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Brigitte CRETON

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Tout ce qui a été posté par Brigitte CRETON

  1. @Michel : Non , j'aurais bien aimé tenter le 739, mais j'ai un évènement familial incontournable la même semaine. Je ferai partie de l'équipe de l'organisation du départ, qui a lieu à côté de la maison !
  2. J'ai fait la rando en deux jours l'an dernier, c'était TOP ! Une organisation très au point, de belles routes, un beau dénivelé quotidien , j'ai adoré !
  3. Le site est complet, la procédure d'inscription est en ligne https://www.bridoubikedudiable.fr/boutique-en-ligne/?fbclid=IwAR016KALhCzPPeNXiIUK6acfs2ap19GpVAlSe-ETTfZ77NW0HahI9mZMm4A
  4. Il n'y a pas de "démesure" ... juste la mesure de quelque chose de différent. Quand on participe à une grimpée, une cyclosportive, on essaye de développer certaines capacités, quand on fait du long , on fait intervenir d'autres facteurs, il y a un aspect aventure, organisation , et il y a un plaisir spécifique. L'intérêt humanitaire existe certes sur certaines épreuves sportives, mais c'est loin d'être le cas pour toutes. Là au moins on a une épreuve à cout limité, à impact écologique limité (accès en train au départ et à la gare pour le retour), avec un accueil (inoubliable) que je connais pour avoir fait les brevets CCK 200 km et 300 km trois ans de suite . Après on peut ne pas aimer enchainer, rouler en partie la nuit, faire de la montagne ....
  5. Quelles contraintes ? En mode avec classement, ou sans classement ?
  6. Une nouvelle épreuve longue distance à découvrir https://www.bridoubikedudiable.fr/
  7. C'est un grand plaisir (et très instructif) pour moi de lire tous ces récits. On y apprend toujours quelque chose Je trouve que l'article dans l'Equipe reflétait finalement quelque chose d'assez sombre, montrant beaucoup les abandons, les gens vraiment défaits, au bout du bout. Il y a même quelqu'un qui l'a feuilleté et qui m'a dit "ah ah là là vous avez eu de la pluie "... parce qu'il y avait une photo prise pendant l'unique petite averse ... dans les récits (qu'il s'agisse d'un PBP très rapide ou d'un où on utilise tout le temps imparti) au contraire on retrouve beaucoup d'enthousiasme et même de bonheur, même si certains moments sont difficiles. Finalement ce n'est pas très facile de faire comprendre à l'entourage non cycliste (ou pire encore non sportif) la joie qu'on éprouve à participer à ce style d'épreuve. Quand les gens en on entendu parler, ils propagent des rumeurs comme "c'est extrême" "c'est une longue souffrance" ....
  8. Moi ça y est c'est bon, j'ai arrêté de rêver toutes les nuits que j'étais au contrôle et que je devais repartir 😃 Et moi aussi je pense à 2023 😇 . Pourquoi est-ce que ce truc rend aussi "accroc" ? Il y a des rendez vous que je n'ai pas raté depuis que j'ai commencé (16 ardéchoises) mais ça reste un ton en-dessous au niveau "obsession"
  9. Tout aussi délicieux à lire !!! Mille bornes sans dormir, tu as une sacré résistance au manque de sommeil. Bien contente en te lisant d'avoir anticipé l'arrêt de la première nuit avant Carhaix car j'y serais arrivée à l'aller dans les mêmes heures que toi au retour et en plus le dortoir est glacé en plus d'être surpeuplé. St Nicolas est bien pour ça. Gonflé quand même ton gars avec l'accent du Sud ... c'est vrai que parfois l'ambiance entre les participants est "bizarre", la solidarité ne vient pas toujours au bon moment ... parfois une remarque peut être mal comprise aussi ... de plus , plus on avance plus on se retrouve avec des gens qui n'ont plus de ressources que pour s'occuper d'eux-mêmes.On a de bonnes, voire de très bonnes surprises quand même. Et sa se confirme, l'arrivée sur Dreux est interminable (pour moi les deux fois ce fut le plus dur du PBP !!!!) 😕
  10. ah ah ... alors moi 😃 à 14 de moyenne je ne trouve même pas de train équivalent ... éventuellement ces petits trains à touriste que l'on trouve dans les villes 😃
  11. Désolée Bertrand .... je me suis un peu embrouillée dans les conversations mais c'est bien à toi que je parlais :-D
  12. Ah ah ça file des frissons ce PBP "TGV" 😲 Bravo Jean-Marc ! C'est marrant car malgré la durée d'épreuve et du coup tous les timings qui ont été différents pour nous deux (par exemple je n'ai connu que des contrôles archi-pleins dès le début) , je retrouve des points communs , comme la première nuit que j'ai trouvée douce, la bosse juste avant le contrôle de Brest pas facile , la sieste à Fougères (mais moi c'était dehors à l'ombre) les interminables lignes droites avant Dreux ... ... mais surtout la sensation de participer à un truc exceptionnel ... vraiment du bonheur à l'état pur . Pour la douche que ton collègue a voulu prendre, j'ai eu la même idée à Villaine la Juhel. J'ai trouvé ça vraiment régénérant, un peu comme un repas pris à table ou une sieste ... je ne l'avais pas fait en 2015 mais en fait ce n'est pas une idée si bizarre.
