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Vélos route freins à disques = FIASCO des ventes


Invité
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J'ai seulement le souvenir d'une série de post d'un Vendéen qui a couru en Pass Cyclisme, nouveau convaincu du disque, et qui regrettait amèrement ne plus avoir le droit de courir en compétition officielle depuis qu'il avait changé de vélo.

Mais ce n'est pas comme si il n'était pas prévenu, hein?

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Dans un post il disait qu'il s'était fait rentrer dedans par un gars qui était lui en patins. Et que si ce gars avait été en disque comme lui il ne lui aurait pas détruit sa roue carbone.

Pour les catégorie, désolé, je suis à la rue. Je suis resté au années 90 quand je courrais encore🙁

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J'ai bien sûr mon explication mais je vous en fais l'économie.

C'est tellement rare qu'il faut le souligner 

Je repasse en mode "sérieux" : tu n'as pas une mais deux explications Imanol.

La première, qui concerne les séniors, va dans le sens "commercialement sécuritaire" que tu as longuement critiqué il y a peu.

La deuxième, qui vise les jeunes cette fois, concerne l'illusion identitaire qui consiste à imiter les coureurs professionnels. Tu as déjà également disserté à loisir sur le fait d'imiter ou de se distinguer, ce qui revient au même sur le fond.

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Oui et alors?

Kittel a gagné 5 étapes du Tour avec des disques (mais une fois arrivé en montagne il a repris les patins).

Il n'en reste pas moins que les disques sont aujourd'hui toujours interdits en compétition officielle autre que chez les pros. C'est-à-dire FFC, FSGT, UFOLEP. Les cyclosportives ne sont pas des compètes officielles.

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Je crois que la vente d'un produit, les disques ici et par exemple, intéresse surtout et avant tout ceux qui les vendent et en tirent profit. Ici ça va donc des fabricants aux revendeurs en passant par la presse, la publicité et autres intermédiaires. Il y a donc un "forcing" de tous ces gens pour que nous achetions des vélos à freins à disques. Le client maintenant, il s'agit d'un client qui par définition souhaite acquérir un nouveau vélo, par définition aussi s'il s'agit d'un passionné comme ici, ces vélos supposent un budget assez élevé, il faut donc un client à pouvoir d'achat assez confortable. Souvent les séniors passionnés ont le budget de leur passion, un retraité passionné de cyclisme aura donc ce budget. Les séniors sont de bons clients pour les produits sécuritaires, mutuelles, assurances diverses, plans de pensions, garanties, médicaments, bref les vendeurs de réponses à ces peurs aiment les séniors. Les marques de vélo insistent, témoignages, forums à l'appui, que le freinage disque est un plus en sécurité. Il n'y a qu'à lire les interventions de ceux qui sont passés aux disques: "c'est le jour et la nuit avec les patins", ou "je ne reviendrai plus en arrière" (cette façon de penser est due à un autre mécanisme psychologique et marketing que je ne févelope pas ici mais qui est aussi très intéressant). Donc nous avons: une nouveauté à vendre et en face des gens qui peuvent se les payer et pensent avoir les raisons de se les payer, ces gens sont les "vieux" qui ont les moyens. En face nous avons des jeunes qui ont aussi peu d'argent à dépenser pour des choses inutiles qu'aussi peu peur des choses en général, ils croquent la vie plutôt que de la congeler. Ces jeunes se moquent donc des feins à disques. Ils s'en moqueront moins quand ces feins seront devenus une mode s'ils le deviennent un jour. Ce sera le cas quand et si les professionnel dans leur ensemble les utilisent. Comme pour le casque ou les lunettes, accessoires indispensables aujourd'hui comme ils étaient inutiles hier, et devenus indispensables par leur usage en professionnel.
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Il revient à chacun de s'interroger sincèrement, sans se laisser influencer (ça c'est plus difficile), sur ses véritables besoins et envies. Celui qui est incapable de se décider seul sera récupéré par un vendeur au discours convaincant.

Concernant les disques, l'absence d'avancée du marché ne justifie pas qu'on relance le débat pour la ixième fois.

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L'art du système est de faire passer dans l'inconscient des gens une obligation d'achat pour un besoin ou une envie. Plus, les seuls besoins que les hommes nécessitent satisfaire sont les besoins naturels, alimentation, évacuation corporelle, sexe (plaisir/reproduction) protection des intempéries. Tout le reste, même les choses ressenties comme nécessaires sont des envies, ou caprices. Pour les freins à disques l'argument de vente est clairement sécuritaire, et la sécurité ou son sentiment a un fort pouvoir attractif en soi pour l'homme "systématisé', car son état (miroir de lui-même, regard/compétition des autres) le rend craintif. Le système faisant bien sût tout pour augmenter ces (ses) phobies car plus l'homme a peur et plus il consomme de soi-disant réponses aux peurs (casque, lumière, lunettes, gilet fluo, disques etc.) ce qui contribue à fixer le système par la circulation d'argent, le maintien ou créations d'emplois et d'entreprises et par l'aliénation des esprits et servitude des corps. Un esclave ou un animal domestique qui a peur ne se rebelle pas contre son maître, la peur de perdre le peu qu'il a le rend plus craintif encore, il a plus tendance à obéir davantage à son maître, être plus manipulable. Le système l'a bien compris nous entourant tous les jours de peurs nouvelles à son profit (la peur du terrorisme est la dernière en date).
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"La peur du terrorisme"... Comment appelle-t-on un terrorisme qui ne fait pas peur ?

