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Comparaison 50/34 avec 11-32 VS 50/36 avec 11-30


Chtibike
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Il y a 4 heures, Chtibike a dit :

C'est vrai ! On entend tellement dire de nos jours qu'on décline après 30 ans (y compris cognitivement d'ailleurs)... qu'on finirait presque par y croire ! 😁 En tout cas, ce qui est sûr c'est que j'en vois à 60 ans passés qui roulent fort, mais ils roulent depuis plus de 40 ans VS mes 2 ans de vélo... Et ça résume totalement ce que vous dites tous, c'est plus l'entrainement que l'âge qui compte.

C'est ce que je me dis aussi. Dans un but de progresser (sans voir trop haut non plus je vous rassure) j'ai investi dans un capteur de watts. Je vais m'appuyer sur ces watts pour éviter de me mettre dans la rouge. Et j'ai prévu 3 cols (cat 2/3 et HC) mais pas le même jour non plus. Je pense que si je devais enchaîner 3 cols en finissant par un HC, vous ne me reverriez pas.... vivant. 😆

La sagesse  est une énorme qualité, à l'inverse l'impatience et l'absence de maitrise sont des défauts rédhibitoires en sport en général et en vélo tout particulièrement. A 36 ans, et en débutant en vélo je dirais que tu as bien 10 voie 20 ans d'années au top performance avec des entrainements bien adaptés. Evidemment sans doute pas en compet mais en cyclo sport. Concentre toi sur l'entrainement, il existe plein de traités accessibles sur internet. L'erreur classique à éviter absolument c'est de rouler en permanence trop fort par rapport à son niveau et de fait de stagner, il est nécessaire d'alterner les séances hard et les séances "récup" actives dans la même semaine. On voit trop de gars  peu expérimentés rouler tjs à 29/30 en solo sur 70/80 bornes  ( très bien) et être incapables de suivre des accélérations  brèves et intenses, alors qu 'ils en auraient le potentiel avec un entrainement adapté.  Rouler de temps en temps avec un groupe un poil plus fort peut être une excellente solution.

Sur l'intérêt  des assistances électroniques à l'entrainement je ne donnerais pas d''avis, compte tenu que j'ai tjs roulé en étant attentif à  mon physique et que ce faisant on sait très précisément, avec un poil de recul, quand on est dans sa zone rouge.

Modifié par Bruno GUILLEVIC
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pas sur que cela  t aide  mais juste mon avis , j ai monté le ventoux l année passé , je suis plutôt en assez bonne condition , 36x28  je l ai eu dure , mais je suis un peu comme toi je roule sur le plat plus souvent ...la chaleur n aide pas non plus , il faisait très très chaud , avoir de la reserve d 'eau

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il y a 33 minutes, Bruno GUILLEVIC a dit :

La sagesse  est une énorme qualité, à l'inverse l'impatience et l'absence de maitrise sont des défauts rédhibitoires en sport en général et en vélo tout particulièrement. A 36 ans, et en débutant en vélo je dirais que tu as bien 10 voie 20 ans d'années au top performance avec des entrainements bien adaptés. Evidemment sans doute pas en compet mais en cyclo sport. Concentre toi sur l'entrainement, il existe plein de traités accessibles sur internet. L'erreur classique à éviter absolument c'est de rouler en permanence trop fort par rapport à son niveau et de fait de stagner, il est nécessaire d'alterner les séances hard et les séances "récup" actives dans la même semaine. On voit trop de gars  peu expérimentés rouler tjs à 29/30 en solo sur 70/80 bornes  ( très bien) et être incapables de suivre des accélérations  brèves et intenses, alors qu 'ils en auraient le potentiel avec un entrainement adapté.  Rouler de temps en temps avec un groupe un poil plus fort peut être une excellente solution.

Sur l'intérêt  des assistances électroniques à l'entrainement je ne donnerais pas d''avis, compte tenu que j'ai tjs roulé en étant attentif à  mon physique et que ce faisant on sait très précisément, avec un poil de recul, quand on est dans sa zone rouge.

 

Sur 80 bornes avec un peu de D+ (j'aime pas ne faire que du plat), je ne tiens pas les 29/30 de moyenne (pas solo

en tout cas). Dans mon club, dans le groupe loisir le niveau est déjà sympa. Certains sont capables de tenir les 29/30 de moyenne sur ces distances et avec du D+. Au début forcément, j'ai souffert un peu et justement sur les relances quand les kms se font sentir dans les jambes... Aujourd'hui ça va beaucoup mieux. Je me paye même le luxe d'attendre les autres dans les bosses, ce qui est déjà pour moi une petite victoire en quelque sorte.

Une fois j'ai essayé de me joindre aux compétiteurs du club sur une sortie "endurance".... Dès le début sur un long faux plat montant ils mettaient du 34/35...36.... km/h... Inutile de dire qu'au bout de 15 bornes, j'ai coupé court et je suis rentré seul un peu écœuré sur le coup. Ils ne font pas dans la tendresse ! 😅

Aujourd'hui, sur mes sorties solo, j'essaie de rouler à un rythme "tempo" et j'en mets un coup dans les bosses et sur les 10/15 derniers kms si les jambes répondent. Au final, ça me permet de faire monter mes moyennes et ça me fait une sorte de petit fractionné.

Je ne sais pas si ma façon de faire actuelle est efficace et portera ses fruits à long terme. Je n'ai pas assez de recul. Je vois et sens une amélioration en tout cas. Et les sorties groupe ont effectivement le mérite de me pousser un peu plus dans mes retranchements quand quelques plus costauds en mettent un coup, forcément ça m'oblige à tenir la roue.

