Usure réelle ou théorique du matos, légendes urbaines ou vérités?

[Michel DURY]

Un sujet pour discuter de ces fameuses usures des composants de nos machines, et je sens que ça va partir dans tous les sens, histoire de meubler nos longues soirées d'hiver.

 

On lit un peu partout qu'il y a des tas de contrôles d'usure possibles et que la durée de vie de tel ou tel composant varie du simple au triple, sinon au quadruple, en fonction de l'usage en terrain sec ou pluvieux, avec ou sans poussière et/ou sable, enfin en fonction d'un tas d'éléments perturbateurs généralement quelconques.

 

Amusant d'ailleurs de voir que les uns changent de composant au moindre signe d'usure et d'autres jamais, quitte à rester avec une transmission pendant plusieurs années.

 

Qui a raison qui a tort...? Et y a-t-il d'ailleurs une raison? Car tant que ça marche et qu'on ne se met pas en danger, faut-il remplacer son matos plus ou moins usé?

 

A ces questions, deux écoles. La première plébiscite un contrôle rigoureux et inspecte systématiquement les éléments avec attention, le moindre dépassement à la norme implique automatiquement le remplacement de la pièce "défectueuse" . La machine est alors dans un état fantastique en permanence, on reconnait là le cycliste attentif et soigneux, exemple à suivre, on déploie le drapeau américain, sonnerie de clairon, regard fier au loin et garde à vous, c'est magnifique de propreté et d'ordre respecté, vous pouvez applaudir.

 

La deuxième est un peu plus foutraque... là les mecs se disent que le matos coûtant un bras, il a été fabriqué par une firme de grande réputation et dans des matériaux de qualité reconnue, ça doit fonctionner x kilomètres et puis c'est tout, on s'en fout du reste. Ils remplaceront les divers éléments après et seulement après le kilométrage prévu et ne tiennent pas compte de l'usure apparente, réelle ou imaginaire d'ailleurs.

 

Ceux là, pas de drapeau ni de clairon ni rien, c'est le cow boy avec son vieux pick up assis sur les bois de l'enclos à chevaux, poussière et coucher de soleil, chaise à bascule avec un bourbon sur la petite table, musique country bien cool, vent sur la plaine et chevaux piaffant.

 

Oui bon, il y a la troisième catégorie, mais ceux là on en parle avec les yeux au ciel et le froncement de sourcil.... vous savez, ceux qui ont une transmission qui date de 10 ans, d'origine, des freins avec 2 mm de gomme dure comme de la pierre et des câbles qui s'effilochent partout, en plus du grincement des galets de dérailleur. Oui je vois que vous connaissez. 

 

Alors voilà, j'ouvre le débat, mais on reste cool et tolérant, vous en pensez quoi, on change quand "le témoin d'usure dit que" ou quand le kilométrage est atteint? Oui, je vois déjà venir les ceusses qui seront entre les deux... ben tiens, tu m'étonnes. C'est évident qu'on doit rester vigilant, mais finalement, tout ça n'est-il pas un peu excessif?

[Gérôme BORGER]

il y a 29 minutes, Michel DURY a dit :

 

 

Alors voilà, j'ouvre le débat, mais on reste cool et tolérant, vous en pensez quoi, on change quand "le témoin d'usure dit que" ou quand le kilométrage est atteint? Oui, je vois déjà venir les ceusses qui seront entre les deux... ben tiens, tu m'étonnes. C'est évident qu'on doit rester vigilant, mais finalement, tout ça n'est-il pas un peu excessif?

Intéressant 🙂. Pour moi il y a deux choses qui sont déterminantes, l'intensité de la pratique et les moyens financiers.

[Michel DURY]

Tes deux éléments déterminants vont-ils influencer ta conception de l'usure d'une façon tout à fait relationnelle? Tu peux avoir une pratique intense et avoir une aisance financière tout en négligeant l'aspect de remplacement de ton équipement.

 

L'inverse est vrai aussi, d'ailleurs.

