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Votre sortie du jour 2020


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bonsoir,

sortie club ce matin sur 104 kms , dans la vallée du Gapeau ( var 83 ) il fait frais 16° , puis direction Forcalqueiret pour grimper le col de Rocbaron par le versant nord , descente sur Puget ville puis les vignobles des Vidaux et le col du Gambet par le versant nord puis descente sur le Pas du Cerf pour rejoindre les toboggans des Borrels et pour le final la côte de Maraval , en un peu moins de 4 h00 et 31 ° au final.

sportivement Serge.

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Dites donc, le côté mauvaise langue de Michel est contagieux, on dirait ? 🆒

Quand même, ça me paraît dans mes cordes de tenir seul une vitesse de 34-36 km/h sur le plat. Mais pas longtemps, un quart d'heure tout au plus. Guère plus longtemps que la montée de la Bastille donc, ce qui est cohérent avec les observations de Thierry.

Et puis, de toutes façons, je l'ai dit, je le maintiens : le plat, pour moi, c'est fait pour récupérer entre deux côtes ! 😛Je veux bien faire des exceptions et forcer sur la machine pour tracter et suivre les copains les rares fois où je roule en groupe, mais tout seul, bof !

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Salut les cyclos,

Voilà bien 1 an 1/2 que je n'ai pas mis mes roues ici. C'est la vie. La santé ça va (différemment, voir plus bas) et en solo depuis plus d'un an (!!). Toujours le même vélo.

Je repensais au forum hier en passant dans la côte Bruine Put (Vlaams-Brabant) avec le club. La première fois c'était fin mai 2016 avec notre ami Franck Pastor ;-) (une petite chute ce jour-là). Strava m'a montré la date de la 1ère sortie.

Vu les heures que je passe à courir au lieu de rouler, j'ai régressé à vélo et me faisais rare en club, avec également un peu de velotaf. Depuis le Covid-19, les ambitions de chrono en semi ou marathon se sont unes à unes envolées.... alors je me maintiens +/- (un pic de forme avec une VMA 16,7 en juin dernier).

Depuis plus d'un mois je roule à nouveau régulièrement, je reprends du plaisir tout simplement. Une forme en dents de scie mais ça (re)vient peu à peu : j'ai toujours un peu mal en côte et retrouve un peu de vigueur en plaine : pourquoi je peine en côte et "assure" en faux-plat ? le poids peut-être, mais j'ai surtout moins mal en poussant quand c'est "plat". Bizarre.

Pas toujours facile de cumuler 2 sports intenses, avoir des résultats (chrono ou aisance en club), et continuer d'"assurer" le privé seul (enfants, maison...) + taf.   

A+ 

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Retour à Saint-Michel de Maurienne = reprise du boulot et du vélo. 

Pas encore de vraie sortie mais j'ai enfin réussi à à peu près régler (malgré un manque de fluidité qui demeure dans la transmission) le HT connecté que je me suis payée quand je me suis fracturée le coude.

Pour ce soir, ça a donc été 20 km avec vue sur mer, au dessus de San Feliu. J'ai testé la plateforme Roovy.

Quelques remarques: 

- dommage de ne pas avoir réussi à mieux régler les vitesses parce que, cela mis à part, c'est vraiment très ludique et agréable. Les paysages filmés: super; la simulation de la pente: rien à dire. L'ensemble est assez bluffant.

- je pensais avoir choisi un parcours assez plat, mais le dénivelé de 440m se fait sentir... Entre le confinement et la fracture =  6 mois sans autre sport que de la rando pédestre. 21 km/h, c'est tout sauf extraordinaire, mais j'ai aussi cherché à comprendre comment fonctionnait le machin. Ce n'est donc pas non plus totalement rédhibitoire.

- et enfin, je comprends que ceux qui ont "tourné" sur ce genre de machine pendant tout le confinement en sortent affutés et en pleine forme. Mine de rien, c'est quand même bien exigeant... 

Vivement de pouvoir reprendre à l'air libre malgré tout!

 

 

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Welcome back Olivier ! Content d'avoir enfin de tes nouvelles.😄 Tu vas voir, tu retrouveras aussi tes sensations dans les côtes à force de rouler. Les sensations qu'on éprouve au Bruine Put sont un bon indice de forme, ce serait donc une bonne idée d'y repasser régulièrement. 🆒

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merci Franck :)  il faudra trouver une route idéale pour rejoindre le Bruine Put car en passant dans Waterloo comme on l'a fait dimanche c'était un peu trop urbain à mon goût ;-)  Ce ne sera pas trop compliqué. Pour le reste, travailler la "danseuse" fera le plus grand bien aux cuisses, ahah

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C'est un ancien vélo de Jérémie Laplac, un titane de marque Lynskey et de type gravel/cyclo-cross. Il me l'a vendu (moins les roues) il y a un an pour s'acheter un autre vélo titane orienté randonnée au long cours.

Les roues dont je l'ai équipé sont des Roval SLX 24 munis de pneus Specialized Armadillo Elite de 30 mm de section (32 mesuré au pied à coulisse). Pour relativiser la taille de ces pneus il faut savoir que Jérémie, lui, utilisait des pneus de 40 mm à grosses sculptures, qui frôlaient les bases !