 

il y a 25 minutes, Jpfvelo a dit :

pas sur que cela  t aide  mais juste mon avis , j ai monté le ventoux l année passé , je suis plutôt en assez bonne condition , 36x28  je l ai eu dure , mais je suis un peu comme toi je roule sur le plat plus souvent ...la chaleur n aide pas non plus , il faisait très très chaud , avoir de la reserve d 'eau

 

 

Le ventoux en 36x28 ben dis donc... à mon niveau actuel je ne tenterai même pas je pense. Mais si ça se fait c'est bien que tout est possible avec un entrainement adapté. 💪 

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il y a 54 minutes, Chtibike a dit :

 

Sur 80 bornes avec un peu de D+ (j'aime pas ne faire que du plat), je ne tiens pas les 29/30 de moyenne (pas solo

en tout cas). Dans mon club, dans le groupe loisir le niveau est déjà sympa. Certains sont capables de tenir les 29/30 de moyenne sur ces distances et avec du D+. Au début forcément, j'ai souffert un peu et justement sur les relances quand les kms se font sentir dans les jambes... Aujourd'hui ça va beaucoup mieux. Je me paye même le luxe d'attendre les autres dans les bosses, ce qui est déjà pour moi une petite victoire en quelque sorte.

Une fois j'ai essayé de me joindre aux compétiteurs du club sur une sortie "endurance".... Dès le début sur un long faux plat montant ils mettaient du 34/35...36.... km/h... Inutile de dire qu'au bout de 15 bornes, j'ai coupé court et je suis rentré seul un peu écœuré sur le coup. Ils ne font pas dans la tendresse ! 😅

Aujourd'hui, sur mes sorties solo, j'essaie de rouler à un rythme "tempo" et j'en mets un coup dans les bosses et sur les 10/15 derniers kms si les jambes répondent. Au final, ça me permet de faire monter mes moyennes et ça me fait une sorte de petit fractionné.

Je ne sais pas si ma façon de faire actuelle est efficace et portera ses fruits à long terme. Je n'ai pas assez de recul. Je vois et sens une amélioration en tout cas. Et les sorties groupe ont effectivement le mérite de me pousser un peu plus dans mes retranchements quand quelques plus costauds en mettent un coup, forcément ça m'oblige à tenir la roue.

 

 

 

Le ventoux en 36x28 ben dis donc... à mon niveau actuel je ne tenterai même pas je pense. Mais si ça se fait c'est bien que tout est possible avec un entrainement adapté. 💪 

Et bien au contraire, pour progresser, rouler de temps en temps dans un groupe de niveau supérieur est super bénéfique, le but étant de garder les roues. Cela va imposer de travailler efficacement et rapidement les capacités de récup Il va falloir également étudier les placements permettant une bonne protection indispensable pour tenir la sortie. Pas grave si on saute on fera mieux la prochaine fois. Bon les très orgueilleux ou imbus d'eux même ne vont pas trop supporter mais qu'importe, ceux là ne progressent pas et trouvent leur plaisir à chercher les moins forts pour satisfaire leur ego, chacun son truc il n'y a pas demal.

Rouler à sa main avec des gars de niveau ou moins forts, oui en récup, mais certainement pas exclusivement, si on veut progresser, on se transforme vite en bon "diesel",  à 36 ans il y a mieux à faire sur un vélo. 

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il y a une heure, Bruno GUILLEVIC a dit :

Et bien au contraire, pour progresser, rouler de temps en temps dans un groupe de niveau supérieur est super bénéfique, le but étant de garder les roues. Cela va imposer de travailler efficacement et rapidement les capacités de récup Il va falloir également étudier les placements permettant une bonne protection indispensable pour tenir la sortie. Pas grave si on saute on fera mieux la prochaine fois. Bon les très orgueilleux ou imbus d'eux même ne vont pas trop supporter mais qu'importe, ceux là ne progressent pas et trouvent leur plaisir à chercher les moins forts pour satisfaire leur ego, chacun son truc il n'y a pas demal.

Rouler à sa main avec des gars de niveau ou moins forts, oui en récup, mais certainement pas exclusivement, si on veut progresser, on se transforme vite en bon "diesel",  à 36 ans il y a mieux à faire sur un vélo. 

Rouler dans un groupe de niveau supérieur permet effectivement de progresser, surtout quand on a des difficultés à se faire mal tout seul. Mais cela ne suffit pas pour bien grimper les cols, l'objectif de Chtibike.

 

Il y a un peu plus de 20 ans, je roulais tous les mercredis avec un groupe de cyclos "motivés" auquel se mêlaient de petits coureurs. Parcours peu vallonnés, moyenne entre 35 et 38 selon l'humeur du jour. Je participais par ailleurs chaque année à quelques cyclosportives ardennaises avec beaucoup de dénivelé. Ma plus belle performance a cependant été réalisée l'année ou je me suis entraîné seul dans des cols pendant 2 semaines.

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Il y a 2 heures, Bruno GUILLEVIC a dit :

Et bien au contraire, pour progresser, rouler de temps en temps dans un groupe de niveau supérieur est super bénéfique, le but étant de garder les roues. Cela va imposer de travailler efficacement et rapidement les capacités de récup Il va falloir également étudier les placements permettant une bonne protection indispensable pour tenir la sortie. Pas grave si on saute on fera mieux la prochaine fois. Bon les très orgueilleux ou imbus d'eux même ne vont pas trop supporter mais qu'importe, ceux là ne progressent pas et trouvent leur plaisir à chercher les moins forts pour satisfaire leur ego, chacun son truc il n'y a pas demal.

Rouler à sa main avec des gars de niveau ou moins forts, oui en récup, mais certainement pas exclusivement, si on veut progresser, on se transforme vite en bon "diesel",  à 36 ans il y a mieux à faire sur un vélo. 

Merci pour ces précieux conseils. Pour être tout à fait transparent, là où j'ai le plus de mal, c'est assez logiquement au retour sur le plat. Assez logiquement parce que je n'ai pas un gabarit de rouleur avec beaucoup de watts, parce que je manque clairement d'endurance et les fins de sorties sont dures pour les jambes... Pour peu qu'il y ait un vent défavorable, je peine à tenir les roues parfois, même autour de 30. Et là, clairement le groupe me tire vers le haut, il m'oblige à serrer les dents et à puiser les dernières ressources.

