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Conseils pour progresser en courses FFC


Gael PAWLAK
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Encore une fois merci pour votre bienveillance et vos conseils :) promis j'essaierai de moins trainer derrière, mais pas devant non plus je me sens pas assez mûr pour ça, je vais pas me sentir à ma place, ça va me perturber.

Ma question ne voulait pas déclencher une guerre cyclo vs coursiers. Je voulais juste savoir si en me concentrant sur un entrainement de coursier et en participant à des courses D3 plutôt qu'à ds cyclos, j'allais conserver les quelques aptitudes à grimper les cols que j'ai pu acquérir ou si ça allait s'étioler avec le temps. En gros si les qualités se superposent ou si elles ont tendances à se remplacer. Sacahnt que les entrainements club  se font toujours en vallonné voir avec un col.

Comme vous êtes trop gentils, j'ai encore une dernière question concernant le matériel. Je pars du principe que je dois y arriver avec mon matériel actuel (caad12 / 105 / roues ksyrium pro carbon / chaussures aksium) et que j'investirai dans un meilleur vélo une fois à l'aise dans le peloton. Un peu par principe car je me dis que c'est au moteur de monter en puissance et pas au matériel de compenser. Je pense dans le bon sens ? 

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Tu es dans le bon concernant le matériel. Le matos haut de gamme flatte l'ego de son propriétaire mais ne le fait pas avancer plus vite et coûte plus en cas de chute.

Pour le reste, on dirait que tu hésites un peu entre les courses et les cyclos. Tu demandais précédemment si les courses ffc te feraient progresser sur les cyclos et maintenant, tu crains qu'elles nuisent à tes performances sur les cyclos...

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Bien vu Thierry, c'est presque ça ! c'est pas que j'hésite c'est qu'à moyen terme (disons 2 ou 3 saisons) je voudrais faire les deux, des courses our mon plaisir perso et au moins une cyclo car les copains eux sont clairement cyclosportifs.

Cette saison j'ai essayé de faire un peu les 2 en donnant la priorité aux cyclo mais du coup en course je suis resté limite. Vu que j'ai décidé de devenir coursier, j'ai bien compris que la saison prochaine et peut-être même la suivante je vais devoir m'y consacrer. Si je me consacre aux courses en espérant passer un cap, je n'irai pas faire les cyclos avec les copains ... ça me coûte un peu humainement mais c'est comme ça. 

La question c'est plus si à terme, une fois régulièrement à l'aise dans les pelotons de d3 (ce que j'espère arrivera), je pourrai envisager sans que ça perturbe trop mon calendrier de course d'y insérer un Liège-Bastogne-Liège (160km) en avril par exemple, sans prétention de performance, juste suivre les copains cyclos. Et si ma progression à venir en tant que coursier m'aidera ou au contraire me compliquera un peu la tâche.

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J'ai commencé la course D3 cette année et c'est là qu'on se rend compte que le niveau est sérieux!

Ce que je retiens, c'est qu'il faut perpétuellement remonter le peloton sur les côtés. Si tu te contentes de suivre une roue, tu finiras rapidement en queue de peloton.

Si tu es devant le peloton, pas la peine de te donner à fond, les autres coureurs préfèreront être à l'abri, même si tu te contentes d'un "petit" 35 km/h.

Aussi, les cyclistes sont de très mauvais pilotes, il est donc très intéressant d'être devant à l'approche des virages. Selon les conditions, avec une bonne trajectoire, tu peux passer en ne freinant quasiment pas. Je trouve que ça coûte moins d'énergie de faire l'effort avant le virage plutôt qu'après.

Si malgré tout tu te retrouves dans les derniers, ça ne sert à rien de foncer pour arriver dans le virage, mieux vaut être en roue libre et laisser de l'espace pour passer le virage avec une bonne vitesse. Par contre il faut bien calculer son coup pour ne pas se retrouver seul à la sortie.

Je suis un coureur plutôt puissant et lourd, donc je galère à la moindre bosse et sur le plat je m'en sors plus facilement. Vu mon gabarit, je comble les trous en neuromusculaire, ce qui m'évite un effort prolongé.

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J'oubliais peut-être le plus important, courir avec sa tête. Lors de la reconnaissance, bien savoir où est le vent pour choisir le bon côté, bien identier les parties des circuits où on est plus fort ou plus faible que les autres. Par exemple, je prends de l'avance à l'approche des bosses pour compenser ma faiblesse, mais l'inconvénient c'est que c'est un peu risqué de faire le yoyo.

Pour l'instant mon objectif est de finir avec le peloton.

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En cyclosportive, le niveau est beaucoup plus hétérogène, ce qui fait qu'on trouve beaucoup plus facilement un groupe à son niveau.

