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J'ai changé ma façon de rouler, et c'est bien


Messages recommandés

il y a 23 minutes, Thierry GEUMEZ a dit :

 

Tu cherches trop loin. Irais-tu jusqu'à dire que tu es né sans l'intervention de tes parents ? 😇

ooooh serais je né de la cuisine" de jupiter  ", y a t il un dieu du vélo dans les temps ancien 🙃

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Et bien ce matin, 105 km avec 4 autres du club, beaucoup de dénivelé et j'ai appliqué ma nouvelle façon de rouler. Le résultat est une petite perte de moyenne mais une bien meilleure récup sans avoir cette sensation d'être au bout de ma vie, d'avoir explosé les jambes.

 

On a bien fait lali lalère dans une ou deux montées, mais gentiment et sans aller dans le rouge, en en gardant toujours sous le pied. C'est idiot mais ça fait une différence énorme d'avec la façon de rouler depuis des années. Là, je pourrais refaire une sortie de 50 km sans problème.

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Deux bonnes sorties vendredi et ce dimanche, 90 et 72km environ 2600m de DV, et des coups de soleil sur les bras, aujourd'hui une ascension pas piquée des vers, le col du Lein, suivi par celui du Tronc (en descente...) et des Planches, le triptyque du Mont-Chemin au dessus de Martigny, du gravel sur les 2 premiers en 23 c'est limite limite, mais les conti GP et 5000 ont bien tenu le choc. Descente vertigineuse du col des Planches  sur MY, à quand une étape du tour de Romandie, 34-23 pour commencer et 25 pour terminer, certains diraient 25 puis 28 ou 32, mais quand on est bien frais on supporte le 23!

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il y a 49 minutes, Michel DURY a dit :

Et bien ce matin, 105 km avec 4 autres du club, beaucoup de dénivelé et j'ai appliqué ma nouvelle façon de rouler. Le résultat est une petite perte de moyenne mais une bien meilleure récup sans avoir cette sensation d'être au bout de ma vie, d'avoir explosé les jambes.

 

On a bien fait lali lalère dans une ou deux montées, mais gentiment et sans aller dans le rouge, en en gardant toujours sous le pied. C'est idiot mais ça fait une différence énorme d'avec la façon de rouler depuis des années. Là, je pourrais refaire une sortie de 50 km sans problème.

 

Tu es sur la bonne voie, Michel. M'étant bien dépensé pendant 5h46 sur les pentes, hier, mes jambes n'en voulaient pas trop sur un parcours tout plat ce matin. Je récupère de moins en moins vite, je vais lorgner désormais sur des distances moins ambitieuses que par le passé. Juste un travail d'acceptation (de mon déclin) à finaliser... 😝

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il y a 11 minutes, Thierry GEUMEZ a dit :

 

Tu es sur la bonne voie, Michel. M'étant bien dépensé pendant 5h46 sur les pentes, hier, mes jambes n'en voulaient pas trop sur un parcours tout plat ce matin. Je récupère de moins en moins vite, je vais lorgner désormais sur des distances moins ambitieuses que par le passé. Juste un travail d'acceptation (de mon déclin) à finaliser... 😝

Je suis peut-être fait différemment des autres, mais je n'ai jamais apprécié de faire la sortie de récupération juste le lendemain d'une sortie longue et/ou intense. J'ai toujours eu l'impression que cela ralentissait ma récupération, en soufflant sur les braises de mes éventuelles douleurs ou courbatures, au lieu de l'accélérer.

 

Mais je ne roule que deux ou trois fois par semaine. C'est probablement différent pour quelqu'un qui roule tous les jours.

 

Bref, aujourd'hui je n'ai pas sorti la bécane après la Chouffe Classic d'hier, je me suis juste contenté de marcher un peu. Le vélo devrait reprendre du service mardi.

Modifié par Franck PASTOR
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il y a 24 minutes, Franck PASTOR a dit :

Je suis peut-être fait différemment des autres, mais je n'ai jamais apprécié de faire la sortie de récupération juste le lendemain d'une sortie longue et/ou intense. J'ai toujours eu l'impression que cela ralentissait ma récupération, en soufflant sur les braises de mes éventuelles douleurs ou courbatures, au lieu de l'accélérer.

