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Votre sortie du jour 2020


Olivier COMMENT
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... je trouve ça quand même beaucoup !

Je suis de la génération "chameaux" quand courant en Bretagne sous la férule de ce méga-connard d'Abel Floc'h (celui-là même qui avait fait disqualifier Altig pour un bidon hors-limites dans un Championnat du Monde)

1) On nous enseignait : ne pas boire car "ça coupe les jambes"

2) Pas droit aux ravitos en course.
J'ai fait la course du "Trophée Breton" à Rennes en septembre 1963 (mais chaud), 190 km avec un seul bidon : celui que j'avais au départ. 

C'est peut-être pourquoi je ne sens vraiment les effets de la déshydratation que quand je perds plus de 3 kg (5% de mes 60 Kg) en "apparent". 
On a tendance à oublier que chaque molécule de sucre vient avec sa flotte attachée et ainsi à surestimer la déshydratation réelle.

Le 3 g/1g est peut-être plutôt 2,5g/ 1 g. A vérifier.

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1) On nous enseignait : ne pas boire car "ça coupe les jambes"

On me disait encore la même chose dans mon club de judo, courant années 80.

À partir des années 90, on avait enfin droit à boire un peu pendant les entrainements — et Dieu que c'était bienvenu, on transpire toujours un max dans un dojo !

Sur le vélo, j'ai toujours essayé de beaucoup boire, en suivant les conseils d'Overstims, dont j'utilise les boissons depuis longtemps. Bien m'en a pris jusqu'à présent, je n'ai jamais connu de déshydratation… sauf peut-être une fois, lors de Tilff-Bastogne-Tilff 2014, où j'ai dû abandonner perclus de crampes, des pieds à la mâchoire. Je pense aujourd'hui que c'était justement dû à une hydratation insuffisante. Les températures étaient nettement plus élevées ce jour-là que les jours précédents, et j'avais fait l'erreur de ne pas adapter mon rythme de consommation de boisson.

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Ton cousin alsacien m'a dépassé hier dans le col d'Oderen, tchi tchi tchi tchi petit braquet.

Par contre je change de façon de rouler depuis quelques temps. Non non non, pas les braquets, faut pas rêver. Mais le fait de me mettre en position couchée avant ralenti ma vitesse de croisière, et je ne force plus pour aller plus vite. Ce fichu mal de dos que je traîne depuis 28 ans disparaît petit à petit grâce à cette façon de faire, donc je suis dans le bon.

Ceci dit, faire du vélo ici avec cette chaleur, au secours, c'est de la folie. Heureusement qu'il y a le lac dans lequel se rafraîchir après, et ça c'est divin.

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Salut à tous, eh bien petite sortie aujourd'hui de 15 km, à faible allure, mais quelle joie j'ai pu ressentir, en regardant la route, en sentant l'air frais (je suis sorti à 8h30, pour ne pas avoir trop chaud après), me rentrer dans les narines, en respirant !! Quel bonheur aussi, que de croiser des cyclos qui me faisaient un signe de la main.

Je n'ai pas voulu forcer, car avec le cancer faut faire gaffe, quand même, mais les premiers kilomètres, m'ont paru durs, très durs, et au fur et à mesure ça allait mieux. Pour le moment je n'ai fait que des portions de plat, les côtes je verrai plus tard, le temps que mes muscles, qui ont fondu, se regonflent.

Pendant ma sortie, tous les messages d'encouragements, de vous tous, trottaient dans ma tête ! C'est le pied !!!😃

Merci encore à tous

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https://connect.garmin.com/modern/activity/5358725135

sortie  de récup de hier , bien tourner les jambes souvent au dessus de 90-95  mais seulement 3a 5  de plus que d habitude , la chaleur est apparue un peu plus tard 28 -30 a 10h  ,hier rentré a 76.1    aujourd hui a 75.3  ,je transpire bcp ....pas de bosse  réel sur le parcours ,quelques relais bien appuyé  pour les sensations , elles sont là ,rencontre avec de nombreux groupes en cours de route , et on le voit , la soif est là  hier soir a 9h ballade en bord de mer  pour tremper les jambes au frais , un bien fou jusqu’au soleil couchant ,je me serais bien réhydrater avec une leffe ruby  mais vraiment trop de monde

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C'est pourtant simple, plus je vais moins vite, moins je vais plus vite, t'es belge tu devrais comprendre.

