Marine, vous étiez présente sur le Tour de France à Saint-Malo, que ressentiez-vous ?
Ça m’a d’abord fait énormément plaisir. C’est un événement français, et je suis fière d’être présente ici en tant que Miss France. En plus, ça a été une belle étape.

Quelle était la raison de votre présence ?
J’étais là pour un événement particulier. Brandt remet les prix de la combativité sur toutes les étapes, et a monté un projet avec Mécénat Chirurgie Cardiaque, une association qui opère les enfants du cœur. J’ai donc remis le mini-prix de la combativité à un des enfants qui a été opéré.

Le public est très nombreux et vous pouvez tester votre popularité…
On ne le fait pas pour ça, mais c’est vrai qu’il y a énormément de monde. Le Tour de France est très populaire. Je pense que le public est content de voir Miss France et il est vraiment chaleureux.

Que représente le cyclisme pour vous ?
C’est un sport absolument incroyable dans le sens où je trouve que les coureurs font des efforts absolument surhumains. C’est très intense, mais aussi très long puisque les étapes dépassent les 4 heures. C’est vraiment impressionnant.

Vous n’êtes donc pas pratiquante ?
Personnellement, je n’ai jamais pratiqué de vélo. J’ai juste suivi de temps en temps le Tour de France. J’étais spectatrice sur le bord de la route quand le Tour passait dans ma région en Bourgogne. L’an dernier, en tant que Miss Saône-et-Loire avec ma première écharpe, j’ai eu la chance d’assister à tous les événements à Mâcon, au village départ. J’ai eu la chance de faire un petit coucou sur l’émission de Laurent Luyat. C’était rigolo. J’ai d’autres souvenirs marquants comme Richard Virenque qui gagne au Mont Ventoux, ou les belles victoires de Thomas Voeckler. Ce sont des victoires qui marquent.

N’avez-vous jamais gravi ce genre de cols ?
Non, je n’ai jamais monté de telles ascensions, j’ai juste monté la côte de ma rue (elle rit). Je n’ai jamais eu l’occasion de faire un vrai parcours en vélo. Mais si l’occasion se présente, j’aimerai bien. C’est un bon moyen de découvrir les routes de France, les paysages. D’être à l’air libre et de rouler.

Est-ce un sport que vous suivez régulièrement ?
En dehors du Tour de France, non, je ne suis pas du tout l’actualité. Sur ce Tour, je pense que Christopher Froome est bien parti, mais ça peut se jouer avec Alberto Contador dans les étapes de montagne. À l’Alpe d’Huez notamment. C’est une édition très particulière, ça va être une course très dure.

Propos recueillis à Saint-Malo, le 9 juillet 2013.