Donc pour l'instant, sur ce point faible qui est les watts sur le plat des fins de sortie, je tire largement bénéfice des sorties de mon groupe "loisirs". Dans les bosses, j'ai suffisamment progressé pour ne plus subir en général. 

On est bien d'accord que si je retentais une sortie avec le groupe "competition", je serai à nouveau complètement à la ramasse sur tous les terrains mais c'est normal et je l'accepte sans problème. Lors d'une sortie avec eux, j'ai senti la différence de mentalité, d'attentes...y a beaucoup plus d'égo et de testo et beaucoup moins de solidarité et de "bienveillance". Attention, je ne critique pas. C'est cohérent pour un groupe compétition je suppose. Personnellement, je tire bien plus profit du groupe loisirs et je m'y sens mieux y compris dans l'état d'esprit.

Pour autant  comme le dit Thierry, mon objectif ici est de grimper mes premiers cols sans trop subir. Enfin pas tout du long en tout cas. Quand on habite dans une région peu montagneuse c'est compliqué de trouver des terrains qui simulent un col. Du coup, je fais des bosses, je monte, je descend, je remonte.... et comme je suis seul ça m'oblige à travailler le mental quand j'ai un coup de mou. J'ai du mal parfois à comprendre d'où vient mon manque d'endurance sur les fins de sorties. Est-ce que je me crame à faire le "cacou" dans les bosses ? Est-ce que mon stock mini de gras me pénalise côté endurance ? Est-ce que c'est le mental qui pose problème ? Honnêtement, avec mon peu d'expérience je ne suis sûr de rien sur ce point faible.

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il y a 13 minutes, Chtibike a dit :

Merci pour ces précieux conseils. Pour être tout à fait transparent, là où j'ai le plus de mal, c'est assez logiquement au retour sur le plat. Assez logiquement parce que je n'ai pas un gabarit de rouleur avec beaucoup de watts, parce que je manque clairement d'endurance et les fins de sorties sont dures pour les jambes... Pour peu qu'il y ait un vent défavorable, je peine à tenir les roues parfois, même autour de 30. Et là, clairement le groupe me tire vers le haut, il m'oblige à serrer les dents et à puiser les dernières ressources.

Donc pour l'instant, sur ce point faible qui est les watts sur le plat des fins de sortie, je tire largement bénéfice des sorties de mon groupe "loisirs". Dans les bosses, j'ai suffisamment progressé pour ne plus subir en général. 

On est bien d'accord que si je retentais une sortie avec le groupe "competition", je serai à nouveau complètement à la ramasse sur tous les terrains mais c'est normal et je l'accepte sans problème. Lors d'une sortie avec eux, j'ai senti la différence de mentalité, d'attentes...y a beaucoup plus d'égo et de testo et beaucoup moins de solidarité et de "bienveillance". Attention, je ne critique pas. C'est cohérent pour un groupe compétition je suppose. Personnellement, je tire bien plus profit du groupe loisirs et je m'y sens mieux y compris dans l'état d'esprit.

Pour autant  comme le dit Thierry, mon objectif ici est de grimper mes premiers cols sans trop subir. Enfin pas tout du long en tout cas. Quand on habite dans une région peu montagneuse c'est compliqué de trouver des terrains qui simulent un col. Du coup, je fais des bosses, je monte, je descend, je remonte.... et comme je suis seul ça m'oblige à travailler le mental quand j'ai un coup de mou. J'ai du mal parfois à comprendre d'où vient mon manque d'endurance sur les fins de sorties. Est-ce que je me crame à faire le "cacou" dans les bosses ? Est-ce que mon stock mini de gras me pénalise côté endurance ? Est-ce que c'est le mental qui pose problème ? Honnêtement, avec mon peu d'expérience je ne suis sûr de rien sur ce point faible.

2 ou 3 avis sur  ce que tu décris, en premier lieu sur votre groupe compétition, c'est clair que l'ambiance peut être différence d'un groupe loisirs, mais tout de même, cela ne dispense pas d'un minimum d'esprit de groupe et si celui ci est absent il est certain que ce n'est pas très drôle d'être à la traine, dans mon club par exemple, le réglement intérieur interdit de laisser un gars seul, il faut a minima être au moins deux pour rentrer, ça force donc les premiers à ralentir quand un gars est à la traine. C'est sur que pour avoir fait pas mal de club, il y a souvent des ambiances assez infectes dans les groupes de costauds.

Ensuite, pour ton problème de coup de mou en fin de sortie, deux possibilités:

soit tu dépenses un max d'énergie dès le début et donc normal qu il y ait une grosse baise en fin, le vélo est un sport où c'est celui qui sait le mieux  économiser ses forces qui l'emporte souvent. Il faut donc apprendre à rouler "en dedans" régulièrement en cours de sortie,

soit tu manques d'accoutumance à la distance et donc normal que dans la dernière heure ce soit une galère. Mais je pencherai plus pour la première hypothèse.

Et ensuite tu évoques le vent, quand tu roules avec des cyclos expérimentés observe bien leur positionnement dans le groupe et inspire toi de ça, essaie autant que possible et sans prendre de risques, de t'habituer à rouler proche des autres pour profiter de leur abri.  Par vent de travers, le groupe forme ce qu'on appelle une bordure  et si tu es derrière tu n'as aucune protection et tu ne tiendras pas longtemps. Tout ça n'est pas évident du tout et il faut pas mal de temps pour s'y faire, mais c'est la condition pour rouler vite et bien en groupe. De plus mieux on sait rouler en groupe, mieux on est accepté, les débutants qui font des écarts,des acoups,  laissent des trous, ne sont forcément pas bien vus et en général on ne leur fait pas trop de cadeau.

