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TdF : le grand vainqueur est ...Christian Prudhomme


Bernard MOREAU
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Avec son équipe il a réussi un tour de force autant que de France.

Un découpage innovant et hyperintéressant de l'épreuve, des innovations poursuivant et améliorant la ligne de ce qu'il a fait ces dernières années, je lui tire mon chapeau.

Ce n'était pas gagné en cette année de Covid mais il nous a produit un TdF loin des aseptisées processions du ronronnant J-M Leblanc.

S'il n'y avait pas eu cette pluie de Nice le scénario aurait été parfait.

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Il faut reconnaître à C. Prudhomme et à son équipe beaucoup d'audace et de modernité: introduction des étapes courtes; tracés scénarisés; mise en avant des petits massifs; volonté de faire des étapes de transition des étapes animées sur le principe que chaque étape pourrait être une petite classique.

Et c'est aussi l'introduction, à côté des classiques, du Colombier, de Montvernier, de la Planche des Belles Filles, et j'en oublie.

J'aime bien cette philosophie, et j'aime bien aussi le bonhomme. 

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Le tour introduit de nouveaux lieux, mais à tendance à y retourner trop fréquemment derrière.

Colombier, planche des belles filles et Montvernier, ça risque de devenir redondant à force. Le col de la Loze on va sûrement le voir souvent ces prochaines années.

Il faut que le tour continue à surprendre sans retomber dans la routine, en mixant intelligemment les lieux classiques et de nouvelles routes atypiques.

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Comme dit Sébastien: si tu n'y retournes pas, tu n'ancres pas ces endroits dans la mémoire collective, et l'effet n'est que partiellement réussi. Il doit aussi y avoir quelques accords avec les conseils généraux et régionaux pour que ces "nouvelles" routes soient régulièrement empruntées.

Il reste bien des endroits à découvrir, cette recherche de la nouveauté ayant aussi ses limites: les routes méconnues ne sont pas des autoroutes et la recherche du spectaculaire peut se heurter à la sécurité des coureurs. Cf la chute dans le col de Plan Bois au Dauphiné. 

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Il faudra voir ce que cela va donner quand le Tour devra retourner dans les régions «plates». Cette année et surtout l’an dernier il les a évitées, leur préférant les massifs, Jura, Massif Central, Mercantour, ...en sus des classiques alpins et pyrénéens, s’inspirant un peu du Giro. Je me souviens de la 1ère semaine du Tour 2018 comme d’en l’ensemble peu enthousiasmante.
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Et en ce qui me concerne je vais pas me plaindre puisque le Tour de France passe plus souvent dans mon département (Ain) et mon petit Bugey 😛

Mais c'est vrai les nouveautés doivent intégrer plusieurs éditions du Tour de France pour les ancrer dans l'histoire ou la mémoire. Qu'est-ce qui rend le Col du Galibier ou le Mont Ventoux aussi mythiques ? Les exploits sportifs évidemment mais aussi une certaine régularité. 

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"Et c'est aussi l'introduction, à côté des classiques, du Colombier, de Montvernier, de la Planche des Belles Filles, et j'en oublie."

Le col de la Loze, Clémentine, voyons !

Il est appelé à un très bel avenir, avec le Tour, bien sûr, mais aussi tout un tas de compèt diverses, entre cyclosportives, dates réservées aux vacanciers en demi-journées (cf. Izoard et Alpe d'Huez, liste non limitative, ça marche fort), VTT (avec courses de descente et en circuits) et trails en CAP, sans omettre les randos pédestres : les perspectives sont très élevées, c'est le cas de le dire à plus de 2 000 m.

Les responsables du coin - maires en première ligne, hôteliers, restaurateurs ... - vont se bouger le derche, ils ont flairé le bon filon.

Pas scandaleux ...

 

 

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