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Votre sortie du jour 2022


Sylvain KARLE
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il y a 24 minutes, Franck PASTOR a dit :

Bon, de retour de cette Primus Classic Cyclo, 122 km dont je n'aurais fait que 104. Because gadin à 18 km de l'arrivée (je venais juste de passer un panneau annonçant ces 18 km restants).

 

Après une centaine de kilomètres à braver des averses successives, à franchir sans encombre un bon nombre d'obstacles pas piqués des vers comme la Moskesstraat et le Smeysberg (j'étais vraiment dans mon jardin), et à parvenir pour une fois à suivre des groupes qui envoyaient sérieusement dans les passages plats, je me suis retrouvé violemment jeté par terre dans un virage à droite après dérapage de ma roue arrière.

 

Résultat pour le cycliste: un choc très audible sur le casque qu'il a parfaitement absorbé (merci à lui), un bel hématome à la cuisse droite, des plaies à la main (gant ruiné — merci à lui aussi pour avoir absorbé tout ce qu'il a pu), d'autres plaies à la hanche et au bras, mais rien de grave pour tout cela finalement.

 

Ce qui m'a empêché de continuer, c'est une forte gêne au niveau du thorax, côté droit bien sûr. Ce n'était plus possible de respirer correctement à l'effort. Alors j'ai mis la flèche et je suis rentré chez moi aussi lentement que possible. Je n'étais qu'à 20 km de mon domicile, et l'état de mon vélo le permettait — voir plus bas. Alors pourquoi n'ai-je pas fait plutôt les 18 km qui restaient pour boucler le parcours ? C'est que j'étais allé au départ à vélo (29 km de trajet presque tout plat). Dans mon état, entre faire 18+29 = 47 km et 20 km, j'ai eu vite fait de choisir.

 

Même maintenant que je suis rentré, il faut que je fasse attention à ne pas faire de mouvement brusque qui mobilise le buste sous peine de grimacer de douleur. Est-ce une côte cassée ? Va falloir attendre pour le savoir, mais même si c'est le cas, il n'y aura pas grand'chose à faire sinon patienter…

 

Quant au vélo, il semble ne pas s'en être trop mal tiré, lui. Le guidon était tordu mais je l'ai facilement remis en ligne. Évidemment, la patte (amovible) du dérailleur arrière est complètement de travers, mais je pouvais encore changer de vitesse. À l'avant, par contre, impossible de descendre sur le petit plateau pendant mon retour improvisé. Mais c'est peut-être tout simplement parce que le câble s'est grippé à cause des conditions climatiques (routes détrempées et dégoulinantes de boue sablonneuse, comme d'habitude par ici dans ces conditions).

 

Quoiqu'il en soit je l'amène dès que possible chez mon vélociste pour qu'il le remette en état… et qu'il "checke" s'il n'y pas de dommages moins visibles qu'une patte de dérailleur tordue (manivelle ou pédale faussée, par exemple ? A priori non, mais qui sait…).

 

Et avec cette gêne au thorax, je crois que je vais devoir oublier le vélo pour quelques semaines, même s'il était en bon état. 😪

 

 

Aïe ! C'est pas de chance !

Tu ne vas pas aux urgences pour faire une radio du thorax ? 

Je te souhaite un rétablissement le plus rapide possible, Franck. Courage !

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Merci Thierry. Ça va sans doute te paraître curieux, mais d'aller aux urgences ne m'était même pas venu à l'idée. Sans doute parce que je ne souffre guère tant que je fais attention à mes mouvements (je dois avoir l'air d'un vieillard vu ma façon de bouger, sans doute). Je pensais donc attendre lundi ou mardi pour consulter mon médecin habituel.

 

Maintenant que tu l'évoques, je me dis que c'est le plus raisonnable. Je vais voir d'ici demain matin comment ça va évoluer. Si ça ne va pas mieux, direction les urgences (il y a un hôpital à 10 minutes de marche de chez moi). Je vous tiens au courant !

Modifié par Franck PASTOR
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Il y a 1 heure, Franck PASTOR a dit :

Bon, de retour de cette Primus Classic Cyclo, 122 km dont je n'aurais fait que 104. Because gadin à 18 km de l'arrivée (je venais juste de passer un panneau annonçant ces 18 km restants).