T'inquiète tout ça viendra vite

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il y a 13 minutes, Chtibike a dit :

J'ai du mal parfois à comprendre d'où vient mon manque d'endurance sur les fins de sorties. Est-ce que je me crame à faire le "cacou" dans les bosses ? Est-ce que mon stock mini de gras me pénalise côté endurance ? Est-ce que c'est le mental qui pose problème ? 

Les raisons sont probablement multiples :

 

- Il n'y a que deux ans que tu t'y es mis, l'endurance va s'améliorer pendant encore plusieurs années.

- Les kilomètres à l'entraînement : 150 km/semaine, c'est pas mal pour tenir sur une sortie de 80 km mais un peu juste pour faire 100 km ou davantage.

- L'intensité des efforts pendant la sortie : si tu "tapes dedans" pendant tout le parcours, il est normal que tu te sentes très fatigué à la fin. Tu devrais lire un peu sur le sujet de l'entraînement et apprendre à tirer profit de ton capteur de puissance. Comme Bruno le dit plus haut, il faut varier les intensités plutôt qu'essayer d'être rapide tout le temps, certaines sorties intenses et d'autres beaucoup plus cool.

- L'hydratation et l'alimentation : bois-tu en suffisance ? Prends-tu de la nourriture (barres de céréales, bananes, pain d'épices, ...) pour les sorties de 2 heures ou plus ?

 

 

 

 

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Il y a 15 heures, Bruno GUILLEVIC a dit :

2 ou 3 avis sur  ce que tu décris, en premier lieu sur votre groupe compétition, c'est clair que l'ambiance peut être différence d'un groupe loisirs, mais tout de même, cela ne dispense pas d'un minimum d'esprit de groupe et si celui ci est absent il est certain que ce n'est pas très drôle d'être à la traine, dans mon club par exemple, le réglement intérieur interdit de laisser un gars seul, il faut a minima être au moins deux pour rentrer, ça force donc les premiers à ralentir quand un gars est à la traine. C'est sur que pour avoir fait pas mal de club, il y a souvent des ambiances assez infectes dans les groupes de costauds.

Ensuite, pour ton problème de coup de mou en fin de sortie, deux possibilités:

soit tu dépenses un max d'énergie dès le début et donc normal qu il y ait une grosse baise en fin, le vélo est un sport où c'est celui qui sait le mieux  économiser ses forces qui l'emporte souvent. Il faut donc apprendre à rouler "en dedans" régulièrement en cours de sortie,

soit tu manques d'accoutumance à la distance et donc normal que dans la dernière heure ce soit une galère. Mais je pencherai plus pour la première hypothèse.

Et ensuite tu évoques le vent, quand tu roules avec des cyclos expérimentés observe bien leur positionnement dans le groupe et inspire toi de ça, essaie autant que possible et sans prendre de risques, de t'habituer à rouler proche des autres pour profiter de leur abri.  Par vent de travers, le groupe forme ce qu'on appelle une bordure  et si tu es derrière tu n'as aucune protection et tu ne tiendras pas longtemps. Tout ça n'est pas évident du tout et il faut pas mal de temps pour s'y faire, mais c'est la condition pour rouler vite et bien en groupe. De plus mieux on sait rouler en groupe, mieux on est accepté, les débutants qui font des écarts,des acoups,  laissent des trous, ne sont forcément pas bien vus et en général on ne leur fait pas trop de cadeau.

T'inquiète tout ça viendra vite

Il faut aussi remettre les choses dans le contexte. Je faisais du vélo depuis 6 mois. En me mêlant à l'entrainement endurance de ce groupe "compétition" je pensais que je serai obligé de suivre et que ce serait bénéfique.... j'ai péché par naiveté. Il ne suffit évidement pas de vouloir surtout après 6 mois de vélo. Pour la petite histoire, quand ils ont commencé l'ascension du Kemmelberg (belgique) je les ai perdu de vue au 1er virage. Ne connaissant à l'époque par trop le secteur, je me suis retrouvé au pied du "vrai" Kemmelberg avec ses pavés et ses 22%..... Sur le coup, je me suis dit que c'était un bizutage. C'est le pire qui existe ici. Mais je m'y suis employé. J'ai failli vomir en arrivant en haut forcément. Le pire c'est que bien plus tard ils m'ont rejoint et j'ai appris qu'ils avaient contourné le Kemmelberg (pas fous...) mais je ne pouvais pas le savoir comme ils avaient disparu......... Après ça j'ai eu encore plus de mal à tenir les roues à 33/34 de moyenne et j'ai fini par rentrer seul, la nuit tombante et la pluie arrivant en prime. Ça a bien failli me dégouté du vélo mais j'ai relativisé. J'avais vraiment l'impression d'être un bon à rien avec eux. Mais après tout j'avais grimpé le Kemmelberg après 6 mois de vélo et ce n'était pas prévu. Mais oui clairement, c'est pas du tout la même ambiance qu'en loisirs.

 

Aujourd'hui je roule pas trop mal en groupe. En général au début je prends mes relais en restant devant et au retour je me tiens autant que possible dans les roues. Lors d'une sortie de grand vent, un camarade expérimenté (ex compétiteur qui s'y remet apparemment cette année) nous a appris à gérer les relais dans un groupe de 6/8 et a bien se placer notamment quand le vent est latéral. Je lui dois beaucoup de ma progression d'ailleurs. C'est vraiment sympa d'apprendre dans ces conditions. En tout cas, c'est plus agréable que se retrouver paumé au milieu du Kemmelberg 😄

La dernière fois que j'ai fait une sortie groupe loisirs, je leur avais concocté un parcours bucolique avec pas mal de D+ quand même et au retour une fille qu'on ne voit pas souvent m'a dit "si je viens c'est parce que je sais quand tu es là, y a de la bienveillance quelque soit le niveau et qu'on s'attend toujours en haut des bosses". Ben au final ce jour là c'était mon tour d'être "le plus fort" dans les bosses, mais elle a exactement résumé ma pensée.