Non, quelque part j'en ai marre de lutter, je roule plus cool maintenant, la fatigue s'accumule trop et ça devient les travaux forcés de rouler et faire le mariole dans les montées.

Mains aux cocotes je roule plus vite que penché en avant,je ne sais pas pourquoi mais c'est comme ça. Par contre je suis perclus de douleur au dos, donc je fais le bon choix et je ne force plus comme un débile.

Et puis il fait vraiment trop chaud pour dépenser son énergie. Comme dit Jean Pierre, je m'hydrate bien :-)

Y z'ont de la bonne bière par ici.

@ Jean Marie: et bien voilà, bonne nouvelle!!! Prends un max de plaisir et vas y doucement

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6km VTT pour aller récolter les haricots verts chez ma mère, à 6h30, avant j'ai arrosé tomates courgettes  et haricots verts chez nous, retour petit déj vers 9h, puis nous avons tout fermé à cause de la canicule

pas de TV vu que nous avons que franceTV et la TNT,tant pis pour le tour de l'Ain et le g colombier

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Salut, j'ai pensé à toi, hier dans ma montée à l'alpe (mais pas d'Huez), mon dos m'a fait souffrir tout du long et j'ai fait une petite insolation, je ne crois pas pouvoir monter comme Pantani, ou Ulrich, j'ai essayé le dernier kilomètre...mais ça ne montait plus et il n'y avait plus de goudron! En redescendant j'ai regardé les pourcentages, de 10 à 13%, 34-25 puis 28, je ne pourrais jamais mettre plus petit, j'irais plus vite en poussant le vélo! Je pense que la chaleur est le responsable n°1 de cette méforme, car au début juin j'avais fait à peu près la même sortie , sans souffrir autant ...dans le brouillard, après une période de pluie.

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Mains aux cocotes je roule plus vite que penché en avant,je ne sais pas pourquoi mais c'est comme ça. Par contre je suis perclus de douleur au dos

Tu n'as pas essayé de rouler moins vite avec les mains aux cocottes (disons à la même vitesse que mains en bas) pour savoir si les douleurs viennent uniquement de la position ou/et de la puissance développée ?

Difficile de trouver la position "parfaite", d'ailleurs les avis divergent parmi les ergonomes, mais ton expérience rejoint la mienne : chaque fois que j'ai remonté mon cintre (on prétend que c'est plus confortable), j'ai eu des douleurs au bas du dos dans les ascensions. Par rapport à notre première sortie ensemble, mon cintre est maintenant plus rapproché... et plus bas.

 

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Dans les Pyrénées j'avais 34/30 et je pleurais pour avoir plus petit encore, pourtant je suis dur à la souffrance mais là c'est pas possible si tu n'es pas du pays.

Il ne faut pas oublier que les "longues montées" par chez moi, c'est 1,5 km à 5%, donc tu vois que les cols même rikiki pour vous, c'est déjà du costaud pour les plaineux.

@ Thierry: rien à faire, vite ou lentement, les mains aux cocottes induisent cette douleur qui disparaît miraculeusement dès que le dos est en extension. Tu n'imagines pas ce que ça me fait de ne plus avoir mal, c'est quasi magique car ça dure depuis 28 ans.

Maintenant je vais voir quand il fera moins chaud si je récupère la vitesse de croisière ou non, mais là j'ai plutôt envie de me la couler douce.

 

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