[Pascal ROGER]

Eh bien, je pense que déjà, il faut suivre une bonne logique de départ et ne pas faire de montage, mélange du type chaine Xmarque avec roue libre Xmarque et plateaux Xmarque, pour faire une économie de pas grand-chose, pour des conséquences sur l'ensemble du matériel de transmission bien plus onéreux que la petite économie !

 

Après, pour l'usure d'un ensemble cohérent, le ressenti et l'écoute mécanique de son matériel et une bonne solution, sauf si dure de la feuille !

Cela dépends du matos en question, selle, chaîne, patins, plaquette, pneus etc...

 

Quant aux fabricants de matos, c'est comme les yaourts, ils ne vont pas se gêner pour donner des dates plus courtes ! 😛

[Nicolas JOARY]

il y a 56 minutes, Michel DURY a dit :

Un sujet pour discuter de ces fameuses usures des composants de nos machines, et je sens que ça va partir dans tous les sens, histoire de meubler nos longues soirées d'hiver.

 

On lit un peu partout qu'il y a des tas de contrôles d'usure possibles et que la durée de vie de tel ou tel composant varie du simple au triple, sinon au quadruple, en fonction de l'usage en terrain sec ou pluvieux, avec ou sans poussière et/ou sable, enfin en fonction d'un tas d'éléments perturbateurs généralement quelconques.

 

Amusant d'ailleurs de voir que les uns changent de composant au moindre signe d'usure et d'autres jamais, quitte à rester avec une transmission pendant plusieurs années.

 

Qui a raison qui a tort...? Et y a-t-il d'ailleurs une raison? Car tant que ça marche et qu'on ne se met pas en danger, faut-il remplacer son matos plus ou moins usé?

 

A ces questions, deux écoles. La première plébiscite un contrôle rigoureux et inspecte systématiquement les éléments avec attention, le moindre dépassement à la norme implique automatiquement le remplacement de la pièce "défectueuse" . La machine est alors dans un état fantastique en permanence, on reconnait là le cycliste attentif et soigneux, exemple à suivre, on déploie le drapeau américain, sonnerie de clairon, regard fier au loin et garde à vous, c'est magnifique de propreté et d'ordre respecté, vous pouvez applaudir.

 

La deuxième est un peu plus foutraque... là les mecs se disent que le matos coûtant un bras, il a été fabriqué par une firme de grande réputation et dans des matériaux de qualité reconnue, ça doit fonctionner x kilomètres et puis c'est tout, on s'en fout du reste. Ils remplaceront les divers éléments après et seulement après le kilométrage prévu et ne tiennent pas compte de l'usure apparente, réelle ou imaginaire d'ailleurs.

 

Ceux là, pas de drapeau ni de clairon ni rien, c'est le cow boy avec son vieux pick up assis sur les bois de l'enclos à chevaux, poussière et coucher de soleil, chaise à bascule avec un bourbon sur la petite table, musique country bien cool, vent sur la plaine et chevaux piaffant.

 

Oui bon, il y a la troisième catégorie, mais ceux là on en parle avec les yeux au ciel et le froncement de sourcil.... vous savez, ceux qui ont une transmission qui date de 10 ans, d'origine, des freins avec 2 mm de gomme dure comme de la pierre et des câbles qui s'effilochent partout, en plus du grincement des galets de dérailleur. Oui je vois que vous connaissez. 

 

Alors voilà, j'ouvre le débat, mais on reste cool et tolérant, vous en pensez quoi, on change quand "le témoin d'usure dit que" ou quand le kilométrage est atteint? Oui, je vois déjà venir les ceusses qui seront entre les deux... ben tiens, tu m'étonnes. C'est évident qu'on doit rester vigilant, mais finalement, tout ça n'est-il pas un peu excessif?

Entre les deux.

[Thierry GEUMEZ]

Le gars prévoyant et/ou angoissé et/ou pas gêné financièrement remplace les pièces à échéances plus ou moins fixes ou dès qu'elles présentent un petit défaut.

