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Marmotte


Philippe BOCHU
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bjr Cédric,

L'iseran je l'ai grimper juste une fois en partant de Lanslebourg et puis grimper le Mont cenis , mais celui-ci n'a pas beaucoup d'intérêt .Bon Thibaut t'a donné les bonnes infos sur ce col ..

Par contre je ne suis pas tout à fait d'accord sur la croix de fer ..Il faut le grimper de St Jean de Maurienne, car jusqu'au croisement du Mollard il est difficile..ensuite c'est moins dur .

Pour ce qui est de Sarennes je le grimpe en partant de Bourg d'Oisans ( direction le Lautaret ) et je descend la 1° partie de l'alpes , je prend la route de Villars et je grimpe ( selon les années ) Oz , Vaujany .

A bientôt sur une cyclo...enfin en  2021 a moins que cela soit sur la Marmotte des Pyrénées 

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Pour André: tout dépend de ce que tu considères comme faisant l'intérêt d'un col; la difficulté est un critère, la beauté du paysage en est un autre.

Donc, pour le Mont Cenis côté français: ce n'est ni long, ni difficile, mais je trouve que la vue du lac au sommet mérite le court effort d'une montée que je trouve somme toute assez agréable.  A faire en soirée à la fraîche pour profiter de la lumière: la descente sur Lanslebourg est ensuite très rapide. 

L'idéal restant bien sûr de cumuler les critères... et pour cela, côté Croix de Fer, la meilleure combinaison reste selon moi: montée du Glandon (même si une partie en forêt, le haut du col mérite d'être fait tant pour le site que pour les pourcentages); Croix de Fer pour le panorama au sommet et belle descente dans les alpages vers Saint Jean d'Arves; Mollard et descente sur Saint Jean. Ce n'est qu'un point de vue mais je trouve que le début de la montée de La Croix de Fer par Saint Jean est certes raide, mais rébarbatif et très fermé: pas le top au niveau plaisir des yeux. 

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Bjr Clementine ,

oui lorsque je parle d'intérêt sur un col  je parle de difficulté, mais je suis d'accord avec toi que la beauté est importante .C'est pour cette raison que j'adore grimper le Galibier , l''Izoard ( coté Guillestre ) , Sarennes et la Bérarde ( qui n'est pas trop difficile ) .

Sur la croix de fer je suis obligé de reconnaître que le début de la montée ( jusqu'au croisement de la Toussuire ) n'est pas très agréable 

Puisque tu est du coin , peut tu me donner une ou 2 montées qui ne soit pas très connues même si la distance n'est pas très longue ..

Bonne journée

 

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pour éviter le début de la croix de fer jusqu a l embranchement de la toussuire, ru peux prendre les 3 ou 4 premiers kms du mollard et a plan des rois il y a une toute petite route  sur la droite qui ramene un peu plus haut et de la ,tu as évité toute cette partie pas interessante

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Bonjour André.

Je te rejoins sur les cols que tu indiques: Izoard et Galibier sont mes deux cols préférés. Quant à la Bérarde, la fin de route très étroite est en effet très spectaculaire.

Pour la Maurienne, il y a pas mal de petites routes moins connues mais très belles. Si je pars de Saint Jean: 

- j'aime bien la montée de Jarrier, qui se poursuit, par une route en balcon avec multiples vues sur les aiguilles d'Arves, jusqu'à rejoindre la montée de la Toussuire: tu peux faire une boucle, en rajoutant un passage par le Corbier si tu veux rallonger.

- de l'autre côté, la montée de Montdenis (déjà signalée dans un précédent post) est méconnue mais offre de beaux panoramas sur la vallée. C'est un AR, le pied est raide, à ne pas faire un jour de canicule car la route monte à flanc de falaise et est exposée sud. 

- déjà signalée également, la montée aux Karélis n'est pas extraordinaire malgré la vue sur La Croix des Têtes, mais elle prend de l'intêret si, juste après Montricher, tu bifurques vers Albane. Juste à l'entrée du village, prendre à droite la petite route qui mène au lac de Pramol: c'est superbe et tu peux rebasculer sur les Karélis.

- à Saint Martin de la Porte, tu as une route qui monte vers le village de Beaune; juste avant le petit col, tu peux monter en AR à la Planchette (très fort pourcentage d'abord dans la forêt puis avec une vue qui se dégage; la route monte assez haut dans les alpages mais avec un revêtement très aléatoire - voire des passages en piste- après le hameau de la Planchette); une fois de retour sur la route principale, tu peux monter à Beaune puis au col de Beau Plan et redescendre sur Saint Michel.

