Patrick GAUTHIER

Merci pour la rapidité de ton intervention. Au total, c'est du matos un peu léger, le prix mis à part et le freinage... peut-être! Reste une question: mais à quoi peut servir cette minuscule vis sur le côté de l'axe, qui gâte l'allen de ma clé? Mystère...

Bonjour, J’ai acheté une paire d’étriers KCNC C7 ; la qualité de réalisation est satisfaisante, l’onctuosité du mécanisme un peu moins, mais je les ai voulu, alors roule ! Néanmoins, pas encore, car j’ai un problème. En effet, les étriers que j’ai pupratiquer chez Shimano comme chez FSA, avaient une micro-vis permettant un réglage fin du centrage des patins. Sur les C7, j’en ai bien trouvé une planquée surle côté de l’axe, mais quant à mouvoir les bras d’étrier finement de cette manière… Alors si parmi vous quelqu’un avait une idée sur la possibilité d'un réglage fin pour assurer un freinage sans pareil, à mon premier soleil, promis, son nom me tiendra d'orbite, s’il vous plait ! Cordialement

Bonjour, J'ai les mêmes roue sur lesquelles je monte des Conti GP 4000, 700*20. En 7000 bornes, 3 crevaisons, dont une par pincement (j'avais point vu le nid et sa poule), bref une explosion du diable, des fèces au fond du cuissard, et... la jante toujours gaillarde. Comme quoi, une même cause produit des effets différents: un philosophe pourrait broder là-dessus, Shimano, lui, y tricote... son bas de laine. Et le client, parfois, chie mano... a mano avec la malchance!

Bonjour, j’ai actuellement des roues Dura-Ace, des gommes Conti G.P4000S, et c’est un matériel excellent (me semble-t-il)… Néanmoins, comme la satisfaction est une satiété platonique, je souhaitais goûter à (pas) vraiment mieux et (beaucoup) plus cher, bref, je songeais à croquer du boyau et de la jante carbonée, naturellement de fabrication gauloise: camarades chômeurs sursitaires, achetons terroir! Bref, je louchais donc du côté de chez Corima, et plus particulièrement sur le modèle Aéro +. Cependant, par curiosité, parcourant la notice générale du constructeur mise à disposition sur le net, ben, là… Là, j’appris des choses troublantes sur cette jante (et sur toutes les autres de la marque, choses certainement valables pour toute jante carbone quel qu’en soit le fabricant) telles, par exemple, quela pression dans le boyau ne devait pas excéder 8 bars, ou bien encore, concernant le collage dudit boyau, qu’après avoir poncé l’intérieur de la jante, Corima recommandait l’usage de l'acétone (gloups !) pour obtenir une bonne adhérence de la colle, et pour nettoyer les éventuelles bavures de colle sur la jante (re-gloups ! et adieu l'aspect ”glossy”), ou, relativement aux freinages, qu’il fallait éviter de trop les prolonger ou les répéter, afin de ne pas soumettre la jante à des températures supérieures à 180° (au feu !), ou encore, en rapport avecl’usure des jantes, qu’un contrôle annuel (pas moins ?) des roues était recommandé. CORIMA appréciant le degré d’usure, pouvait, dès lors, indiquer le niveau de fiabilité des jantes. A ce sujet, ce fabricant estimait que 5 années de bons et loyaux services dans des conditions normales d’utilisation devaient mener une paire de roues en carbone à la benne. Sachant que le bout vos entre 1300 et 2900 euros, ça met l’an à combien ? ça met l’an… colique, bref, ça fait chier quand même)… Voilà bien des contraintes, et si certaines d’entre elles sont dictées par le fameux (et pas sot) principe de précaution, depuis la lecture de cette notice générale, je regarde mes Dura-Ace comme des tanks ailés, des plumes cuirassées… Bref, amateur de longues distances, j’ai l’impression que cette tentation ne me semble pas appropriée, à moins qu’il y en ai parmi vous, qui puissent témoigner du contraire. Bien sûr…