 

 

Même s'il m'arrive de rouler le lendemain d'une sortie très fatigante, je continue de chercher pourquoi on l'appelle "sortie de récupération". Certains disent "de décrassage", ce qui nous met peut-être sur la voie. En fait, beaucoup attribuent les douleurs du lendemain à la présence d'acide lactique dans les muscles. Or, la durée de recyclage de l'acide lactique se compte en minutes, il ne peut donc expliquer les courbatures 12 ou 24 heures plus tard. Je pense que les fibres musculaires ne sortent pas indemnes de plusieurs heures d'efforts intenses et qu'il faut attendre qu'elles se réparent.

 

La conviction populaire est qu'on doit soigner le mal par le mal. Suivant la même logique, la gueule de bois un lendemain de beuverie passerait plus facilement si on boit un verre dès le lever...

 

Pourrait-on effacer les effets de la fatigue en ne dormant pas ?

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il y a 26 minutes, Thibaud CHERBONNEL a dit :

Normalement tu ressens la réelle fatigue 48h après, la petite sortie de décrassage permet de tourner les jambes pour oxygéner les muscles et ainsi réduire cet effet fatigue. 

 

Et si on n'oxygène pas les muscles le lendemain, la "réelle fatigue" survient plus tard qu'après 48 heures ?

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il y a 9 minutes, Thibaud CHERBONNEL a dit :

Bah dans mon cas j'ai pas mal aux jambes 48h après si je fais cette sortie récup.

 

Je pense que l'aspect mental de faire une sortie sans forcer, en profitant du paysage y fait beaucoup. 

Pour avoir essayé, je peux dire que malgré une sortie «récup» du lendemain (jamais vraiment agréable), j'ai quand même mal aux jambes 48 h après la grosse sortie si celle-ci avait été plus longue ou intense que d'habitude.

 

Tu roules combien de fois par semaine, grosso modo ?

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il y a 10 minutes, Franck PASTOR a dit :

Pour avoir essayé, je peux dire que malgré une sortie «récup» du lendemain (jamais vraiment agréable), j'ai quand même mal aux jambes 48 h après la grosse sortie si celle-ci avait été plus longue ou intense que d'habitude.

 

Tu roules combien de fois par semaine, grosso modo ?

Salut Frank, j'ai par habitude de me masser les jambes avec de l'huile de massage 3 fois par semaine ce qui permet une bonne récupération surtout que j'enchaine les sorties lors de grandes périodes de beau temps et si je suis fracassé par une longue sortie, bain chaud pour détendre le corps plus massage et je suis à nouveau prêt pour le lendemain, c'est ma façon de fonctionner.

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Il y a 6 heures, Franck PASTOR a dit :

Ça semble donc confirmer que pour vraiment bénéficier d'une sortie récup le lendemain même, il faut avoir l'habitude de rouler fréquemment.

La fréquence des entraînements ne suffit pas. Si tu roules 5 fois 1 heure par semaine et fais exceptionnellement une rando de 5 heures à un rythme soutenu, il te faudra plusieurs jours pour récupérer, sortie de "décrassage" ou pas.

 

Il faut raisonner en terme de "charge de travail" qui combine la distance et l'intensité des sorties. Pour terminer un parcours de 6-7 heures comportant un gros dénivelé sans avoir l'impression d'avoir puisé dans ses réserves, il faut être capable d'encaisser au moins le double par semaine à l'entraînement, sinon il faut accepter de rouler plus lentement le jour de l'épreuve.

 

Les randonnées ou cyclosportives telles que LBL ou l'étape du Tour font rêver parce qu'elles permettent de s'identifier aux coureurs professionnels mais nous avons tendance à oublier que les pros roulent 30.000 km par an, qu'ils sont jeunes et qu'ils sont exceptionnellement doués. Le "cyclo lambda" qui fait ses 150 km hebdomadaires n'a pas la capacité d'enchaîner la Flèche Wallonne le mercredi et LBL le dimanche à un rythme rapide. Après, certains récupèrent plus vite que d'autres, même chez les pros. Ils affectionnent les courses par étapes.

