Pouvez-vous vous présenter à tour de rôle ?
– Bonjour à tous, je m’appelle Raquel Fernande, j’ai 25 ans, je viens de Séville. C’est ma première Vuelta et je suis très contente d’être là.
– Bonjour, Je suis Fernando Lopez, j’ai 28 ans et je viens de Malaga. C’est la première fois que je viens travailler sur la Vuelta et c’est d’ailleurs la première fois qu’un garçon vient travailler sur le podium.
– Bonjour, je m’appelle Maria RRuizz, j’ai 21 ans et je suis étudiante en tourisme. C’est également ma première Vuelta et une nouvelle expérience pour moi.
– Bonjour à tous, je m’appelle Mire Iasalass, j’ai 23 ans et je viens aussi de Malaga. C’est pour moi la première fois sur la Vuelta et je suis contente de la découvrir.
– Bonjour, je m’appelle Irina Morales, j’ai 28 ans, je suis de Grenade. Je travaille dans l’administration. C’est ma première fois sur la Vuelta et tout se passe très bien !

C’est donc votre première fois sur la Vuelta à tous les cinq. Raquel, comment se passe votre travail d’équipe ?
La vérité c’est que cela se passe très bien. Nous aimons tous le sport et vivre en collectivité. Les gens sont très sympathiques. Nous découvrons beaucoup de choses que nous voyions auparavant à la télévision et l’envers du décor. Cette expérience est très intense.

Fernando, tu es le premier hôte podium de l’histoire du cyclisme, que ressens-tu ?
Je le vis très bien et je suis entouré de quatre jolies filles au quotidien. J’aime le travail d’équipe et le cyclisme, c’est une très bonne situation ! J’avais un peu de pression et d’émotions à mon premier podium parce que je n’ai pas l’habitude mais finalement tout s’est très bien passé !

Maria, que penses-tu de ce grand départ de la Vuelta en France ?
La France est notre pays voisin donc nous sommes ravis d’y venir quelques jours et de montrer notre événement espagnol à l’étranger. Cela contribue à son rayonnement au niveau international. Tout se passe bien et c’est la troisième fois que je viens en France. J’ai déjà visité Paris mais maintenant j’ai pu découvrir le sud de la France, notamment Nîmes.

Mire, que penses-tu de cette nouvelle formule proposée par l’organisation de la Vuelta concernant le podium protocolaire ?
La seule différence réside dans l’absence de bise. Cependant, le vainqueur est quand même félicité et on reconnait son mérite en tant que sportif. C’est juste une autre méthode de remise du trophée ou du maillot.

Irina, le monde du cyclisme est plutôt dominé par la gente masculine, comment t’y sens-tu en tant que femme ?
En ce qui nous concerne, nous voyons très peu les cyclistes. Sur le village départ et dans les équipes d’organisation, j’aurais tendance à dire qu’il y a autant d’hommes que de femmes et nous travaillons avec tout le monde. Nous pouvons collaborer aussi bien avec des hommes qu’avec des femmes, cela ne change rien à la qualité du travail fourni. Le plus important, c’est que le travail soit fait, et qu’il soit bien fait.

Irina, dernière question, avoir un homme dans votre équipe d’hôtesses podium est quelque chose de positif selon toi ?
Oui, en effet, c’est très positif ! Il est très sympathique, c’est un bon compagnon et il est bien intégré. Notre équipe tourne bien et nous sommes ravis de travailler ensemble !

Propos recueillis par Mathilde Duriez