Pour être bien classé, il faut se présenter sur la ligne tôt et devant, car c'est très difficile et dangereux de remonter le peloton.

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Brice, ton message me fait penser aussi qu'il ne faut jamais abandonner, car quand on est au bout du rouleau, et bien en fait c'est la même chose pour les coureurs autour de nous.

Ce que je trouve regrettable dans les pelotons, c'est qu'il y a les râleurs et ceux qui jouent leur vie ! Quand je fais une course, même si je la fais sérieusement, je le fais dans un esprit bon enfant.

Quant à mon gabarit, je mesure 1m89 pour 84kg. J'ai un pic de puissance à 1200 W et je tiens 330 W sur 5 minutes (PMA).

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C'est touchant, mais finalement c'est probablement un peu "trop" pour un simple tour de vélo. Il y a dans les pelotons cyclosport une sorte de surinvestissement affectif qui rend parfois les rapports compliqués, parce que les sentiments de beaucoup sont amplifiés de façon déraisonnable, notamment chez les vieux qui ont débuté le vélo sur le tard.

Il y a comme une urgence à prouver quelque chose, parfois de la prise de risque insensée,  parfois certains se taperaient dessus pour une trajectoire douteuse ou un relais refusé. 

Et puis il n'y a pas de message. Le vélo, c'est un truc perso, il ne faut pas se raconter d'histoire, on le fait pour soi, parce qu'on en a envie. L'idée de faire passer des valeurs à ses enfants ou de (re)séduire sa femme, il faut oublier. Il vont être contents pour toi, mais pas plus. Pour le reste, c'est ton truc, pas le leur...

Ca ne fait pas particulièrement progresser dans la vie non plus. C'est le truc que tu as choisi pour t'éclater. Je veux dire, tu n'as pas besoin d'un prétexte pour t'amuser en pratiquant un sport. Pourquoi toujours chercher une fonction "utile" à un moment de plaisir ? Ca ne serait pas mieux de rester simple ? Tu fais 40 courses par an, un dimanche chasse l'autre, on perd tous plus qu'on ne gagne, tout ça n'est pas grave, ce ne sont que de petites sorties à vélo. Tant mieux si ça t'éclate, mais ça n'a pas d'autre portée que le plaisir que tu vas en retirer...

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Je pense que tu as le problème typique du cyclosportif qui ne fait pas de course, je dirais que tu as "sauté les étapes ".

Je m'explique, tu es dans doutes léger et également endurant tu doit pouvoir faire 5 heures de vélo sans trop faiblir mais tu n'as "pas De watts" et tu ne sais pas frotter. Ton poids léger et ton endurance fait que tu peux surement te classer dans la première moitié des cyclosportives avec des cols. En fait tu monte les cols lentement mais moins lentement que les gars de 80 ou 90 kilos. 

En course Ffc cela ce voit plus rapidement même en D3/D4, donc entraîne toi à faire de la pma avant d enchaîner les heures de selles, cela te fera également progressé dans les cyclosportive. Fait des courses comme à dit Joachim c est le meilleur moyen ne t embête pas à faire du derrière scooter en pass cyclisme 

Pour l entraînement tu devrait rouler avec des coureurs de petit niveau type 3Ffc qui s y connaise sans se prendre la tête. 

Tu devrait très vite pouvoir terminer ces coursettes à 35 de moyenne 

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Je fais 69kg pour 1m72, je ne sais pas si ça fait de moi un léger mais oui je pense être assez endurant. Lors de l’alsacienne j’ai fini env 150/600 sur le parcours de 130km, donc je vais plus vite que les 3/4 mais sur le fond tu as raison je manque sans doute de watts et je ne sais clairement pas frotter.

 

Quelles sont les étapes que j’ai sauté ? Il faut bien se lancer un jour, même si on n’a pas été minime/cadet/junior.

 

Merci pour tous les conseils supplémentaires, j’essaierai d’en faire bon usage !

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Te concernant, et d'après ce que j'ai lu ici ou là sur certaines de tes interventions, ton problème vient surtout de ta manière de t'entraîner. On ne devient pas coureur en faisant des sorties à 34 de moyenne. Mais bon, j'imagine que tu y trouves ton plaisir et que tu dois bien le savoir au fond que ce n'est pas de cette manière qu'on progresse pour subir les contraintes de la compétition, même si elle est de loisir.

Car même au niveau loisir, le but d'une compétition, c'est de lâcher les autres pour arriver le premier ou le mieux classé possible. Donc de rendre les choses difficiles pour l'adversaire : relances, à-coups, ruptures de rythme, etc.

Cela dit, si tu en as vraiment envie, tout est réversible et tu peux très bien t'y adapter.