 

Après une centaine de kilomètres à braver des averses successives, à franchir sans encombre un bon nombre d'obstacles pas piqués des vers comme la Moskesstraat et le Smeysberg (j'étais vraiment dans mon jardin), et à parvenir pour une fois à suivre des groupes qui envoyaient sérieusement dans les passages plats, je me suis retrouvé violemment jeté par terre dans un virage à droite après dérapage de ma roue arrière.

 

Résultat pour le cycliste: un choc très audible sur le casque qu'il a parfaitement absorbé (merci à lui), un bel hématome à la cuisse droite, des plaies à la main (gant ruiné — merci à lui aussi pour avoir absorbé tout ce qu'il a pu), d'autres plaies à la hanche et au bras, mais rien de grave pour tout cela finalement.

 

Ce qui m'a empêché de continuer, c'est une forte gêne au niveau du thorax, côté droit bien sûr. Ce n'était plus possible de respirer correctement à l'effort. Alors j'ai mis la flèche et je suis rentré chez moi aussi lentement que possible. Je n'étais qu'à 20 km de mon domicile, et l'état de mon vélo le permettait — voir plus bas. Alors pourquoi n'ai-je pas fait plutôt les 18 km qui restaient pour boucler le parcours ? C'est que j'étais allé au départ à vélo (29 km de trajet presque tout plat). Dans mon état, entre faire 18+29 = 47 km et 20 km, j'ai eu vite fait de choisir.

 

Même maintenant que je suis rentré, il faut que je fasse attention à ne pas faire de mouvement brusque qui mobilise le buste sous peine de grimacer de douleur. Est-ce une côte cassée ? Va falloir attendre pour le savoir, mais même si c'est le cas, il n'y aura pas grand'chose à faire sinon patienter…

 

Quant au vélo, il semble ne pas s'en être trop mal tiré, lui. Le guidon était tordu mais je l'ai facilement remis en ligne. Évidemment, la patte (amovible) du dérailleur arrière a été déformée par le choc, mais je pouvais encore changer de vitesse. À l'avant, par contre, impossible de descendre sur le petit plateau pendant mon retour improvisé. Mais c'est peut-être tout simplement parce que le câble s'est grippé à cause des conditions climatiques (routes détrempées et dégoulinantes de boue sablonneuse, comme d'habitude par ici dans ces conditions).

 

Quoiqu'il en soit je l'amène dès que possible chez mon vélociste pour qu'il le remette en état… et qu'il "checke" s'il n'y pas de dommages moins visibles qu'une patte de dérailleur tordue. Manivelle ou pédale faussée, par exemple ? Cadre déformé ? A priori non, mais qui sait…

 

Et avec cette gêne au thorax, je crois que je vais devoir oublier le vélo pour quelques semaines, même s'il était en bon état. 😪

 

 

Soigne toi bien cela aurait pu être bien pire dit' on souvent mais n'hésite pas a faire des radios ou consulter  si tu sens quelque chose d'anormal car c'est souvent le lendemain et les jours qui suivent qu'apparaissent certains symptômes ......

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il y a 54 minutes, Franck PASTOR a dit :

Merci Thierry. Ça va sans doute te paraître curieux, mais d'aller aux urgences ne m'était même pas venu à l'idée. Sans doute parce que je ne souffre guère tant que je fais attention à mes mouvements (je dois avoir l'air d'un vieillard vu ma façon de bouger, sans doute). Je pensais donc attendre lundi ou mardi pour consulter mon médecin habituel.

 

Maintenant que tu l'évoques, je me dis que c'est le plus raisonnable. Je vais voir d'ici demain matin comment ça va évoluer. Si ça ne va pas mieux, direction les urgences (il y a un hôpital à 10 minutes de marche de chez moi). Je vous tiens au courant !

