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Difficulté à trouver le sommeil


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il y a une heure, Latino682 a dit :

Denis, pour l’hypnose j’espère plus quelque chose qui va agir un peu sans que je m’en rende compte. Pas de miracle, mais ils parlent de re programmation etc… donc autant la sophrologie on va être sûr de la respiration, des pensées etc… autant l’hypnose j’attend plus de ça… vraiment. 
 

Pour te répondre Gerard je ne prend qu’un seul traitement. J’ai des fois un peu d’asthme avec le pollen, donc cortisone et un peu de ventoline… le reste c’est du classique. 
 

Concernant le décalage je vais le faire progressivement mais ça vient de moi, au tout début je les prenais le matin, et j’avais l’impression de me sentir moins bien le soir… entre temps j’ai augmenté la dose avec mon médecin, ce que je pense n’aurait pas dû faire, le problème c’est que le retour en arrière est toujours plus délicat. Je me dit que si ça se trouve, si ça peut jouer sur le sommeil, plus tôt ils sont pris, moins j’aurais de soucis le soir… après je les ai déjà pris à 16h d’autres fois à 12h des fois à 14h… ça ne m’a jamais posé trop de problème, je vais sûrement les décaler de 1h/semaine jusqu’à les prendre a 8h au petit dej’. 
 

A savoir qu’à la base de la base c’était pour des TOC et non pas une dépression que j’ai pris des AD. Le mot fait directement penser à ça mais ce n’est pas toujours le cas. 
 

C’est difficile de trouver une solution. Surtout que pour le coup le vélo c’est vraiment un sport que j’aime beaucoup,. Je fais pas des 100km… mais juste de pouvoir faire 40 ou 50 km je serais content. j’éprouve du plaisir et un sentiment de liberté que j’ai rarement connu avant de faire du vélo. 

A mon avis ton généraliste doit t'orienter vers un médecin spécialisé sur les TOC.

Modifié par Gérard CRESPO
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Bien sûr, c’est ce que j’essaye de faire. 
 

Mais comme je ne veux repousser aucune éventualité, j’aimerais bien voir hypnotherapeute, décaler les médicaments et justement voir un spécialiste. 
 

Sachant que j’ai déjà un traitement pour les toc de base. 
 

je dirais plus que c’est soit hormonale, soit à cause des médocs car quand je fais rien ou peu (doucement et pas plus de 30 min) je suis pas mal… par contre dès que je prolonge les 30 minutes ou force un peu + de 20 minutes (running) la ça se complique donc il doit y avoir quelque chose, les autres nuits je dors relativement bien, au moins je m’endors assez bien. 

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  • 3 weeks later...
Il y a 1 heure, Lewhippet a dit :

Pour trouver le sommeil je n'ai plus aucun soucis depuis que @Sylvain KARLE m à dévoilé son secret : chaque soir 2 Ricard en apéro et une boutanche de gigondas au dîner.... je dors comme un bébé après ça.. . Des fois je ne vois même pas le début du film du soir .... 

T'a oublié le pti verre de gnôle en digestif ......

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Ah ces lorrains 😁 Au fait, je suis mosellan 😍, ceci dit en passant. 

 

Salut Latino, je me permets de te répondre et d'explorer avec toi quelques pistes. Bien évidemment, je ne dis pas qu'il s'agit de ce que j'évoque, mais parle seulement de ce qui m'est familier, à toi de voir si cela peut t'inspirer. 

 

Tour d'abord, j'avais aussi cette impression d'ébullition. En fait cela venait d'un problème d'intolérance alimentaire provoquant une inflammation ... La bien nommée. 

 

Sinon, je crois que ta crainte à t'entendre dire que c'est psychique, n'est sans doute pas à dénigrer.

Après tout, le corps est la caisse de résonance de l'esprit, alors pourquoi pas ? Il y a quand même pas mal de choses, qui peuvent nous indiquer là une piste à suivre. 

Les TOC sont une forme de gestion, d'un phénomène psychique prévalant, justement. Les antidépresseurs aussi, ce n'est pas anodin. 