 

L'oxygénation des muscles, les massages et l'hydratation évoqués plus haut sont bien sûr utiles mais le vrai secret, c'est de naître avec de bonnes facultés de récupération. Je me souviens qu'Eric Hennuy disait boire beaucoup d'eau après une grosse sortie mais nous savons pour avoir roulé avec lui que l'eau n'est pas l'explication de ses capacités hors du commun : pour rouler tranquille à 120 sur l'autoroute, il vaut mieux être en Porsche qu'en 2 CV 😉

Modifié par Thierry GEUMEZ
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il y a une heure, Thierry GEUMEZ a dit :

Je me souviens qu'Eric Hennuy disait boire beaucoup d'eau après une grosse sortie mais nous savons pour avoir roulé avec lui que l'eau n'est pas l'explication de ses capacités hors du commun : pour rouler tranquille à 120 sur l'autoroute, il vaut mieux être en Porsche qu'en 2 CV 

Notre dernière sortie avec lui était justement un de ses jours de récup, il avait bien roulé la veille.

Tu te souviens dans quel état il nous avait mis? La récup à Eric... tout un poème.

 

Et bien là, ce matin, je sens que ma récup d'hier se passe très bien. Par contre je ne peux pas rouler aujourd'hui, pas le temps, sinon ce serait un 60 avec grand plaisir.

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Il y a 2 heures, Thierry GEUMEZ a dit :

La fréquence des entraînements ne suffit pas. Si tu roules 5 fois 1 heure par semaine et fais exceptionnellement une rando de 5 heures à un rythme soutenu, il te faudra plusieurs jours pour récupérer, sortie de "décrassage" ou pas.

 

Il faut raisonner en terme de "charge de travail" qui combine la distance et l'intensité des sorties. Pour terminer un parcours de 6-7 heures comportant un gros dénivelé sans avoir l'impression d'avoir puisé dans ses réserves, il faut être capable d'encaisser au moins le double par semaine à l'entraînement, sinon il faut accepter de rouler plus lentement le jour de l'épreuve.

 

Les randonnées ou cyclosportives telles que LBL ou l'étape du Tour font rêver parce qu'elles permettent de s'identifier aux coureurs professionnels mais nous avons tendance à oublier que les pros roulent 30.000 km par an, qu'ils sont jeunes et qu'ils sont exceptionnellement doués. Le "cyclo lambda" qui fait ses 150 km hebdomadaires n'a pas la capacité d'enchaîner la Flèche Wallonne le mercredi et LBL le dimanche à un rythme rapide. Après, certains récupèrent plus vite que d'autres, même chez les pros. Ils affectionnent les courses par étapes.

 

L'oxygénation des muscles, les massages et l'hydratation évoqués plus haut sont bien sûr utiles mais le vrai secret, c'est de naître avec de bonnes facultés de récupération. Je me souviens qu'Eric Hennuy disait boire beaucoup d'eau après une grosse sortie mais nous savons pour avoir roulé avec lui que l'eau n'est pas l'explication de ses capacités hors du commun : pour rouler tranquille à 120 sur l'autoroute, il vaut mieux être en Porsche qu'en 2 CV 😉

Exactement, ça me fait penser à la mode de courir un marathon avec un entrainement de 10/20 km/semaine en 1 ou 2 sorties, ça se termine avec plus de 4heures voire encore plus de galère et des muscles perclus de douleurs. Effectivement l'hydratation ne suffira pas à réparer les dégats causés. Pour  un marathon la prépa c'est au moins 70/80 kms par semaine, pour une cyclo de 150 kms, 300kms mini / semaine c'est le mini pour moi. Et sans parler de vitesse  

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il y a une heure, Bruno GUILLEVIC a dit :

Exactement, ça me fait penser à la mode de courir un marathon avec un entrainement de 10/20 km/semaine en 1 ou 2 sorties, ça se termine avec plus de 4heures voire encore plus de galère et des muscles perclus de douleurs. Effectivement l'hydratation ne suffira pas à réparer les dégats causés. Pour  un marathon la prépa c'est au moins 70/80 kms par semaine, pour une cyclo de 150 kms, 300kms mini / semaine c'est le mini pour moi. Et sans parler de vitesse  

J'y ai déjà fait allusion sur le forum : pour préparer un Tour des Flandres, Johan Museuuw roulait 3 fois la distance de l'épreuve par semaine.

 

Un mot au sujet de l'intensité. Il y a 25 ans (j'en avais 40), ma FC moyenne sur les cyclos ardennaises était de 150 bpm. Imagine ma surprise lorsque j'ai lu les données d'un pro (j'ai oublié de qui il s'agit) sur le Tour de France : 125 bpm de moyenne !

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