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Shimano


Marcel BONNARD
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"Quand au gars qui fait des ronds autour de chez lui dire qu'il galère parce qu'il n'a pas le 18 entre le 17 et le 19, c'est un poil exagéré, non..."

galérer c'est pas le mot mais le trou entre le 17 et 19 n'est pas très agréable, enfin, je parle pour ma pratique. Roulant seul, ça fait partie des pignons que j'utilise le plus quand je suis sur le 50. 

c'est pour ça que je suis passé sur une 12-25 qui a le 16 et le 18.

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Faites un pétition... si tu recueilles 3 millions de signature, Shimano va la faire sans problème, ou mieux un site de pré-commande... Si vous être plus de 200.000 à pré-commander un 12-28, vous l'avez dans deux mois.

Suis-je le seul à ne plus être perturbé par les trous dans la cassette de route depuis au moins 20 ans...

Vous devriez faire un peu de VTT... il y a de "vrais" trous dans une cassette VTT...

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On n'est pas perturbé par les trous, mais  habitué à certains pignons ou enchaînement de pignons, 16-17 pour le plat et le 50, la suite 21-23-25 pour la montagne, si l'on ne retrouve pas ces deux options sur ces nouvelles cassettes, on va être dérangé! Reste à trouver encore des cassettes 10 ou 11 dans el futur...

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j'ai qques cassettes 11-28 que je mettais "hors été" quand je ne faisais que du vallonné et/ou des petits cols, mais avec les hivers doux, comme ça m'arrive de plus en plus fréquemment de faire un grosse montée y compris en plein hiver, je deviens feignant et je laisse la 11-32...

Je me suis habitué aux trous, je ne les sens plus... et quand je fais du VTT j'ai une cassette SRAM 10-52 :-)

donc... les trous...

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J'ai quand même du mal à comprendre ceux qui se plaignent dans les trous des cassettes en montagne. Je fais beaucoup de montagne, et le souci n'est pas tant le trou dans la cassette que la variation de la pente ! Sur un kilomètre de montagne, c'est très rare d'avoir une régularité parfaite du %. Si tous les cols étaient réguliers, je comprendrais qu'on ait du mal avec le trou, mais ça n'est pas le cas. Quand on passe de 5 à 7% et inversement, ça n'est pas gênant d'avoir 4 dents d'écart sur la cassette entre 2 pignons. Ce qui compte c'est d'avoir un grand pignon suffisamment souple pour ne pas coincer, c'est tout.

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Avec le triple plateau en 10V, il n'y avait pas ces compromis à faire. On disposait d'une bonne plage de braquets ET d'un étagement resserré mais il parait que le compact a été le progrès.

L'avantage était un gain de poids 50-100g en éliminant un plateau mais on a dû compenser avec des pignons montant jusqu'à 34 dents !!

Je roule également en vallée de Chevreuse et j'admets que le compact 11V est plus adapté que mon ancien triple 10V (moins de changement de plateau). Par contre, quand je pars dans les Alpes, je dois faire des compromis que je n'avais pas à faire avec le triple 10V...

Les nouveaux étagements proposés en 12V pour les 11-32 et 11-34 sont très pertinents pour beaucoup d'utilisateurs. Il manque juste en complément des cassettes avec départ 12 ou 13 pour avoir un étagement encore plus resserré pour ceux qui le souhaitent.

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Quand on passe de 5 à 7% et inversement, ça n'est pas gênant d'avoir 4 dents d'écart sur la cassette entre 2 pignons. Ce qui compte c'est d'avoir un grand pignon suffisamment souple pour ne pas coincer, c'est tout.

--> voilà tu as tout dit... mais tu montes des cols... les cassettes bien étagées c'est pour monter au ciel 😃... Nous sommes des mécréants

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Avec le triple plateau en 10V, il n'y avait pas ces compromis à faire

--> si sur le fonctionnement global... Je n'ai jamais eu de triple en route mais en VTT... pfff... le nombre de déraillements...

Aujourdhui le passage d'un plateau à l'autre est instantané en mécanique, et super sonique en Di2...

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Bjr Olivier ,

Sans polémiquer je ne suis pas tout à fait d'accord avec toi ..

Lors d'ascension sur un col comme Beille ou il y a de la rupture et des moments durs .., lorsque je monte sur le 34x25 à 70 trs mn ( ce qui est mon cas ) je suis à 12kms et quand j'ai besoin de passer sur la denture suivante ( le 28 dents ) je tombe à 10kms ..

mais bon ..je suis juste un petit amateur qui essaye de se faire plaisir , mais tout ce matériel n'est pas adapté à notre petit niveau ..

Bonne soirée

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Bonjour André,

En montagne c'est en adoptant une puissance la plus constante possible qu'on arrive à monter le plus vite en vitesse. Il y a de petits ajustements à faire pour tenir compte des paliers naturellement. On peut aussi se baser sur la FC, avec le travers qu'un jour notre seuil sera à 160 puls et le lendemain à 155 par exemple.