Le négligent et/ou optimiste et/ou économe (ou radin) commence à s'inquiéter... quand quelque chose casse et rend le vélo inutilisable.

 

J'avais tendance à changer systématiquement ma chaîne tous les 4-5000 km jusqu'à il y a peu. Ayant acquis dernièrement un outil de contrôle qui me semble fiable, je constate que l'usure de ma chaîne actuelle n'a pas encore atteint la limite de "0,5 %" après 5900 km. Il est vrai que je pousse de moins en moins fort sur les pédales au fil des ans  😂  

Modifié le 5 décembre 2022 par Thierry GEUMEZ

[Gérôme BORGER]

il y a 47 minutes, Michel DURY a dit :

Tes deux éléments déterminants vont-ils influencer ta conception de l'usure d'une façon tout à fait relationnelle? Tu peux avoir une pratique intense et avoir une aisance financière tout en négligeant l'aspect de remplacement de ton équipement.

 

L'inverse est vrai aussi, d'ailleurs.

Ce qui est certain pour moi est que si j'avais les moyens je ne regarderai à la dépense. Maintenant j'entretien mon vélo au mieux je pense. Ce que je lis des fois me fait sourir... mais grand bien leur fasse.

[Gérôme BORGER]

 

il y a 13 minutes, Thierry GEUMEZ a dit :

Le gars prévoyant et/ou angoissé et/ou pas gêné financièrement remplace les pièces à échéances plus ou moins fixes ou dès qu'elles présentent un petit défaut.

Le négligeant et/ou optimiste et/ou économe (ou radin) commence à s'inquiéter... quand quelque chose casse et rend le vélo inutilisable.

 

J'avais tendance à changer systématiquement ma chaîne tous les 4-5000 km jusqu'à il y a peu. Ayant acquis dernièrement un outil de contrôle qui me semble fiable, je constate que l'usure n'a pas encore atteint la limite de "0,5 %" après 5900 km. Il est vrai que je pousse de moins en moins fort sur les pédales au fil des ans  😂  

Figure toi que je suis plutôt genre prévoyant et que j'ai du stock chez moi, ça n'empêche pas d'être pour le moins économe😉

Modifié le 5 décembre 2022 par Gérôme BORGER

[Jacques VANDEWIELE]

Sur mon vélo musculaire je faisais un entretien annuel , après 5 à 6000 kms où je remplaçais cassette et chaîne . 

Pour les freins je remplaçais en fonction de l'usure des patins et pour les pneus j'agissais en fonction des indicateurs d'usure.

 

Sur mon VAE j'ai une invitation à passer à l'entretien tous les 2500 kms. Un sigle s'affiche sur la commande de l'assistance. Dont coût  +/- 100€ tous les 2500 kms . Je vais donc prolonger un peu les intervalles kilométriques pour limiter les dépenses. Je ne crois pas que si je fais entre 300 et 500 kms en plus entre les fréquences d'entretien j'aurais des problèmes techniques.

 

Avec ma voiture je suis confronté à une situation semblable. Dès que j'ai un délai d'un an depuis le dernier entretien j'ai un message d'alerte quel que soit le kilométrage . Cette année au bout d'un an,  j'avais 15000 kms; j'ai donc reporté le rendez-vous et j'irai lorsque j'aurai parcouru 25000 kms qui est le kilométrage préconisé par Peugeot.

 

Dans tous les secteurs on nous invite à des modifications de comportement ce qui bien souvent n'est pas justifié mais qui a un impact certain sur les finances.

 

[Michel DURY]

il y a 11 minutes, Jacques VANDEWIELE a dit :

Sur mon vélo musculaire je faisais un entretien annuel , après 5 à 6000 kms où je remplaçais cassette et chaîne . 

Si tu les as encore, je veux bien récupérer tes cassettes, elles sont encore bonnes pour 10.000 km, soit comme diraient quelques méchants, un an et demi.

[Pascal ROGER]

il y a une heure, Thierry GEUMEZ a dit :

Le gars prévoyant et/ou angoissé et/ou pas gêné financièrement remplace les pièces à échéances plus ou moins fixes ou dès qu'elles présentent un petit défaut.

