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Alain BOISSY

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  1. Comme je comprend le problème, en compétition on doit toujours avoir un vélo parfait (et en plus qui coute en moyenne plus cher), alors que pour faire du cyclotourisme ça a beaucoup moins d'importance. Le même genre de différence entre un instrument de concert et celui pour se faire plaisir chez soi non ?
  2. Merci pour vos conseils. J'avais l'intention de donner mon "vieux biclou" de route (qui est encore en très bon état, vu que je m'en suis peu servi), et puis à vous lire, j'ai plutôt décidé finalement de le garder 🆒. On verra bien, ça me laisse ainsi ouvert toutes les possibilités. J'aime bien rouler sous la pluie de temps en temps (un héritage du jogging, ça pousse à la rêverie), et pour ça, c'est vrai qu'un vélo pas terrible est suffisant. Danke...
  3. Merci beaucoup pour toutes ces réponses (et celles à venir 😄). De quoi bien m'éclairer. Bon, pour l'instant pas de soucis, vu que le temps s'est remis au beau fixe. C'est sur que pour moi, passer une heure à nettoyer le vélo après chaque sortie, ce n'est pas envisageable. Je saurai à quoi m'en tenir si je ne peut m'empêcher de sortir par temps humide avec mon beau vélo. J'ai quand même un autre vélo de route, en alu, mais c 'est vraiment le bas de gamme, et les sensations sont très différentes. Ca serait donc le "mulet" idéal... avec un vrai caractère de mulet...et un VTT, (et un vélo de voyage mais réservé uniquement pour les vacances et le transport de bagages...il est très lourd). Si j'intègre tous ces paramètres, je crois qu'il faut que j'envisage le vélo en variant les plaisirs. Et finalement, peut-être que lorsque je me serai habitué au vélo carbone...l'hiver prochain, j'aurai plus de plaisir à alterner le type de sortie. Vu que je n'envisage pas de faire de compétition (le fractionné et tout ça, ce n'est pas pour moi), c'est peut-être le moyen de garder une certaine motivation. Et si j'ai bien compris, si c'est le facteur humidité qui pose le plus de problème, ça n'empêche pas quelques sorties avec ce vélo les jours de beau temps. Merci encore...
  4. Bonjour, Je viens de m'offrir mon premier vélo en carbone. C'est pour moi un peu comme la Rolex à 50 ans (j'en ai 48)... mais il faut dire que je suis une sorte de débutant en cyclotourisme (et ne dépasserai jamais ce stade). En cherchant le vélo "de mes rêves", j'ai été interpellé par l'annonce d'un particulier, pour une occasion, qui spécifiait que son vélo n'avait jamais roulé l'hiver. J'ai finalement acheté un vélo neuf, en soldes. Et si je me suis acheté un vélo un peu "haut de gamme" (tout est très très relatif bien sur), c'est justement aussi pour avoir une motivation supplémentaire pour sortir à la mauvaise saison. Je que je voudrai savoir, c'est ce qui est vraiment mauvais pour ce type de vélo l'hiver. Je comprend que le sel, en période de neige soit nocif. Mais est-ce que le froid est agressif aussi ? Est ce que rouler sous la pluie est mauvais ? (j'ai un vélo de voyage en alu avec lequel j'ai roulé des jours entiers sous des pluies diluviennes, et je n'ai pas remarqué de problème particulier). J'imagine que le carbone ne doit pas trop craindre l'oxydation. Mais qu'en est-il pour les dérailleurs etc... de ce type de vélo ? Pour faire bref, pourquoi certains d'entre vous ont un vieux vélo pour l'hiver, appelé "mulet" et un super vélo l'Eté. Est-ce qu'en dehors des temps neigeux je peux sortir mon beau vélo sans lui faire perdre trop d'espérance de vie ? J'aime rouler sous la pluie... Merci d'avance.
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