimpeur avec c24cl et un autre cadre, fourche guidon aéros avec Bora 50 et roulements céramiques. Quand je suis dans les roues, je dois freiner plus souvent avec l'aéro en attendant de prendre mon relais, c'est flagrant. Preuve que même dans les roues l'aéro compte aussi : si tu monte un faux plat à 40 km/h dans les roues, crois moi l'aéro compte!

Et en échappée, ne parlons même pas de l'avantage évident de l'aéro!

Si les courses se déroulaient à 25 de moyenne, là d'accord, il n'y aurait pas beaucoup de différence avec les Rsys...

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Totalement d'accord avec toi une fois de plus. Ce qui fait mal, ce ne sont ni les relais, ni de filocher à l'abri. La ou ça compte, c'est de virer correctement et d'envoyer pendant les 50 mètres qui suivent. Sinon, c'est un effort de 500 mètres à chaque fois, juste pour retrouver sa place. Et les successions d'attaques, c'est du même tonneau.

Accessoirement, ma meilleure moyenne en course, c'est avec des R-Sys prêtées, sur un circuit automobile tout plat.

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Si tu n'es pas collé aux roues sur une relance, ce ne sont pas les jambes qui sont en cause. C'est ta manière de virer, le fait d'avoir levé le cul ou pas, le fait d'être gêné ou pas. Les jambes ça vient après, à force d'avoir répété ce genre d'efforts.

Fais deux Pass avec 10 virages par tour, plus les attaques, les fois ou tu es bloqué et ou ta vitesse chute... tu compares deux paires de roues et on en reparle. Une course, c'est une succession de sprints, plus ou moins violents et de ralentissements. Tu passe en permanence de 30 à 50 km/h.

En course, tu as 50 gars qui veulent tous être dans les 20 premiers, si tu traine derrière, une mauvaise relance, un petit vent de côté ensuite et tu passe par la fenêtre. C'est toute la différence.

Essaie, ça pourrait te plaire.

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" C'est ta manière de virer, le fait d'avoir levé le cul ou pas, le fait d'être gêné ou pas"

C'est pas 200 g de jante qui vont tout changer, certaines roues sont plus faciles à piloter que d'autres indépendamment de leur simple hauteur et poids. 

Les pelotons rapides j'ai déjà essayé dans les groupes +45 kmh à Longchamps, c'est pas vraiment mon truc. J'imagine très bien l'effort qui correspond à une vraie course, mais frotter et rester concentrer sur la roue de devant je n'aime pas. 

Je préfère les courses de côte. 

Chaque fois qu'il y a un sujet roue on voit les mêmes généralité, on les met dans des cases pour 5 mm de jante ou 200 g sans se poser de question. 

Quand tu penses qu'il y a des gens qui mettent 5 000 € dans une paire de Lightweight en pensant que sont des jantes hautes pour être aérodynamique c'est à mourir de rire. 

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Je suis globalement d'accord avec toi, le prix et le type de roue ne métamorphosent pas le cycliste. Mais à la marge, ça peut représenter une somme de petits efforts économisés. 

Je te rejoins sur les "cases" dans lesquelles on met les roues. On est au moins deux à dire que les roues qui nous conviennent pour des courses souvent plates, ce sont des roues cataloguées "pour grimpeurs". La raison, principale, à mes yeux, c'est que ça vire court. Et plus le circuit se raccourcit, plus les virages  (donc les relances) sont proches et nombreux, plus ça se ressent. J'en vois un certain nombre avec des jantes hautes qui sortent trop larges, virent trop lentement, font des cassures.

Sinon, les pelotons à Longchamp ou Vincennes, ça n'a rien à voir avec le rythme saccadé d'une course amateur. En plus, il n'y a pas vraiment de relances. Les virages sont rapides et le rythme y est assez régulier, même s'il peut paraître élevé. A l'abri, c'est facile. Je tenais sans problème à une époque ou je sautais comme une m... en 3 Ufolep. Et ça ne frotte pas vraiment...

 

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Pas au niveau de l'intensité mais de l'esprit. Je sais bien qu'en course c'est autre chose. A Vincennes tu prends un groupe qui envoie à fond les virages sont assez serrés, plus qu'à Longchamps. Le plus difficile de toute façon reste de réagir à une cassure 3 vélos devant toi. Dans les roues me suis déjà retrouvé court en braquet en 50x12 dans le faux plat à Longchamps pour sauter dans le wagon de devant. 

Mais c'est déjà pas mon truc alors 😇

Encore un peu on allait avoir droit aux roues hautes qui gardent de l'élan grâce au poids en périphérie. Jamais entendu quelqu'un garder sa vitesse avec des Aksium pourtant le poids est là. 

Le titre résume pas mal les idées simplistes sur le sujet. 

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Encore un peu on allait avoir droit aux roues hautes qui gardent de l'élan grâce au poids en périphérie.

On a vu pire : dans leur CR rédigé à chaud pour se rassurer d'avoir fait un achat pertinent, certains vont jusqu'à dire que leurs nouvelles roues les "poussent"... 😉

Les sensations ne sont pas synonymes de rendement, il suffit d'en être conscient.

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