 

Chacun gère à sa façon les contradictions qui peuvent se faire jour dans son esprit. Personnellement, quand je me préparais pour sortir faire du vélo, mon rythme cardiaque s'accélérer fortement, je transpirais à grosses gouttes, et j'avais très chaud. En outre j'avais vraiment peur de mourir. Cela disparaissait dès que j'avais fait les premiers hectomètres. Le principe de réalité s'imposant, alors. En somme, sortir faire du vélo généré une angoisse conséquente chez moi. Et ce jusqu'à ce que je saisisse la nature de celle-ci, puis que j'en prenne la mesure, et que je finisse par l'amadouer, sinon, elle ne m'aurait pas lâché.

 

Le moment de se coucher, n'est pas anodin. C'est le moment où l'on fait le bilan de sa journée, et où l'on se retrouve face à soi-même, et que l'on va laisser notre part inconsciente prendre le dessus. Or, si ton activité n'est pas en phase avec ce que peut accepter, et t'accorder de latitude, ton inconscient, cela va générer un conflit, ou a minima une censure. Si tel était le cas, t'empêcher de dormir, peut être une bonne façon de te pousser à quitter cette pratique lui posant problème. Ou pour toi de ne pas te confronter au jugement de ton inconscient. Le corps ayant besoin de descendre en température pour faciliter l'endormissement, et celui-ci étant le moment de la confrontation ... Faire monter ta température peut te permettre de repousser la confrontation redoutée. 

 

Après, autant ton inconscient peut vouloir te pousser à abandonner là quelque chose qui va au-delà de ce qui lui semble acceptable. Autant, de ta part le fait de "ne pas vouloir lâcher", peut être une façon de te confronter à tes limites, pour mieux les mettre au jour, et tenter de gagner en indépendance. Comprendre, augmenter ton périmètre de liberté. Aller au-delà de ce que tu t'autorise, toi, au travers la part inconsciente de ton esprit. 

 

Bonne continuation, et bonne route ...

 

 

 

 

 

 

Modifié par Franck Steinel
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  • 1 month later...

Salut ! 

 

Merci pour ta réponse ! 

 

Concernant l’inflammation c’était du à quoi comm ni e aliment si c’est pas indiscret ? C’est vrai que j’ai déjà tendance à dégager pas mal de chaleur en temps normal. 

 

« Après tout, le corps est la caisse de résonance de l'esprit » - je suis tout à fait d’accord avec toi, on a beau se persuader de certaines choses mais si ton corps, ton esprit est anxieux tu n’es pas obligé d’y penser pour que ça t’arrive. 

 

SAUF QUE… Exemple très %@!?… je suis partie faire 25 minutes de vélo sans trop forcer, à la cool… et je suis rentré, le soir rien, nickel… si je pars faire 45 minutes/1h… 

 

n’empêche que j’ai toujours « chaud » après le sport. Après est ce que c’est que au bout de 30 à 40 minutes qu’on sécrète de l’adrénaline etc…? 

 

Bon, je dis ça mais si je cours 20 minutes ça peut m’arriver aussi de mal dormir et d’être dans le mal aussi… 

 

je vais voir pour prendre une séance d’hypnose comme je l’ai suggéré plus haut. 

 

quelquun m’a dit ici que j’étais peut être trop nerveux et que le « peu » de stress que le sport rapporte c’est un peu la goutte d’eau qui fait déborder le vase… c’est pas impossible étant nerveux de base et par moment assez anxieux, j’imagine que ça peut aussi jouer. 

 

Merci en tout cas pour tout les retours. 

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  • 3 weeks later...

Pardon de répondre si tard, mais je n'ai pas vu ton message avant ce soir. 

 

Les intolérances alimentaires chez moi, étaient dû au lactose, surtout, et aussi au blanc d'oeuf, ou au pamplemousse, également. J'ai écrit ici, au début de l'an passée il me semble, sur le sujet. 

 

Après, oui il est possible que le corps soit hautement stimulé par l'effort, et peine ensuite à "redescendre", en quelque sorte. Ce qui pourrait expliquer ton soucis. Sinon, il ne serait quand même pas inintéressant de mettre au jour la nature de ton anxiété. Qu'il y ait un rapport, ou non, cela peut te faire avancer. Encore faut-il vouloir choisir cette voie.

Nervosité, et névrose ont la même origine, les nerfs. Et la névrose est un état normal de compensation d'un stress relatif à un conflit psychique. Celui-ci ayant en général pour origine, une dissension dans l'esprit, entre deux états, ou deux stimulations contradictoires. Bonne recherche si tu choisis de passer par là, et sinon, bonne chance aussi ...  

 

 

Modifié par Franck Steinel
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