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Championnats du Monde


Olivier LEBOEUF
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Ben en fait, les dames étant intrinsèquement moins puissantes que les hommes, c'est normal qu'elles éprouvent plus de difficultés sur un circuit très physique. 

Ici, parcours spongieux sans rendement, pression basse qui implique moins de rendement sur les parties de tarmac, talus très pentus à franchir à pied... Pas de répit. Plusieurs coureurs ont déclaré en fin de course que c'était un des plus durs de la saison. 

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Afin d’apprécier pleinement ces épreuves il est bon d’avoir pratiqué dans sa jeunesse.

la boue ou le sec c’était souvent les mêmes qui gagnaient maintenant les freins à disques ont apportés de la sécurité car avec les patins c’était rock .....

Oui toutes ces dames et ces hommes sont des champions d’ailleurs ils brillent aussi sur la route alors Bernard prends un vieux vélo et fait un tour tu vas adorer????

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Loin devant, sauf à Renaix (battu par Toon Aerts) et à Namur (vainqueur mais Aerts lui avait brillamment tenu tête avant de chuter). Deux circuits à ascensions bien plus longues que l'ordinaire.

Apparemment, les circuits à forte dénivellation peuvent éventuellement lui poser problème. On l'avait déjà constaté du temps du cross de Spa-Francorchamps et son terrible «mur», où il n'était jamais très à l'aise. Je me rappelle également une édition du Koppenbergcross où il avait complètement craqué.

Ceux qui veulent contester son hégémonie feraient bien de faire pression sur les officiels pour qu'ils augmentent le nombre d'épreuves qui ont lieu dans des zones à dénivellation conséquente. 🆒

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