 

Pour en revenir à mon manque d'endurance, c'est vrai que je me mets peut-être un peu dans le rouge sur la 1ère partie, ce qui expliquerait au moins pour partie que la fin soit plus compliquée. Souvent on approche des bosses et je m'amuse toujours à aller chercher mes RP. C'est un peu concon, je me mets en compet avec moi même mais c'est plus fort que moi et avec le recul en terme de gestion de l'effort c'est sans doute très très moyen.

 

Il y a 15 heures, Thierry GEUMEZ a dit :

Les raisons sont probablement multiples :

 

- Il n'y a que deux ans que tu t'y es mis, l'endurance va s'améliorer pendant encore plusieurs années.

- Les kilomètres à l'entraînement : 150 km/semaine, c'est pas mal pour tenir sur une sortie de 80 km mais un peu juste pour faire 100 km ou davantage.

- L'intensité des efforts pendant la sortie : si tu "tapes dedans" pendant tout le parcours, il est normal que tu te sentes très fatigué à la fin. Tu devrais lire un peu sur le sujet de l'entraînement et apprendre à tirer profit de ton capteur de puissance. Comme Bruno le dit plus haut, il faut varier les intensités plutôt qu'essayer d'être rapide tout le temps, certaines sorties intenses et d'autres beaucoup plus cool.

- L'hydratation et l'alimentation : bois-tu en suffisance ? Prends-tu de la nourriture (barres de céréales, bananes, pain d'épices, ...) pour les sorties de 2 heures ou plus ?

 

 

 

 

 

Alors c'est vrai que même le dimanche je dépasse pas souvent les 75 kms de sortie. Lors des brevets j'approche des 100. Et ma plus grosse sortie en août 2021 lors d'une cyclo c'était 110 kms pour 1350 de D+.

Pour l'intensité, c'est ce que me disait aussi Bruno, et oui c'est assez cohérent. Enfin, c'est assez probable que moins problème d'endurance vienne de la gestion de l'effort. Je vais donc y travailler.

Concernant l'hydratation. Je sais qu'en moyenne c'est 500ml par heure. Je pars toujours avec 2 bidons. 1 avec la poudre (carbohydrates, glucides etc) et un avec de l'eau du robinet. Mais j'ai pas forcément soif et/ou le réflexe de boire suffisamment. En général sur une sortie de 2h j'ai bu 65/70 % du bidon avec la poudre et à peine 15/20% de l'eau pure. Mais en même temps avec mon petit gabarit c'est peut-être normal non ? Il n'y a pas des variations de besoins en fonction des individus ?

Concernant l'alimentation, j'emporte toujours 2 pates de fruits de décath ou autre. EN général, sur des sorties de 2/3h je n'en mange qu'une. L'autre est là au cas où. Est-ce suffisant ? Encore une fois dans le contexte de mon gabarit. Ma logique m'amène à penser que les besoins alimentaires de Gaudu ne sont pas les mêmes que Cavendish vu la différence de gabarit. Je me trompe ?

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il y a une heure, Chtibike a dit :

Il faut aussi remettre les choses dans le contexte. Je faisais du vélo depuis 6 mois. En me mêlant à l'entrainement endurance de ce groupe "compétition" je pensais que je serai obligé de suivre et que ce serait bénéfique.... j'ai péché par naiveté. Il ne suffit évidement pas de vouloir surtout après 6 mois de vélo. Pour la petite histoire, quand ils ont commencé l'ascension du Kemmelberg (belgique) je les ai perdu de vue au 1er virage. Ne connaissant à l'époque par trop le secteur, je me suis retrouvé au pied du "vrai" Kemmelberg avec ses pavés et ses 22%..... Sur le coup, je me suis dit que c'était un bizutage. C'est le pire qui existe ici. Mais je m'y suis employé. J'ai failli vomir en arrivant en haut forcément. Le pire c'est que bien plus tard ils m'ont rejoint et j'ai appris qu'ils avaient contourné le Kemmelberg (pas fous...) mais je ne pouvais pas le savoir comme ils avaient disparu......... Après ça j'ai eu encore plus de mal à tenir les roues à 33/34 de moyenne et j'ai fini par rentrer seul, la nuit tombante et la pluie arrivant en prime. Ça a bien failli me dégouté du vélo mais j'ai relativisé. J'avais vraiment l'impression d'être un bon à rien avec eux. Mais après tout j'avais grimpé le Kemmelberg après 6 mois de vélo et ce n'était pas prévu. Mais oui clairement, c'est pas du tout la même ambiance qu'en loisirs.

 

Aujourd'hui je roule pas trop mal en groupe. En général au début je prends mes relais en restant devant et au retour je me tiens autant que possible dans les roues. Lors d'une sortie de grand vent, un camarade expérimenté (ex compétiteur qui s'y remet apparemment cette année) nous a appris à gérer les relais dans un groupe de 6/8 et a bien se placer notamment quand le vent est latéral. Je lui dois beaucoup de ma progression d'ailleurs. C'est vraiment sympa d'apprendre dans ces conditions. En tout cas, c'est plus agréable que se retrouver paumé au milieu du Kemmelberg 😄

La dernière fois que j'ai fait une sortie groupe loisirs, je leur avais concocté un parcours bucolique avec pas mal de D+ quand même et au retour une fille qu'on ne voit pas souvent m'a dit "si je viens c'est parce que je sais quand tu es là, y a de la bienveillance quelque soit le niveau et qu'on s'attend toujours en haut des bosses". Ben au final ce jour là c'était mon tour d'être "le plus fort" dans les bosses, mais elle a exactement résumé ma pensée.

 

Pour en revenir à mon manque d'endurance, c'est vrai que je me mets peut-être un peu dans le rouge sur la 1ère partie, ce qui expliquerait au moins pour partie que la fin soit plus compliquée. Souvent on approche des bosses et je m'amuse toujours à aller chercher mes RP. C'est un peu concon, je me mets en compet avec moi même mais c'est plus fort que moi et avec le recul en terme de gestion de l'effort c'est sans doute très très moyen.