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Sur ce post on se rend compte qu'on est pas tous égaux physiquement .....faire + de 85kl c'est foutu si le parcours est bien bosselé ....la base c'est le rapport poids-puissance  , Brice P avec + de 100kl c'est déjà un exploit de rouler en course chapeau !  dans les bonnes bosses tu dois galérer un max , je ne me souviens pas avoir vu de gabarits comme toi lorsque j'ai fait mon année de compet ....

Perso j'ai tenu le peloton a ma 3éme course ( 1500km d'entrainement)  , a la 1ére j'ai lâché au depart , a la 2éme jétais échappée avec 10 gars mais j'ai explosé a la moitié car grosses cuisses je tirais trop gros, ensuite je terminais régulièrement dans les 20 .....je galérais surtout dans les bosse mais aprés avec quelques courses je tenais bien il faut s’accrocher et avoir un gros mental a vélo ... ah oui je ne m’entraînais meme pas parfois en semaine 😃  de bon souvenirs cette année de compet .....  mon travail m'a toujours empêché de faire le métier de coursier j'ai des regrets car je pense que j'avais du potentiel ...

 

Amuse toi bien , a force de courir tu vas obligatoirement t'améliorer mais fait attention au sur-entrainement , je grattais beaucoup de gars qui avaient au moins le double de km que moi mais c'est la giclette et l'intensité qu'il faut en compet ! 

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Le classement es fait au temps. Donc tu peux très bien bouclé le parcours en 1h de moins que des types parti 2000 places avant toi.

Tu me cités des exemples de personnes qui finissent dans les 50 premiers, moi je t'en ait cité de coursiers (2 ème et 3 ème) qui finissent au delà de la 2000 ème place a bien plis d'une heure du top 50(et donc pas que les 5-6)..

C'est trop facile de dire que les gars y vont en claquette, justement les rares occasions d'aller a la montagne ils veulent pas se louper. Et l'ego des mecs qui courent en ffc, c'est pas pour se faire mettre a l'amende par de vulgaires cyclos...

 

 

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Bonjour Brice et Gaël,

Patience, pratique et courage....

Vous n'avez rien à prouver à personne, même pas à vous même. J'ai tendance à penser que tout ce que l'on fait on le fait pour se faire plaisir ou par amour. Alors les choses deviennent plus faciles.

Le placement et la gestion de l'effort sont les choses les plus importantes et il est plus facile de courir devant que dans les derniers. Il faut avoir "peur" d'être dans les derniers car si ce n'est pas vous qui pétez ça sera celui qui est devant vous. Vous allez faire l'effort 1, 2, 3 fois et la quatrième vous allez vous faire sortir. C'est naturel, non ?

Bien sûr si vous voulez vous améliorer il faut pratiquer afin de pouvoir vous remettre en cause tous les dimanches et être au contact. Et puis on retrouve aussi les mêmes têtes et ça devient sympa de se motiver mutuellement.

Faites vous aussi des petits défis personnels, du genre "cette fois ils ne m'auront pas".

J'ai un peu plus de 30 ans de pratique et tenir les roues, bordurer, je n'ai jamais su faire, je déteste ça. Mais j'ai toujours vendu cher ma peau. Alors pour palier à ça j'allais devant et au fil du temps j'ai progressé et j'ai connu de nouvelles têtes...

Ne pas négliger l'alimentation et l'hydratation non plus, quand on est à bloc et qu'il faut toujours relancer on en prend jamais le temps...

Etre bon ou mauvais à ce niveau ne veut rien dire, chacun à ses chances et peut ou non se donner les moyens selon sa vie personnelle. Personne n'est au top tout l'année non plus. Il faut être humble.

Au tout début on me disait de me positionner devant au pied des bosses, puis quand j'ai franchement progressé pour grimper j'en faisait de même pour éliminer ceux dont c'était leur faiblesse. Je sais que ce n'est pas sympa pour vous, mais c'est juste pour que vous y pensiez la prochaine fois : il y a des petits cons qui veulent vous faire sauter et qu'il faut vous accrochez encore que vous ne l'aviez prévu dans votre tête, que le mode "défensif" sera insuffisant.

Battez vous quoi qu'il arrive, on ne sait jamais sur un malentendu. Si vous êtes bien placé au bon moment admettons que les 5 devant vous au sprint tombent c'est vous qui gagnez ! ;-) Ben oui il faut rêver aussi ! A la Marmotte j'en ai fait autant même si c'est totalement illusoire. Plus je m'accroche plus j'ai de chances. Toujours y croire...