On touche là à l'irrationnel, parce que si on analyse froidement la probabilité de mourir dans un attentat, elle est très nettement inférieure à celle de périr dans un accident de la route. Qui a peur en montant dans sa voiture ?

Concernant les équipements de sécurité cyclistes, tu ne parviendras pas à me convaincre entièrement. Le casque m'a été utile au moins à deux reprises : lors d'un choc frontal contre une voiture, et à l'occasion d'une chute. Le casque était abimé dans les deux cas. Et pour les lunettes, je les ai choisies fonctionnelles, sans préoccupation esthétique (des DKT non fumées), tout simplement parce que je n'apprécie pas les insectes dans les yeux.

Tu t'appliques tellement à refuser le système que tu en oublies parfois la réalité !

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Selon Imanol ALCANTARA, si la science a pris son essor dans la Grèce antique à des fins purement spéculatives (connaître le monde), elle se donne aujourd'hui la vocation d'agir sur lui, par le biais des technologies. Or cette entreprise a pris de telles proportions qu'elle menace les cultures traditionnelles du monde entier. La maitrise technique leur permet de plier la nature à tous leurs désirs, de dévoiler la matière dans tous ses recoins (l'atome), de l'arraisonner totalement. Le philosophe soulève le danger que présente ce « projet calculatoire » : par son caractère démesuré, il rejaillit non seulement sur la nature mais sur le sujet lui-même : le propre du mécanisme qui accompagne la technique est d'expliquer toute vie, y compris la vie psychique, en partant d'éléments isolés et non pas de la cohésion du sens du vécu. A force de vouloir arraisonner le monde, de vouloir l'expliquer et le transformer toujours et partout, d'en évacuer tout mystère, Imanol s'expose à évacuer également tout sens de son existence.

😇

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Pour la voiture. La possibilité de l'accident, de la mort peut être, est paradoxalement une des choses les plus attirantes dans la conduite automobile par le sentiment de maîtrise que nous pensons avoir sur les choses. Arriver à bon port démontre que nous avons été plus forts que le destin. Le terrorisme. Il y a le terrorisme, comme il y a l'accident de voiture ou de vélo et il y a la peur du terrorisme ou de l'accident, ce sont des choses, des sentiments bien distincts. On voudrait nous faire prendre les uns pour les autres dans un but à peine avoué de manipulation, politique, sociale, religieuse, économique, sociétale en général, systémique, capitaliste. Le casque à vélo. Tu loues le casque après l'avoir acheté car il t'a évité des problèmes, mais le casque a moins été la solution que tes chutes les causes. Prendre un remède contre le rhume est moins la solution qu'éviter de s'enrhumer. Nous ne voyons pas nos fautes et remercions des agents extérieurs d'en avoir minimisé les conséquences. Tu es tombé, je suis tombé, somme toute à faible allure, "petitement" et nous trouvons ça risqué alors que tous les professionnels ont toujours roulé sans casque jusqu'à il y a peu dans des conditions de course et de chute autrement plus difficiles que les nôtres et ils sont là pour en parler. Pendant que nous autres petits passionnés sommes là pour dire que sans casque lors de nos chutes de "minables" nous ne serions plus là pour en parler. Il y a là un paradoxe assez extraordinaire. Les lunettes. Idem que pour le casque, jusqu'à il y a peu, il suffit de regarder des vidéos de cyclisme des années 80, avant ou un peu après pour se rendre compte qu'à part les porteurs naturels de lunettes de vue, aucun coureur professionnel ne portait de lunettes. Alors que nous autres, ne pouvons rouler à 20 km/h sans lunettes par risque de mouches ou abeilles dans les yeux, ou soleil aveuglant, hier les pros faisaient le Tour de France sans lunettes. Indispensables donc? bien sûr que non. Sauf à être indispensable à la panoplie réglementaire de tout cycliste qui se respecte et qui imite les pros payés par les marques pour porter ces lunettes. Je refuse le système? être manipulé, pris pour un idiot, juste pour les intérêts de quelques uns et leurs familles, niveler le niveau intellectuel par et vers le bas, crétiniser les hommes pour mieux les exploiter n'est pas ma tasse de thé non.
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