 

 

Alors c'est vrai que même le dimanche je dépasse pas souvent les 75 kms de sortie. Lors des brevets j'approche des 100. Et ma plus grosse sortie en août 2021 lors d'une cyclo c'était 110 kms pour 1350 de D+.

Pour l'intensité, c'est ce que me disait aussi Bruno, et oui c'est assez cohérent. Enfin, c'est assez probable que moins problème d'endurance vienne de la gestion de l'effort. Je vais donc y travailler.

Concernant l'hydratation. Je sais qu'en moyenne c'est 500ml par heure. Je pars toujours avec 2 bidons. 1 avec la poudre (carbohydrates, glucides etc) et un avec de l'eau du robinet. Mais j'ai pas forcément soif et/ou le réflexe de boire suffisamment. En général sur une sortie de 2h j'ai bu 65/70 % du bidon avec la poudre et à peine 15/20% de l'eau pure. Mais en même temps avec mon petit gabarit c'est peut-être normal non ? Il n'y a pas des variations de besoins en fonction des individus ?

Concernant l'alimentation, j'emporte toujours 2 pates de fruits de décath ou autre. EN général, sur des sorties de 2/3h je n'en mange qu'une. L'autre est là au cas où. Est-ce suffisant ? Encore une fois dans le contexte de mon gabarit. Ma logique m'amène à penser que les besoins alimentaires de Gaudu ne sont pas les mêmes que Cavendish vu la différence de gabarit. Je me trompe ?

La différence de gabarit ne doit pas être énorme, Cavendish étant petit et mince pour un sprinter. Mais oui, leurs régimes doivent être assez différents.

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Il y a 2 heures, Chtibike a dit :

Il faut aussi remettre les choses dans le contexte. Je faisais du vélo depuis 6 mois. En me mêlant à l'entrainement endurance de ce groupe "compétition" je pensais que je serai obligé de suivre et que ce serait bénéfique.... j'ai péché par naiveté. Il ne suffit évidement pas de vouloir surtout après 6 mois de vélo. Pour la petite histoire, quand ils ont commencé l'ascension du Kemmelberg (belgique) je les ai perdu de vue au 1er virage. Ne connaissant à l'époque par trop le secteur, je me suis retrouvé au pied du "vrai" Kemmelberg avec ses pavés et ses 22%..... Sur le coup, je me suis dit que c'était un bizutage. C'est le pire qui existe ici. Mais je m'y suis employé. J'ai failli vomir en arrivant en haut forcément. Le pire c'est que bien plus tard ils m'ont rejoint et j'ai appris qu'ils avaient contourné le Kemmelberg (pas fous...) mais je ne pouvais pas le savoir comme ils avaient disparu......... Après ça j'ai eu encore plus de mal à tenir les roues à 33/34 de moyenne et j'ai fini par rentrer seul, la nuit tombante et la pluie arrivant en prime. Ça a bien failli me dégouté du vélo mais j'ai relativisé. J'avais vraiment l'impression d'être un bon à rien avec eux. Mais après tout j'avais grimpé le Kemmelberg après 6 mois de vélo et ce n'était pas prévu. Mais oui clairement, c'est pas du tout la même ambiance qu'en loisirs.

 

Aujourd'hui je roule pas trop mal en groupe. En général au début je prends mes relais en restant devant et au retour je me tiens autant que possible dans les roues. Lors d'une sortie de grand vent, un camarade expérimenté (ex compétiteur qui s'y remet apparemment cette année) nous a appris à gérer les relais dans un groupe de 6/8 et a bien se placer notamment quand le vent est latéral. Je lui dois beaucoup de ma progression d'ailleurs. C'est vraiment sympa d'apprendre dans ces conditions. En tout cas, c'est plus agréable que se retrouver paumé au milieu du Kemmelberg 😄

La dernière fois que j'ai fait une sortie groupe loisirs, je leur avais concocté un parcours bucolique avec pas mal de D+ quand même et au retour une fille qu'on ne voit pas souvent m'a dit "si je viens c'est parce que je sais quand tu es là, y a de la bienveillance quelque soit le niveau et qu'on s'attend toujours en haut des bosses". Ben au final ce jour là c'était mon tour d'être "le plus fort" dans les bosses, mais elle a exactement résumé ma pensée.

 

Pour en revenir à mon manque d'endurance, c'est vrai que je me mets peut-être un peu dans le rouge sur la 1ère partie, ce qui expliquerait au moins pour partie que la fin soit plus compliquée. Souvent on approche des bosses et je m'amuse toujours à aller chercher mes RP. C'est un peu concon, je me mets en compet avec moi même mais c'est plus fort que moi et avec le recul en terme de gestion de l'effort c'est sans doute très très moyen.

 

 

Alors c'est vrai que même le dimanche je dépasse pas souvent les 75 kms de sortie. Lors des brevets j'approche des 100. Et ma plus grosse sortie en août 2021 lors d'une cyclo c'était 110 kms pour 1350 de D+.

Pour l'intensité, c'est ce que me disait aussi Bruno, et oui c'est assez cohérent. Enfin, c'est assez probable que moins problème d'endurance vienne de la gestion de l'effort. Je vais donc y travailler.

Concernant l'hydratation. Je sais qu'en moyenne c'est 500ml par heure. Je pars toujours avec 2 bidons. 1 avec la poudre (carbohydrates, glucides etc) et un avec de l'eau du robinet. Mais j'ai pas forcément soif et/ou le réflexe de boire suffisamment. En général sur une sortie de 2h j'ai bu 65/70 % du bidon avec la poudre et à peine 15/20% de l'eau pure. Mais en même temps avec mon petit gabarit c'est peut-être normal non ? Il n'y a pas des variations de besoins en fonction des individus ?

