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Jean-François MASSELIS

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  1. le sport pro n'est plus un jeu. c'est de la carriere de personne dont on parle. une decision inique engage leur avenir et peut constituer un prejudice pour eux. par ailleurs, s'il n'est pas question de soumettre lles contrevenants au dopage au droit penal, on peut s'autoriser a critiquer le fonctionnement de la justice sportive. le resultat est contreproductif et ne satisfait que les ayatollas de la lutte antidopage. contador n'a pas tire les lecons des affaires passees. l'effet dissuasif est donc nul. quant a la gradation, je ne me souviens pas de cas ou les instances n'ont pas mis le maximum au coureur contrevenant. sauf les instances federales. mais ma memoire me trahit peut etre?
  2. J'ai pas le niveau ou alors faudrait que je prennes des trucs...😆
  3. Même si j'ai beaucoup de sympathie pour Andy Schleck, je n'ai jamais été impressionné pas son sens tactique. En 2010, il se contente d'attendre le 1km avant du sommet pour attaquer Contador... avant son saut de chaîne. Il perd 39 secondes. Dans la montée d'Avoriaz, 8 jours avant, il refuse de suivre les recommandations de Riis qui avait bien vu que Contador était mal et attend les 500 derniers mètres pour attaquer. Il gagne 5 secondes. 5 jours aprés, à Mende, il est si mal placé qu'il ne peut répondre à l'attaque de Contador. Il perd 20 secondes. En 2011, à Liège Bastogne Liège, échappé avec son frère, Gilbert, il reste attentiste. Il offre la course sur un plateau à Gilbert qui n'en attendait pas tant. En 2011, sur le tour, dans l'étape menant au plateau de Beille, il aurait pu attaquer dans le Port de Lers et s'appuyer sur ses équipiers échappés devant mais se contente de rester dans les roues. Soit disant, il y avait trop de vent. Ca n'a pas empeché le belge de L'équipe Lotto d'attaquer et de gagner l'étape. Il a peut-être les capacités physiques pour gagner un tour montagneux. Il pourrait être aussi meilleur rouleur en CLM, s'il s'en donnait la peine, pour devenir plus complet. Mais, il a fait souvent les mauvais choix aux mauvais moments et a subi la malchance...comme Poulidor. Mais maintenant, il a Bruynel comme manager. 8 Tours de France victorieux au compteur. J'aimerais vraiment qu'il démontre qu'il a l'étoffe car il est plutôt charismatique et beau joueur. Au contraire de Contador qui est cynique, plus déterminé aussi et surtout commet moins d'erreurs sur le plan tactique. Il n’empêche, ce qui arrive à l'espagnol n'est ni bon pour lui, ni pour le cyclisme, ni pour l'intérêt du Tour, ni pour la crédibilité des instances dirigeantes qui s'émeuvent du résultat de la décision alors qu'elles ont fait appel de la décision de la Fédé espagnole. Et que dire du TAS et des instances disciplinaires qui ne conçoivent pas la gradation de la sanction. Pour eux, quelque soit la faute, même tarif pour le monde. Un coureur qui prend un coupe-faim interdit ou un complément alimentaire contaminé est sanctionné de la même manière qu'un coureur qui est convaincu de prise d'EPO ou d’auto-transfusion. Comme si un voleur de poule se retrouvait en Cour d'assises avec un braqueur. Il y a un problème de Droit qui se pose et comme l'ont déjà dit certains, de compétence et de qualification de ces institutions. Au motif que le contrevenant est un sportif, il ne pourrait pas avoir les mêmes droits qu'un justiciable lambda?La justice sportive serait donc supérieure au Droit commun? On peut s'insurger contre l'absence d’échelle de sanction, de gradation de la faute. On peut se questionner sur la cohérence des décisions et les effets pervers de la présomption d'innocence. Tant qu'il n'est pas condamné, un coureur peut faire des courses. Mais s'il est condamné, on lui retire ses titres par effet rétroactif, courses pour lesquelles il n'a pas été contrôlé positif! Pas logique et contraire à certains droits fondamentaux. Tout le monde, ou la majorité, est d' accord avec le fait que le dopage est un fléau qu'il faut combattre. Mais on peut se demander si les instances sportives sont vraiment compétentes pour juger les contrevenants. Aujourd'hui, comme certains tribunaux militaires, elles rendent une justice d'exception. Pourquoi ne pas confier cette mission à de vrais instances judiciaires appliquant des règles de Droit Commun? Dans le cas de Contador, il n'y avait pas besoin d'attendre 18 mois pour reconnaître qu'il était responsable de n'avoir pas veiller au contenu de ses aliments, compléments alimentaires ou nourriture achetée en boucherie. Après le contrôle, on lui infligeait une sanction de 3 à 6 mois, assortie pourquoi pas d'un sursis partiel ou total. Certes il perdait le Tour mais le dossier était réglé. Aujourd'hui, on lui retire 24 titres et d'une certaine manière on fausse une saison et demi, et on prive des coureurs de la joie et de l'honneur de recevoir un prix. "Faire un exemple en rendant justice ne rend pas la justice exemplaire". La formule n'est pas de moi.
