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LBL


Invité
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Ce qui est toujours étonnant, c'est ce french bashing systématique de la part de certains.

Bon, c'est moins ici que sur le site de l'Equipe, mais ça m'étonnera toujours. Je ne sais pas quelles frustrations ça cache, mais c'en est désolant.

Quand le cyclisme français est au creux de la vague, c'est parce que le Français est fainéant, qu'il ne sait pas s'entrainer, ou tout simplement que c'est mieux ailleurs.

Quand le cyclisme français est globalement le meilleur du monde, certains trouvent à redire.

On a quand même un garçon qui en un an a gagné deux fois la Flèche wallonne, la Classica San Sebastian, les Strade Bianche, Milan-San Remo, deux étapes du Tour de France + le maillot de meilleur grimpeur, d'autres courses un peu partout, et certains trouvent encore à redire.

Il a prouvé qu'il était bien plus qu'un puncheur de côte, déjà bien plus fort qu'un Purito Rodriguez par exemple en son temps.

On a Thibault Pinot qui a gagné le Lombardie et des semi-classiques italiennes fort prisées, et qui mine de rien est numéro 5 mondial.

On a Romain Bardet lui aussi dans le top 10 mondial, et quand même présent un peu partout.

Alors je ne sais pas si Alaphilippe gagnera LBL, surtout avec la nouvelle configuration de l'arrivée. Mais s'il ne gagne pas, ce ne sera pas un échec. Il a déjà beaucoup gagné, et il en gagnera d'autres. Et le vainqueur sera sûrement un beau coureur quoi qu'il arrive.

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Oui, je trouve que l'on a depuis quelques années un beau peloton francais multi terrain avec des vainqueurs. Alaphilippe a déja accroché les plus belles courses et son palmarès est épais. Nos sprinters ont déja gagné (Milan san Rémo avec démarre, Bouhani, des classiques) mais marquent le pas cette année, nos grimpeurs se sont illustrés (Barguil bardet, Pinot) sur des courses à étapes, des baroudeurs aussi. Il nous manque juste encore un vainqueur final de tour, et un champion du monde. Un vainqueur de Paris Roubaix aussi. Alaphilippe peut tout perdre maintenant, avec le début de saison qu'il a fait,  son année est dores et déjà réussie..Pour LBL, on verra si Alaphilippe a bien récupéré et sa fraîcheur, car là ilest au taquet depuis un moment. De toute façon, avec l'équipe dans laquelle il est, il sera bien géré..ya pire que d'être dans la deceunninck quick step ! 😃😆

 

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Cà c'est vrai, Lefévère, aux commandes des meilleures équipes d classques depuis plusieurs décennies, c'est un minimum de victoires assurées sur tous terrains avec des coureurs différents ( Mapei, Quick Step, deceunninck, Boonen, Kittel, gaviria, bettini, viviani, alaphilippe, le petit nouveau sprinter, etc...etc...). La quick step c'est le réal en foot

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LBL est une course longue, usante, avec beaucoup de montées, et il faut des gabarits pas trop lourds. Même si l'arrivée est sur un plat, je ne vois d'arrivée de sprinters...un petit commuté réduit de coureurs style alaphilippe, valverde, maintenant, vous me direz, les pronostics sont là pour être déjoués. Souvenez vous du pur grimpeur alpin de Tours "Virenque", qui après s'être exilé chez Lefévère à la Quick Step, se met à gagner Paris Tours en solitaire, la course pour sprinters..!  

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Ce n'est pas du French Bashing que je fais pour ma part mais du Flèche Wallonne Bashing… Cette course me désespère autant qu'elle désespère Michel Roth (de la même façon que j'étais frustré par les dernières éditions de Liège-Bastogne-Liège). On doit attendre le dernier kilomètre pour qu'elle se joue, les échappées préalables n'ont pour ainsi dire jamais la moindre chance d'aller au bout, et c'est donc presque aussi frustrant qu'une étape de plaine lors du Tour.

J'aime les courses au scénario imprévisible et à la Flèche wallonne, la majeure partie du scénario est déjà écrite.

J'espère que dimanche il y aura de l'animation et des surprises. Au Tour des Flandres, que Bettiol ait gagné au nez et à la barbe des favoris et même de l'organisateur (Wouter Vandenhaute qui avait carrément affirmé que des coureurs comme Langeveld ou… Bettiol n'allaient pas gagner sa course), ça m'avait rendu tout guilleret. 😃

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Pourquoi pas le même parcours que dans les années 70 avec l'arrivée à Verviers quand la flèche traversait la Wallonie. La distance était aussi plus longue. Le vainqueur arrivait souvent en solitaire comme par exemple Zoetemelk qui avait démarré dans le Stockeu

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Nous aimons tous les rebondissements, les surprises, le suspens. Les courses éloignées au soleil du début de saison, sont des courses plates qui ne servent qu'à régler les trains des sprinters. dans toutes les classiques importantes, chacun attend la fin pour ne pas griller des cartouches, tout comme dans les étapes de montagne du tour, ou pendant 150 kms on voit que les coureurs papotent entre eux tranquillement. c'est pour çà que le patron du Tour, Prudhomme, essaie d'être ingénieux en trouvant des étapes qui permettent de mettre du piquant, de la vie. Souvenez vous des années Leblanc, où il n'y avez pas de créativité dans le profil des étapes..