Le négligent et/ou optimiste et/ou économe (ou radin) commence à s'inquiéter... quand quelque chose casse et rend le vélo inutilisable.

 

J'avais tendance à changer systématiquement ma chaîne tous les 4-5000 km jusqu'à il y a peu. Ayant acquis dernièrement un outil de contrôle qui me semble fiable, je constate que l'usure de ma chaîne actuelle n'a pas encore atteint la limite de "0,5 %" après 5900 km. Il est vrai que je pousse de moins en moins fort sur les pédales au fil des ans  😂  

PETITE ASTUCE: 😇

Pour moi l'outil simple et pas cher, le réglé métallique, mesure de chaine neuve entre 20 maillons 25,4 cm si 25,6 à changer.

Avantage : la prise de côte sur 20 maillons.

[Thierry GEUMEZ]

il y a 29 minutes, Pascal ROGER a dit :

PETITE ASTUCE: 😇

Pour moi l'outil simple et pas cher, le réglé métallique, mesure de chaine neuve entre 20 maillons 25,4 cm si 25,6 à changer.

Avantage : la prise de côte sur 20 maillons.

Tout dépend du degré de précision recherché. Les 2 mm mesurés par ta méthode correspondent à un allongement de 0,79 %, alors qu'on préconise 0,5 % pour les transmissions 11 et 12 vitesses. Il faudrait donc plutôt mesurer 1,3 mm d'allongement. Par ailleurs, la longueur théorique de 254 mm pour 20 maillons neufs n'est pas respectée dans la réalité parce qu'il faut tenir compte des jeux de fonctionnement. 

Modifié le 5 décembre 2022 par Thierry GEUMEZ

[Michel DURY]

Messieurs on s'écarte du sujet, là...

 

Le fond de la discussion est de savoir ce que vous privilégiez: un changement à kilomètre fixe sans tenir compte de l'état d'usure mesuré entre temps, ou l'inverse, dès le premier signe d'usure sans tenir compte du kilométrage?

 

Indice sur ce que j'en pense: mon vélociste regardant ma chaîne qui avait 200 km: "il faudrait penser à la changer, elle a pas mal de jeu" (-:

[Franck PASTOR]

Pour la chaîne, sur mon gravel, j'ai résolu le problème de façon drastique : je n'en utilise pas. Avoir un moyeu à vitesses intégrées et un cadre adapté me permet d'utiliser une courroie. Durée de vie généralement 4 fois supérieure à celle d'une chaîne utilisée dans les mêmes conditions.

 

De façon générale, je n'ai pas de périodicité particulière pour changer : j'attends que ce soit usé, selon des critères que j'estime adaptés à chaque objet. Il n'y a que les câbles que je change régulièrement (tous les ans au plus tard).

[dams]

Moi j'utilise l'avertisseur sonore de ma transmission. Quand ça fait "schouiiik schouiiiik " et que c'est casse bonbons je change.

[Pierre PLANA]

Il y a 4 heures, Michel DURY a dit :

Un sujet pour discuter de ces fameuses usures des composants de nos machines, et je sens que ça va partir dans tous les sens, histoire de meubler nos longues soirées d'hiver.

 

On lit un peu partout qu'il y a des tas de contrôles d'usure possibles et que la durée de vie de tel ou tel composant varie du simple au triple, sinon au quadruple, en fonction de l'usage en terrain sec ou pluvieux, avec ou sans poussière et/ou sable, enfin en fonction d'un tas d'éléments perturbateurs généralement quelconques.

 

Amusant d'ailleurs de voir que les uns changent de composant au moindre signe d'usure et d'autres jamais, quitte à rester avec une transmission pendant plusieurs années.

 

Qui a raison qui a tort...? Et y a-t-il d'ailleurs une raison? Car tant que ça marche et qu'on ne se met pas en danger, faut-il remplacer son matos plus ou moins usé?

