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Barousse Balès annulée


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Devant le faible nombre de participants à  quelques jours de l'épreuve, le Montréjeau Cyclo Club se voit contraint d'annuler la 16 ème édition de la Barousse Balès

Cette décision nous attriste tous. Nous allons identifier les facteurs qui ont conduit à ce désistement de participants, cette tendance s'étant confirmée durant ces 3 dernières éditions.

En 2018 beaucoup de cyclosportives sont impactées par une baisse d'engagements. La Barousse Balès n'y échappe pas.

Le Montréjeau Cyclo Club assume pleinement cette décision. Les projections faites sur le nombre de partants sur les 3 parcours ne représenteraient que la moitié des cyclos nécessaire pour équilibrer les frais d'organisation.

Loin de nous décourager, nous allons travailler à relancer une formule différente pour 2019

Bien amicalement

 

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C'est bien dommage...

Mais je n'ai qu'à m'en prendre à moi meme : comme beaucoup, je ne m'inscris souvent que le jour même...

Je m'interroge moi aussi sur les raisons de la désaffection pour cette belle cyclosportive. J'aurais plutôt pensé que son déplacement plus proche en juillet allait lui etre favorable.

Avant lAriegeoise, deux we avant, ça serait peut-être idéal. En septembre c'est déjà trop encombré. Début août, son ancienne date était très bien, mais je comprends que vous vous soyez interrogés sur les raisons de la baisse de participants.

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Ayant été contraint à annuler l’Immortelle au dernier moment il y a un mois suite à une alerte orange météo pour orage, je comprends votre décision et j’imagine votre déception compte-tenu du travail que représente la préparation d’une épreuve comme la Barousse Balès.

J’y ai participé cinq fois et toujours apprécié la qualité de l’organisation - sécurité, beauté des parcours, repas, gentillesse des bénévoles – pour un prix d’inscription très raisonnable

Il est difficile de comprendre cette désaffection. Je pense qu’elle est en partie due au comportement des cyclistes qui attendent le dernier moment pour s’inscrire ou ne pas s’inscrire en fonction de la météo. Les grosses épreuves organisées par des structures professionnelles n’ont pas ce problème car elles ont des capacités de communication importantes qui leur permettent de clôturer les inscriptions longtemps à l’avance souvent à des prix bien plus élevés pour des services équivalents.

J’espère que vous conserverez la motivation nécessaire pour repartir l’année prochaine

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Il faut se souvenir qu'à ses début la barousse était programmé tous les 14 juillet cela ne posait pas de problème il y avait du monde, pareil pour moi étape du tour à la même date. Au mois de septembre calendrier encombré avec la Lapébie qui bat de l'aile, et la Casartelli qui elle s'en sort pas trop mal. Personnellement je la verrai plus en juin cette année aucune cyclo proche le week-end du 23 24, en préparation pour la Marmotte ou étape du Tour c'est excellemment placé.
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Je ne crois pas que la désaffection vienne de la date. En effet, le weekend prochain, il n'y a pas d'autres cyclosportives dans les Pyrénées, alors qu'en juin il  y a la Quebrantahuesos (11000 participants, l'Ariégeoise (5000 participants) et la Pyrénéenne (1200 participants) qui se suivent sur trois weekends sauf cette année où Ariégeoise et Pyrénéenne étaient le même weekend (ça ne m'a pas empêché de faire les deux) et de nombreuses épreuves en Espagne proches de la frontière (Jacetenia, Puertos de la Ribagorza, 11 Cimas Abraham Olano, La JuanMa Garate, lGranfondo Orbea ...) qui valent le déplacement. En septembre, il y a la Lapébie et la Casartelli. En août, il est difficile de trouver les bénévoles pour organiser

 

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Merci Pierre pour ce message ,nous avons conclu à la même analyse. Quand nous faisions la Barousse Bales en juillet nous étions confrontés à l'étape du tour une année sur deux. C'est pour cela que nous avions pris la date de la Lapebie qui elle avait changé sa date pour des raisons d'autorisations préfectorales . 

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La désaffection est généralisée sur nombre de manifestation.

Il y a le prix, le temps, la population cycliste qui vieillit et qui se renouvelle peu.

mais aussi l'ambiance qui a bien évoluée sur les cyclosportives. On est passé de l'épreuve qui relève du défi personnel, à la course FFC où l'on se tire la bourre dès le départ. Le tout sur des routes non privatisées, avec un CR non respecté et un risque de chute élevé. Enfin dans les groupes se sont toujours les mêmes qui roulent devant et qui se font "sauter" sur la ligne par des suceurs pour 123ème au lieu de 134ème.

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Enfin dans les groupes se sont toujours les mêmes qui roulent devant et qui se font "sauter" sur la ligne par des suceurs pour 123ème au lieu de 134ème.

--> ça ça ne date pas d'aujourd'hui... à l'époque ou je faisais vraiment du vélo, j'ai fait de très nombreux km tout seul devant des groupes et quand c'était vers l'arrivée, il y a toujours eu un sprint.

J'ai le souvenir lors d'un défi pyrénéen d'avoir fait Lourdes/Argeles face au vent sans relais avec 50 mecs derrière. A l'entrée d'Argeles, j'avais un peu levé le pied et un ancien qui était dans ma roue m'a demandé "pourquoi tu lèves ? continue !" quand je lui expliqué qu'il y en avait dans le groupe qui allaient me faire le sprint, il ne me croyait pas et pourtant... ils sont venus à une quinzaine de rats... Ils se sont fait engueuler par l'ancien mais bon...

C'est le lot des rouleurs... dans les fonds de vallée, personne ne nous aide, mais quand ça commence à monter et qu'on est dans le dur, personne ne nous aide non plus...

Pour en revenir à la Barousse-Bales, pour ma part je pensais la faire mais je n'avais pas percuté qu'elle était avancée... et effectivement ça faisait peut être beaucoup entre la proximité de l'ariégeoise et de la pyrénéenne, de l'étape du Tour, le même jour que le trail de l'Aneto... 

Après... les cyclistes sont des cons... ils préfèrent aller faire l'Ariègeoise avec 5000 personnes sur des routes qui ne sont pas adaptées à voir autant de monde et finir avec un plateau repas pas terrible que la Barousse-Balès plus humaine et moins chère avec 200 cycliste dans des conditions meilleures... c'est comme ça...

Enfin, la moindre fréquentation des cyclos peut peut-être aussi s'expliquer par la multiplication des triathlons et des trails...

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Peut être moins nerveux, mais aussi moins l'habitude de frotter. Les cyclos que j'ai faite et qui commencent au moins 5 km de plat sont délirantes. tout le monde cherche à remonter. Ca passe à droite, à gauche, ça prend les giratoire à l'envers, et ça gamelle pleine en pleine ligne droite sur une 3 voies.

Alors moi je passe mon tour. Pas envie de me retrouver bloqué dans mon boulot à cause d'une chute, et encore moins d'avoir des dégâts matériel

Et entre les montées il y a aussi les vallées.

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Pourquoi un grand nombre de cyclosportifs de précipitent pour avoir un dossard (au tarif indécent )sur l'étape du Tour, par exemple , et se désintéressent pour des épreuves associatives aux prestations sans commune mesure et pour des prix raisonnable ?

C'est la question à laquelle les organisateurs cherchent, cherchent ...jusqu'à ne plus se prendre la tête , advienne que pourra....

Un grand merci aux cyclosportifs fidèles qui motivent notre engagement et nous soutiennent .

Le coût d'une organisation est de plus en plus élevé et il faut de plus en plus de participants pour équilibrer le budget. 

La conclusion ne peut être que comptable .

 

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