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Toujours le genou !!!


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Pas tout à fait similaire à ce qu'exprime Jean-Marie Michal.

J'ai fait part, ici de ma mauvaise humeur quant aux délais pour obtenir des RV. Bref. L'IRM a montré une corne du ménisque nettement abimée avec un souhait du chirurgien orthopédiste de ne pas opérer en première intention. Semelles. La décision date d'août dernier. Il y a eu amélioration.

Dégradation ensuite. J'ai revu le chirurgien hier.

Il a décidé, avec d'infinies précautions verbales et écrites, -"c'est pas garanti à 100%. On saura 3 mois après l'opération si ça a réussi"- de me proposer une arthroscopie du genou. Courte opération qui consistera à la résection du bazar qui me fait souffrir.

J'ai accepté. C'est programmé pour le 31.

On verra.

Ça fera jamais que la deuxième anesthésie générale en 1 mois !

Et 10 mois de relative souffrance.

 

 

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  • 2 weeks later...

3 mois pour une athroscopie change de spécialiste .au bout d un mois tu refait du vélo .je connais quelques potes qui y on eu droit,le jour de l opération tu marche le jour même .

J ai moi même le ménisque légèrement fêlé .après quelques semaines sous inflammatoire tout est revenu dans l ordre .

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Merci pour vos remarques.

En fait le chirurgien, d'une part, prend de grandes précautions juridiques au cas où ... et, d'autre part, si j'ai bien compris, si 3 mois plus tard j'ai toujours mal c'est qu'il faudra passer à l'étape supérieure : prothèse du ménisque ... si j'ai bien compris ... (pas sûr quant à la bonne compréhension ... !).

On verra.

Je suis optimiste !

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C'est plutôt une constante avec chacun et par écrit. Ce que je comprends. Toute intervention chirurgicale, si minime soit elle, toute anesthésie, si courte soit elle, présente bien évidemment un risque, ce risque étant même vital, potentiellement et désormais rarement, mais néanmoins existant. Les documents qu'on signe pour accord spécifient cela.

Ça évite tout problème juridique en cas d'accident sachant que toutes les précautions, procédures, outils, surveillance, professionnels sont en place.

J'ai, dans ma vie, très peu fait appel à la médecine et à la chirurgie ... un peu plus ces derniers mois -pour rien pour les poumons-. Je suis frappé par trois choses -au moins- quant aux spécialistes que j'ai donc côtoyés :

- le professionnalisme de ces personnes qui passe par une grande concentration.

- la grande prudence qui, peut-être, fait se multiplier des examens ... .

- la simplicité et l'humanité de ces médecins -ça ça me marque beaucoup-.

Je leur rend hommage.

J'ajoute que vivre est déjà un risque ... comme monter dans sa voiture.

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la simplicité et l'humanité de ces médecins*

Soit tu as de la chance d'en coutoyer de tels, soit tu es mauvais en jugement humain.

Je connais un médecin qui enseigne. Et un de ses combats et attitude humaine et respectueuse que dois avoir un médecin envers son patient. Il y a en effet une généralisation d'arrogance, de mépris envers les patients qui sont trop souvent considérés comme des cas médicaux et non comme des êtres humain avant tout dans le milieu médical.

personnellement j'ai même provoqué un moment de solitude envers le personnel médical qui faisait mon admission pour une intervention. La femme s'addresse à sa collègue en lui lançant "c'est pour une ablation de matériel!". Calmement je la regarde et lui dit "merci pour le matériel"

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Quant au "matériel" ... on peut rigoler sans pour autant avoir en face de soi ... un genre de coincé ... c'est le sens de la répartie qui t'a manqué. On ne se vexe pas pour si peu.

Quant à l'humanité et à la simplicité c'est peut-être plus vrai à Brest ... et peut-être plus vrai quand tu as une présentation  et un niveau de langage et de discours qui ne dépareille pas avec celui du médecin. Les questions posées jouent aussi.

Les choses sont facilitées s'il se rend compte qu'il n'a pas le dernier abruti chômeur sans mutuelle devant lui et que s'il a une surfacturation à demander il ne va pas avoir le mec qui préfère un coup de pinard devant lui.

D'égal à égal.