  4. j'ai pas forcément envie d'être l'avocat de Contador mais je me pose des questions quand à la motivation de la sanction du TAS. J'aurais aimé être une petite souris pour assister aux débats et entendre les experts car quoiqu'on ait pu lire de très documentés dans la presse au sujet de cette affaire, on découvre que Contador a pris des compléments alimentaires frelatés. Sachant que même s'il n'y avait pas d'intention de dopage, il était responsable de ce que peuvent contenir ces compléments. Si je comprends bien le raisonnement du TAS, il n'aurait eu comme solution que de prétendre qu'il aurait mangé de la viande contaminée pour échapper à sa responsabilité? 800 pages de procédure pour en arriver là... Soit! Qu'on l'apprécie ou pas Contador, il va quand même nous manquer sur le tour. Avec tout le respect qu'on doit à Evans, Shleck et les autres, on peut pas nier qu'on a affaire à une belle bande d'attentistes? Qui ose attaquer dans les courses à étapes à part Contador? Et ne me parlez de l'attaque désespérée d'Andy Schleck dans l'izoard, il y a été au bluff. Il a été tout surpris de se retrouver devant... Va être triste le tour 2012. A moins qu'un français gagne...
  5. Salut les cyclistes! Je me fais plaisir depuis quelque temps en achetant un nouveau vélo tous les 2 ans et même chaque année depuis 4 ans. En achetant un C40 Colnago à la fin des années 90, je suis longtemps resté fidèle à la marque en achetant les évolutions successives. Mais en 2006, j'ai voulu rouler sur autre chose et sur du plus leger. Depuis mars, j'ai un FOCUS IZALCO, le même que celui équipant le team Katusha mais sans les roues Vision vraiment pas terribles. Fin aout, en vacances dans les hautes alpes, un pote revendeur Cannondale est arrivé avec son supersix evo équipé sram red; comme mon Focus. Comme on fait presque la même taille, j'ai pu l'essayer lors plusieurs sorties montagnardes avec l'avantage d'y monter mes roues (Easton ec90 SLX) pour pouvoir bien comparer avec le mien. J'ai sous les yeux les relevés du POLAR des montées de l'IZOART par le sud. Elles confirment les super sensations que j'ai ressenties. Je me souviens avoir monté ma potence 130 pour avoir exactement les mêmes côtes que sur le Focus. Si la forme peut évoluer d'une journée à l'autre, il est surprenant de constater que les relevés cardiaques enregistrés avec le FOCUS et le CANNONDALE se superposent sur l'ensemble de la montée avec une moyenne idendique, sachant que je porte mon effort après Brunissart (la partie la plus pentue) mais qu'au final, j'ai mis 17 et 24 secondes de moins avec le Supersixevo!!! Je rejoins les commentaires de ceux qui mettent en relief sa rigidité mais je la trouve plus "réactive" que sur le Focus qui semble plus inerte. J'étais content d'approcher mes temps de montée d'il y a 10 ou 12 ans (53'30") et surtout cette sensation de (relative) facilité dans les parties les plus pentues. Depuis, je conserve en mémoire cette impression assez grisante d'accélération lors que je me mettais en danseuse...avec aussi le retour du boomerang qui nous incite à nous rasseoir lorsque dans l'heuphorie, nous présumons de nos capacités et persistons à rester debout trop longtemps... Bref, comme rarement, un vélo m'a entousiasmé par son comportement. Je reste souvent dubitatif devant les essais de certains vélos qui font croire qu'on a affaire à du matos qui va tout révolutionner et nous faire gagner 100 places dans les cyclosportives. Avec le supersix evo, je suis bien emmerdé: j'avais décidé de ne pas changer de vélo pour 2012, de rester raisonnable. Mais plus ça va, moins j'arrive à réprimer mon envie de l'acquérir, pour vérifier que les sensations de cet été étaient bien réelles...
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