Concernant l'alimentation, j'emporte toujours 2 pates de fruits de décath ou autre. EN général, sur des sorties de 2/3h je n'en mange qu'une. L'autre est là au cas où. Est-ce suffisant ? Encore une fois dans le contexte de mon gabarit. Ma logique m'amène à penser que les besoins alimentaires de Gaudu ne sont pas les mêmes que Cavendish vu la différence de gabarit. Je me trompe ?

Concernant l'alimentation  chacun doit savoir ce qu'il lui faut, mes entraineurs m'ont tjs dit que jusqu'à 3 h de sortie même avec du rythme on n'avait rien besoin, c'est ce que j'ai tjs fait, bon je déjeune bien 1h30 avant tt de même. Les gars qui prennent des gels, des barres etc etc le font le plus souvent par crainte de manquer, en tout cas c'est ce qu'il déclarent car quand ils oublient leur "encas" ça ne change rien à leur perf. En revanche pour des sorties de plus de 3h00/3h30 il faut commencer à s'alimenter dès 2h afin d'éviter la chute glycémique. La boisson c'est différent plus on boit mieux c'est, actuellement avec la chaleur 1l5 pour 3 heures me semble le mini. Perso c'est de l'eau sans aucun ajout

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Encore un petit truc pour bien intégrer un groupe: éviter de trop mettre les autres en situation "difficile", par des démarrages intempestifs, dans les bosses par exemple,  Particulièrement quand on est nouveau dans le groupe ou qu'on coince un peu sur la fin ou qu'on est resté dans les roues un bon moment avant C'est assez élémentaire mais on le voit souvent. Quand on veut monter une bosse à bloc et que le groupe monte au  train, vaut mieux rester derrière, laisser 50/100m et se mettre à fond pour boucher le trou, ou alors si d'autres partent devant, attendre un peu et démarrer pour les rattraper.

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Il y a 3 heures, Pierre-Yves DESSIMOZ a dit :

Pour revenir au titre 50-34 au lieu de 52-36, le premier choix convient mille fois pour les Alpins!  Après ma montée du jour, 34-25  pour terminer les 400m de dv, le 28 en réserve et le 32 à la maison. 

Ok c'est surement   plus sur,  mais ça dépend quand même de quels alpins.

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il y a 41 minutes, Bruno GUILLEVIC a dit :

Ok c'est surement   plus sur,  mais ça dépend quand même de quels alpins.

Entre Valaisans, Hauts ou pas Savoyards, Pyrénéens et Valdotains, la question ne se pose même pas, sauf pour le Grenoblois de Belgique! A la "naissance" du compact on se posait déjà cette question, puis on en vint à la conclusion que passer de 39 à 36, n'apportait pas un changement radical..autant enlever encore 2 dents!

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Salut les rouleurs,

 

Je viens de me faire un petit parcours montagnes russes pour sentir le nouveau vélo et surtout ce 36/30.

Au programme : 65 kms pour 730 de D+. Bon y a pas de cols ici, donc c'est mont et descend évidement.

 

Alors après 50 kms, dans du 13/14% j'ai essayé de le tout à gauche et honnêtement en baissant le rythme entre 9 et 10 km/h je suis encore autour de 65 rpm. Jusque 60 rpm j'ai remarqué que je me sens plutôt bien, "facile" (notez les guillemets 😄). Les cols des pyrénées vont être longs mais le dénivelé moyen n'excède pas 8% je crois.

 

Du coup, je vais laisser cette cassette, je prends le risque. Ca m'obligera à gérer mon effort si je ne veux pas que ça se finisse trop dans le dur. Et dans un sens, c'est très bien. J'ai beaucoup à apprendre en terme de gestion de l'effort comme on se disait plus haut.

 

Sinon concernant le vélo que j'ai que depuis 2/3 semaines, honnêtement c'est plaisant. Faut juste ne pas se laisser surprendre, il est très "sensible", on fait vite des écarts et il est aussi très dynamique je trouve par rapport à mon alu. Surtout dans les bosses. Par contre, je n'ai pas du tout l'habitude des disques et ça m'agace déjà. J'ai un frottement plaquettes/disque à l'avant qui vient et repart. Je l'avais amené chez un vélociste pour régler le dérailleur et il avait jeté un coup d'oeil au disque.

 

Il m'a dit que le disque était pas voilé "a priori" et les plaquettes ont été centrées. Mais le problème revient. Gros freinage en fin de descente à 60 km/h, gros virage et dans le plat qui suit j'entends le bruit régulier des plaquettes qui frottent le disque. Encore plus prononcé en danseuse d'ailleurs j'ai l'impression.

 

Alors est-ce normal ? Est-ce la vie de ceux qui ont des disques ? Sinon que faire ? Je vais surement poster dans la rubrique appropriée d'ailleurs, pour recueillir des avis là-dessus. Perso, les freins à disques j'y connais rien. Tout ce que j'en entendais c'était que ça apportait son lot d'ennuis, et ça semble être le cas.... 🙂

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il y a une heure, Chtibike a dit :

Ca m'obligera à gérer mon effort si je ne veux pas que ça se finisse trop dans le dur. Et dans un sens, c'est très bien. J'ai beaucoup à apprendre en terme de gestion de l'effort comme on se disait plus haut.

Tu as un capteur de puissance et un GPS Garmin, tu as donc les outils pour gérer tes efforts.

 

Tu as dis au début que tu connaissais ton FTP, c'est par définition la puissance maximale que tu peux tenir pendant une heure en étant vraiment à fond. Partant de cette donnée, tu peux par exemple caler ton allure à 90% de ton FTP si le col dure environ une heure. Si l'ascension est plus longue ou si tu as l'intention d'en enchaîner plusieurs, tu réduis un peu plus, disons 80-85% de FTP. Tu pourras affiner en fonction des premiers essais. L'important est de ne pas démarrer en te fiant à tes sensations et à ton envie d'en découdre parce que tu montes probablement tes courtes côtes habituelles bien au-delà de ton FTP et cela te conduirait à craquer prématurément. 

