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Yann97

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  1. Super, merci pour le retour ! C'est moins pénalisant et surtout dangereux si les parties techniques sont en côte qu'en descente je trouve :p. Chouette pour le D+ !!
  2. C'est chouette de tomber sur quelqu'un qui connaît le circuit 😉 ! Ah oui ça vend pas du rêve, déjà que ce n'est pas ma discipline de prédilection la natation... bon heureusement c'est court. Pour la course à pied, étant plutôt marathonien que traileur, je me renseigne, c'est très technique ou ça se court bien quand même ? Merci pour tous les renseignements !!
  3. Merci pour ton retour ! Oui pas sûr que ce soit efficace, un CLM fait au moins 2 kg de plus qu'un vélo montagne léger donc ça se paye forcément... un aéro ça se discute plus ! Le tarmac est bien aéro je pense, c'est du haut de gamme mais pas dans mon budget. Enfin c'est surtout que je n'ai pas envie de payer la marque 😉 ! Je suis preneur de sa réponse ! Pour le D+, tant mieux, plus la route s'élève et plus je performe normalement ^^! Pour la qualité de l'eau, normalement ils font des analyses en amont e tsi c'est pollué, la natation est remplacée par de la course à pied (hélas pour les nageurs, dans mon cas c'est plutôt avantageux vu mon profil !).
  4. Après la Madeleine ou le tri de Luchon (deux de mes objectifs) sont beaucoup plus montagneux que l'Alpe ou l'Embrun (la Madeleine 3500m de D+ pour 100 km) donc les 2 kg supplémentaires d'un CLM seraient vraiment handicapants, et je n'ai pas la place pour cumuler 2 vélos 😕 (et pas envie d'y mettre autant de sous). Je suis partagé, je pense que les meilleurs prennent des CLM car ils font des Ironman et compagnie assez plats toute l'année et roulent tout le temps en CLM. D'ailleurs l'an dernier pour une fois le vainqueur de l'Alpes avait un route.
  5. Merci pour ton retour 😉 ! Il faut que je garde d'occas oui car c'est vrai que neuf ça coûte aussi cher qu'un cadre :o.
  6. Merci Pierre pour ton avis ! Je me dis que garder mon Lapierre Xelius serait effectivement la meilleure option, en soit je suis bien dessus... et on a fait de bons temps sur les parcours vélo des tris ensemble :D. Par contre investir dans une paire de roue avec des jantes un peu plus hautes serait chouette ! Merci pour ton retour 😉 ! Ca m'aide bien dans ma réflexion.
  7. Bonsoir à tous,Je pratique le triathlon et le duathlon, plutôt longue distance et montagne, donc avec des parcours vélo autour de 90-100 km avec 1500 à 3000m de D+ en gros, sans drafting bien sûr !J'ai un profil plutôt grimpeur, je fais 1m80, 65 kg et j'ai une FTP d'environ 330W.Le vélo est mon point fort sur les triathlons, donc j'ai envie de mettre toutes les chances de mon côté matos.J'ai actuellement un Lapierre Xelius 9 de 2021 avec des roues roval carbone de 32mm. Mon vélo, même si pas si vieux, commence à avoir pas mal de bornes au compteur (40 000) et je réfléchis à le changer.Pour les différentes marques auxquelles je pense (Cube à la base mais rupture de stock donc c'est mort, ce serait donc plutôt Adris), j'hésite toujours entre le vélo 'route/montagne" ou le vélo "aéro".Il semblerait que les différences de poids soient minimes (l'adris vitesse donc modèle aéro n'est pas plus lourd que mon xelius par exemple a priori). Je me dis que le vélo aéro serait donc le plus adéquat y compris pour des parcours super montagneux ?Qu'en pensez-vous ? Est-ce qu'il y a d'autres facteurs que le poids qui pourraient être pénalisants en montagne ?Je vous remercie par avance pour vos avis et conseils !Bonne soirée.