Je pense que c'est une erreur de vouloir copier les pros sur tous les points, mais ce sont vraiment des modèles à copier dès qu'on parle de puissance constante.

Mes performances en montagne, bien que modestes, se sont améliorées avec l'usage du capteur de puissance, et je laisse complètement de côté les données de cadence et vitesse.

Ma priorité reste la puissance, que j'adapte en fonction du col et du nombre de cols, en gros entre 270 et 350W moyen.

Si je vois que le cardio monte un peu trop, je n'hésite pas à baisser de 10-20W et là, je sais que je reviens dans ma zone et que je vais atteindre le dernier kilomètre facilement, puis je lâche tout en finissant à PMA le col, la filière située juste au dessus, en sachant que je vais récupérer 20 ou 30mn dans la descente.

 

De ce fait, j'observe que la puissance est d'une remarquable stablité dans l'ascension, mais que la vélocité varie pas mal. Et apparemment, les pros c'est pareil. Alterner les phases de vélocité et de puissance ne me parait pas incompatible avec la performance. Mais encore une fois, il faut faire attention à son plus petit braquet et être certain de se ménager une marge de sécurité.

Je m'arrange donc pour monter un braquet où j'utilise les 3 derniers pignons de la cassette lors d'une ascension.

 

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Voilà une approche que je lis avec intérêt, moi qui ne me fie qu'à mon feeling à l'effort, j'ai même viré cardio, même le compteur quand il ne marche pas ça ne m dérange pas plus que ça. 

Je me demande quand même si c'est pas un peu trop sophistiqué pour nous, cyclos amateurs, même très sportifs et adeptes d'efforts et de performances.

Pour ma part que ce soit en course (dans le temps), ou en cyclosportives, sur du plat ou du montagneux, je sais exactement le moment où j'atteins la "zone rouge" et qu'il va falloir tenter une phase "récup" sous peine de sauter. J'ai bien l'impression que tous mes congénères sportifs sont dans le même cas, sans besoin de matos complexe et couteux pour nous dicter notre comportement. De même le choix du braquet et de la fréquence de pédalage en fonction de la situation, c'est quelque chose qui vient vite.  

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@Bruno

 

Ça dénature le cyclisme pro, mais le capteur est un superbe outil de progrès, surtout par rapport à soi même . Je pense qu’il faut savoir s’en détacher de temps en temps pour passer un cap. Le fait est que la gestion de l’effort reste difficile si on se fie seulement aux sensations, surtout sur une cyclo ou longue sortie. Finir aussi fort qu’au km zéro est une expérience intéressante.

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Je n'ai jamais eu de déraillement avec mon triple sauf au tout début où ma butée de dérailleur AV était mal réglée. En VTT, c'est probablement différent à cause des secousses.

Pour le temps de changement de plateau, je ne fais pas de course donc je me moque qu'un triple prenne 0.5s de plus qu'un compact. Par contre, sur un parcours alliant plaine et montagne, je n'avais aucun compromis à faire entre étagement resserré et large plage de braquets. Maintenant avec mon compact 11V, j'ai dû sacrifier les braquets extrêmes (mini et maxi) pour garder un étagement qui me convient.

Mais je trouve que le compact 12V est redevenu équivalent au triple 10V à condition d'adapter éventuellement le départ de la cassette (12 plutôt que 11) ou le pédalier pour un sub compact.

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En montagne, il n'y a pas forcément besoin d'un capteur de puissance. La vitesse ascensionnelle est une bonne image de la puissance quand la pente dépasse 5-6%.

Dans les cols, je régule mon allure en fonction de la FC et la vitesse ascensionnelle. J'ai donc la même approche que toi et ça évite parfois de s'enflammer quand on cherche à suivre un cyclo un tout petit peu trop rapide pour soi !!

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Exactement ! Il y a 20 ans je travaillais à l’altimètre, en comptant les mètres montés chaque minute. C’était un sacré outil ! J’avais mes repères, par exemple 20m dans les cols raides et 15m dans les cols roulants . Quand on commence à monter vite en montagne, 15-20kmh sur du 6%, l’altimètre est quand même imprécis car on va perdre ou gagner beaucoup en fonction du vent. C’est là que le capteur prend toute sa place. Du reste si on se fie aux sensations on peut avoir l’impression d’écraser un test pma alors qu’on est seulement à 400w … et une autre fois on peut être collé et pourtant sortir 420w.

 

Pour en revenir au sujet, en montagne j’ajuste le temps passé entre chaque pignon your en essayant de produire la même puissance . Comme je l’ai déjà dit, la pente change très vite en montagne, surtout sur les petites routes sympa. Garder la même puissance et la

Même vélocité me semble impossible sauf si on change de braquet tous les 20 mètres . La route des grandes Alpes, pourtant chef d’œuvres d’ingénierie, présente souvent des irrégularités de pentes qui dépassent largement l’équivalent d’un écart de 3-4 dents en haut de cassette. On voit souvent des profils altimetriques mais ce sont des moyennes par Km qui

Ne reflètent pas la réalité du terrain.

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