La fracture d'une côte n'est pas la seule cause de douleur dans la poitrine, il y aussi le pneumothorax qui réclame des soins

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il y a 18 minutes, Thierry GEUMEZ a dit :

La fracture d'une côte n'est pas la seule cause de douleur dans la poitrine, il y aussi le pneumothorax qui réclame des soins

Tu vois le pire.
Il peut très bien ne s'agir "que" de muscles intercostaux froissés.
La gêne est la même que pour une côte cassée et c'est tout aussi douloureux, un peu moins long à guérir, mais c'est long quand même parce qu'il s'agit de muscles plats.
Franck, surveille l'hématome, parfois ils évoluent difficilement (coup de coude à Serge G.).

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Il y a 2 heures, Franck PASTOR a dit :

Bon, de retour de cette Primus Classic Cyclo, 122 km dont je n'aurais fait que 104. Because gadin à 18 km de l'arrivée (je venais juste de passer un panneau annonçant ces 18 km restants).

 

Après une centaine de kilomètres à braver des averses successives, à franchir sans encombre un bon nombre d'obstacles pas piqués des vers comme la Moskesstraat et le Smeysberg (j'étais vraiment dans mon jardin), et à parvenir pour une fois à suivre des groupes qui envoyaient sérieusement dans les passages plats, je me suis retrouvé violemment jeté par terre dans un virage à droite après dérapage de ma roue arrière.

 

Résultat pour le cycliste: un choc très audible sur le casque qu'il a parfaitement absorbé (merci à lui), un bel hématome à la cuisse droite, des plaies à la main (gant ruiné — merci à lui aussi pour avoir absorbé tout ce qu'il a pu), d'autres plaies à la hanche et au bras, mais rien de grave pour tout cela finalement.

 

Ce qui m'a empêché de continuer, c'est une forte gêne au niveau du thorax, côté droit bien sûr. Ce n'était plus possible de respirer correctement à l'effort. Alors j'ai mis la flèche et je suis rentré chez moi aussi lentement que possible. Je n'étais qu'à 20 km de mon domicile, et l'état de mon vélo le permettait — voir plus bas. Alors pourquoi n'ai-je pas fait plutôt les 18 km qui restaient pour boucler le parcours ? C'est que j'étais allé au départ à vélo (29 km de trajet presque tout plat). Dans mon état, entre faire 18+29 = 47 km et 20 km, j'ai eu vite fait de choisir.

 

Même maintenant que je suis rentré, il faut que je fasse attention à ne pas faire de mouvement brusque qui mobilise le buste sous peine de grimacer de douleur. Est-ce une côte cassée ? Va falloir attendre pour le savoir, mais même si c'est le cas, il n'y aura pas grand'chose à faire sinon patienter…

 

Quant au vélo, il semble ne pas s'en être trop mal tiré, lui. Le guidon était tordu mais je l'ai facilement remis en ligne. Évidemment, la patte (amovible) du dérailleur arrière a été déformée par le choc, mais je pouvais encore changer de vitesse. À l'avant, par contre, impossible de descendre sur le petit plateau pendant mon retour improvisé. Mais c'est peut-être tout simplement parce que le câble s'est grippé à cause des conditions climatiques (routes détrempées et dégoulinantes de boue sablonneuse, comme d'habitude par ici dans ces conditions).

 

Quoiqu'il en soit je l'amène dès que possible chez mon vélociste pour qu'il le remette en état… et qu'il "checke" s'il n'y pas de dommages moins visibles qu'une patte de dérailleur tordue. Manivelle ou pédale faussée, par exemple ? Cadre déformé ? A priori non, mais qui sait…

 

Et avec cette gêne au thorax, je crois que je vais devoir oublier le vélo pour quelques semaines, même s'il était en bon état. 😪

 

 

C'est bête ce qui t'est arrivée @Franck mais ça m'est arrivée il y a deux ans aussi, pareil que toi, dérapage d'une roue, à part que chez moi c'était la roue avant. D'abord nettoie très bien les plaies à l'eau (douche). Par contre le mal au thorax est pénible, au besoin va voir un médecin ou va à l’hôpital d'urgence. Courage et bon rétablissement.!

Modifié par Johan ASSINK
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M'enfin Franck, tu nous fais quoi là....? 