  8. Non pas spécialement, je fais 66 kg pour 1m80 mais tout le poids est dans les jambes, je suis assez maigre en haut du corps ! Après pour le test c'était en avril et à l'époque je roulais deux fois moins qu'aujourd'hui (mais je courais encore beaucoup) donc j'ai peut-être un peu progressé. Super, merci pour le tuyau 🙂
  9. Merci beaucoup pour vos retours ! En ce qui concerne l'entraînement en club, il y a des séances collectives mais plutôt dédiées aux jeunes (cadets) et pas forcément hyper structurées, ce qui en soit n''est pas je pense un problème mais j'aime bien de mon côté avoir un cadre et que tout soit bien prévu en amont, je suis assez carré. Et de novembre à janvier il n'y a pas trop de séances. Et j'aime bien savoir pourquoi je fais les choses aussi ! En course à pied je me suis fait mes plans seul pendant des années car je ne pouvais pas assister à des entraînements en groupe (à mon plus grand regret) en raison des études. Merci pour vos conseils. C'est intéressant ce que vous dites sur le peloton, la connaissance des autres coureurs, ... pour moi c'est encore des choses à apprendre ! Pour les tourniquets, effectivement, je suis sans arrêt en fin de peloton, ça ne doit pas aider... 😕 Sur des circuits plus longs, je suis beaucoup mieux, et je me sens bien en échappée car j'aime bien être généreux dans l'effort. Je n'ai pas encore de capteur de puissance mais je vais en acquérir un. En attendant, pour l'hiver, j'ai un HT connecté donc ça fait l'affaire. J'ai une FTP de 4,9 w/kg donc pas trop trop mal mais sur les efforts plus courts je suis trop juste pour le moment car je n'ai jamais fait vraiment de séances de PMA ou anaérobie... Pour l'entraînement, je vais regarder le site conseillé. En fait il y en a tellement et tellement de méthodes différentes que ce n'est pas évident de faire le tri (après c'est sûr c'est à adapter en fonction de chacun et de ses contraintes, de mon côté par ex ça peut être intéressant de faire de l'intensité l'hiver car je fais beaucoup de HT alors que l'été je peux faire des sorties plus longues dehors !).
  10. Bonjour à tous, J'ai démarré le cyclisme en dilettante en 2021 à côté de la course à pied que je pratiquais en compétition, puis je me suis mis "à fond" dans le cyclisme en ce début d'année 2022 (au début en pratiquant la course à pied en parallèle puis en délaissant cette discipline). En course à pied j'avais l'habitude de suivre un entraînement assez structuré (j'étais dans un gros club d'athlétisme dans un groupe avec un coach) mais je trouve l'entraînement cycliste assez complexe et puis je n'avais pas prévu de faire de courses, ça s'est fait un peu au hasard des choses au printemps... résultat : j'ai fait très peu de séances spécifiques, j'ai "roulé pour rouler" (pour le plaisir surtout :)!) mais j'ai fait pas mal de compétitions (FFC en catégorie 23J essentiellement et puis quelques chronos et une cyclo). J'ai quand même fait un peu de spécifique lors d'un stage club et lors de quelques séances avec les jeunes du club mais sans que ce soit vraiment structuré. Au final je me suis bien débrouillé sur certaines courses, notamment quand ça grimpe et quand les circuits sont assez longs, par contre sur des criteriums très courts c'est très compliqué pour moi, j'ai du mal à suivre les relances et en plus je suis mal placé, ce qui ne facilite pas les choses. C'est assez normal au vu de mon entraînement et de mon profil j'imagine. Pour info je roule 6 fois par semaine (en moyenne 400 km hebdo) et j'essaye de courir 1 fois par semaine (je fais un peu de duathlon en arrière-saison). J'aimerais faire les choses mieux cette année, en plus j'ai acquis un HT (indispensable car j'habite en altitude en moyenne montagne et l'hiver je ne peux pas m'entraîner dehors en semaine à cause des jours courts, classique!). Je me pose des questions sur : - la préparation l'hiver : on parle d'endurance/foncier en décembre/janvier : de mon côté je peux faire du long le week-end et les mercredis aprem (si les routes ne sont pas trop verglacées) mais les autres jours c'est forcément ht : que faut-il privilégier comme séance sur ht lors de cette période ? - la période pré-compétitive en janvier/février : que privilégier et combien faire de séances d'intensités par semaine ? Plutôt PMA/seuil/... ? Alterner le tout sur une semaine ou faire des cycles avec plusieurs PMA sur qql semaines puis plusieurs séances au seuil, ... ? - la période compétitive : je me demande s'il faut faire des séances d'intensité en période de compétition (finalement assez longue, de mars à octobre pour moi cette année) ? Je pensais au modèle suivant : lundi : sortie d'1h/1h30 de recup / mardi :1h30 avec des intensités / mercredi : 3-4h d'endurance / jeudi ou vendredi : 1h30 avec de légères intensités / samedi : déblocage / dimanche : course - est-ce judicieux de vouloir concilier course à pied et vélo (sans compet de course à pied, juste 3 ou en novembre/décembre) ? - connaitriez-vous des sites où l'on peut trouver des plans types (à adapter bien sûr...!). Je vous remercie pour la lecture et pour vos précieux conseils. Sportivement, Yann
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