Le bon placement est dans les 20 premiers, pas dans les 5 car pour y rester ça vous oblige à faire ce que vous faites déjà en queue de peloton, toujours à relancer et à manger du vent. C'est aussi la bonne place pour choper une échappée (on verra ça plus tard !! )

Dites vous aussi que vous avez encore une très grosse marge de manoeuvre, ce qui n'est pas le cas des 90% des autres coureurs... Belle perspective, non ?

Prenez ça comme un jeu, essayez de faire mieux que votre numéro de dossard. Et n'oubliez pas qu'avant de dépasser les autres il faut déjà apprendre à se dépasser soi même vous aurez moins de frustration, une meilleure estime de vous même et une prise de confiance progressive et naturelle.

Quand on est bébé on apprend à marcher avant de courir, quand on débute dans quoi que ce soit c'est pareil, il faut respecter les étapes. Il y a des vieux briscards dans le peloton, s'il ne vous donne pas de conseils, observez les et tentez de rester à leur contact... Peu à peu vous allez comprendre le mécanisme... Une valeur sûre c'est que c'est comme au Tour de France, si vous lâchez toutes vos force dès le coup de sifflet vous n'irez pas loin...

Au plaisir de vous lire, j'aurais bien aimé partager ça avec vous. Bizarrement je m'attache moins aux vainqueurs qu'à ceux dont il faut beaucoup de courage pour s'accrocher. J'aime bien voir leur évolution, leur courage, leur envie, voir dans leur yeux leur satisfaction... Ce n'est pas dans la facilité qu'il y a des émotions bonne ou mauvaise, c'est dans la peine, la hargne, l'envie...

Interdisez vous de vous traiter de m...de. On est tous quel que soit notre niveau le bon et le mauvais d'un autre. Il faut déplacer le curseur c'est tout avec chacun ses capacités, son humilité, ses forces...

Encore une fois faites les choses par plaisir et par "amour" et tout va mieux !!!

"Tant que la ligne n'est pas passée, ce n'est jamais perdu" (Il faut toujours se battre)

"Tant que la ligne n'est pas passée ce n'est jamais gagné" (Il faut toujours se remettre en question)

C'est mon précepte...

Dites vous aussi que si vous avez l'habitude de vous manger du vent en étant derrière, vous aurez l'habitude en étant devant et que c'est exactement pareil...

Il est important aussi de reconnaitre le circuit, si ce n'est pas à l'échauffement c'est à l'entrainement. L'entrainement sert à faire des simulations de courses en distance et en changement de rythme, mais jamais les deux en même temps.

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Non, contrairement à Jo tu ne donnes aucun exemple précis. Tu fais de tes a priori des généralités.

J'ai moi aussi l'exemple d'un copain qui a terminé 9e de l'EDT alors qu'il était en 3e caté FFC et qu'il n'arrivait pas à monter de catégorie.

De toute façon sur cette épreuve en particulier il n'y a aucun "vrai" cyclo dans les 20 ou 30 premiers au minimum. Aucun gars dont les cyclosportives de montagne sont la seule spécialité.

Ensuite tu as ceux qui s'inscrivent à l'arrache, qui partent en fond de grille, et doivent zigzaguer pour doubler (d'où l'intérêt de partir dans le premier sas), ou encore ceux qui n'ont aucune idée de ce qui les attendent comme le précise Jo.

Même un coureur comme Nicolas Roux, la quarantaine, a couru quasiment 20 ans en première, et court encore dans cette catégorie les week end où il n'y a pas de cyclo intéressante pour lui.

Pour trouver des cyclos qui ne font que ça et d'un très bon niveau, il faut aller en Italie, mais ça s'explique par la structure du vélo là bas. En gros, le cyclisme amateur de haut niveau n'existe pas là bas, passée la catégorie Espoir, et donc tu as presque des organisations comme des DN1 françaises au départ des cyclos. 

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Nan nan jean guy ce ne sont pas des à priori mais des faits, je n'invente pas des exemples pour dire que j'ai raison...

C'est plutôt toi qui fait parfois de ton cas une généralité (cf. quand tu nous dis que tu n'es pas d'une famille de cycliste et que tu a réussi blablabla. Alors que bon nombre de coursiers pros et de très bon niveau amateur baigne dedans via l'entourage familial, les fratries, cousins,etc sont légions).

Toi de toute façon quel que soit le sujet tu viendras sortir un exemple pour aller à l'encontre de ce que je dis, la preuve encore avec ton 3 ème cat qui fait top10 dans l'edt...

On a bien comprit que si j'avais écrit exactement l'inverse tu aurais encore trouvé le moyen de sortir tes arguments à l'envers.

Continue à me prendre pour un guignol, mais comme jte dis quand tu veux on se croise en vallée de Chevreuse pour une sortie "bosselée"!

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