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S'ils sont arrivés en peloton réduit cette année c'est qu'exceptionnellement il y avait beaucoup de vent. Je n'ai pas regardé la course mais il paraît qu'il y a eu des bordures. Mais 9 fois sur 10 c'est tout de même un peloton d'une centaine de coureurs qui se présente au pied du Mur et qui frottent pour se placer dans le top 10

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C'est pourtant une réalité du cyclisme moderne : le niveau est tellement resserré vers le haut qu'il est quasiment impossible d'écrire un scenario improbable, tout simplement parce que les équipes sont trop fortes dans leur ensemble.

Elles ont donc les moyens de contrôler la course pour favoriser celui de leurs coureurs qui a le plus de chances de l'emporter.

Cela se vérifie sur tous les terrains ou presque, sauf peut-être sur certaines flandriennes, et sur Paris-Roubaix en particulier, car les leaders sont souvent esseulés très tôt dans la course, ou alors parce qu'on assiste à une élimination par l'arrière avec les chutes et les incidents mécaniques.

Alaphilippe, Fuglsang ou Valverde n'ont aucune chance de gagner la Flèche en partant de loin, car leurs adversaires resteraient en compagnie de très bons équipiers, ce qui permet ensuite de faire l'effort exactement au bon moment. 

Et à ce niveau-là, je te garantis qu'il n'y a qu'une seule cartouche.

Regarde l'Amstel et ce qu'il s'est passé avec VDP : il attaque à 50 bornes de l'arrivée, et derrière personne ne bouge, car c'est à ce moment-là suicidaire. Alaphilippe attaque une fois que VDP se relève, car il n'a pas le choix puisque ses coéquipiers sont cuits.

Bon, VDP gagne d'une autre manière, parce qu'il est un peu extra-terrestre ce jour-là et qu'il profite de circonstances particulières.

En montagne, le seul moyen d'avoir une course débridée est de faire une étape très courte avec un enchainement de difficultés pour faire sauter les équipiers très tôt dans la course. Ou de faire des étapes très longues, mais si dans ce cas il y aurait des écarts, il ne faut pas croire que les favoris n'attendraient pas la dernière difficulté pour se départager.

 

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"Nous aimons tous les rebondissements, les surprises, le suspens."

"dans toutes les classiques importantes, chacun attend la fin pour ne pas griller des cartouches, tout comme dans les étapes de montagne du tour, ou pendant 150 kms on voit que les coureurs papotent entre eux tranquillement."

 

Ces deux remarques dans le même post manquent de cohérence

Il y a quand même + de suspens quand la décision se fait en fin de course

Personnellement je préfère les courses à étapes actuelles, celles d'une semaine qui se jouent à la seconde, et les grands tours où il y a parfois 5 ou 6 coureurs en 2 minutes la veille de l'arrivée. Ainsi que les classiques où on ne connait le vainqueur qu'à la dernière minute

Les Tours de France de Merckx et Hinault, athlétiquement super, le panache de ces deux là OK, mais question suspense c'était zéro

Avant Paris-Roubaix j'ai choisi de revisionner une édition au hasard (avec un lanceur de dés virtuel), c'est tombé sur 2013. Quand Cancellara est parti à 50 km de l'arrivée j'ai arrêté, je ne voyais plus l'intérêt de regarder la suite

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Je ne trouve pas que mes propos manquent de cohérence. Chacun interprètent avec sa propre architecture intellectuelle. Je voulais dire que nous aimons tous lorsque rien n'est écrit à l'avance. Une étape toute plate est fortement prévisible avec une arrivée entre sprinter, une étape de haute montagne, prévisible entre grimpeurs, et une étape vallonnée avec puncheurs.

Guillaume, je n'ai pas compris : tu préfères les courses d'une semaine ou celles de 2 ? " je préfère les courses d'une semaine qui se jouent à la seconde .."?🙄 

"ainsi que les grands tours et les classiques"  bref, tu aimes tout 🆒

"le tour de france époque Merck, Hinault, suspense zéro" euh... les tours de france Armstrong, ou Wiggins, ou Froome... tu trouves qu'il y a du suspense là ?😆

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j ai regardé la FW sur la télévision belge  et bien avant l arrivée les commentateurs étaient presque certains qu elle état promise a J A  exit parole "il est au dessus du lot " c 'est pas beau ça ...les Français se débrouille très bien même J Hibert  sait montré le maillot de bien belle manière ? parfois je ne comprends pas tout sur les tactiques mais peut être parfois n y en a t-il pas , course d 'entrainement...bref SUR LBL avec la météo annoncé ça va être chaud , pas comme les températures

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