  13. L'avantage c'est qu'après quand on fait un 200 bornes ça paraît court 😃 Franchement ... il faut essayer ... car c'est vraiment vivre un moment d'exception. Physiquement c'est à la portée de beaucoup de monde. Mentalement, il faut avant tout en avoir sincèrement envie... et ne jamais oublier cette envie en cours de route.
  14. Comment pourrait-on être saturé de PBP !!!! Superbe récit, que j'ai lu avec énormément de plaisir . 12 PBP ... je suis admirative ... je commence à rêver à mon 3 eme après avoir dit à l'arrivée que deux me suffisaient ! Nous l'avons fait un peu dans le même timing ... et avons vécu le froid des dortoirs de Loudéac, et celui terrible avant Dreux 🆒
  15. C'est bon là j'en ressors ...j'ai trouvé que ça roulait bien ce matin ... il n'y a plus qu'un seul doigt avec des fourmis (au début il y en avait trois) qui me rappelle que j'ai fait PBP 😃
  16. Magique 😇 !!!!! Beaucoup de rencontres aussi sur les 2 PBP. En 2015 j'ai fait 20 km avec un cyclo du Nord de la France sur le retour de PBP, quelques échanges ont suivi, et là ,la première personne connue que je vois à Rambouillet c'est lui ... mieux encore, on était dans le même sas de départ ... on s'est perdu, retrouvés, perdus pour finalement faire l'arrivée (triomphale l'arrivée, forcément) ensemble 😃
  17. Je veux bien le croire mais pour moi, c'est plus mental que physique cette désaffection du vélo qui frappe certains après PBP. Quand on est finisher, je trouve que ça booste même, ça encourage à continuer !!! Physiquement, je vois ça un peu comme Hervé, une bonne semaine pour se recaler. Le lendemain j'ai juste fait les trajets logement-gare-domicile à vélo, trois jours après de la rando pédestre et là j'étais encore un peu cuite (fringales, et je supportais mal la chaleur) . Pour le vélo RAS après quelques jours. Mentalement c'est plus long car on est un peu "en panne de projet", et encore la tête dedans, mais ça ne m'empêche pas de rouler.
  18. Excellent 😃 N'y va pas trop fort quand même dans la propagande, sinon il n'y aura plus de place pour ceux que je suis entrain de convertir !
  19. Oui je ne sais pas comment ils font pour dormir comme ça dans le froid ! Les nuits n'étaient pas chaudes (petite pointe à 5°C au lever du jour sauf la 1 ere nuit) ... je n'imaginais même pas m'arrêter dehors à ces moments là ... même quand le sommeil m'attaquait !!
  20. Encore un intoxiqué du PBP 😆 ... les premiers jours cette obsession de PBP était tellement présente que j'avais l'impression d'avoir été droguée ... conditionnée !!!
  21. Pour ta première question, impossible de répondre. La diversité des brevets (avec beaucoup de dénivelé ou presque plats) et des conditions météo que l'on y rencontre joue beaucoup. C'est aussi beaucoup plus facile à faire en groupe, car la moyenne roulée étant plus élevée, on dispose d'un gros matelas d'heures pour ... dormir 😃. J'ai toujours fait mes 600 sans dormir, mais je suis une grande stressée de l'horaire 😃. J'ai moi-même raté un 600 ce mois de mai : pluie glaciale et diluvienne (4°C) toute la nuit en moyenne montagne + solitude absolue + petite forme, j'ai bâché au km 380. Si un 600 est trop dur, on peut toujours en faire un plus cool voire tout plat, rouler à 22 de moyenne et faire une vraie nuit au milieu... PBP est plus facile que nos brevets de Grenoble, déjà c'est l'été, à basse altitude (pas de vraies descentes montagne qui durent ...), il y a du monde partout, une infrastructure et un accueil rassurant, à manger partout, un bon fléchage ... et comme l'exprimait un participant dans un récit, le "stress positif" , l'enjeu, le défi, fait de vrais miracles physiologiques. C'est incroyable d'arriver à repartir encore en forme après une nuit blanche , un jour, puis une nuit de deux heures !!!!! Pour la seconde question , en gros sur les inscrits "fermes" , 5% ne prennent pas le départ, moins de 5% sont enregistrés mais hors délai (encore faut-il que le tapis soit encore là), un peu plus de 25 % abandonnent (ou rentrent mais quand il n'y a plus personne) ... donc il reste 65 % de finishers "médaillés" 😛 Je me suis amusée à regarder cette proportion chez les femmes françaises, on fait un chouia mieux, 72% ... on n'est pas nombreuses mais coriaces !
  22. Merci ... je suis friande de tous les reportages qui touchent à PBP 🆒 Pour avoir touché à différentes pratiques du vélo ... je ne vois pas trop la longue distance comme "extrême" car l'effort physique pur reste très modéré (à moins de vouloir faire un temps, dans ce cas c'est effectivement un peu "extrême", comme les courses ultra ) . Par contre c'est certain qu'il faut une vision particulière, à savoir, accepter de rouler dans des conditions non optimales (rouler avec la fatigue, avec éventuellement une douleur ça ou là, rouler de nuit, sous la pluie, dans le froid, sous la chaleur, avec des pauses, avec des hauts et des bas , et donc rouler plus lentement que la "normale" ) Pour certains, ce "sous-régime" est incompatible avec le plaisir de rouler. Je pense qu'il faut être fortement motivé par l'ambiance, par la conviction de faire quelque chose de rare (tous les 4 ans au mieux !) et d'exceptionnel, par l'ensemble des paramètres à gérer au-delà de l'effort, par les rencontres le long de la route .
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