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Cyclosport et gravel


Jaky BALLET
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Sur certains sites et forums on voit apparaître des brevets, des grands parcours, des parcours itinérants en gravel.

Hier c'était la 34 è Puys et Grands Monts d'Ambazac, organisée par le RCTL (réveil cyclotouriste de Limoges).

Sur certaines routes nous étions au moins 2 fois sur une route forestière, avec gravillons, pierres, nids de poules, sable, branches (orages), http://rctl.ffct.org/PGM2018/PGM.htm

Pour le grand parcours 138 km et 2500 m D+. Sur une formule non chronométrée, mais en temps limité, FFCT. Les randonneurs sont avertis des dangers principaux et doivent toujours respecter le code de la route.  Donc nous voyons très peu ce couraillons (ou juste des anciens). Ces parcours permettent de voir des paysages que l'on ne peut pas voir sur des routes styles départementales plus habituelles. A VTT par contre on connait certains passages.

Le gravel peut faire apparaître un nouveau style de cyclosport.

https://blog-cycliste.pedaleur.fr/2017/02/08/gravel-bike-roulez-en-dehors-des-sentiers-battus/

https://www.engage-sports.com/les-rendez-vous-gravel-2018/

certaines cyclo ont déjà organisé avec du gravel

https://ellesfontduvelo.com/2017/09/cyclosportive-des-copains-de-cyfac/

http://www.cyclolescopains.fr/gravelbike.html

https://bike-cafe.fr/2016/09/le-gravel-bike-entre-en-resistance/

des vélos qui donnent envie d'essayer pour le Parpaillon par exemple

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Effectivement, Jacky, ça fleurit. J'ai, pour ma part, participé à deux évènements : la Dirty Boar dans l'Eifel belge et la Malteni entre les monts des Flandres et les pavés roubaisiens. Même si cette dernière est qualifiée de course, je n'ai pas croisé un seul couraillon, comme tu dis. Ce que je vois dans le Gravel, c'est l'opportunité de rouler assez facilement là où un vélo de route ne passe pas et là où un organisateur de rando VTT ne veut plus faire passer les participants. C'est, pour moi, la forme de vélo avec le moins de contrainte géographique : je peux partir rouler à vélo, puis bifurquer vers une route en terre ou un chemin guère technique mais roulant pour reprendre la route asphaltée et ainsi de suite. Guère de circulation, la facilité du vélo de route et la liberté du VTT pas trop engagé. 

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C'est exactement ça !

J'ai eu de petits souci de santé, j'ai arrêté le vélo route en mode compet et j'ai beaucoup pratiqué le vtt en mode ballade.

Mais la route me manquait et souvent, au moment de partir, j’hésitais entre route ou vtt , vtt ou route !

Aprés avoir testé un Orbea terra, j'ai pris la décision d'en acquérir un. C'est la liberté de passer de la route aux chemins forestiers (qui sont légion ici), ou de terre (sec), ou de graviers. Ça roule bien sur l'asphalte, mais également ailleurs, si ce n'est pas trop cassant.  Je n'aime pas le trop engagés, comme le font certains, pour ça j'ai un vtt.    

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Au début, je voyais ça comme une pratique complémentaire. Je devais remplacer le vélotaf et ai acheté un cadre CX en titane que je comptais utiliser pour le vélotaf et pour "essayer" le Gravel. Très vite, le Litespeed de route a pris la poussière et j'ai fini par le revendre. Il y a quelques mois, j'ai investi dans un cadre Open UP. Via leur site Web, j'ai pris contact avec G. Vroomen  (fondateur de la marque, après avoir créé Cervelo) à qui j'ai demandé conseil sur la taille et de me poser sur le vélo. Il m'a répondu dans l'heure, m'indiquant exactement les cotes à reporter sur le cadre en fonction de mon étude posturale. Ce vélo est absolument incroyable, bien plus confortable que mon CX titane ou mon ancien Litespeed, avec un rendement sur l'asphalte éblouissant même avec des pneus de 40 mm (merci les bases arrières très courtes) et une filtration des irrégularités dans les chemins impressionnantes. Bref, un super jouet qui m'a réconcilié avec le carbone et qui me permet vraiment de tout faire : Flêche de Wallonie il y a deux semaines, Chouffe Classique ce WE, sorties Gravels dès que l'envie me prend... Je comptais prendre deux paires de roues identiques avec des montes pneumatiques différentes en fonction de l'envie du jour, mais j'ai renoncé car pas envie de me mettre cette contrainte-là et des Schwalbe G-One en 40 sont suffisamment performant sur l'asphalte.