 

Tu sais pourtant bien que pluie plus sable plus boue égale trajectoire hautement aléatoire. Rétablis toi bien et tiens nous au courant, bien sûr.

 

Pour ton dérailleur avant, laisse comme ça, de toute façon les petits plateaux ne servent à rien (-:

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il y a 53 minutes, Sylvain KARLE a dit :

Soigne toi bien cela aurait pu être bien pire dit' on souvent mais n'hésite pas a faire des radios ou consulter  si tu sens quelque chose d'anormal car c'est souvent le lendemain et les jours qui suivent qu'apparaissent certains symptômes ......

 

J'appréhende en effet le réveil de demain… Mais bon, comme on dit : « jusqu'ici ça va » !

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il y a 10 minutes, Michel DURY a dit :

M'enfin Franck, tu nous fais quoi là....? 

 

Tu sais pourtant bien que pluie plus sable plus boue égale trajectoire hautement aléatoire. Rétablis toi bien et tiens nous au courant, bien sûr.

Il faut croire que j'avais besoin d'une «piqûre de rappel»… Un peu trop efficace, en l'occurence !

 

Et non, je ne répondrai pas à la provocation sur les petits plateaux ! 😛

Modifié par Franck PASTOR
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il y a 31 minutes, Bernard MOREAU a dit :

Tu vois le pire.
Il peut très bien ne s'agir "que" de muscles intercostaux froissés.
La gêne est la même que pour une côte cassée et c'est tout aussi douloureux, un peu moins long à guérir, mais c'est long quand même parce qu'il s'agit de muscles plats.
Franck, surveille l'hématome, parfois ils évoluent difficilement (coup de coude à Serge G.).

 

Si j'osais un diagnostic moi-même, je dirais qu'en effet, ce que j'ai ressemble à ça : des muscles intercostaux froissés. Aucune côte ne semble cassée, je viens de vérifier que je peux appuyer sur chacune d'entre elle sans ressentir de douleur particulière. Par contre, dès que j'inspire de façon un peu ample, hop, la gêne est là ! Aucune douleur à la respiration par contre tant qu'elle est «normale».

 

OK, je surveillerai l'hématome, mais pour le moment il se fait oublier.

 

Pour Thierry : ça ressemble à quoi, d'ailleurs, les symptômes d'un pneumothorax ? Jamais eu pour le moment (heureusement, semble-t-il).

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il y a 25 minutes, Johan ASSINK a dit :

C'est bête ce qui t'est arrivée @Franck mais ça m'est arrivée il y a deux ans aussi, pareil que toi, dérapage d'une roue, à part que chez moi c'était la roue avant. D'abord nettoie très bien les plaies à l'eau (douche). Par contre le mal au thorax est pénible, au besoin va voir un médecin ou va à l’hôpital d'urgence. Courage et bon rétablissement.!

 

Bedankt Johan ! Les plaies ont bien été nettoyées comme tu l'as dit. Elles ne paraissent a priori pas bien méchantes. Pour la gêne au thorax : we zullen wel zien, on verra bien…

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il y a 7 minutes, Franck PASTOR a dit :

 

Si j'osais un diagnostic moi-même, je dirais qu'en effet, ce que j'ai ressemble à ça : des muscles intercostaux froissés. Aucune côte ne semble cassée, je viens de vérifier que je peux appuyer sur chacune d'entre elle sans ressentir de douleur particulière. Par contre, dès que j'inspire de façon un peu ample, hop, la gêne est là ! Aucune douleur à la respiration par contre tant qu'elle est «normale».

 

OK, je surveillerai l'hématome, mais pour le moment il se fait oublier.

 

Pour Thierry : ça ressemble à quoi, d'ailleurs, les symptômes d'un pneumothorax ? Jamais eu pour le moment (heureusement, semble-t-il).

 

Tout ce qui est dans la région des côtes est très douloureux. Je me suis fait récemment une petite déchirure musculaire dans cette zone, pendant 3 semaines j'avais beaucoup de mal à dormir, le doliprane ne suffisait pas, j'ai du me faire prescrire des anti-inflammatoires par un médecin.