 

A ces questions, deux écoles. La première plébiscite un contrôle rigoureux et inspecte systématiquement les éléments avec attention, le moindre dépassement à la norme implique automatiquement le remplacement de la pièce "défectueuse" . La machine est alors dans un état fantastique en permanence, on reconnait là le cycliste attentif et soigneux, exemple à suivre, on déploie le drapeau américain, sonnerie de clairon, regard fier au loin et garde à vous, c'est magnifique de propreté et d'ordre respecté, vous pouvez applaudir.

 

La deuxième est un peu plus foutraque... là les mecs se disent que le matos coûtant un bras, il a été fabriqué par une firme de grande réputation et dans des matériaux de qualité reconnue, ça doit fonctionner x kilomètres et puis c'est tout, on s'en fout du reste. Ils remplaceront les divers éléments après et seulement après le kilométrage prévu et ne tiennent pas compte de l'usure apparente, réelle ou imaginaire d'ailleurs.

 

Ceux là, pas de drapeau ni de clairon ni rien, c'est le cow boy avec son vieux pick up assis sur les bois de l'enclos à chevaux, poussière et coucher de soleil, chaise à bascule avec un bourbon sur la petite table, musique country bien cool, vent sur la plaine et chevaux piaffant.

 

Oui bon, il y a la troisième catégorie, mais ceux là on en parle avec les yeux au ciel et le froncement de sourcil.... vous savez, ceux qui ont une transmission qui date de 10 ans, d'origine, des freins avec 2 mm de gomme dure comme de la pierre et des câbles qui s'effilochent partout, en plus du grincement des galets de dérailleur. Oui je vois que vous connaissez. 

 

Alors voilà, j'ouvre le débat, mais on reste cool et tolérant, vous en pensez quoi, on change quand "le témoin d'usure dit que" ou quand le kilométrage est atteint? Oui, je vois déjà venir les ceusses qui seront entre les deux... ben tiens, tu m'étonnes. C'est évident qu'on doit rester vigilant, mais finalement, tout ça n'est-il pas un peu excessif?

Bon... je change de vélo avant que la chaine soit usée...

[Pierre PLANA]

il y a une heure, dams a dit :

Moi j'utilise l'avertisseur sonore de ma transmission. Quand ça fait "schouiiik schouiiiik " et que c'est casse bonbons je change.

Tu fais encore plus fort que moi alors ? Si tu changes chaque fois qu'il faut nettoyer/regraisser la chaine !!!

[Claude MUNIER]

Il y a 5 heures, Michel DURY a dit :

Ceux là, pas de drapeau ni de clairon ni rien, c'est le cow boy avec son vieux pick up assis sur les bois de l'enclos à chevaux, poussière et coucher de soleil, chaise à bascule avec un bourbon sur la petite table, musique country bien cool, vent sur la plaine et chevaux piaffant.

 

 

Je suis dans la deuxième catégorie .Bon , j'ai pas de pick up mais un Suzuki Jimny , le vent il souffle sur les montagnes , et le piaf (un ara ) est plutôt galopant .Mais pour le reste , c'est tout bon

[Bruno GUILLEVIC]

Alors à mon tour:

de manière très régulière: les chaînes avec mesure de l'allongement (outil spécial ou écartement des dents du plateau), les pneus au vu de leur état (bande de roulement, début d'hernies, coupures,..), moins souvent: les patins de freins, les cassettes. 

de manière systématique régulière, et aussi en cas de bruit anormal: les jeux aux pédales, le contrôle de l'état du boitier de pédalier, les roulements de roues (jeu, fluidité, graissage annuel) tout comme le jeu de dir, la guidoline dès qu'elle s'use, la lubrification des poignées de transmission (surtout les Shim). lubrification des gaines de câbles (annuel aussi).

Tout ça permet sans doute d'éviter de changer trop souvent de pièces  

Modifié le 5 décembre 2022 par Bruno GUILLEVIC

[Nicolas JOARY]

L'épilation des pneus, vous faites, ça ?