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Il y a 2 heures, Chtibike a dit :

Salut les rouleurs,

 

Je viens de me faire un petit parcours montagnes russes pour sentir le nouveau vélo et surtout ce 36/30.

Au programme : 65 kms pour 730 de D+. Bon y a pas de cols ici, donc c'est mont et descend évidement.

 

Alors après 50 kms, dans du 13/14% j'ai essayé de le tout à gauche et honnêtement en baissant le rythme entre 9 et 10 km/h je suis encore autour de 65 rpm. Jusque 60 rpm j'ai remarqué que je me sens plutôt bien, "facile" (notez les guillemets 😄). Les cols des pyrénées vont être longs mais le dénivelé moyen n'excède pas 8% je crois.

 

Du coup, je vais laisser cette cassette, je prends le risque. Ca m'obligera à gérer mon effort si je ne veux pas que ça se finisse trop dans le dur. Et dans un sens, c'est très bien. J'ai beaucoup à apprendre en terme de gestion de l'effort comme on se disait plus haut.

 

Sinon concernant le vélo que j'ai que depuis 2/3 semaines, honnêtement c'est plaisant. Faut juste ne pas se laisser surprendre, il est très "sensible", on fait vite des écarts et il est aussi très dynamique je trouve par rapport à mon alu. Surtout dans les bosses. Par contre, je n'ai pas du tout l'habitude des disques et ça m'agace déjà. J'ai un frottement plaquettes/disque à l'avant qui vient et repart. Je l'avais amené chez un vélociste pour régler le dérailleur et il avait jeté un coup d'oeil au disque.

 

Il m'a dit que le disque était pas voilé "a priori" et les plaquettes ont été centrées. Mais le problème revient. Gros freinage en fin de descente à 60 km/h, gros virage et dans le plat qui suit j'entends le bruit régulier des plaquettes qui frottent le disque. Encore plus prononcé en danseuse d'ailleurs j'ai l'impression.

 

Alors est-ce normal ? Est-ce la vie de ceux qui ont des disques ? Sinon que faire ? Je vais surement poster dans la rubrique appropriée d'ailleurs, pour recueillir des avis là-dessus. Perso, les freins à disques j'y connais rien. Tout ce que j'en entendais c'était que ça apportait son lot d'ennuis, et ça semble être le cas.... 🙂

Consulte utilement le sujet à propos des FAD,tu pourras y lire beaucoup d'avis et d'expériences tous un peu contradictoires;. Sur les frottements en danseuse, certains au club s'en plaignent constamment même aprè multiples réglages, d'autres n'en ont pas. Hier un gars qui venait de changer ses plaquettes avait les deux roues qui tournaient mal : frottement en permanence des plaquettes sur les disques . Ce pourrait être du au fait qu'il n'ait pas repoussé à fond les pistons avant d placer les neuves....

Sinon à propos du 36x30 et de tes premières expériences, c'est effectivement le même avis que j'ai, avec un rapport poids/puissance interessant, ce développement va permettre de grimper tous les cols même longs dans la mesure où tu n'affrontes pas trop de passages avec des pentes supérieures à 14/15%, mais il n'y en a pas des masses dans la plupart des cols connus et les autres ben faut les éviter, c'est tout.

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Il y a 2 heures, Chtibike a dit :

Salut les rouleurs,

 

Je viens de me faire un petit parcours montagnes russes pour sentir le nouveau vélo et surtout ce 36/30.

Au programme : 65 kms pour 730 de D+. Bon y a pas de cols ici, donc c'est mont et descend évidement.

 

Alors après 50 kms, dans du 13/14% j'ai essayé de le tout à gauche et honnêtement en baissant le rythme entre 9 et 10 km/h je suis encore autour de 65 rpm. Jusque 60 rpm j'ai remarqué que je me sens plutôt bien, "facile" (notez les guillemets 😄). Les cols des pyrénées vont être longs mais le dénivelé moyen n'excède pas 8% je crois.

 

Du coup, je vais laisser cette cassette, je prends le risque. Ca m'obligera à gérer mon effort si je ne veux pas que ça se finisse trop dans le dur. Et dans un sens, c'est très bien. J'ai beaucoup à apprendre en terme de gestion de l'effort comme on se disait plus haut.

 

Sinon concernant le vélo que j'ai que depuis 2/3 semaines, honnêtement c'est plaisant. Faut juste ne pas se laisser surprendre, il est très "sensible", on fait vite des écarts et il est aussi très dynamique je trouve par rapport à mon alu. Surtout dans les bosses. Par contre, je n'ai pas du tout l'habitude des disques et ça m'agace déjà. J'ai un frottement plaquettes/disque à l'avant qui vient et repart. Je l'avais amené chez un vélociste pour régler le dérailleur et il avait jeté un coup d'oeil au disque.

 

Il m'a dit que le disque était pas voilé "a priori" et les plaquettes ont été centrées. Mais le problème revient. Gros freinage en fin de descente à 60 km/h, gros virage et dans le plat qui suit j'entends le bruit régulier des plaquettes qui frottent le disque. Encore plus prononcé en danseuse d'ailleurs j'ai l'impression.

 

Alors est-ce normal ? Est-ce la vie de ceux qui ont des disques ? Sinon que faire ? Je vais surement poster dans la rubrique appropriée d'ailleurs, pour recueillir des avis là-dessus. Perso, les freins à disques j'y connais rien. Tout ce que j'en entendais c'était que ça apportait son lot d'ennuis, et ça semble être le cas.... 🙂

Bjr, quand tu reviendras des Pyrénées on en reparlera, les cols à moins de 8%, je n'en connais pas, souvent des passages à plus 12% pour des cols de plus de 10 kms (Tourmalet 17 ou 19 selon le coté de l'ascension, Hautacam idem, les Bordères 3 derniers km 12%, & souvent avec des revetements pas terrible, bon courage 

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