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il y a 17 minutes, Guillaume LEROYER a dit :

 

Tout ce qui est dans la région des côtes est très douloureux. Je me suis fait récemment une petite déchirure musculaire dans cette zone, pendant 3 semaines j'avais beaucoup de mal à dormir, le doliprane ne suffisait pas, j'ai du me faire prescrire des anti-inflammatoires par un médecin.

 

Trois semaines, godverdomme! 😞

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il y a 18 minutes, Franck PASTOR a dit :

 

Trois semaines, godverdomme! 😞

 

Et encore, 3 semaines en dormant très mal, j'ai encore eu des petites douleurs pendant 2 semaines supplémentaires.

C'est une partie du corps où il y a beaucoup de nerfs.

Je me souviens qu'il y a quelques années j'avais fait une névralgie intercostale, un soir où j'avais diné chez ma soeur elle m'avait raccompagné en voiture, on avait été obligés de s'arrêter, j'avais mal à la moindre vibration, au point de me demander aussi si ce n'était pas un problème cardiaque.

Une fois rentré ça ne s'était calmé qu'en prenant du tramadol, heureusement il m'en restait d'un précédent traitement.

Donc ne panique pas si tu as mal à cet endroit, ça peut être bénin tout en étant très douloureux.

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OK, pour ceux qui s'inquiètent pour moi : ça ne va pas trop mal 🙂 L'expérience de Guillaume s'avère proche de ce que je subis actuellement. J'ai eu du mal à trouver une position pour dormir qui ne me fasse pas mal au niveau des côtes. Et le fait même changer de position est également douloureux… Mais j'ai pu en trouver une, donc j'ai pu dormir relativement convenablement, bien que je me sois réveillé plusieurs fois : dès que je bouge dans mon sommeil, ça fait mal tout de suite et ça me réveille… heureusement je ne bouge pas beaucoup.

 

Ça promet pour les semaines qui viennent, mais peut-être n'aurai-je pas besoin d'anti-douleur ou anti-inflammatoire pour dormir à peu près correctement.

 

Le reste de mes blessures semble OK. Finalement, je choisis l'option consultation (lundi), sans passage préalable aux urgences. Il semble que je ne sois pas en danger de mort dans l'immédiat 🙂 et mes douleurs restent parfaitement supportables.

@+, roulez bien !

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Il y a 2 heures, Franck PASTOR a dit :

Je te crois sur parole. J'ai eu brièvement le hoquet hier soir, je l'ai senti passer…

Pas de sketch comique non plus...je vois que tu as changé de casque, quel modèle de BONTRAGER? Pour ma part, je suis sorti ce matin, pas plus de 14°c,  une de mes dernières ascensions, l'automne arrive, la forme s'en va avec l'été, de grosses cuisses depuis plusieurs sorties, problème de position? j'ai trop trafiqué ma hauteur de selle, ou cette dernière doit être changée, comme le casque Limar qui date aussi.

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il y a 8 minutes, Pierre-Yves DESSIMOZ a dit :

Pas de sketch comique non plus...je vois que tu as changé de casque, quel modèle de BONTRAGER? Pour ma part, je suis sorti ce matin, pas plus de 14°c,  une de mes dernières ascensions, l'automne arrive, la forme s'en va avec l'été, de grosses cuisses depuis plusieurs sorties, problème de position? j'ai trop trafiqué ma hauteur de selle, ou cette dernière doit être changée, comme le casque Limar qui date aussi.

Je n'ai pas changé de cesque, mais utilisé le plus vieux que j'avais. J'ai (ou plutôt, j'avais) en effet deux casques. Le Bontrager, dont j'ai oublié le modèle (il n'est pas indiqué sur le casque), est plus grand et plus ancien que l'autre, le Limar Ultralight.

 

Comme à cause de la pluie et du froid j'utilisais conjointement un sous-casque et une casquette anti-pluie dont la visière est bien pratique, j'avais exceptionnellement choisi le Bontrager. Le Limar va bien avec soit le sous-casque, soit la casquette, mais est trop petit pour les deux ensemble. Et il n'a pas de visière, contrairement à un autre casque Limar que j'avais et que j'ai laissé chez mes parents.

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