- à la sortie de Modane, tu peux aller jusqu'à Villarodin, redescendre sur Avrieux puis monter à Aussois par la magnifique route des forts. A Aussois, AR possible jusqu'aux lacs de Plan d'Amont et d'Aval, par une vraie route de montagne assez préservée.

- en variante pour rejoindre Aussois: depuis Modane, rouler jusqu'à Sollières, monter au village de Sardière puis poursuivre jusqu'à Aussois. Très belle route panoramique avec de beaux coups de cul.

- encore un peu moins fréquentée: s'enfoncer dans le village de Bramans pour gagner la chapelle de Saint Pierre d'Extravache : AR sur une toute petite route très pentue. Le site de la chapelle, avec vue sur la Dent Parrachée, mérite le détour.

- et, pour moi, la route ultime de la vallée: depuis Termignon, dans le virage en épingle à la sortie du village, prendre à gauche la route qui mène à plan du Lac. C'est raide tout du long - replat juste à la toute fin, mais, une fois sorti de la forêt, d'une beauté qui fait oublier la fatigue. Après plan du Lac, la route se poursuit un moment = seule route qui permette de pénétrer dans le Parc de la Vanoise à vélo. On peut aller jusqu'au refuge de la Femma, mais là, c'est à VTT.

Voilà, il y a de quoi s'amuser!

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Cruelle Clémentine 😢

Tu soulignes à l'envi tout ce que j'ai perdu quand je ne me suis déplacé dans ce secteur que pour reconnaître les parcours en prévision de cyclosportives.

Je n'ai pas fait que ça bien sûr, mais je suis presque toujours resté sur les grands itinéraires.

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je ne pense pas que tout l'équipement que tu préconises est utile en montagne, car dès les premiers kilomètres du glandon la température corporelle augmentera rapidement.je me souviens en 2017 il ne faisait pas chaud au petit matin de mémoire 5 degrés à l'Alpe d'huez, et même ensuite il y avait eu du brouillard une bonne partie de la journée pour finir avec le soleil Donc je m'inquiète pas trop pour ça enfin je suis pas inscrit mais j'y réfléchis... 

 

 

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C'est l'avantage du lieu d'habitation (qui est en l'occurrence mon lieu de travail avec nécessité de logement; ma "vraie" maison est à Aix les Bains, ce qui est aussi agréable comme terre de vélo).

Je comprends ce que tu dis sur les cyclo. J'ai eu aussi ma période cyclosport pendant laquelle j'ai éclusé pas mal d'épreuve des Alpes et d'ailleurs. Il me reste bien sûr des paysages en tête, forcément imposés par les parcours, mais aussi l'impression de m'être  beaucoup concentrée sur la roue du cyclo de devant et sur les chiffres de mon compteur.

J'ai beaucoup aimé cette période de compétition : le dossard à épingler, l'ambiance des départs au petit matin, le "bourrinage" pour garder le groupe, la gestion de l'effort, et même le fait de se mettre carbo à l'arrivée.. mais avec moins de temps d'entraînement, et plus forcément les moyens de mes ambitions, je suis à présent passée par nécessité à une pratique du vélo plus économe et plus contemplative: c'est agréable aussi, même s'il faut accepter d'en baver beaucoup plus dans les montées!

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je ne pense pas que tout l'équipement que tu préconises est utile en montagne, car dès les premiers kilomètres du glandon la température corporelle augmentera rapidement.

Gaffe quand même à la descente ensuite… Ça risque de cailler sévère le matin, à pleine vitesse !

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C'est bien, mais même ça risque d'être largement insuffisant s'il fait moins de 20° maxi en plaine par exemple pendant la journée, ce qui n'est pas exceptionnel en septembre. Dans ce cas, qu'est-ce que ça va donner à 2654 m d'altitude, celle du Galibier ? Philippe n'a pas tort, autant prévoir des tenues plus chaudes dans sa valise, quitte à ne pas les mettre le jour J.

Au minimum, dans ces conditions, emporter dans les poches de son maillot, en plus du coupe-vent, des manchettes (surtout si le coupe-vent n'a pas de manches), des gants longs même légers et un bonnet sous-casque. Des genouillères ne seraient pas du luxe pour les plus frileux. Tout ça ne pèse pas si lourd et ça vaudra de toutes façons mieux que de pleurer sa mère dans les descentes. 

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