Comme tu t'en souviens sans doute, je me fiche un peu du poids global de mes bécanes. Avec ce cadre titane et ces pneus relativement gros, d'abord 28 puis 30, je recherchais un confort plus grand sur nos routes brabançonnes que le monde entier nous envie (sarcasme). Et je l'ai obtenu. 😄 Ainsi qu'une plus grande polyvalence : maintenant je peux prendre des pistes (en pas trop mauvais état quand même) sans trop d'arrière-pensées. 😆

Je l'ai décrit plus en détail sur un autre sujet du forum, mais j'ai la flemme de chercher. Je ferai un effort pour une prochaine fois !

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Quand je vais faire le Bruine Put, venant de chez moi à Bruxelles, je passe généralement par Rhode-Saint-Genèse et Alsemberg : plus urbain que ça, c'est difficile. Mais je n'ai guère le choix.

Pour éviter au maximum la conurbation bruxelloise, il me faudrait faire un long détour y accéder par le sud, via Nivelles puis Ittre, Braine-le-Château… Et même par là, le Brabant étant ce qu'il est, on ne coupera pas à une certaine urbanisation.

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HT que tu peux connecter, par internet, à une plate forme de cyclisme virtuel: ça fait défiler le paysage sur ton écran en même temps que tu pédales, en simulant la pente sur laquelle tu te trouves.

Le modèle que j'ai est un Tacx Flux 2, mais il y en a bien d'autres. Quant à la plateforme, je me suis connectée à Roovy, une plateforme suisse (je crois) qui possède une base de parcours intéressante, dont pas mal de grands cols.

Tu peux te mettre en danseuse même si la sensation ne sera bien sûr pas la même que sur la route, et, gros avantage, le vélo se fixe sur une cassette intégrée au HT, ce qui t'évite de ruiner un pneu arrière.

A utiliser dans un endroit aéré et plutôt le matin et le soir: tu te prends de bonnes suées...

C'est plutôt rigolo: l'hiver, pendant les périodes de confinement ou quand tu es blessé et que tu ne peux pas sortir à vélo en extérieur, tout en étant toujours capable de pédaler (mon cas en ce moment). 

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Pour ce qui est de ma sortie du jour : ce matin, montée à la station de ski de Pipay (1572 m) dans le massif de Belledonne, à partir de Froges. Soit 19 km de montée à 7,1 % de moyenne et 1350 m de dénivellation, selon Altigraph. Une des plus grandes dénivellations des environs de Grenoble, avec Chamrousse, également dans Belledonne, le Charmant Som en Chartreuse et la montée vers le site de la Molière dans le Vercors.

Les 19 km  à 7,1 % de moyenne effectués en 1 h 33 min, soit 12,3 km/h de moyenne. Cadence moyenne de pédalage de 87 tours/min. Assez satisfait de ces stats, et en plus j'avais de bonnes sensations. 😄

Pour Thierry : l'ensemble vélo-cycliste, avec tout l'équipement (deux bidons pleins de 60 cl, sacoche de selle, compteur, smartphone, etc.), fait très précisément 75,6 kg, ainsi que je l''ai vérifié en me pesant, vélo sur l'épaule, sur la balance électronique familiale juste avant de partir. Le cycliste seul, tout équipé également, avec dans les poches un imper, un paquet de mouchoirs, des sous, mes papiers d'identité et… un masque, fait lui 63,5 kg. 🆒 Je sens que les maniaques du poids vont hurler au vélo trop lourd ou trop équipé, mais peu m'importe, je l'aime bien comme ça.

Au sommet, dégustation d'un café et d'une tartelette aux noix sur la terrasse d'un restaurant, avec un magnifique point de vue sur la vallée et sur la station voisine de Prapoutel, un peu en contrebas. Pour info, Prapoutel, Pipay, et Le Pleynet sur l'autre versant de la montagne, forment ensemble la station de ski dite des Sept-Laux. Où par ailleurs je retourne skier chaque hiver ! 

Vers le début de la montée, j'ai été rattrapé par une fusée, qui m'a salué en me rejoignant (il faut croire que je suis reconnaissable de dos !) : rien de moins qu'Eric Mazaré, ancien habitué du forum !

Beaucoup de membres du forum se souviendront de lui, certains en mauvaise part : il était particulièrement prompt à prendre la mouche et à se bagarrer verbalement. Mais sur le vélo, c'est un type tout à fait sympa, et on a fait plusieurs sorties ensemble. Il m'a dit : «on se retrouve au col ? », sous-entendant par là le col des Ayes, à 950 m d'altitude, à mi-chemin de la montée vers Pipay. Je lui ai répondu que je comptais continuer sans m'arrêter jusqu'à Pipay, mais je n'ai pas pu comprendre sa réponse, il était déjà trop loin devant ! Au col, il n'était malheureusement pas là, je serais bien monté jusqu'à la station avec lui. Mais c'est vrai qu'il aurait dû prendre sur lui pour rouler à mon rythme, soit 5 km/h moins vite (au minimum) qu'à son habitude.

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