Ma seule limite à cette pratique : pas question d'aller me mettre dans des chemins gorgés d'eau ou pire encore, de boue. Le VTT ou le cyclocross bien dégueulasse, ce n'est pas pour moi.

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Si on veut. Les premiers à avoir pratiqué le Gravel sont les coursiers des débuts du cyclisme. Les cols alpins, par exemple, n'étaient pas asphaltés et certains ne l'ont été que vers la fin des années 50. Quand les organisateurs du Giro mettent le Colle delle Finestre au programme, ils ne font qu'utiliser des routes qui étaient la norme il y a 50 ans. La pratique telle qu'elle existe aujourd'hui nous vient des USA avec dès 2006, par exemple, l'apparition de la Dirty Kanza, une épreuve de 200 miles, soit plus de 300 kilomètres à travers les plaines du Kansas, sur des routes en gravier....

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Çà alors c'est une découverte pour moi ces Open Up!! Je pensais que Vroomen travaillait désormais exclusivement pour 3T qui possède le même type de vélo.

Je trouve la géométrie très agressive pour un gravel (elle ressemble très fort à celle de mes Cervélo, juste un peu plus couchée et plus d'empattement) , pour sûr çà doit envoyer aussi sur la route; on peut mettre quasi tous les pneumatiques que l'on veut...

Sans doute un vélo à tout faire ou presque!

Remarque : les vélos Eddy Merckx avaient la même longueur de base : 420mm!

 

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De fait, Eric, position très agressive pour un Gravel, mais ça me convient très bien. Sur la route, on est très proche du Cervélo R3 actuel : ça relance très bien, ça grimpe bien, et sur le plat, le rendement est très bon. Dans les chemins, c'est très ludique et ça absorbe bien des chocs ; je devrais le tester avec des roues de 27,5, mais comme dit plus haut, le compromis actuel me va bien. Le 3T Exploro est une "copie" du concept, esthétiquement moins à mon gout, et plus orienté performance pure.

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Oui, Jacky, mais en me "débrouillant", j'ai réussi à me monter le vélo pour le prix d'un bon vélo de route. Mon seul regret, le groupe Sram Force, dont le dérailleur avant et le toucher des freins sont juste mauvais. Je le voulais en double pour l'exploiter également sur la route, l'Ultegra n'était pas disponible, le Campa hors Budget. 

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je roule avec un vélo route Vitus Virage R à 1000 €, juste la fourche carbone, un mixte de Campagnolo Véloce dérailleur AV AR manettes , freins Campa Record d'occasion, pédalier Shimano Tiagra 50x39x30, pédales Shimano SPD  anciennes qui correspondent à A520 ou A530 car j'ai des chaussures VTT (encore les Lake de 2008)  +  Northwave http://www.freestylextreme.com/fr/accueil/marques/northwave/chaussure-vtt-northwave-2017-multi-app-jaune-fluo.aspx?prodid=288355 achetée 60 € en promo janvier 2017  -bien + légères-

donc 2000 € c'est bien trop pour moi

surtout que j'hésite entre 1 gravel, 1 route acier pour mettre des pneus jusqu'à 32mm et carrément autre chose : un trike à cause du mal au dos

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