Avec le chirurgien on en est arrivé à parler ... chien (passionné par les fox ... et comme j'ai un fox on en a parlé avec intérêt). On a fini par se tutoyer (très fréquent chez les bretons : le tutoiement est facile). Ça a duré un quart d'heure.

Avec l'anesthésiste ... on a rigolé des allergies ... lui ayant déclaré deux allergies ... l'une à la langouste -peu présente en salle d'opération- et à une piqûre de taon -tête à la Pompidou en fin de vie mais tout aussi peu présent à la clinique- ... .

Voilà ... suffit parfois de plaisanter.

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c'est le sens de la répartie qui t'a manqué. On ne se vexe pas pour si peu.

Aucunement car j'ai beaucoup d'auto dérision. Mais je pense aux autres, car quand elles se sont exprimées elles n'ont pas pensée à moi bien qu'à un mètre. Avec cette réflexion je les ai fait réfléchir je pense. Car une personne qui arrive angoissée pour une intervention avec anesthésie générale, si elle n'est pas considérée comme un être humain mais comme un cas médical, ne va aborder le bloc dans des conditions de sérénité optimum.


Les choses sont facilitées s'il se rend compte qu'il n'a pas le dernier abruti chômeur

Je ne pense pas que cela corresponde à un chercheur au CEA. Pourtant c'est ami hospitalisé pour examens sur un soupçon de pancréatique depuis 2 semaines et ayant ce profil s'est vu dire par un prof au coin d'un couloir "vous avez un cancer, vous restez ici et changé de service" et il a tourner les talons. Plus tard, lors de son traitement, le prof entre dans la chambre avec sa clique derrière et commence a évoquer son cas. Mon ami l'a interrompu par un vigoureux "d'abord, bonjour !"

Un an plus tard le prof l'a remercier car par son attitude mon ami lui a rappeler que les malades sont d'abord des personnes avant d'être des diagnostics.

Mais bon, par tes réactions tu montre encore et toujours ton absence d'empathie et d'ouverture d'esprit.

Bref, tu n'as pas changer. Et c'est dommage...

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Je constate une grande humanité chez les médecins que je côtoie en ce moment. Cette humanité apparait d'ailleurs clairement dans le film qui raconte l'"épopée" de Mme Frachon.

Tu dis le contraire.

Je dis donc que c'est de ta faute.

Voilà tout.

Tu es responsable de la façon dont tu es traité.

 

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C'est aussi de ma faute ce qui arrive à des amis?

C'est aussi de ma faute le témoignage d'un ami médecin et enseignant en fac de médecine qui lutte contre le manque d'humanisme constaté chez trop de ses confrères?

c'est aussi de ma faute le mépris que tu manifeste envers les autres?

Et c'est aussi de ma faute si tu n'as pas la lumière à tous les étages?

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Il y a une différence entre les médecins et le "personnel médical" dont tu parles. J'ai pas mal eu à fréquenter les hôpitaux, professionnellement. Dans l'ensemble, les soignants sont très bien. Médecins, infirmières, kinés, etc.

Ce que tu décris, c'est la secrétaire médicale. Qui doit se prendre pour une excroissance de son chef de service, mais qui n'en n'a pas l'intelligence.

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C'est le soir de l’excès de bière ou d'apéro ? Je n'ai rien compris à ton charabia.

Si je tente quand même une approche, comme en milieu caritatif je peux le faire avec tel malheureux, en quoi aurais-je des relations dans le milieu médical ? Ai je parlé un  jour de cela ? Certes ... un psychiatre ... qui malheureusement est bien occupé à Lille et qui, donc, ne pourrait pas grand chose pour toi ... .

Après je n'ai que les relations de chacun, un peu digne, un peu réalisé à 65 ans, style ami d'enfance, comme chacun a, avocat, haut fonctionnaire européen, style relation de jeunesse, parents d'enfants du même âge, pas sous %@!? demi chômeur, néanmoins sous payé d'université, tout en étant brillant dans sa spécialité ...

quoi ?

Rien que de bien normal sauf à prendre de mauvaise lignes de métro !

Bref ... tu me fais ch..r et donc ... colère ...

cependant déjà ... passée. 

J'ai oublié le voisin ... quand on évite les mauvais quartiers ... dirigeant d'un institut de recherche médical ...

Bref ... loin, comme n'importe qui, un peu chanceux des 30 glorieuses ... des sous classes.

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